Création de pays : Mèrcie
Généralités :
Nom officiel : République mèrcique
Nom courant : Mèrcie
Gentilé : Mèrce (f. et m.) (adj. : "mèrcique")
Inspirations culturelles : française
Situation géographique :
Langue(s) officielle(s) : français (langue administrative sans traduction, dans tous les territoires).
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : créoles (spécifiques à chaque territoire d'outremer. Bien sûr, le français est aussi utilisé comme langue courante pour que tous, de quelque origine qu'ils soient, puissent se comprendre).
Drapeau(x) :
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : créoles (spécifiques à chaque territoire d'outremer. Bien sûr, le français est aussi utilisé comme langue courante pour que tous, de quelque origine qu'ils soient, puissent se comprendre).
Drapeau(x) :
Devise officielle : Liberté, Réflexion, Respect
Hymne officiel :
Hymne officiel :
Monnaie nationale : le mèrçat (symbole : ₼ )
Capitale : Pary
Population : 80 000 000 habitants
Présentation du pays :
I/ La république triomphante
La Mèrcie jusqu'en 2002, fut une monarchie. L'absolutisme la fit naturellement chuter, par son désintéressement pour le peuple. Le dernier roi de Mèrcie fut Lovi III, de la dynastie des Carpendriens. Ayant la main sur les forces armées meurtrières principalement composées de privilégiés et de mercenaires, il fait bombarder Pary la capitale le 2 septembre 2002 suite à la proclamation de la République mèrcique par la population la veille.
Vous pouvez ici voir une vidéo du triste évènement : un jour de terreur menant à la victoire des peuples de Mèrcie !
En effet, dès qu'ils eurent appris notre constitution en république démocratique et sociale, les mèrciens d'outremer se proclamèrent citoyens de celle-ci, et constituèrent des gouvernements républicains provisoires en leur territoires, décrétant l'état d'arrestation des administrateurs royaux n'ayant pas pris part à la république.
A Pary, les républicains lançaient des appels radio aux Mèrciens de l'extérieur, pour qu'ils prennent possession des bases aériennes monarchistes. 100 000 Hommes durent tomber pour que la situation soit sous contrôle républicain. La ville, encore en partie debout, se dissociée alors des villages alentours où gisaient républicains, royalistes, et victimes collatérales nécessaires confondus. 200 000 arrestations furent alors effectuées par les républicains armées, aux quatres coins du pays, aux quatres coins du monde. Tous furent envoyés en Mèrcie eurysienne, le temps que les acquittements et, finalement, le peu de peines soient prononcés.
En janvier 2003, la république était enfin fermerment instaurée, et son système démocratique se mettait en place, comme naturellement. Une armée fût alors levée, pour remplacer la royale déchue : 600 000 volontaires ! Après un discours du proconsul provisoire, 400 000 se désistèrent, celui-ci leur ayant fait comprendre qu'une telle armée n'était pas nécessaire, et que là n'était pas le moyen le plus citoyen de servir son pays. D'autant plus que l'économie avait été quelque peu impactée par les rapides évènements. La fête nationale nationale prit comme date le 1 septembre 2003, suivie d'une période commémoration et de célébrations patriotiques marquant le temps des combats libérateurs.
II/Un passé, commun puis uni
A l'origine de la Mèrcie, un système médiéval des seigneurs chrétiens commun à l'Eurysie. Mais ces seigneurs, face aux divisions continentales, élirent pour s'unifier un roi : Carolomus I. Celui-ci posa les bases de la nation mèrcique : des frontières, un système, un pouvoir. En réalité assez humble voire populiste, il fût pourtant soumis à l'Eglise de Catholagne, qui détruisit alors toute idée de bien commun en sa pensée. Les dynasties passèrent : Méraviens (9ème au 11ème siècle), Naustriens (11ème siècle), Dalmatéens (12ème au 14ème siècle), Polmorovires originaires de l'Est (15ème au 18ème siècle, arrivés suite à une histoire de mariage pour des raisons purement militaires), et enfin Carpendriens (fin 18ème à début 21ème siècle), que nous pensions purement mèrciques, mais qui s'intéressèrent finalement à la mer, au bout de laquelle se trouvaient des peuples, pour eux, à soumettre...
Les Carpendriens furent donc les bâtisseurs de cet empire intercontinental qui fait notre particularité présente : la première des colonies fût la Lovianne, territoire sud-aleucien conquit par Lovi I (1791-1858, premier des Carpendriens) et qu'il nomma en son propre hommage. Nous le renommâmes bien sûr, en bon républicains, du nom de sa capitale territoriale la Nouvelle-Alfort, Alforterre. (Alfort étant la capitale-palais royale des Carpendriens, ne voulant rester à Pary, et se situant au sud de celle-ci).
Et s'enchaînèrent les conquêtes : l'Afarée par le second (conquête de 1862 à 1865), le Nazum par le troisième (conquête en 1901), le Scintillant par le quatrième (conquête en 1938), et le Nivérée par le cinquième (prise de possession en 1965). Lovi III, dernier des Carpendriens, n'ayant rien conquis.
Ces dynasties et ces rois alternèrent règnes doux, règnes de terreur religieuse, et règnes forts et féroces.
Mais, la république triomphante, les Mèrces, unis en la Liberté, s'ouvrent une nouvelle carrière de peuple du monde.
Mentalité de la population :
Les Mèrces sont donc démocratiquement appaisés, ce système les servant communément.
Certains sont chrétiens, d'autres, musulmans. Les juifs sont très peu appréciés en notre pays, pour des raisons dont le soupçon se fait aurige. Une majeure partie de la population est en revanche devenue agnostique et athée au fil du temps, rejetant les Eglises. Des bouddhistes composent aussi notre population, en moindre quantité :
Environ 7% musulmans, 16% chrétiens, 2% bouddhistes, 30% agnostiques, 5% autres, 40% athées.
En terme de population par continent :
Environ 10 000 en Nivérée, 200 000 au Scintillant, 500 000 au Nazum, 1 000 000 en Afarée, 10 000 000 en Aleucie (territoire d'Alforterre), 68 290 000 en Eurysie.
Place de la religion dans l'État et la société :
La religion est une affaire privée. Ainsi, l'administration de la république ne considère par les religions dans sa constitution et sa réalisation. Chaque individu est libre de pensée selon sa religion, comme il est libre de penser selon toute autre chose considérable comme influente. Seulement, la foie de chacun, si elle est déiste, ne doit pas être clamée comme justification au positionnement politique au sein des assemblées.
Institutions politiques :
Vocabulaire :
- un individu est un Être humain, sans distinction quelconque.
- un Mèrce est un individu d'identité mèrcique.
- un citoyen est un individu de plus de 15 ans.
- un électeur est un Mèrce citoyen, de plus de 18 ans.
Entités institutionnelles :
- le proconsul de la république fait office de "chef d'Etat" bien que cette dénomination ne soit pas appropriée à notre république. Il est chef suprême des armées, et sa parole n'a qu'une utilité consultative.
- l'ecclésia est l'assemblée que constituent les citoyens d'un quartier (zone définie par le nombre d'individus y ayant leur domicile fixe). En moyenne, un quartier représente une population confondue de 1000 individus. Les ecclésias constituent le coeur démocratique de la république : les citoyens y débatent, communiquant leurs idées avec les citoyens des autres ecclésias, pour ensuite utiliser ces idées au sein de la leur. Après un certain temps, chaque électeur doit répondre à un questionnaire précis. A côté de chaque question, il doit cocher la case "pour", "abstention", ou "contre", décidant ainsi de son propre chef. Les questionnaires font ensuite l'objet d'un décompte de chaque réponse, et la présidence de l'ecclésia rédige un rapport dans lequel chaque question est suivie du nombre de voix de chaque avis, et de l'avis majoritaire. Au niveau national, le tout est rassemblé et la loi est ainsi adoptée ou non, ou modifiée et à nouveau présentée.
- le communat est l'assemblée que constituent les citoyens d'une cité. Une cité compte au minimum trois quartiers. Le communat fait office de jury, votant les condamnations en cas de non-respect de la loi.
- les missis sont des électeurs au service du bien commun et de la loi, et directement du proconsul, qui sont chargés, dans chaque cité, d'identifier les infractions, de recevoir les plaintes graves et les accusations, qu'ils présentent au communat. Il s'en trouve une grosse centaine dans chaque cité.
- l'armée est chargée, par ses différentes branches, du maintien de l'ordre et de la sécurité intérieure, ainsi que de la défense des intérêts de la république sous les ordres supérieurs du proconsul.
La Mèrcie est donc une démocratie directe et consultative, dont la liberté d'expression se fait l'élément clé. Son administration se caractérise par son aspect à la fois local, et toujours sous l'observation et la garantie du proconsul incarnant l'administration supérieure.
Principaux personnages :
Le proconsul de la république Armand Léon.
(Les autres personnages seront inventés au fur et à mesure du jeu)
Politique internationale :
La Mèrcie, par sa capacité d'atteinte géographique, peut entretenir des relations très variées avec des entités aux quatre coins du monde. D'ailleurs, sur notre drapeau, chaque bande blanche représente un continent (sauf eurysien), et chacune d'entre elles est doublée d'une bande rouge, représentant la république mèrcique, présente sur eux-tous. Le bleu illustre naturellement l'océan mondial.
Capitale : Pary
Population : 80 000 000 habitants
Aperçu du pays :
Présentation du pays :
I/ La république triomphante
La Mèrcie jusqu'en 2002, fut une monarchie. L'absolutisme la fit naturellement chuter, par son désintéressement pour le peuple. Le dernier roi de Mèrcie fut Lovi III, de la dynastie des Carpendriens. Ayant la main sur les forces armées meurtrières principalement composées de privilégiés et de mercenaires, il fait bombarder Pary la capitale le 2 septembre 2002 suite à la proclamation de la République mèrcique par la population la veille.
Vous pouvez ici voir une vidéo du triste évènement : un jour de terreur menant à la victoire des peuples de Mèrcie !
En effet, dès qu'ils eurent appris notre constitution en république démocratique et sociale, les mèrciens d'outremer se proclamèrent citoyens de celle-ci, et constituèrent des gouvernements républicains provisoires en leur territoires, décrétant l'état d'arrestation des administrateurs royaux n'ayant pas pris part à la république.
A Pary, les républicains lançaient des appels radio aux Mèrciens de l'extérieur, pour qu'ils prennent possession des bases aériennes monarchistes. 100 000 Hommes durent tomber pour que la situation soit sous contrôle républicain. La ville, encore en partie debout, se dissociée alors des villages alentours où gisaient républicains, royalistes, et victimes collatérales nécessaires confondus. 200 000 arrestations furent alors effectuées par les républicains armées, aux quatres coins du pays, aux quatres coins du monde. Tous furent envoyés en Mèrcie eurysienne, le temps que les acquittements et, finalement, le peu de peines soient prononcés.
En janvier 2003, la république était enfin fermerment instaurée, et son système démocratique se mettait en place, comme naturellement. Une armée fût alors levée, pour remplacer la royale déchue : 600 000 volontaires ! Après un discours du proconsul provisoire, 400 000 se désistèrent, celui-ci leur ayant fait comprendre qu'une telle armée n'était pas nécessaire, et que là n'était pas le moyen le plus citoyen de servir son pays. D'autant plus que l'économie avait été quelque peu impactée par les rapides évènements. La fête nationale nationale prit comme date le 1 septembre 2003, suivie d'une période commémoration et de célébrations patriotiques marquant le temps des combats libérateurs.
II/Un passé, commun puis uni
A l'origine de la Mèrcie, un système médiéval des seigneurs chrétiens commun à l'Eurysie. Mais ces seigneurs, face aux divisions continentales, élirent pour s'unifier un roi : Carolomus I. Celui-ci posa les bases de la nation mèrcique : des frontières, un système, un pouvoir. En réalité assez humble voire populiste, il fût pourtant soumis à l'Eglise de Catholagne, qui détruisit alors toute idée de bien commun en sa pensée. Les dynasties passèrent : Méraviens (9ème au 11ème siècle), Naustriens (11ème siècle), Dalmatéens (12ème au 14ème siècle), Polmorovires originaires de l'Est (15ème au 18ème siècle, arrivés suite à une histoire de mariage pour des raisons purement militaires), et enfin Carpendriens (fin 18ème à début 21ème siècle), que nous pensions purement mèrciques, mais qui s'intéressèrent finalement à la mer, au bout de laquelle se trouvaient des peuples, pour eux, à soumettre...
Les Carpendriens furent donc les bâtisseurs de cet empire intercontinental qui fait notre particularité présente : la première des colonies fût la Lovianne, territoire sud-aleucien conquit par Lovi I (1791-1858, premier des Carpendriens) et qu'il nomma en son propre hommage. Nous le renommâmes bien sûr, en bon républicains, du nom de sa capitale territoriale la Nouvelle-Alfort, Alforterre. (Alfort étant la capitale-palais royale des Carpendriens, ne voulant rester à Pary, et se situant au sud de celle-ci).
Et s'enchaînèrent les conquêtes : l'Afarée par le second (conquête de 1862 à 1865), le Nazum par le troisième (conquête en 1901), le Scintillant par le quatrième (conquête en 1938), et le Nivérée par le cinquième (prise de possession en 1965). Lovi III, dernier des Carpendriens, n'ayant rien conquis.
Ces dynasties et ces rois alternèrent règnes doux, règnes de terreur religieuse, et règnes forts et féroces.
Mais, la république triomphante, les Mèrces, unis en la Liberté, s'ouvrent une nouvelle carrière de peuple du monde.
Mentalité de la population :
Les Mèrces sont donc démocratiquement appaisés, ce système les servant communément.
Certains sont chrétiens, d'autres, musulmans. Les juifs sont très peu appréciés en notre pays, pour des raisons dont le soupçon se fait aurige. Une majeure partie de la population est en revanche devenue agnostique et athée au fil du temps, rejetant les Eglises. Des bouddhistes composent aussi notre population, en moindre quantité :
Environ 7% musulmans, 16% chrétiens, 2% bouddhistes, 30% agnostiques, 5% autres, 40% athées.
En terme de population par continent :
Environ 10 000 en Nivérée, 200 000 au Scintillant, 500 000 au Nazum, 1 000 000 en Afarée, 10 000 000 en Aleucie (territoire d'Alforterre), 68 290 000 en Eurysie.
Place de la religion dans l'État et la société :
La religion est une affaire privée. Ainsi, l'administration de la république ne considère par les religions dans sa constitution et sa réalisation. Chaque individu est libre de pensée selon sa religion, comme il est libre de penser selon toute autre chose considérable comme influente. Seulement, la foie de chacun, si elle est déiste, ne doit pas être clamée comme justification au positionnement politique au sein des assemblées.
Politique et institutions :
Institutions politiques :
Vocabulaire :
- un individu est un Être humain, sans distinction quelconque.
- un Mèrce est un individu d'identité mèrcique.
- un citoyen est un individu de plus de 15 ans.
- un électeur est un Mèrce citoyen, de plus de 18 ans.
Entités institutionnelles :
- le proconsul de la république fait office de "chef d'Etat" bien que cette dénomination ne soit pas appropriée à notre république. Il est chef suprême des armées, et sa parole n'a qu'une utilité consultative.
- l'ecclésia est l'assemblée que constituent les citoyens d'un quartier (zone définie par le nombre d'individus y ayant leur domicile fixe). En moyenne, un quartier représente une population confondue de 1000 individus. Les ecclésias constituent le coeur démocratique de la république : les citoyens y débatent, communiquant leurs idées avec les citoyens des autres ecclésias, pour ensuite utiliser ces idées au sein de la leur. Après un certain temps, chaque électeur doit répondre à un questionnaire précis. A côté de chaque question, il doit cocher la case "pour", "abstention", ou "contre", décidant ainsi de son propre chef. Les questionnaires font ensuite l'objet d'un décompte de chaque réponse, et la présidence de l'ecclésia rédige un rapport dans lequel chaque question est suivie du nombre de voix de chaque avis, et de l'avis majoritaire. Au niveau national, le tout est rassemblé et la loi est ainsi adoptée ou non, ou modifiée et à nouveau présentée.
- le communat est l'assemblée que constituent les citoyens d'une cité. Une cité compte au minimum trois quartiers. Le communat fait office de jury, votant les condamnations en cas de non-respect de la loi.
- les missis sont des électeurs au service du bien commun et de la loi, et directement du proconsul, qui sont chargés, dans chaque cité, d'identifier les infractions, de recevoir les plaintes graves et les accusations, qu'ils présentent au communat. Il s'en trouve une grosse centaine dans chaque cité.
- l'armée est chargée, par ses différentes branches, du maintien de l'ordre et de la sécurité intérieure, ainsi que de la défense des intérêts de la république sous les ordres supérieurs du proconsul.
La Mèrcie est donc une démocratie directe et consultative, dont la liberté d'expression se fait l'élément clé. Son administration se caractérise par son aspect à la fois local, et toujours sous l'observation et la garantie du proconsul incarnant l'administration supérieure.
Principaux personnages :
Le proconsul de la république Armand Léon.
(Les autres personnages seront inventés au fur et à mesure du jeu)
Politique internationale :
La Mèrcie, par sa capacité d'atteinte géographique, peut entretenir des relations très variées avec des entités aux quatre coins du monde. D'ailleurs, sur notre drapeau, chaque bande blanche représente un continent (sauf eurysien), et chacune d'entre elles est doublée d'une bande rouge, représentant la république mèrcique, présente sur eux-tous. Le bleu illustre naturellement l'océan mondial.
