23/06/2013
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[POLITIQUE] Rapports officiels au Khasserat

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Rapports officiels au Khasserat


Même si le Khasser possède des pouvoirs limités, il est évident que celui-ci a besoin d'informations précises sur son pays afin de pouvoir proposer des lignes directrices pour le pays et adapter ses interactions à l'international et avec le Qasse en fonction des enjeux mis au jour. Le Khasser a donc accès aux multiples rapports que les Ministères et autres agences lui envoient régulièrement, dont voici quelques-uns sur divers sujets (économie, armée, environnement, ...).
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MINISTERE DES ARMEES
Rapport de fin de mandat sur l'état des forces armées de la République
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Statut : CONFIDENTIEL
Ne pas reproduire, ne pas annoter, ne pas divulger, ne pas emporter, accès restreint aux personnes autorisées

En cette fin de septennat quassenide et khasserane, il est l'heure de dresser l'état des lieux de l'armée banairaise. Les effectifs, le matériel avec sa quantité et sa qualité, les principaux budgets ainsi que les plans à venir sont abordés dans ce rapport.

Une remontée fulgurante du budget de la défense et du Banairah dans les classements mondiaux

Depuis 2004, la République Directe a pu multiplier ses effectifs militaires par plus de 16, passant de 10 000 soldats professionnels à près de 165 000. Ces levées importantes se sont accompagnées d'une montée en gamme de l'équipement de l'infanterie qui peut désormais s'appuyer sur des armes légères et des armes lourdes de meilleure précision et robustesse. L'infanterie, auparavant faiblement motorisée et s'appuyant grandement sur un mix de transports bas coût composé de transports légers, de véhicules tout-terrain et de chameaux, s'est également dotée d'un plus grand nombre de véhicules de transport et de combat, lui permettant ainsi de déplacer environ 14 000 hommes à moteur au maximum de ses capacités.
La reprise des échanges à l'international a été entre autres une cause du réarmement du pays qui a réarmé son aviation et ses forces navales. La première reste relativement ténue avec ses 34 avions de combat tous types confondus, ce qui est déjà moins le cas pour la marine qui compte 13 navires de combat tous types confondus ainsi qu'un total de 7 sous-marins. Ces forces sont a priori suffisantes pour la défense du territoire national, et ce d'autant plus si on compte la puissance des alliés du Banairah, que ce soit du fait des alliances défensives (ONC, Liberalintern) ou des autres pays alliés comme la Cémétie. En revanche, ces effectifs restent trop faibles pour une quelconque intervention de grande ampleur, une éventualité impossible dans un scénario de cavalier seul. En somme, la puissance du Banairah repose encore beaucoup sur celle de ses alliances.

Cela n'enlève en rien le succès du réarmement banairais, le pays ayant réussi en l'espace d'un mandat à rééquiper l'ensemble de ses corps et à les moderniser, rivalisant avec les autres puissances militaires de ce monde en se plaçant à la 8ème place dans le classement lofotène des armées du monde. Il faut toutefois noter que ce classement met particulièrement en valeur les avancées technologiques et les effectifs, deux critères qui avantagent grandement le Banairah qui peut s'appuyer sur un réseau dynamique d'unités de recherche et sur des effectifs importants et bien entraînés. Une prise en compte des moyens matériels réels aurait pour conséquence un classement moins avantageux du pays.

En termes de budget, celui-ci est passé de moins de 1KKBTM en 2004 soit 0.2% du PIB national en cette année à 30KKBTM en 2010 soit 4% du PIB national actuel et 6% du PIB national de 2004 qui a augmenté de 60%. L'augmentation du budget militaire n'est donc pas proportionnelle à la production économique nationale, ce qui est somme toute rassurant du fait du poids que cela représenterait pour l'économie civile, mais est plus importante et non négligeable dans l'absolu.

Une armée majoritairement de terre

Lorsque l'on observe la répartition du poids des effectifs et du matériel sur la production militaire nationale, on se rend vite compte de l'importance de l'armée de terre dans les dépenses du Ministère de la Défense. En effet, l'entretien et l'équipement de base des soldats banairais constitue à lui seul la moitié du budget national de l'armement en termes de coûts d'entretien, une proportion gigantesque lorsque l'on se rappelle de la faible motorisation de l'infanterie qui est motorisée à moins de 10%.

Répartition des coûts d'entretien du matériel et des effectifs du Banairah (chiffres : Ministère des Armées, 11/2010)
Répartition des coûts d'entretien du matériel et des effectifs du Banairah (chiffres : Ministère des Armées, 11/2010)

Les transports de troupes et autres véhicules d'appui et de combat prennent avec l'artillerie 25% du budget d'entretien, puis viennent ensuite l'aviation et la marine qui prennent chacun un huitième du budget. Au total, l'armée de terre prend donc 75% du budget alloué à l'entretien de l'armée banairaise dans son ensemble. Cela correspond à un besoin de sécurité nationale, une sécurité qui passe en premier lieu par les garnisons et des effectifs conséquents en cas d'attaque, étant donné la longueur des frontières banairaises (environ 6700 km de frontières terrestres au bas-mot, soit un peu moins que 2,5 fois la distance entre Héraclée (Cémétie) et Abunaj pour donner un exemple), mais également à une tradition bien ancrée que nous avons ainsi perpétué, à savoir celle d'effectifs humains importants basés sur l'importance de l'engagement citoyen dans l'armée.

Il est clair en tout cas que le Banairah est loin d'être une thalassocratie malgré son important trait de côte (vers les 4400km de rivage). Grande puissance maritime, la Cémétie compte 44 navires de guerre et 17 sous-marins, des effectifs bien supérieurs à ceux du Banairah, et le Lofoten possède un nombre comparable de vaissaux (à celui du Banairah) mais deux fois plus de sous-marins. De manière générale, le Banairah reste correctement placé dans les puissances maritimes qui souvent possèdent une vingtaine de vaisseaux et de sous-marins, mais ces ordres de grandeur doivent être pris avec précaution, la nature et la génération des bâtiments jouant un grand rôle dans la puissance d'une marine.

L'aviation banairaise, au contraire, ne bénéficie pas d'un classement aussi positif, et figure parmi les plus petites aviations du monde en l'état actuel, si l'on se fie aux renseignements que le Ministère a à sa disposition : comparé à son rang dans l'économie mondiale et son classement de puissance militaire d'envergure, le Banairah possède une aviation bien moindre au reste du classement qui possède entre 50 et 500 appareils, des ordres de grandeur deux fois plus importants si l'on se focalise sur les puissances de même rang (à comparer avec la vingtaine d'appareils banairais).

Enfin, pour ce qui est de la capacité de projection, celle-ci est de quelques centaines d'hommes navalement parlant et d'un peu plus qu'un millier en aéroporté, ce qui est un bon début et pourrait permettre des opérations de maintien de l'ordre à l'international, mais reste insuffisant à lui seul dans le cadre d'une offensive en territoire étranger, un événement à éviter mais qui se doit d'être préparé en cas de besoin.

Pistes pour l'avenir et le mandat suivant

Comme à l'accoutumée, il est de prime importance que d'assurer la transition gouvernementale, et ce y compris sur le sujet de la défense. Voici nos recommandations pour les années à venir :
  • Continuer la motorisation de l'armée régulière
  • Massifier l'aviation, notamment défensive via des avions de chasse, et planifier la construction d'un porte-avions pour pouvoir sécuriser l'ensemble de la région est-afaréenne en cas de conflit régional ou mondial
  • Commander un nombre plus important de navires de guerre et de soutien afin de maintenir la supériorité du pays sur l'espace bohreïn
  • Poursuivre les programmes de recherche en cours, notamment aériens, afin d'investir dans des modèles longue durée

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MINISTERE DE L'ENERGIE
Rapport de fin de mandat sur la politique énergétique de la République, ses résultats et son avenir
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Statut : CONFIDENTIEL
Ne pas reproduire, ne pas annoter, ne pas divulger, ne pas emporter, accès restreint aux personnes autorisées

En cette fin de septennat quassenide et khasserane, il est nécessaire, et de coutume, de faire un état des lieux de la production, de l'importation et de l'utilisation d'énergie au Banairah. Dans ce rapport seront discutées la nature des sources d'énergie utilisées, leurs ordres de grandeur, leur efficacité, leurs utilisations diverses et variées et plus généralement l'avenir de la filière et du pays concernant ce point crucial de notre économie.

Une production pétrolière ancrée vectrice de diversification

La production pétrolière au Banairah a commencé dès les années 1960, mais était resté cantonnée au marché national et à un rythme de production relativement faible destiné à l'alimentation des transports et à palier aux insuffisances énergétiques éventuelles. La production de grande ampleur débute avec les projets de relance de la compétitivité banairaise dans les années 1990-2000. Le pays souffre alors de retards technologiques importants du fait d'avancées fulgurantes dans certains pays novices mais à l'économie écrasante, comme Fortuna ou l'Alguarana, mais aussi du fait de problèmes politiques et économiques internes. La montée en puissance de l'extraction pétrolière est donc conçue comme une solution court-moyen terme afin de réinvestir dans la recherche scientifique et technique, dans l'espoir d'un retour d'investissement via une économie d'exportation de produits finis industriels de haute précision. Ainsi, l'industrie automobile est relancée et remise à niveau tandis que les secteurs pharmaceutiques et médicaux traditionnels s'ouvrent de nouveaux marchés grâce à des produits phares innovants. Dans les années 2000, la réouverture à l'international des chancelleries et l'interconnexion progressive des économies offre au Banairah un nouveau secteur d'investissement : les compagnies de fret et de négoce, mais qui demandent également un grand apport en ressources pétrolières. Le secteur de la marine reprend son essor alors qu'il s'était rétréci au cours des décennies précédentes du fait de l'écrasante concurrence fortunéenne. L'augmentation de la demande volera pour ainsi dire au secours d'un secteur mourant mais pourtant stratégique pour notre pays mi terrestre, mi maritime; l'appel d'air est assez puissant pour se contenter d'entreprises moins fournies et expertes en la matière. Dès lors, la demande en pétrole n'a jamais baissé, bien au contraire, poussant le Banairah à atteindre une production de près de dix millions de barils par jour (9 400 000 b/j attendus pour le total de l'année 2011 en se basant sur une production stable). Non seulement pour l'exportation, vers le Jashuria et le Novigrad notamment, mais également pour la consommation nationale, qui en grande partie est encore majoritairement constitué du secteur des transports et du fret (voitures domestiques, camions de transport, bateaux cargo et autres bâtiments), les secteurs industriels passant après. Du fait de l'importance des rentes pétrolières gagnées grâce à l'exportation à l'international, un plan de conversion et d'économie de la ressource fut présenté par le Ministère de l'Energie au début des années 1990, posant les bases de la baisse de la consommation interne pour favoriser une rentabilité maximale au long terme via l'exportation, ce plan venant s'ajouter aux politiques de régulation de la production afin d'atteindre l'optimum de rentabilité. Le but est donc d'améliorer l'efficacité des moteurs utilisés à moyen terme et de réduire l'utilisation des transports individuels, une manœuvre risquée économiquement et qui pourrait menacer l'industrie automobile si cette dernière ne s'adapte pas. Des investissements de masse ont donc été réfléchi avec le Ministère de l'Economie et des Transports ainsi que le Ministère de la Recherche et de l'Education au sein du Qasse et d'un colloque organisé par ce dernier. Grâce au Fonds Souverain De Transition, ouvert en 1978 à la suite des révoltes contre les consortiums clientélistes pétroliers, le Qasse a pu successivement financer via les intérêts générés par le fonds une remise à niveau des industries du pays (pharmaceutique, transports, médecine, outillages spécialisés, informatique, ...) ayant pour but de diversifier de force l'économie banairaise profondément touchée par sa période d'économie rentière, puis la recherche de technologies innovantes assurant la transition énergétique à court-moyen terme. A la clé, un gain en croissance économique très important, propulsant le pays aux 500 milliards de PIB en 2004, et une meilleure répartition des pouvoirs économiques et de l'influence au sein de la société. Il n'est donc pas exagéré de dire que la crise économique et politique de 1977 a été un mal pour un bien, et que ses acquis nous ont permis aujourd'hui de bénéficier d'un système bien plus consensuel, égalitaire, démocratique et de long-terme. Le Fonds Souverain de Transition (FST), dont le capital est par définition intouchable, non voué à l'utilisation, fait partie des mesures qui ont permis de ne pas laisser l'économie banairaise entre les mains des fluctuations du marché des ressources pétrolières. Son capital s'élève désormais à 950 milliards de Bilats d'or, ce qui fait du Fonds un des plus importants au monde. Grâce à ce dernier, des secteurs entiers de recherche sont désormais à la pointe, comme par exemple le matériel médical, les produits pharmaceutiques ou encore le secteur des transports, qui totalisent une grande part des exportations du Banairah. D'autres secteurs attenants, comme les biotechnologies, l'aquaculture, l'industrie chimique, informatique et les aciéries, sont également bien classés au niveau mondial.
L'exportation de pétrole et de ses produits dérivés (plastiques non recyclés, matériaux de construction dont bitumes, carburants, pétrole raffiné, ...) tient aujourd'hui pour 50% des exportations, un chiffre qui a récemment baissé avec l'ouverture au marché de plusieurs nouveaux pays exportateurs tels que le Farisistan et le Rasken, et qui est encore amené à baisser. En effet, du fait d'une hausse de l'offre, une baisse de la production est en œuvre, le nombre de 9 millions de barils extraits par jour n'étant plus à l'ordre du jour, et devant baisser à 8 millions de barils afin de suivre le programme de planification de la transition énergétique que nous proposons ici-même, au sein de ce rapport officiel, après concertation ministérielle et avec accord des assemblées de la nation, et de garder une haute rentabilité d'exportation. Cette baisse du prix sur les marchés internationaux, si elle semble à première vue défavorable à nos intérêts, y concourt, au contraire, bénéfiquement : elle justifie politiquement et économiquement notre transition énergétique, nous oriente vers une exploitation plus mesurée de nos ressources pour un gain économique comparable, augmente la durée de vie de nos puits, et nous permet de rediriger une partie du personnel de l'industrie pétrolière vers celle de la géothermie déjà présente sur notre sol et actuellement en plein essor. De cet état de fait, la recherche dans le secteur des énergies renouvelables et dans des secteurs à haute valeur ajoutée est hautement compétitrice et attire des financements importants de la part des régions, des communes et des individus, et participe de ce fait à une stabilisation et à une croissance économique supplémentaire dans un court-moyen terme.

Un bilan énergétique largement positif et en évolution

Le Banairah est souvent qualifié de puissance énergétique depuis les années 1990, et peut se vanter depuis de s'être débarrassé d'une grande partie de la variabilité de son économie du fait du marché international des ressources. Le développement d'infrastructures en collaboration avec plusieurs pays de l'ONC, notamment le Novigrad (la dite "nouvelle route de l'encens") et le Jashuria (le "collier de perles" de Destanh), a sécurisé les exportations vers les états-clients de confiance et atténué les aléas de ce secteur tout en gagnant en légitimité sur les marchés. Les pourparlers avec le Milouxitania sont également une piste sérieuse de recherche de nouveaux acheteurs, non seulement en produits pétroliers, dont l'exportation plus diversifiée peut permettre de régulariser les variations de consommation en cas de crise, mais aussi de produits reliés, comme l'automobile dont les modèles moins énergivores constituent un véritable avantage pour le commerce d'exportation, puisqu'ils apportent des devises étrangères en grande quantité et financeront les changements de paradigme à venir, comme la sortie progressive du pétrole, une démarche nécessaire à la fois pour répondre aux exigences climatiques -et gagner de ce fait en respectabilité et en autorité sur le sujet sur la scène internationale, et ainsi conserver notre position de grande puissance scientifique et de régime modèle- mais aussi prévoir les baisses de production nationale et les crises à venir dans le domaine des transports, et in fine, des exportations, sur lesquelles se base essentiellement notre économie avec la vente de services de conseils, un enjeu donc bien plus important que le secteur pétrolier en lui-même. De toute évidence, il y aura des oppositions à cette prise de cap, les cartes de la diversification des rentrées d'argent et du prestige intellectuel et technique devront donc être jouées.

Le bilan énergétique en cette année 2011 enregistre plusieurs résultats probants, notamment par rapport aux années précédentes :
  • Une augmentation de la part des énergies renouvelables (solaire, éolien, géothermie, hydraulique, biomasse) de 8% par rapport à 2010 venant de la géothermie (5%, soit 700MW correspondant aux 15 centrales géothermiques à haut rendement aux chantiers récemment achevés) et de l'énergie solaire thermique (3%, soit 420 MW déployé du fait de nouvelles installations)
  • Une production pétrolière à haut rendement grâce au bon pilotage

Pistes pour l'avenir et le mandat suivant :

Il va sans dire que la démarche de diversification des rentrées énergétiques est à poursuivre, tout comme l'augmentation en volume de production des énergies renouvelables. La bonne exposition aux rayons solaires, l'abondance des sites propres à la géothermie et l'accès à la mer et ses courants sont tout autant d'avantages à utiliser autant que faire se peut. La piste du biogaz, quant à elle, semble pour l'instant réduite, du fait de la concurrence avec l'utilisation des biodéchets agricoles et -en partie seulement- ménagers, mais peut aider ponctuellement au sein des régions, et peut se coupler avec le fonctionnement normal des usines de traitement de l'eau et des effluents industriels (boues d'épuration, restes de l'industrie agro-alimentaire et textile), une ressource encore trop peu exploitée. A terme, cette source d'énergie pourrait représenter dans les 2% à 3% de la consommation nationale. La gestion des déchets de l'industrie de la pêche pourrait être également revue afin d'utiliser cette source de carbone (1/3 du poids total de la masse totale pêchée) lorsque celle-ci est impropre au compostage ou à l'épandage en champ. Néanmoins, il faut rappeler que cette source ne peut en aucun cas être utilisée seule.
Au delà de l'extension et la diversification des sources énergétiques, la sobriété doit être de mise avec l'optimisation de l'intégralité du tissu industriel qui, dans de larges proportions, est loin du maximum d'efficacité : un programme de mise en synergie des différents corps des installations industrielles selon les secteurs voire entre les usines d'un même site doit être prévu dès le début du prochain mandat, que ce soit via le concours des Ministères et Co-ministériats ou via celui des Benbhè voire des Instituts de Recherche et de leurs représentants d'études, dans le même esprit que celui de la réduction continue de la consommation en eau que nous poursuivons depuis plusieurs décennies. Parmi les exemples typiques de réutilisation :

-le chauffage de communes avoisinantes lors des périodes critiques et la nuit via la captation de la chaleur des métallurgies, usines de déshydratation, ...
-la réutilisation des fluides chauds de sortie des process pour le chauffage des fluides froids (usines de déshydratation du lait, ...)
-une mise à jour de la réglementation en vigueur afin d'avantager le renouvellement des équipements en faveur de modèles moins consommateurs

Certaines de ces mesures ont déjà été appliquées au niveau local avant d'être par endroits abandonné du fait de leur faible rentabilité. Néanmoins, une politique pro-active et une valorisation de l'indépendance énergétique à long terme peuvent aider les acteurs locaux à réemployer ces moyens.


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