08/08/2013
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Personnalités importante du Royaume D'Esmea

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17201
Le Hall de La Royauté


Les souverains

hall du palais

Shenna Stargray (le premier)(1892- 1903):
portrait
Shenna Stargray est né le 13 mars 1875 dans des circonstances entourées de mystère, ses parents et sa famille restant inconnus. Il porte le nom de famille d'un ancien pieux musulman, Aeron Stargray célèbre pour avoir joué un rôle déterminant dans l'évolution économique de la région du sud il y a environ 80 ans. Ce nom de famille confère à Shenna une aura d'héritage et de responsabilité envers son peuple.
Dès le début de son règne et la fondation du royaume en 1892, Shenna Stargray s'est efforcé de réunir les trois régions en conflit, Carva dans le sud, Esmea au centre et Iondalbon au nord. Conscient des différences culturelles et des tensions qui existaient entre ces régions, il a entrepris des actions diplomatiques habiles pour promouvoir la réconciliation.
L'une des réalisations marquantes de Shenna a été la création de lois basée sur la sharia musulmanes et royales qui ont renforcé l'unité et la stabilité du Royaume Stargray Islamique d'Esmea. Ces lois ont été élaborées en tenant compte des coutumes et des valeurs de chaque région, tout en instaurant un système juridique équitable et juste pour l'ensemble du royaume en laissant a chaque une la liberté de décrire leurs propres lois mineurs.
Par des politiques judicieuses et une diplomatie avisée, Shenna Stargray a réussi à atténuer les tensions et les conflits entre les régions. Il a encouragé les échanges culturels, économiques et éducatifs entre Carva, Esmea et Iondalbon, créant ainsi des liens plus forts et une compréhension mutuelle entre les habitants de ces régions.
Le mariage de Shenna avec Rhaella Almina en 1893 a également contribué à consolider son règne puisque c'est la fille du gouverneur du sud. Rhaella était une femme intelligente et respectée, qui a joué un rôle important en tant que reine, soutenant les réformes de son mari et s'engageant activement dans des œuvres de rééducation et d'apprentissage pour la nouvelle génération du peuple.
Leur fils, Adil, est né le 2 février 1903, symbolisant l'espoir et la continuité de la dynastie. Malheureusement, le règne de Shenna Stargray a été interrompu brusquement par sa mort d'un maladie fiévreuse en décembre 1903, laissant derrière lui un héritage de réformes et de stabilité.
Bien que son règne ait été relativement court, Shenna Stargray restera dans l'histoire comme le premier roi du Royaume Stargray Islamique d'Esmea. Sa vision politique et sa capacité à unir des régions autrefois divisées ont laissé une marque indélébile sur le royaume, jetant les bases d'une nation plus forte et plus unie.
Son héritage perdure à travers les réformes qu'il a instaurées, les liens culturels qu'il a renforcés et l'exemple de leadership éclairé qu'il a fourni. Shenna Stargray demeure une figure respectée et admirée, qui a laissé une empreinte durable dans l'histoire du royaume.
hall principale

Adil STARGRAY (le patient)( 1903-1981):
Adil Deuil
Adil Stargray, le fils de Shenna Stargray et Rhaella Almina, est né le 12 février 1989. Dès son plus jeune âge, Adil a développé une profonde dévotion envers l'Islam, et il a accordé une grande importance à la religion tout au long de son règne.
Lorsqu'il a accédé au trône à la mort de son père en décembre 1903 à même pas 5 ans nul ne se doute qu'il achèvera le plus long règne du royaume, Adil a continué à poursuivre les réformes religieuses et royales initiées par son prédécesseur. Sous son règne, il a mis en place plusieurs réformes religieuses visant à renforcer la piété et la moralité au sein du Royaume Stargray Islamique d'Esmea.
Parmi ses réformes religieuses les plus notables, Adil a encouragé l'éducation religieuse en établissant des écoles coraniques dans tout le royaume. Il a également soutenu la construction de mosquées et l'expansion des institutions religieuses pour promouvoir la pratique de l'Islam et la compréhension de ses principes fondamentaux.
Sur le plan royal, Adil a instauré des réformes administratives pour améliorer l'efficacité du gouvernement et garantir une gouvernance juste et équitable. Il a renforcé l'appareil judiciaire en introduisant des lois qui protégeaient les droits des citoyens, tout en préservant les valeurs islamiques du royaume.
En septembre 1920, Adil s'est marié avec Haniya Anjiya, une femme noble connue pour son soutien à la cause de l'Islam. Leur mariage a été marqué par une profonde harmonie et une complicité mutuelle. En 1922, Haniya a donné naissance à leur fils, Arrel Stargray, qui était destiné à devenir l'héritier du trône.
Cependant, le bonheur familial a été éclipsé par la tragédie lorsque Haniya Anjiya est décédée le 17 juin 1932, seulement quelques jours après la naissance du deuxième fils d'Adil, Hamid Stargray. Ce décès a profondément affecté Adil, le palais et le royaume tout entier, plongeant l'atmosphère dans une période de deuil, de confusion et de tension sur la raison de la mort de la jeune si jeune lors d'un simple entrainement de cheval.
En juin 1938, Adil a épousé Jumana Aagaard, une union qui a été accueillie avec encore plus de réserve par certains membres de la cour qui été rentrer en froid a l'arriver de la famille Aagaard et une partie de la population a cause de leurs passés esclavagiste. Les tensions au sein du palais ont créé des dissensions, ce qui a eu des conséquences sur la stabilité du royaume pendant un certain temps.
En 1939, la fille d'Adil, Aicha Stargray, est née, apportant une lueur d'espoir et de bonheur au sein de la famille royale. Malheureusement, le destin a continué d'éprouver Adil alors qu'environ en 1949, son fils aîné, Arrel Stargray, est décédé, a ce moment la le palais n'a pas communiquer sur le fait que c'etait un homicide et le coupable devait clairement être un assassin envoyer de Jumana même si aucune preuve existe, plongeant la famille dans une nouvelle période de deuil et de conflit.
En dépit des épreuves, la famille royale a continué de s'agrandir avec la naissance de la fille Hayate Stargray. En 1957, le fils d'Adil, Hamid, s'est marié avec Sisr Asfrid, consolidant ainsi les alliances entre les familles royales et son droit a hériter de la couronne.
Malheureusement, la tragédie a frappé à nouveau lorsque la fille de Adil, Fatima Stargray, est décédée environ en 1961, ce qui a engendré des tensions supplémentaires au sein de la cour. Les querelles sur la succession et l'influence sur le roi ont éclaté, rendant la situation politique et sociale plus instable.
Enfin, la fille d'Adil, Aicha Stargray, s'est mariée avec Durwood Varoda, scellant ainsi une alliance entre la famille royale et une autre lignée noble. Cependant, le règne d'Adil a pris fin avec sa mort en 1981, laissant derrière lui un héritier désigné pour prendre la relève.
L'héritier de la couronne était son fils, Hamid Stargray, qui, malgré les épreuves et les perturbations qui ont marqué sa jeunesse, est devenu un homme respecté et prêt à prendre la responsabilité de diriger le Royaume Stargray Islamique d'Esmea vers de nouveaux horizons. (c'est ce qu'ils croyaient)

hall arrière

Hamid STARGRAY (le feux) ( 1981-2003):
Hamid Stargray, fils aîné d'Adil Stargray et héritier désigné du trône du Royaume Stargray Islamique d'Esmea, est né le 15 juin 1932. Son rôle d'héritier présomptif l'a placé au centre d'un conflit de succession avec Lael Stargray, le fils d'Arrel Stargray et Kenza Oldelhejm, en raison de l'argument selon lequel Lael était le fils aîné du fils aîné du roi.
Le conflit de succession entre Hamid et Lael a engendré des débats intenses au sein de la famille royale et de la société. Les partisans de Hamid soutenaient qu'il avait le droit légitime de succéder au trône en tant que fils aîné du roi régnant, tandis que les partisans de Lael défendaient sa prétention en se basant sur l'argument de l'aînesse dans la lignée directe.
Il est difficile de déterminer qui avait tort ou raison dans cette querelle de succession, car cela dépendait des interprétations des coutumes et des règles de succession au sein de la famille royale. Finalement, le conflit s'est résolu en faveur de Hamid, qui a été officiellement reconnu comme héritier légitime du trône.( grâce a la manipulation de plusieurs parti en particulier Islamique).
Dés son accession au trône il modifie les lois sur la succession et l'héritage. La personnalité de Hamid était fortement marquée par sa piété religieuse, souvent poussée à l'extrême. Son extrême conservatisme et son zèle religieux ont eu des conséquences importantes sur le royaume. Il a initié une guerre contre les tribus du désert non converties, ce qui a suscité la colère de nombreux groupes et a entraîné un isolement du royaume vis-à-vis des autres nations.
Malgré ses intentions pieuses, les politiques radicales de Hamid ont provoqué des divisions au sein du royaume et des tensions avec d'autres pays. Son conservatisme exacerbé a également restreint les libertés individuelles et le progrès social au sein du royaume, suscitant des critiques de la part des réformistes et des progressistes.
En 1957, Hamid s'est marié avec Sisr Asfrid, formant une union qui visait à renforcer les liens dynastiques. Le couple a eu trois enfants : Vikar Stargray, né le 11 mars 1958, Laila Stargray, née le 17 septembre 1964 (surnommée "la joie du royaume" en raison de sa personnalité joyeuse et de sa capacité à rassembler les gens), et Yell Stargray, né le 29 septembre 1966.
La montée en puissance de Yell Stargray a suscité des préoccupations parmi certains membres de la famille royale et de l'entourage politique. Son mariage en 1987 avec Dalla Starfist, une union potentiellement influente, a alimenté les spéculations et les inquiétudes quant à l'avenir du royaume. (Starfist ayant des revendication sur le trône d'Esmea en plus de celui d'un royaume étranger)
La mort de Hamid Stargray en 2003 a été entourée de mystère, car la raison exacte de son décès a été tenue secrète par le palais royal. Cette dissimulation a suscité des rumeurs et des conjectures au sein de la société et a généré un climat d'incertitude quant à l'avenir du royaume. (surement empoisonné )
Quant à son héritier, la lignée de succession aurait probablement été transmise à son fils aîné, Vikar Stargray, conformément aux coutumes royales. Cependant, les détails précis de la succession et des conséquences politiques qui ont suivi la mort de Hamid Stargray nécessiteraient une analyse plus approfondie des circonstances politiques et des lois de succession en vigueur dans le royaume.
Laila stargray la joie du royaume

Vikar STARGRAY (2003-present):
Vikar Stargray, fils aîné de Hamid Stargray et héritier désigné du trône du Royaume Stargray Islamique d'Esmea, est né le 11 mars 1958. Dès son plus jeune âge, Vikar a été élevé dans la piété et a accordé une grande importance à sa foi religieuse, tout comme son père. Cependant, il avait également une vision plus ouverte et moderne quant à la façon dont la religion pouvait coexister avec le progrès social et les relations internationales.
Lorsqu'il a accédé au trône à la mort de son père en 2003, Vikar a pris conscience des tensions et des divisions causées par les politiques radicales de Hamid. Il a rapidement cherché à réparer les relations avec les tribus et d'autres pays et à mettre en place des réformes qui réconcilieraient les idéaux religieux avec une approche plus moderne.
L'une des réformes majeures entreprises par Vikar a été de promouvoir le dialogue interculturelle et la compréhension mutuelle. Il a encouragé des rencontres entre des leaders religieux de différentes confessions, cherchant à construire des ponts et à promouvoir la vrai religion au sein du royaume.
En matière de droits de la femme, Vikar a entrepris des réformes visant à améliorer encore plus leur statut et leur rôle dans la société. Il a soutenu l'éducation des femmes et leur participation active dans différents domaines, y compris les affaires.
Sur le plan international, Vikar a cherché à renforcer les relations diplomatiques avec d'autres pays. Il a favorisé les échanges culturels, économiques et éducatifs, créant ainsi des liens plus étroits et une meilleure compréhension mutuelle entre le Royaume Stargray Islamique d'Esmea et les nations étrangères. Ces efforts ont contribué à briser l'isolement du royaume et à renforcer sa position sur la scène mondiale.
En 1989, Vikar s'est marié avec Alaia Varoda, qui nulle autre que la dernière descendante de la ligné de la deuxième femme du roi Adil, Jumana. Leur mariage symbolisait donc une alliance entre les familles royales, renforçant ainsi les liens dynastiques. Malheureusement, le bonheur conjugal a été de courte durée, car Alaia est décédée le 1er avril 1991, juste un jour après la naissance de leur fille, Freydja Stargray, d'une hémorragie post accouchement.
Le décès tragique d'Alaia a profondément affecté Vikar, mais il a trouvé du réconfort et de la force en élevant sa fille Freydja. Il avait une relation très intime avec elle et la considérait comme son héritière, bien qu'il ne l'ait pas officiellement déclarée. Cette situation a créé des tensions au sein du palais royal, car certains membres soutenaient Freydja comme future dirigeante, tandis que d'autres appuyaient Yell, le frère cadet de Vikar, qui revendiquait également le trône.
Depuis janvier 2010, la santé de Vikar Stargray se détériore, le laissant dans un état critique. Freydja, sa fille bien-aimée, prend sa place au conseil, a l'assemblé, sur le trône mais surtout au chevet de son père. C'est une épreuve difficile pour elle, car elle assiste impuissante à la souffrance de son père bien-aimé, et la perspective de perdre un être cher la tourmente.
Cependant, la présence constante de Freydja au chevet de Vikar suscite des inquiétudes et des soupçons parmi certains membres de la cour et du gouvernement. Dalla, la femme de Yell et membre influent du clan rival, profite de l'occasion pour exercer une surveillance étroite sur Freydja. Dalla est connue pour son esprit calculateur et manipulateur, et sa présence autour de Freydja alimente les rumeurs et les méfiances au sein du palais.
Les relations entre Freydja et Dalla sont tendues, empreintes d'une rivalité sourde. Dalla, surnommée "la vipère" ou "la sorcière" par certains au palais, est jalouse de l'affection que Vikar porte à sa fille et voit en Freydja une menace pour les aspirations de son propre mari à accéder au pouvoir. Elle cherche donc à contrôler et influencer Freydja, afin de s'assurer que le pouvoir et l'héritage restent entre les mains de son clan.
Ces tensions et rivalités exacerbées ont des conséquences significatives au sein du royaume musulman. Le royaume est profondément conservateur et traditionnel, attaché aux normes strictes de la société. L'idée d'une femme héritant du trône est une source de controverse et de contestation parmi les membres de la cour et la population.
Certains conservateurs religieux (parti conservateur et parti islamique) critiquent ouvertement l'idée de Freydja en tant qu'héritière, arguant que cela va à l'encontre des principes et des traditions islamiques. Ils remettent en question la capacité d'une femme à gouverner efficacement et mettent en doute la légitimité de sa succession.
Les tensions croissantes entre les partisans de Freydja et ceux de Yell, soutenus par Dalla, créent une division profonde au sein du royaume. Les rivalités claniques et politiques s'intensifient, menaçant l'unité et la stabilité du pays.
La gravité de la situation réside dans le fait que le royaume musulman est confronté à un dilemme crucial. D'un côté, la succession de Freydja remet en question les normes de genre et les traditions établies. D'un autre côté, il est essentiel de maintenir l'unité et la continuité du pouvoir dans un moment aussi critique pour le pays.

L'héritier du trône après la mort de Vikar:
Selon les lois de succession en vigueur dans le Royaume Stargray Islamique d'Esmea, l'héritier direct de Vikar Stargray serait normalement son fils aîné, si Vikar en avait un. Cependant, dans ce cas précis, Vikar n'a pas de fils, mais une fille unique, Freydja. Par conséquent, en l'absence d'un fils pour hériter du trône, Freydja serait la candidate la plus légitime pour succéder à son père à sa mort.
Cependant, compte tenu des tensions et des rivalités politiques existantes, ainsi que des résistances conservatrices au sein du royaume, l'accession de Freydja au trône pourrait rencontrer de nombreux obstacles et oppositions. Certains membres de la cour et de la population pourraient contester sa légitimité en tant que dirigeante en raison de son genre et remettre en question sa capacité à gouverner efficacement.
Le sort de l'héritage de Vikar et du trône dépendra donc des circonstances politiques et des décisions qui seront prises lors de la transition du pouvoir. Des négociations, des alliances et des compromis pourraient jouer un rôle crucial dans la détermination du futur dirigeant du royaume, en tenant compte à la fois des aspirations de Freydja et des intérêts des autres clans et factions politiques.
Freydja
L'héritière Freydja STARGRAY:

Freydja Stargray, fille unique du roi Vikar Stargray, est une figure centrale dans le contexte politique actuel du Royaume Stargray Islamique d'Esmea. Elle reflète les défis et les responsabilités auxquels elle est confrontée en tant qu'héritière potentielle du trône dans un royaume musulman marqué par des traditions et des normes rigides.
Depuis janvier 2010, Freydja a été constamment présente au chevet de son père mourant. Elle a veillé sur lui avec dévotion, démontrant sa loyauté envers sa famille et son attachement à ses devoirs royaux. Pendant cette période, elle a également été sous la surveillance de Dalla, la femme de Yell, qui a été désignée pour veiller sur elle et garantir le respect des règles et des protocoles. Cependant, en raison des croyances culturelles et religieuses prédominantes dans le royaume, l'ascension de Freydja au trône suscite des inquiétudes et des résistances. Certains membres conservateurs de la cour et de la population pourraient remettre en question sa capacité à diriger en raison de son genre, doutant de sa capacité à prendre des décisions politiques cruciales et à maintenir l'équilibre entre les divers intérêts du royaume.
Freydja, consciente des défis qui l'attendent, a cherché à se préparer au mieux pour assumer ses responsabilités. Elle a acquis une solide éducation politique, s'est familiarisée avec les affaires du royaume et a cherché à établir des alliances et des relations diplomatiques avec d'autres factions clés.
Yell
L'héritier Yell STARGRAY:
Yell Stargray, époux de Dalla et membre influent de la cour royale et ministre du Royaume Stargray Islamique d'Esmea, joue un rôle essentiel dans la dynamique politique de ce royaume. Yell, homme de stature imposante et doté d'un charisme naturel, est reconnu pour sa sagesse et son sens aigu des responsabilités. Il a consacré une grande partie de sa vie à servir le royaume et la famille royale, tant en tant que ministre que comme protecteur dévoué de son frère le roi.
Cependant, Yell est également conscient des enjeux politiques et des tensions au sein de la cour. Il est perçu par certains comme un homme pragmatique, capable de manœuvrer habilement dans les arcanes du pouvoir. Sa réputation d'homme fort et influent lui confère une position enviable, mais aussi de nombreuses responsabilités.
Au fil des années, Yell a forgé des alliances et tissé des liens avec des factions clés du royaume, consolidant ainsi sa position et son influence au sein de la cour. Sa voix est respectée et écoutée lors des prises de décision importantes, et son expertise politique est souvent sollicitée pour résoudre les conflits internes. Dans le contexte actuel du royaume musulman d'Esmea, Yell joue un rôle crucial en tant que soutien et conseiller de sa femme, Dalla, dans sa mission de garder à l'œil Freydja et de préserver les traditions et les valeurs du royaume. Son influence politique et son expertise sont des atouts précieux pour la stabilité du royaume et pour guider le futur de la nation.
Personnalités publiques


Zahra Al-Faisal (modéliste)
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Zahra Al-Faisal est perse mais surtout une icône de la mode renommée, née le 15 mai 1975 à Sherra, au sein du Royaume Stargray Islamique d'Esmea. Elle a acquis une renommée nationale en tant que créatrice de mode, établissant ainsi sa place dans l'industrie controverser de la mode de son pays natal.

Zahra a découvert sa passion pour la mode dès son plus jeune âge. Inspirée par les riches traditions et la diversité culturelle de son royaume, elle a commencé à créer ses propres vêtements et à expérimenter avec les tissus, les couleurs et les motifs traditionnels. Son talent créatif et son sens inné du style ont rapidement attiré l'attention de son entourage et de ses pairs.

Après avoir terminé ses études secondaires, Zahra a décidé de poursuivre sa passion pour la mode en s'inscrivant à l'Académie des Arts de la Mode de Syenas. Elle a suivi un programme de design de mode complet, où elle a développé ses compétences techniques, affiné son esthétique et appris les tenants et aboutissants de l'industrie de la mode.
Ses créations allient subtilement les influences traditionnelles du Royaume d'Esmea avec des éléments modernes et contemporains, créant ainsi un style unique et reconnaissable. Ses collections se caractérisent par des coupes élégantes, des tissus luxueux et des motifs raffinés, ce qui a valu à Zahra une réputation d'excellence et d'innovation dans l'industrie de la mode.

Au fil des ans, Zahra a été invitée à présenter ses collections lors de défilés de mode royaux prestigieux au sein même du palais. Le plus marquant c'est que ses créations ont été portées par des princesses, princes, rois, reines lors de marriages royaux et de couronnement. Sa tenue la plus marquante est celle qu'a porter la princesse Freydja lors de l'inoubliable mariages de Khadija Stargray consolidant ainsi sa position en tant que créatrice de mode de premier plan bien que plusieurs de ses projets soient controverser et critiquer.
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Collection royaux:
robe mariage Khadija robe Freydja collection royales


Alaia VARODA (reine)
portrait et logo association

Alaia Varoda (née le 5 juillet 1965 - décédée le 1er avril 1991) était une femme noble du Royaume Stargray Islamique d'Esmea, dont la vie fut marquée par son mariage avec Vikar Stargray, l'héritier du trône, et par son engagement en faveur du développement culturel et social de son pays.

Alaia Varoda est née au sein d'une famille aristocratique, connue pour son attachement aux valeurs traditionnelles et à la pratique de la religion islamique. Dès son jeune âge, elle fut élevée dans le respect des coutumes et des principes islamiques, et reçut une éducation solide qui alliait les enseignements religieux aux arts, à la littérature et aux sciences.

En 1989, Alaia Varoda épousa Vikar Stargray, le fils aîné de Hamid Stargray et l'héritier du trône. Leur union fut célébrée dans tout le royaume, symbolisant l'union entre deux familles nobles et le renforcement des liens entre les différentes strates de la société. Alaia, en tant qu'épouse du futur roi, se vit attribuer un rôle important dans la représentation du royaume à l'échelle nationale et internationale.

Alaia Varoda était passionnée par l'art et la culture, considérant ces domaines comme des moyens de renforcer l'identité et la fierté nationale. Elle consacra une partie de sa vie à soutenir les artistes et les artisans locaux, encourageant la création artistique traditionnelle et contemporaine. Elle était également connue pour organiser des événements culturels et des expositions d'art, offrant ainsi une vitrine aux talents locaux et promouvant la richesse artistique d'Esmea.

Alaia Varoda était profondément engagée dans des actions sociales visant à améliorer les conditions de vie des plus démunis. Elle consacra une partie de sa fortune personnelle à la création de fondations caritatives qui soutenaient l'éducation, la santé et le bien-être des populations marginalisées. Son dévouement à la justice sociale et à la compassion envers les moins favorisés était en accord avec les principes de solidarité et de partage prônés par l'Islam.

Alaia Varoda était respectée et admirée par le peuple d'Esmea pour son charisme, sa sagesse et sa générosité. Elle était perçue comme un modèle de vertu et d'altruisme, et sa mort prématurée suscita une profonde tristesse à travers tout le royaume. Son nom est souvent évoqué lorsqu'il s'agit de rappeler les figures féminines qui ont laissé une empreinte positive sur le pays.
Aujourd'hui, Alaia Varoda est honorée par la Fondation Alaia Varoda, créée en son nom pour perpétuer son héritage de bienfaisance et de promotion de la culture.


Amir Hassan (Sportif)

portrait
Nom: Amir Hassan
Date de naissance: 12 mai 1985
Lieu de naissance: Al-Qudra, Royaume Stargray Islamique d'Esmea
Poste: Attaquant
Club actuel: Club Mouloudia Club de Kufya

Amir Hassan est une personnalité publique largement connue et respectée dans le Royaume Stargray Islamique d'Esmea en raison de sa carrière de footballeur accomplie et de son engagement envers la communauté. Né le 12 mai 1995 à Al-Qudra, une ville historique située dans les terres intérieures du royaume, Amir a su se distinguer par son talent, sa détermination et son impact positif.

Dès son plus jeune âge, Amir a montré des aptitudes exceptionnelles pour le football. Sa vitesse, sa technique et sa vision du jeu étaient remarquables, ce qui lui a permis d'attirer l'attention des recruteurs dès son adolescence. Cependant, ce sont sa détermination et sa volonté inébranlable de réussir qui ont vraiment fait la différence. Malgré les obstacles et les défis auxquels il a été confronté, Amir a persévéré avec une détermination sans faille pour réaliser son rêve de devenir footballeur professionnel.

Amir a connu une ascension remarquable dans le monde du football. Après avoir été repéré par des recruteurs talentueux, il a été recruté par le prestigieux Club Mouloudia Club de Kufya. Son arrivée au sein de ce club emblématique a été saluée par les fans et les médias, qui ont rapidement reconnu son potentiel exceptionnel. Amir a su saisir chaque opportunité qui s'offrait à lui, s'imposant rapidement comme l'une des stars montantes du football au niveau national et même international.

Au-delà de ses exploits sur le terrain, Amir est également reconnu pour son engagement envers la communauté et son rôle de modèle d'inspiration pour les jeunes générations. Il utilise sa notoriété et sa position pour promouvoir des valeurs telles que le travail acharné, la discipline et l'intégrité. Amir est régulièrement invité à des événements caritatifs, des écoles et des centres de jeunes pour partager son parcours et encourager les jeunes à poursuivre leurs rêves.

En raison de sa renommée et de sa popularité, Amir Hassan a été nommé ambassadeur du Royaume Stargray Islamique d'Esmea. Son rôle en tant qu'ambassadeur consiste à représenter le royaume lors de manifestations sportives internationales et d'événements culturels, renforçant ainsi l'image positive et la réputation du pays à l'étranger. Amir est fier de représenter son pays et s'efforce de montrer les valeurs de l'Islam, la richesse de la culture stargray et l'esprit de tolérance et de paix qui caractérisent le royaume.


Nadia Al-Hakim (Présentatrice)

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Nadia Al-Hakim est une journaliste chevronnée et une personnalité publique influente au royaume d'Esmea. Née à raigennd, elle a grandi dans un environnement qui a nourri son intérêt pour les médias et la communication.

Après avoir obtenu un diplôme en journalisme de l'université de Syenas, Nadia a commencé sa carrière en tant que reporter sur le terrain, couvrant une variété d'événements locaux et internationaux. Sa compétence et son dévouement ont rapidement été reconnus, lui permettant de gravir les échelons et de devenir présentatrice du Journal National sur la chaîne nationale Esmeene.

Nadia est reconnue pour sa rigueur et son professionnalisme dans son travail de présentatrice. Elle livre les nouvelles de manière impartiale et objective, offrant aux téléspectateurs une source d'information fiable et crédible. Son approche factuelle et concise est appréciée par un large public, qui compte sur elle pour rester informé des événements nationaux et internationaux.

Bien que Nadia Al-Hakim reste dévouée à son travail, elle préserve une vie personnelle privée et réservée. Elle préfère se concentrer sur sa carrière plutôt que de chercher les projecteurs. Pendant ses temps libres, elle participe aux cercles médiatiques, en participant à des conférences et des débats pour partager son expertise et contribuer au développement du paysage médiatique d'Esmea.


Fatima Al-Sharif (modèle)

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Fatima Al-Sharif est née le 5 mai 1993 dans la ville d'Ashna, au sein du Royaume Stargray Islamique d'Esmea. Issue d'une famille profondément enracinée dans les arts et la culture d'Esmea, elle a grandi dans un environnement imprégné d'appréciation pour la créativité et l'expression artistique. Dès son plus jeune âge, Fatima a montré un intérêt marqué pour les arts, particulièrement la danse et la musique traditionnelles d'Esmea. Elle a suivi des cours de danse depuis son enfance et a développé des compétences exceptionnelles en danse traditionnelle esméenne.

Après avoir terminé ses études post universitaire avec excellence, elle a déménager avec son mari pour poursuivi ses études supérieures en littérature à l'Université de Syenas. Pendant son temps à l'université, elle a non seulement continué à perfectionner ses talents de danseuse, mais elle s'est également impliquée activement dans des activités caritatives et sociales. Fatima a consacré de nombreuses heures à travailler avec des organismes locaux pour améliorer la vie des plus démunis de la société esméenne à l'extrême est du royaume, lieu de sa ville natale.

La passion de Fatima pour les arts et la philanthropie l'a conduit à participer à des événements culturels majeurs dans tout le royaume. Elle est rapidement devenue une figure respectée dans le monde de la danse traditionnelle de Carva, et son talent incontestable lui a valu une reconnaissance considérable.

La décision de se présenter au concours de miss Esmea 2010, le remporter et par conséquent représenter son royaume à miss Monde 2011 est le résultat naturel de sa passion pour la culture et son désir de sensibiliser le monde à la richesse artistique et culturelle d'Esmea. Fatima Al-Sharif incarne non seulement la beauté et l'élégance d'Esmea, mais elle est également une voix puissante pour la philanthropie et la promotion des arts. Elle porte avec grâce l'héritage culturel de son pays tout en incarnant les valeurs d'altruisme et d'engagement envers le bien-être de sa communauté.


Laila Al-Rashid (actrice)
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Laila Al-Rashid est une actrice esmeaenne née le 19 juin 1992 à Syenas. Elle est la quatrième d’une fratrie de cinq enfants : Mariam, Isaac (né le 1er janvier 1988), Aya (née le 15 mai 1990), et Mouhamed (nés le 23 juillet 1991). Dès l’âge de 7ans, elle montre de l’intérêt pour le métier d’acteur, elle est surtout connue pour son rôle de la princesse Amira Gray dans la série télévisée esmeaenne Couronne de Fer : Dynastie de Sang. Elle a vécu à Syenas, en Esmea, jusqu’à ce qu’elle obtienne son diplôme d’études supérieur, puis a étudié à l’Université d'art royale de Syenas. C’est là qu’elle a été récompensée pour son rôle dans une performance théâtrale. Laila , n'a joué qu'en tant que personnage principale dans une émission de télévision, a remporté un prix de la meilleure actrice (une lanterne) pour son interprétation de Amira Gray en 2011.
Laila Al-Rashid a commencé réellement sa carrière d’actrice à l’âge de 18 ans, lorsqu’elle a joué le rôle de Amira Gray dans la serie. Elle vit à Syenas et est une grande fan football. Elle aime aussi la natation et l’équitation.

Filmographie : Séries : Couronne de Fer : Dynastie de Sang (2011) dans le rôle de la princesse royale Amira Gray

Récompenses : Lanterne Meilleure Actrice Principale dans une Série Dramatique national (2012)

Vie privée : Établie dans la pittoresque ville de Syenas, Laila vie seule et est célibataire et trouve l'équilibre entre l'éclat des projecteurs et la tranquillité de sa résidence. Passionnée de football, elle se transforme en fervente supportrice des CRS (club royale de Syenas). L'année dernière , elle révèle qu'elle a voulue arrêté d'être actrice pour devenir footballeuse lorsque le football féminin a commencer a se développer en 2008. Elle a dit aimer jouer dans les postes de milieux offensifs et même parfois comme attaquante . Jeune fille, elle a participé à l'Organisation Esmeaenne des Jeunes Footballeuses (OEJF), un programme de football pour les jeunes filles. elle était notamment présente lors de la finale du TIC a malheureusement perdu a domicile ( elle avait annoncée a ce moment là une saison 2 de la série Couronne de Fer : Dynastie de Sang. Laila Al-Rashid commence a utiliser sa notoriété pour promouvoir le soutien aux immigrants du sud et la politique les concernant. En début d'année 2012, elle nommée comme coup de cœur de la jeunesse esmeaenne.


Farid Al-Mansur (activiste)
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Farid Al-Mansur est un avocat et défenseur des droits de l'homme né le 15 mars 1970 à Almara, au Royaume Stargray Islamique d'Esmea. Il est reconnu pour son engagement fervent dans la protection des droits fondamentaux des citoyens esmeans, en particulier dans la région de Carva, au sud du royaume.

Éducation et Début de Carrière
Farid Al-Mansur a obtenu son doctorat en Droit International à l'Université Royale d'Esmea, marquant le début d'une carrière dévouée à la justice et à l'équité au sein du système judiciaire esmean. Sa spécialisation dans les droits de l'homme a rapidement attiré l'attention, le distinguant comme un avocat passionné de la cause.

Fondateur de "Liberté Juste"
En 2006, inspiré par sa passion pour la justice sociale, Al-Mansur a créé "Liberté Juste", une organisation non gouvernementale focalisée sur la protection des droits fondamentaux des citoyens minoritaires, un enjeu particulièrement préoccupant dans la région de Carva.

Président de la Cour Suprême et Au-delà
Farid Al-Mansur a occupé le prestigieux poste de président de la Cour Suprême avant de devenir le président de la Section Nationale d'Amnistie Mondiale en 2012. Sa nomination à la tête de la plus haute instance judiciaire du royaume a marqué son engagement continu pour la justice et la défense des droits de l'homme à un niveau national.

Leadership à Amnistie Mondiale
Depuis qu'il a assumé la présidence de la Section Nationale d'Amnistie Mondiale, Al-Mansur a joué un rôle clé dans l'orientation de l'organisation vers des réformes législatives cruciales. Son objectif est de renforcer la protection des droits de l'homme dans le pays, une tâche complexe à la lumière des derniers résultats des élections qui ont présenté des défis importants.


Ghazal Nasirian
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Ghazal Nasirian, née le 15 juillet 1990 à Syenas, est une artiste émérite d'Esmea, distinguée pour sa voix ensorcelante et son dévouement envers l'expression artistique authentique. Originaire du quartier historique de Qalb al-Nur à Syenas, elle a été profondément façonnée par les traditions culturelles vibrantes de la ville.
Ghazal a révélé un intérêt précoce pour la musique, charmant sa famille et ses amis en chantant des mélodies traditionnelles. Elle a fréquenté l'école primaire Shenna Stargray, où son talent musical a brillé de la mauvaise lors d'une performance scolaire non autorisée. Encouragée par ses parents et sa famille, elle a suivi des cours de musique et de chant dès son plus jeune âge en cachette en opposition à son école et à continuer jusqu'a quitter le royaume. Sa carrière a pris son envol en 2010 lorsqu'elle a remporté le concours national de talent dans le pays voisin de Althalj. Cette victoire a ouvert la porte à des opportunités dans l'industrie musicale locale mais aussi de son pays de naissance, propulsant Ghazal sur le devant de la scène avec sa voix captivante EN 2011 lors de plusieurs cérémonies des remises des récompenses ainsi que dans la finale de la coupe royale nationale de football qui a mit tous le monde d'accord sur qui représentera le royaume dans un futur concours de musique. Elle a signé un contrat avec une maison de disques locale et a commencé à enregistrer son premier album dont l'une d'entre elle sera interpréter au Concours international de la chanson - Pilarca 2012.
Son premier album, baptisé "Lunes d'Or," a connu un succès retentissant, porté par des singles à succès comme "Lueur du futur" et "Échos de Qalb al-Nur." La chanson "Une nuit à Rimjida" a été l'apothéose de l'album, démontrant la capacité de Zara à fusionner les traditions musicales d'Esmea avec des éléments contemporains, ce qui faisait la raison de ces critiques et de son exile dans le pays voisin d'Althalj représente maintenant un royaume tous entier à l'internationale.
Elle a remporté plusieurs distinctions, dont le "Saphir Vocal" pour la meilleure artiste féminine et le "Prix du Crescendo" pour sa contribution exceptionnelle à la préservation culturelle.

Discographie :

Lunes d'Or (2007)
"Lueur du futur"
"Lunes d'Or"
"Voyage dans le Désert"
"Éclat de l'Afarée" (feat. [Hazeem])
"Échos de Qalb al-Nur."
"Réminiscence"
"Sérénade des Montagnes"

Une nuit à Rimjida (2012)
"Une nuit à Rimjida"
"Mystères Nocturnes"
"Rêverie Lunaire"
"Sonnet des Etoiles"
"Chant de l'Aube"
"Voyage Céleste"
"L'Appel du Désert"
"Lumière Intérieure"
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Personnages Historiques

Zahra bint-Ramil (La rose du Desert)

avant d'etre jeter dans le puits
Zahra bint-Ramil (1240-1261) était une figure emblématique de l'histoire des tribus nomades du Nord-Ouest Afaréen. Née dans la tribu Sahari, elle est devenue célèbre pour sa résistance courageuse face à l'envahisseur et son sacrifice ultime pour la cause de sa tribu.
Zahra bint-Ramil est née en 1238 dans la tribu bleu Sahari, elle était reconnue pour son mode de vie nomade et sa connaissance du désert. Elle était la fille du chef de la tribu bleu, une faction ancienne parmi les Saharis. Dès son plus jeune âge, Zahra bint-Ramil a été initiée aux traditions et aux compétences des Saharis, apprenant à naviguer dans le désert, à utiliser les plantes médicinales et à coudre et teindre. Elle était réputée pour sa beauté, sa sagesse et sa piété. Elle adorait le Dieu unique et suivait ses commandements. Elle était aimée de son père, de son frère et de son peuple. En 1256, elle épousa un homme noble et vertueux de sa tribu nommé Abdallah ibn-Malik qui deviendra le futur chef de la tribu à la mort du père de cette dernière. Ils eurent ensemble deux fils et une fille, qu’ils élevèrent dans la religion Islamique et le respect des traditions. Ils voyageant avec leur tribu à travers le désert, à la recherche de pâturages et d’oasis à chaque solstice. En 1261, lors d'un raid mené par Khalid Al-Samir contre la tribu bleu, Zahra bint-Ramil est capturée par les guerriers arabes. Elle devient un otage précieux et un symbole de pouvoir pour Khalid Al-Samir. Son sort tragique est enregistré dans les annales de l'époque et même rappeler tous le long de l'histoire Iondalbonnaise et Esméenne. Elle fut soumise à des supplices inimaginables, plongée dans un abîme de souffrances insoutenables. Lorsque les chaînes de Zahra se refermèrent autour de ses poignets, elle fut jetée dans un puits profond et étroit comme une créature condamnée à errer dans les ténèbres les plus sombres de l'humanité pendant 62 jours sans nourriture ni eau, espérant qu’elle mourrait de faim ou de soif ou qu'elle perdrait la raison. Mais Zahra résista, soutenue par sa foi et son espoir de revoir ses enfants. Elle lutta pour sa survie pendant de longues périodes interminables, le désespoir et la faim la rongeant de l'intérieur. Mais ce n'était qu'un avant-goût de la souffrance qui l'attendait.
Un jour, Khalid Al-Samir décida de faire un exemple de Zahra. Il la fit sortir du puits, où elle était faible et maigre, couverte de blessures et de saletés. Il la fit amener devant ses hommes, qui étaient rassemblés sur une place publique. Il voulait leur montrer sa victoire et sa domination ainsi que fêter la nouvelle union des groupes arabes proches. Il ordonna à un de ses hommes de fouetter Zahra 20 fois devant tout le monde. Le fouet était fait de cuir durci par le sang séché des victimes précédentes. Chaque coup arrachait un morceau de chair du dos de Zahra, qui saignait abondamment. La douleur était insupportable, mais Zahra ne cria pas, ne pleura pas, ne supplia pas. Elle resta silencieuse et digne, levant les yeux vers le ciel, elle resta debout tous en chuchotant des prières. Ceci agaça la foule et provoqua des huer jusqu'à que l'un d'entre eux
se jette sur elle et la fait tomber tous en lui arrachant sont oreilles gauche qui ne tenait presque plus. Après sa, s'ensuivi 584 coups lourd, durs qu'y atteignais les os de la jeune femme qui ne pouvait retenir sa douleur tous en étant attacher à genou sur un poteau en plein soleil. Elle fit en quelque sorte soulager de ressentir le fait qu'elle s'évanouisse et l'approche de la mort qui annoncera la fin de ses souffrances.
Khalid Al-Samir fut surpris et irrité par l'approche de la mort de Zahra. Il voulait la briser et la faire souffrir encore plus longtemps. Il stoppa tous l'obligea à boire et à manger et la laissa se reposer attacher à une poutre devant tous le village jusqu'à l'approche du coucher de soleil, il ordonna alors à un autre de ses hommes d’attacher Zahra à l'arrière d'un cheval. Il dégagea les rues et ruelles sur des kilomètre , pour l’humilier et la tuer pour de bon. Il monta sur un autre cheval, et fit avancer le sien. Le cheval auquel était attachée Zahra se mit à courir, entraînant Zahra derrière lui. Zahra fut traînée sur le sol, heurtant les pierres, les cailloux, les débris. Son corps fut lacéré, meurtri, brisé. Son sang coula sur la terre, comme une rivière rouge. Son visage fut défiguré, méconnaissable. Elle fut traînée ainsi sur 5 kilomètres, sous les yeux horrifiés des habitants de la ville. Certains pleurèrent, d’autres prièrent, d’autres se détournèrent. Personne n’osa intervenir, ni protester, ni secourir Zahra puisque sa vie était pour eux le minimum pour celle des dizaines de semblables. Zahra ne cria pas car elle n'avait plus de force ni de vois pour, ne pleura pas car elle n'avait plus de yeux ni d'eau pour cela, elle ne maudit ni son bourreau ni les villageois. Elle invoqua seulement Dieu et lui demanda pardon pour ses péchés. Elle pensa à son père, à son frère, à son mari, à ses enfants.
trainer par le cheval
Elle mourut finalement de ses blessures, après avoir enduré un supplice inhumain. Son corps fut jeté dans une fosse commune, sans sépulture ni prière. Zahra bint-Ramil devint ainsi un martyr pour les tribus nomades du nord. Sa mémoire est honorée tous les dernier vendredis de mai par les générations suivantes, qui racontèrent son histoire comme un exemple de courage, de patience et de foi. Elle fut surnommée “la rose du désert”, en référence à son nom qui signifie “fleur” en arabe.


Mohammad Reza Qanbari

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Mohammad Reza Qanbari, né le 15 mars 1205 à Khalia, ancienne capitale du royaume à l'époque de La faction de Khalid Al-Samir, et décédé le 23 juillet 1273, était un éminent philosophe, médecin et érudit polymathe perse du 13e siècle. Sa vie et son œuvre ont profondément influencé la philosophie, la médecine et les sciences dans la région du Golfe et au-delà.
Mohammad Reza Qanbari est né dans une des rares famille perses érudite de Khalia, où il a montré dès son plus jeune âge un intérêt extraordinaire pour l'apprentissage. Il a étudié les sciences naturelles et les mathématiques avec des tuteurs privés avant de rejoindre la prestigieuse Université Royale de Syenas, administrer par les perses à l'époque, à l'âge de 15 ans. Son éducation a été diversifiée, allant des sciences religieuses à la philosophie Hellenoide antique, préfigurant son futur rôle de pionnier dans la synthèse des connaissances.
Qanbari a laissé un héritage durable dans le domaine de la médecine. Son œuvre principale, le "Canon de la médecine", est une compilation magistrale des connaissances médicales de l'époque, intégrant des idées d'autres savants musulmans esmeains. Le canon est organisé en cinq livres, couvrant l'anatomie, la physiologie, la pathologie, la pharmacologie et la médecine préventive. Il a introduit des idées révolutionnaires, comme l'importance de l'hygiène personnelle et de l'exercice régulier pour maintenir la santé. Outre sa carrière médicale, Qanbari était un philosophe éminent. Son ouvrage "Le Livre de la guérison" aborde des questions métaphysiques et éthiques, proposant une vision cohérente du monde. Il a cherché à concilier la philosophie Eurysienne avec les enseignements de l'Islam, présentant une synthèse intellectuelle qui a influencé la pensée philosophique pendant des siècles. Mohammad Reza Qanbari n'a pas limité son expertise à la médecine et à la philosophie. Il a également apporté des contributions significatives à l'astronomie, l'alchimie, la psychologie et la logique. Ses travaux ont jeté les bases de disciplines scientifiques futures et ont contribué à l'essor intellectuel au siècle qui suit du futur Royaume perse de Carva au sud du Royaume Stargray Islamique d'Esmea actuelle. Les idées de Qanbari ont été l'objet de débats et de discussions pendant des siècles. Son approche interdisciplinaire a ouvert la voie à une compréhension plus holistique du monde, influençant non seulement les générations futures de savants esmeains mais aussi des penseurs du monde entier. Mohammad Reza Qanbari reste une figure éminente de l'histoire du Royaume Stargray Islamique d'Esmea, un homme dont l'intellect exceptionnel a transcendé son époque pour façonner les bases du futur royaume du sud perse de Carva.

Le Canon de la Médecine de Mohammad Reza Qanbari : Une Compilation Magistrale
Structure du "Canon de la Médecine
Le "Canon de la Médecine" est organisé de manière méthodique en cinq livres distincts, chacun se concentrant sur un aspect spécifique de la médecine. Cette structure détaillée a permis aux lecteurs de se plonger dans des sujets spécifiques tout en ayant une vue d'ensemble cohérente. Voici une exploration détaillée de chaque livre :
Anatomie : Qanbari a consacré une section entière à l'anatomie, explorant les structures du corps humain. Son approche a été marquée par la précision dans la description des organes, des muscles, et des systèmes du corps.
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Physiologie : Le deuxième livre aborde la physiologie, examinant le fonctionnement des organes et des systèmes corporels. Qanbari a développé des théories innovantes sur la manière dont le corps humain maintient l'équilibre interne, anticipant certaines idées de la physiologie moderne.
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Pathologie : Ce livre se penche sur la nature des maladies, leurs causes et leurs symptômes. Qanbari a été parmi les premiers à proposer une approche scientifique de la pathologie comme les raisons de l'aveuglement, rejetant les explications mystiques poste islamiques au profit d'une compréhension basée sur la science en coordination avec les textes sacrées.
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Pharmacologie : La pharmacologie, l'étude des médicaments et de leurs effets, a été traitée avec une précision remarquable. Qanbari a compilé des informations sur une variété de substances médicinales, fournissant des directives sur leur utilisation et leurs effets.
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Médecine Préventive : Le dernier livre explore les principes de la médecine préventive. Qanbari a mis en avant l'importance de maintenir un mode de vie sain, soulignant la prévention des maladies plutôt que leur traitement. C'était un des livres les plus populaires et le plus accepter en raison de sa logiques d'écriture et de son rapprochement à la logique religieuse musulmane
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Ce qui rend le "Canon de la Médecine" encore plus exceptionnel est la manière dont Qanbari a intégré les idées d'autres savants musulmans esmeains de son époque. Plutôt que de simplement imposer sa propre perspective, il a cherché à créer une synthèse du savoir médical existant. Les débats intellectuels et les dialogues entre les érudits ont été capturés dans cette œuvre, en faisant du "Canon de la Médecine" non seulement un manuel pratique mais aussi un document reflétant les échanges intellectuels dynamiques de l'époque. Le "Canon de la Médecine" de Qanbari est devenu une référence standard dans les écoles de médecine d'Esmea et au-delà. Sa structure méthodique et son approche scientifique ont jeté les bases de la médecine moderne. Les générations de médecins, à travers les siècles, ont étudié et perfectionné les principes énoncés dans ce texte, contribuant ainsi à l'évolution constante de la pratique médicale dans le Royaume Stargray Islamique d'Esmea et dans la région du Golfe. L'exemplaire originale se situe dans la grande bibliothèque de l'université royale de Syenas.
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