23/06/2013
12:16:09
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[CULTURE] Office du tourisme

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Office de tourisme banairais

siahabanairah.hakw.bnh

Bonjour et bienvenue à toi, visiteur ! Ici, à l'office de tourisme, tu pourras trouver des informations pour planifier ton voyage au Banairah : visa, transports (avion, train, tram, vélo, voiture), mode de vie, paysages à explorer, monuments historiques à visiter...

SOMMAIRE :

Préparer son voyage au Banairah :Destinations :Que faire au Banairah :

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L'île aux bananes

L'île aux bananes et ses productions

L'île aux bananes est le petit nom donné à l'île d'El-Taamira, situé dans le petit archipel d'Al-Mahmud, situé à au sud-est de l'île de Destanh. Découverte très tôt par les explorateurs banairais, elle fut l'objet de multiples visites de la part de populations arabes du continent mais également de populations insulaires nazumi, créant dès l'Antiquité un petit comptoir multi-culturel aux inspirations multiples. Contrôlées par de multiples puissances maritimes, puis par des khalifats insulaires laissant une trace indélébile de la culture arabique dans l'archipel, les îles Al-Mahmud, du nom du premier explorateur banairais l'ayant découvert, finissent par être définitivement intégrées au Banairah en même temps que l'île de Destanh et les autres petites agglomérations insulaires l'entourant. D'un intérêt, même stratégique, faible, l'île aux bananes a pour plus grande force la légitimation de l'utilisation des eaux territoriales qui l'entourent plutôt que ses terres en elles-mêmes qui restent donc depuis des siècles que peu transformées par l'activité humaine. Avec l'intégration au Banairah, les petites îles accèdent à une large autonomie du fait de la structure même de l'Al Dayha, une bonne nouvelle pour les locaux qui se voient protégés des appétits étrangers, et en premier ceux des colons eurysiens, tout en gardant une liberté conséquente. Ainsi, malgré les différences qui opposent le continent et les outre-mer, il règne un climat d'entente cordiale qui aida à rapidement intégrer ces territoires au sein de la République, et donc à y légitimer sa présence. Cette dynamique d'expansion vers l'est a par ailleurs été partagée avec d'autres puissances du monde arabe, dont les Sultanats Arabes, consolidant la culture arabe en son ensemble dans son bassin afaréo-nazumi, une logique historique expliquée par le poids des puissances helléniques au nord du continent afaréen.

Mais quelle est l'origine du surnom de cette île, d'ailleurs ? Eh bien, c'est simple : les multiples échanges commerciaux et de population dans la région ont apporté avec eux leur lot de semences et de découvertes. Si au départ, l'île comptait quelques espèces de bananiers sauvages, le commerce incita à en cultiver d'autres ou à les domestiquer, enrichissant le patrimoine génétique du genre sur l'île. La production de ces délicieux fruits, mais également chanvres et alcools (un moyen peu approuvé par la religion mais restant efficace pour conserver une partie de la récolte) permit à la région de développer un petit port commercial adapté à la taille de l'archipel volcanique, d'une superficie totale de 1 167 km².

C'est donc une île au charme discret -car à vrai dire, les habitants ne souhaitent pas voir se développer un tourisme de masse qui nuirait à leur territoire- mais exhaltant et dépaysant, et contrastant avec les paysages arides du continent. Sous une verdure luxuriante, vous pourrez admirer l'océan blême, observer les poissons et les oiseaux, gouter aux fruits des vergers agroforestiers et loger sous un toit de feuilles de bananier traditionnel. Rencontrez la population locale et prenez le temps de discuter avec eux, vous trouverez forcément quelques personnes maîtrisant une langue qui vous est familière ! On vous parlera avec enthousiasme des traditions locales, de la géographie, de la vie insulaire, des animaux ou du travail en mer.

Comment y accéder ? Vous pouvez vous rendre à l'archipel d'Al Mahmud et à l'île des bananiers depuis l'île de Destanh par voie maritime. Vous y trouverez des ferrys y faisant l'aller-retour.

Comment se déplacer au sein de l'archipel ? De petits bateaux font la jonction entre les différentes îles de l'archipel. Pour se déplacer au sein des îles, vous pouvez utiliser les chemins de randonnée (marche à pied, vélo) et les routes (petits utilitaires de covoiturage). Veuillez ne pas apporter de véhicule avec vous, ceux-ci ne pourront pas être pris en charge une fois sur place.

Se loger dans l'archipel : Des maisons de particuliers sont ouvertes par leurs propriétaires aux visiteurs afin que ceux-ci puissent s'intégrer au mieux à la vie locale. Il est courant que l'on vous offre par la même occasion de tester divers alcools de banane et autres fruits secs, ou que l'on vous propose de vous organiser une visite de l'île où vous vous trouvez.

Les commerces : Les surfaces urbanisées de l'archipel sont peu nombreuses, mais elles disposent de l'ensemble des magasins de première nécessité : production de nourriture locale, médicaments, ... Pas de soucis à se faire !


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Premiers pas vers le Banairah !

Avant même de songer à aller à l'étranger, il est important de se renseigner sur la politique d'accueil de la destination. Il est donc primordial de :

  • lire les statuts et positions diplomatiques de votre pays ainsi que ceux du Banairah : parfois, les événements géopolitiques mondiaux se mettent en travers de vos projets d'escapade (mince !), ou même pire, parfois votre pays vous interdit pour un temps indéterminé de venir chez nous...Alors avant de vous précipiter dans les guichets de gare et de (aéro)port, pensez tout d'abord à vous informer sur la situation. Pour ce qui est du Banairah, votre destination, vous trouverez toutes les informations ici (debloumasieh.aldayha.bnh) ! Vous pourrez voir si vous pouvez vous déplacer au Banairah, mais aussi si votre pays dispose de liens privilégiés avec le nôtre, notamment en terme d'octroiement de visas.

  • demander votre visa (si besoin) : si on vous demande un visa, vous pouvez formuler une requête au Consulat banairais qui s'en chargera, ou à l'ambassade banairaise de votre pays. N'hésitez pas à demander des informations à nos services ou à ceux de votre pays.

  • lire la législation de base : ce serait bien dommage de venir chez nous juste pour se prendre une amende...Aussi, lisez bien les réglementations en vigueur, ne vous inquiétez pas, ce n'est pas trop ennuyeux et c'est fort utile ! Le plus important est ici (cheria.aldayha.bnh).

  • planifier vos visites : il peut être utile pour vous de planifier vos visites. En effet, tout visiteur au Banairah court le risque de se sentir dépaysé -super !- voire un peu trop (oh non !). En effet, à chaque pays ses spécificités, aussi vous pourriez être embêtés de voir qu'on ne se déplace pas comme on veut dans le désert, par exemple, mais plutôt en fonction de la météo. Pour éviter les mauvaises surprises, il est donc recommandé d'organiser un tant soit peu votre voyage.

  • s'informer sur les langues parlées : peut-être que dans un monde alternatif, tous les humains du monde entier parleraient peu ou prou une langue hégémonique, mais (heureusement) ce n'est pas le cas dans le monde bien réel dans lequel nous vivons et respirons ! La diversité culturelle est une richesse, dit-t-on, mais également un piège facile pour les visiteurs peu prévoyants...Ainsi, avant de partir pour le Banairah, vérifiez bien que vous savez parler (plus ou moins, l'important est de savoir se faire comprendre, après tout) une des langues couramment utilisées : tehak, arabe (ou dialecte compréhensible par les locuteurs banairais), éventuellement grec (les lieux de culture et de loisir arriveront à vous trouver des interlocuteurs sans soucis, et les milieux scientifiques et commerçants comptent aussi parmi eux des locuteurs) ou une langue francienne (vous aurez plus de mal, mais vous pourrez trouver des locuteurs dans les lieux fort touristiques et du nord).

  • apprendre sur les us et coutumes : "A Théodosine, fais comme les théodosiens" dit la sagesse populaire...Afin d'éviter les quiproquo et profiter au mieux de votre séjour, il peut être utile (et plaisant) de s'informer sur les mœurs du Banairah. Comme ça, vous saurez directement comment bien vous entendre avec les habitants.

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Simohamed, la ville bleue

Simohamed, ses traditions hautes en couleur, ses fêtes, ses paysages montagneux à couper le souffle

Quoi de plus bleu que la ville bleue ? Simohamed, perchée sur les montagnes de la Chaîne des Mortels, en impressionnerait plus d'un : paysage luxuriant de pays humide, lac de montagne aux proportions record, mines à ciel ouvert dans des paysages lunaires, ... On se croirait dans un autre pays, dirait-on à son guide qui la veille nous aurait fait visiter la capitale ! Comme quoi, la présence d'eau et la venue en territoire montagnard change beaucoup de choses dans l'atmosphère d'un paysage. Et si ce n'était que ça... Si l'on appelle Simohamed "la ville bleue", ce n'est pas pour rien : elle est intégralement construite ou peinte en bleu ! Rues bleues aux pancartes blanches, lanternes bleu marine étincelant dans la nuit au ciel bleu abyssal, voiles bleus se croisant sur les places de marché, maquillage, robes, tissus, on va jusqu'à en colorer les boissons ! Car ici, à Simohamed, on est fier des traditions et du patrimoine régional : le bleu Simohamed. Cette couleur bien particulière est celle d'un minerai présent en abondance dans la région : le carbonate de cuivre. Le carbonate de cuivre (CuCO3) est un pigment bleu qui a été exploité depuis l'Antiquité dans la région pour colorer des textiles, peindre des facades ou se maquiller. Reconnu pour sa qualité et son esthétisme orientalisant, il a rapidement fait le tour des cours afaréennes et eurysiennes. A Novi, on n'hésite pas à acheter à grand prix du bleu Simohamed pour teindre sa toge et montrer sa richesse aux prétendantes et aux rivaux. A Théodosine, on fait de même, et on découvre que le pigment convient aussi pour teinter les murs et embellir les palais de la noblesse. C'est donc une mine d'or pour la bourgade qui peu à peu s'étend et s'enrichit, attirant artistes, bijoutiers, diamantaires et riches négociants. Le commerce bohreïn et leucytaléen amène également des cerveaux qui souhaitent étudier en paix dans un cadre de vie exemplaire, on trouve ainsi les maisons de plusieurs philosophes et mathématiciens helléniques ayant élu domicile au sein de la ville bleue. Aujourd'hui, c'est une ville toujours aussi pleine de vie et qui a su convaincre le jury du Patrimoine Mondial pour son inscription dans le patrimoine matériel culturel.
La ville de Simohamed et sa région se distingue également par son grand lac logé dans le cratère d'un volcan éteint depuis des milliers d'années. Baptisé هبة من الله, ou don de Dieu, son nom fait référence au cadeau que constitue la présence d'eau en grandes quantités en Afarée du Nord. C'est d'ailleurs précisément l'existence de ce volcan éteint qui est à l'origine de l'existence des gisements porphyriques grâce auxquels Simohamed s'est développée. Quant à l'eau, celle-ci a permis la naissance d'une agriculture très productive permettant le soutien d'une population relativement importante. Aujourd'hui, la ressource est étroitement surveillée, et en tant que visiteur, il vous incombe de faire tout autant attention à votre consommation que les habitants...

Comment y accéder ? Vous pouvez vous rendre à Simohamed depuis la côte (Balaya, Sayat via Balaya, Abunaj via Balaya) ou depuis le sud (Al Kara, Sehras, Zagroud via Al Kara) via les lignes de train Nord-Sud du pays.

Comment se déplacer à Simohamed ? Vous pouvez y utiliser votre vélo ou votre voiture, même s'il est conseillé en général de louer un véhicule sur place, et uniquement si besoin afin de faciliter la circulation et garantir le bien-être de chacun. A Simohamed, tout est accessible à pied, et dans le pire des cas, vous pourrez prendre le bus ou le tram.

Se loger à Simohamed : Des maisons de particuliers sont ouvertes par leurs propriétaires aux visiteurs afin que ceux-ci puissent s'intégrer au mieux à la vie locale. On trouve également des hôtels ou des chambres d'hôte. Afin de limiter l'urbanisation croissante dû au tourisme, la ville a pris ses dispositions pour vous offrir le meilleur du logement tout en préservant l'environnement que vous adorez tant : de nombreuses rénovations et restructurations de complexes hôteliers sont en cours afin de vous offrir une demande d'exception finement associé avec le savoir-faire local.

Les commerces : A Simohamed, vous trouverez en plus des magasins de première nécessité des magasins de vêtements de luxe, de bijoux ou encore des restaurants et bars traditionnels vous proposant le meilleur de la table banairaise avec, cerise sur le gâteau, les spécialités régionales : fromages de chèvre aux épices, veloutés fruités, ...


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Qu'emporter au Banairah ?

Peu importe la destination, la question pose toujours problème quand on est face à sa valise ! Qu'est-ce qui est important ? Qu'est-ce qui ne l'est pas ? Eh bien, laissez-nous vous aider à faire vos bagages pour le pays de vos rêves !

  • votre visa/attestation de séjour/etc. Il est obligatoire de garder sur soi ses papiers pour pouvoir entrer dans le pays et y circuler, alors ne les oubliez pas avant de partir !

  • la crème solaire : allons, vous n'alliez pas l'oublier ? Rassurez-vous, vous pourrez en trouver sur place, mais tout de même, assurez vos arrières, il serait bête de se prendre un coup de soleil sur le chemin de la pharmacie...Et détrompez-vous, ce n'est pas parce que vous allez en montagne que vous êtes à l'abri du soleil tapant du désert, bien au contraire ! En altitude, on a tendance à se prendre une belle tartinade.

  • les lunettes de soleil : un passage obligé pour n'importe quelle personne habitant un pays du nord, ou qui est peu habitué aux nombreuses heures d'ensoleillement.

  • des vêtements légers : courts ou longs, les vêtements doivent ne pas vous donner chaud. Avec des températures pouvant atteindre 40°C ou même 50°C, vous pourriez passer un mauvais moment. Dommage avec un si beau paysage autour de vous ! Si vous avez envie, vous pouvez adopter les bons réflexes banairais, et vous couvrir d'un voile et d'une tunique ample : le premier évite les maux de tête et le deuxième fait circuler l'air près de votre peau, une climatisation portative, en somme !

  • une grande gourde : l'être humain est composé à 70% d'eau et doit boire 2L d'eau par jour, c'est bien connu. Evitez de jouer avec les limites de votre corps et assurez-vous de pouvoir rester en bonne santé durant vos aventures !

  • une montre : ça paraît évident, mais c'est important ! Dans le désert, il n'y a pas d'horloge de gare. Ne vous inquiétez pas non plus, si vous participez à une excursion guidée, on s'occupera bien de vous, mais mieux vaut prévenir que guérir.

  • des guides de conversation : au cas où vous auriez des doutes ou tomberiez sur quelqu'un ne vous comprenant pas.

  • vos traitements thérapeutiques : si ceux-ci ne sont pas interdits au sein du pays ou tout simplement lors de l'embarquement, emportez vos traitements. En effet, il vaut mieux vous assurer d'en avoir assez pour la durée de votre séjour, et ce d'autant plus que vos médicaments sont rares ou indispensables à prendre. On peut citer pour exemple les traitements contre l'asthme.

Evidemment, la liste n'est pas exhaustive, et nous vous encourageons vivement à la compléter selon vos besoins. Bon courage et à bientôt au Banairah !

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Safari nomade dans le pays de la Ben Bahè

Safari nomade : paysages à couper le souffle, aventure hors norme et retour aux racines

Marre de la vie citadine ? De rester assis toute la journée devant un écran ? De voir du gris et de respirer des pots d'échappement ? Nous avons le traitement de choc qu'il vous faut ! Loin du tumulte de la ville et au plus proche de l'essentiel, le safari en pays désertique vous fera redécouvrir vos sensations : la vue avec ses couleurs chatoyantes et les paysages monumentaux, la perception du temps : là-bas, pas de rendez-vous, simplement le cycle du jour et de la nuit, mais aussi votre sens de l'aventure et du voyage. Prendre le train, l'avion, le bateau, c'est bien, ça fait gagner du temps sur le trajet, mais c'est encore mieux quand le trajet est le voyage en lui-même ! En renouant avec cette conception enthousiasmante, vous retrouvez dans le safari ce que vous avez toujours aimé en tant que vadrouilleur vétérent : la nouveauté, la randonnée, le défi sportif, le dépaysement. Ici, pas question de passer d'un hôtel à un autre, d'un magasin A à un magasin B. Ici, on profite de son temps, on sent le vent chaud venant du Sah'ra juste pour vous effleurer la peau, on contemple le coucher de soleil, attablé autour du feu de camp. On se détend, on oublie ses impératifs, ses obligations, on embrasse pleinement ce qui nous entoure pour profiter encore plus.
A dos de chameau ou de dromadaire, en tenue adapté pour le grand voyage, vous pourrez suivre les guides locaux des tribus nomades et partager avec eux votre expérience unique. Ils pourront vous montrer la faune locale que vous aurez l'occasion de croiser sur le chemin et que vous pourrez scruter avec vos jumelles. Vous pourrez assister à des mirages et découvrir des oasis, et bien-sûr vous émerveiller sur la diversité des paysages désertiques et semi-arides que vous traverserez. Un safari nomade, c'est aussi l'occasion de découvrir la vie nomade, d'en comprendre les implications, les joies, les difficultés, les pratiques, les savoir-faire... C'est aussi l'occasion de se rappeler que le monde est fragile, et qu'il est important d'en prendre soin. De quoi réfléchir avec les guides que vous croiserez en office de tourisme à Al Kara, à Zagroud, à Sehras et dans les multiples petites villes que vous aurez l'occasion de découvrir durant votre séjour au Banairah. Une expérience seul ou en famille, en espérant te rencontrer sur les routes !

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2020
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Tourisme intellectuel au pays du chiffre arabe

Sorties musée : pour un voyage instructif et passionnant

Si vous êtes plutôt du genre à vous passionner pour les documentaires, la recherche fondamentale en physique et les reconstitutions de plantes préhistoriques, vous voici également au bon endroit ! Haut lieu intellectuel depuis le Moyen-Âge, le Banairah porte en son sein des centaines d'équipes de recherche dévouées et passionnées par leur métier : l'exploration de l'univers par la pensée et l'expérimentation. Chimie, physique, mathématiques, géométrie, biologie, physiologie, Histoire... Le choix est large, et tout autant pour vos études semestrielles ou complètes à Abunaj, Al Kara, Balaya, Zaki al-Pour, Sehras, que pour votre visite touristique digne des férus de connaissances ! Les formules proposées par l'Office du Tourisme se basent sur diverses formes, avec :

  • Les visites madina, où vous choisissez une grande ville connue pour ses multiples centres culturels et musées de la connaissance, et ce selon le cadre que vous souhaitez avoir en vous y baladant, les thèmes que vous préférez (Histoire, Géologie, Biologie, Médecine, Chimie, Arts, ...) ou encore les monuments historiques en rapport avec votre voyage (sites archéologiques, anciens jardins califaux, ...). Adaptées aux courts séjours (week-end, semaine), elles offrent l'avantage de vous donner un large panel sur une courte durée, et ce en toute simplicité grâce aux transports en commun ou encore nos offres de mobilité.

  • Les circuits rakab, où vous pouvez choisir selon vos envies un thème qui vous intrigue et vous intéresse particulièrement. Nous proposons, dans la limite du possible, un vaste choix de musées, observatoires et séminaires à relier en toute facilité avec nos concours et salons périodiques nationaux durant lesquels vous pourrez rencontrer des chercheurs, des enseignants et plus généralement plein d'autres passionnés avec lesquels vous pourrez échanger et en apprendre plus sur votre discipline de prédilection.

  • Les voyages à la carte, ou par région d'intérêt, afin d'associer visites des paysages naturels, des centres historiques et des endroits qui font la science d'aujourd'hui et de demain.
A méditer, et surtout avant de programmer votre voyage ! Pour toute information, n'hésitez pas nous contacter dans notre section d'aide client.

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