27/07/2013
20:03:18
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Rencontre Finnevalta - Milouxitania

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RENCONTRE PRESIDENTIELLE AU PALAIS D'ILIOS


La Présidente Fédérale était très sereine. Les démocraties d'Eurysie du Nord était réputé parmi les meilleures du monde, et les très bonnes ententes avec celles d'Aleucie du Nord confortait Mme. Culio. Les représentants finnevaltais ne seraient certainement pas compliqués en ce qui concerne la discussion et cette rencontre avait beaucoup moins d'enjeux que celle, notamment, avec la Loduarie.

La Présidente allait devoir saisir cette occasion pour ouvrir de véritables canaux diplomatiques avec l'Eurysie du Nord. Il est vrai qu'elle avait songé à y trouver quelques potentielles recrues pour l'UNIL, étant donné qu'on ne fait pas mieux en terme de pacifisme et de démocratie.

L'avion transportant les représentants finnevaltais arrivait. Il se posa et en laissa descendre les représentants.

Bien le bonjour en Milouxitania. Il fait assez froid, mais pas autant que chez vous je présume !
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La délégation Finnevaltaise, composée de la présidente Pasi Pokka, de Roppe Kottia, un des cinq ministres des affaires étrangères et d'Annukka Marttila, une des cinq ministres de la démocratie se préparait pour se rendre en Milouxitania dans le cadre d'une rencontre diplomatique avec les autorités compétentes du pays en question. La présidente avait bien préparé cette rencontre avec son équipe et les enjeux qui ressortaient n'étaient pas les plus chaud du moment. Toutefois, constituer un réseau d'amitié et de coopération avec les nations d'Eurysie de l'Ouest et du Sud-ouest était sans aucun doute, pour nombre d'experts Finnevaltai, un avantage stratégique, majeur. Ainsi, bien que le gouvernement Milouxitan promeuve des valeurs plutôt opposées à celle du gouvernement Finnevaltai (après tout, c'est une démocratie pas forcément si éloigner de la nôtre), Pasi Pokka à pris la décision de s'y rendre pour voir ce qu'ils ont à nous proposer. La ministre Milouxitane avait parlé de l'UNIL notamment...

Les Finnevaltai prirent le Flokon dans le tout nouveau aéroport de Paasilinna inauguré par la même occasion. L'aéroport fut baptisé "l'aéroport du renouveau" en référence à la révolution du renouveau Finnevaltai de 1936, ayant amené en gros le système politique actuel. En quelques heures, la délégation Finnevaltaise arrivait à Ilios sans encombre...

Pasi Pokka : Bonjour à vous, nous vous remercions de nous accueillir en vos terres pour, nous l'espérons, tisser des liens diplomatiques intéressants entre nos deux pays, dit-elle avec un grand sourire.
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Les voitures prirent le chemin de la capitale et du Palais Présidentiel. Quand ils y arrivèrent, ils se dirigèrent vers la salle de réunion qui avait déjà rassemblée nombre de dirigeants auparavant.

Très bien, nous pouvons entamer cette rencontre. Chers amis finnevaltais, voulez-vous commencer ?
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Les deux délégations arrivèrent, en voiture, devant un palais, le palais présidentiel sans aucun doute. Une fois entrer dans la salle de réunion dédiée aux rencontres diplomatique les Finnevaltai furent inviter à lancer les hostilités.

Roppe Kottia : Nous allons commencer. Tout d'abord, nous voudrions discuter de l'UNIL. Nous avons suivi de loin son processus de création de cette organisation et comme vous l'avez mentionné dans votre première missive, pouvez, vous nous en dire un peu plus ?
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La Présidente était ravie que l'on commence par ce sujet.

Et bien, ce projet, qui va bientôt aboutir à son terme, a pour objectifs plusieurs axes : la paix, la diplomatie, le commerce, mais surtout les libertés nationales et individuelles ainsi que l'indépendance des nations. En plus de lutter contre l'impérialisme direct et indirect, nous voulons promouvoir la paix dans des situations qui ne nécessitent pas de conflits armés, nocifs pour les populations, et l'auto-détermination.

Nous sommes dans un monde ou malheureusement, il est très difficile de pouvoir commercer et faire de la diplomatie librement sans que les grandes puissances ne viennent interférer et nous dicter nos actes. Nous avons nous-mêmes constamment peur de froisser nos voisins fortunéens et youslèves en échangeant avec le Kah, et ceci n'est pas normal.

Une nation telle que vous, démocratique et pacifiste, ne peux qu'être bénéfique pour l'alliance. Et même si nous sommes assez éloignés idéologiquement (quoique pas tant que ça si nous regardons véritablement), nous voulons échanger avec vous sans que d'autres viennent s'interposer. Et puis vous savez, votre appartenance au Liberalintern ne nous dérange pas : le Shuharri est bien membre fondateur de l'UNIL.

Voudriez-vous savoir autre chose ?
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Les trois membres de la délégation Finnevaltaise se concertèrent d'un regard. La ministre de la démocratie se lança.

Annukka Marttila : Nous avons plusieurs questions concernant les objectifs de l'union. La mise en œuvre d'une diplomatie efficace pour éviter un maximum que les conflits économiques ne dégénèrent en conflits militaires, en d'autres termes la mise en place complexe mais nécessaire de la paix, est pour nous un concept que l'on peut aisément comprendre et que nous partageons avec vous. Toutefois, le concept de "commerce" serait à préciser, qu'entendez vous par là ? La mise en œuvre d'une diplomatie efficace pour éviter un maximum que les conflits économiques ne dégénèrent en conflits militaires, en d'autres termes la mise en place complexe mais nécessaire de la paix, est pour nous un concept que l'on peut aisément comprendre et que nous partageons avec vous. Cependant, rassurez-vous nous pouvons totalement commercer si nécessaire pour des produits qui nous manquent où pour les produits que nous avons en trop, comme les ressources maritimes notamment.

Le ministre des affaires étrangères rebondit de suite avec beaucoup d'habilité.

Roppe Kottia : Et pouvez-vous aussi nous définir précisément la notion de liberté nationale et individuelle selon-vous. Je doute fortement qu'on partage les mêmes définitions, même si cela n'est pas forcément un problème en soi. Mettons-nous d'accord et respectons le point de vue de chacun pour que l'échange se passe pour le mieux. Autre point que nous aimerions que précisiez, c'est la notion d'impérialisme. Toutes les nations font de l'impérialisme à leurs façons. Impérialisme culturel, impérialisme économique et impérialisme militaire, peut n'importe l'impérialisme fait partie intégrante d'une nation s'ouvrant au monde. Nous ne sommes pas naïfs, vous voulez avant tout vous battre contre l'impérialisme militaire de l'ONC et de l'UNCS, je me trompe ? Si c'est le cas, nous sommes évidemment sur la même longueur d'onde.

La présidente était restée plutôt en retrait depuis le début de la rencontre, certainement pour évaluer la situation et le comportement des ministres Finnevaltai et de ses interlocuteurs Milouxitan. Elle se lança enfin dans l'échange.

Pasi Pokka : Hahah ! Vous savez Mme la présidente, c'est le jeu de la diplomatie et de la géopolitique mondiale à la sauce capitaliste ! Tout le monde cherche à satisfaire ses intérêts ou ceux de ses acteurs nationaux, comme des entreprises par exemple. Alors, oui, même si vous pensez que tel ou tel pays est votre allié, il peut très facilement se retourner si vous le contrariez dans ses intérêts. Il y a aussi et sûrement une dimension idéologique, culturel ou autre, même si nous, dans notre école de pensée, nous pensons que ses facultés, à être froissé de la sorte relève de rapport de forces économique et seulement économique. Nous tentons d'évoluer en intégrant d'autres facteurs, mais la dimension économique revient inévitablement dans les rapports de forces mondiales. Alors, oui, une organisation comme l'UNIL est pour nous très intéressante dans ce principe d'enrayer cette logique que l'on nomme nous impérialisme capitaliste.

Annukka Marttila : Je voudrai rebondir sur ce qu'à dit la présidente Pokka et vous présidente Culio, toute nation véritablement démocratique, comme les nôtre apparemment, doivent avoir le désir de stopper ce rapport de force complétement fou qui nous ammène innévitablement à la guerre. Comme a dit la présidente Culio, nous ne sommes au final pas si éloigner idéologiquement que cela, la paix, l'émancipation et le bien-être des individus et des peuples, voilà notre but commun. Qu'en pensez-vous, Mme Culio ?

La délégation Finnevaltaise approuva d'un signe de tête les propos de la ministre.

Pasi Pokka : Evidemment, l'appartenance à l'Inernational ne pose pas de problème, nos valeurs ne sont pas si opposé que cela...

Il y eut un petit blanc de quelques secondes et Roppe Kottia relança la discussion sur un autre sujet.

Roppe Kottia : Nous avons discuté avec le Pharois Merirovoso concernant une proposition que nous aimerons vous soumettre. Nous vous demandons, en collaboration avec le Pharois, l'installation d'une petite zone portuaire, gérer par nos troupes et par nos marchands, en relative autonomie vis à vis de votre police et de vos législations, dans un but commercial. Il est évident qu'une telle demande ne peut être satisfaite que par quelque chose en échange. De l'argent ? Autre chose ?

Pasi Pokka : En termes de liquidités nous pouvons vous proposer 1 milliard d'écailles Pharoise ou 1 milliard de marks Finnevalt ou 1 milliard de dollars, la devise que vous voulez, négociable... (HRP : 3000 points).
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Mme. Culio et Mme. Pouzoles se concertèrent, puis la Ministre des Affaires Etrangères prit la parole.

Quand nous parlons de commerce, nous parlons d'échange de ressources stratégiques. Nous possédons tous des atouts qui peuvent être profitables aux autres, et intégrer l'alliance pourra vous permettre de bénéficier de prix réduits sur des ressources importantes de notre pays, mais aussi de tous les autres états-membres. Vous devez savoir comme nous à quel point le commerce peut maintenir la paix, même entre deux nations qui se détestent...

Nous entendons par la liberté nationale le fait de pouvoir librement choisir à qui s'adresser sans être menacé par un autre état. Nous voulons limiter au maximum les ingérences étrangères ou l'expression du mécontentement de certaines nations pour nos choix internationaux. Par libertés individuelles, j'entends par là la liberté de choisir sa propre voix, le respect des identités et de la personne humaine, chose qui est loin d'être acquise dans de nombreux pays.

Evidemment, toutes les nations peuvent s'accuser d'impérialisme entre elles. Nous, nous voulons vraiment limiter à la fois l'impérialisme territorial, à savoir la possession de colonies par certains pays, mais aussi, et même surtout, l'impérialisme indirecte de certains états... cela est en parfaite corrélation avec le principe de libertés nationales. Cela passe également par la promotion de l'auto-détermination des peuples. Mais évidemment, pour nous, l'impérialisme de l'ONC et de l'UNCS, certes de nature différente, est la première à combattre.


La Présidente Fédérale reprit la parole.

Cette idée de comptoir commercial est plutôt bonne. Mais nous devrons en discuter aussi avec le Pharois. Nous voudrons comme garantie une protection militaire : nous ne savons jamais ce que les Fortunéens ont en tête, ils pourraient mal le prendre.
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Le ministre Kottia ne paraissait pas vouloir répondre, les trois finnevaltais se regardait jusqu'à ce que la présidente Pokka se décidât de prendre la parole.

Pasi Pokka : Evidemment que l'échange de ressources stratégiques à bas coût nous intéresse également. En effet, le commerce peut maintenir la paix entre des pays capitalistes, c'est évident, tout est dans la définition. Ce n'est clairement pas notre conception du commerce à proprement parler, mais passons, ce n'est pas si grave. La recherche de la paix est un but commun et c'est tout ce qu'il compte.

Annukka Marttila : Oh, je vois quand vous parler de liberté nationale, vous parlez en quelques sorte de garder la pleine souveraineté de l'Etat sur ses territoires et dans ses déterminations, décisions, sans que d'autre viennent vous embêter. Nous partageons dans un sens cet objectif, oui.

Pasi Pokka : Et, il va de soi que les libertés individuelles telles que vous les décrivez doivent être le fer de lance de pays progressiste comme les nôtres. Notre politique intérieur va dans ce but d'obtenir l'égalité en droit et en fait, depuis bien des années, nous partageons vos convictions.

Le ministre Kottia se décida à prendre enfin la parole.

Roppe Kottia : Après avoir écouté attentivement ce que vous aviez à dire, nous sommes ravis de constater que nous ne sommes finalement pas, objectivement, tant éloigner que cela dans nos objectifs respectifs ! La paix, l'égalité et l'auto-détermination, voilà des valeurs qui mérite d'être défendu corps et âme !

Il marqua une petite pause pour boire une gorgée d'eau.

Roppe Kottia : En vérité, nous sommes venus ici avec le projet assumer de rejoindre purement et simplement l'UNIL. Nos petites questions taquines n'étaient que pour nous assurer de vos intentions. On signe où !

Pasi Pokka : N'allons pas trop vite en besogne Mr Kottia. Oui, nous voulons bel et bien rejoindre en tant qu'état membre l'UNIL, mais je pense que nous devons envoyer une missive directement au responsable de l'organisation, n'est ce pas mesdames ?

Annukka Marttila : Mme la présidente Culio, je vous propose de contacter en visio un Grand capitaine Pharois pour en parler directement avec eux, quand dites vous ? Plutôt que de cramer du kérosène dans une nouvelle rencontre...
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La Présidente était très contente de cette rencontre. Elle y répondit.

Et bien, oui, en effet, vous pouvez candidater en vous dressant directement au Bureau adéquat, situé à Sorlane en Malévie. Il est vrai que je ne peux pour l'instant rien faire, mais le moment venu nous appuierons votre candidature.

En ce qui concerne le Pharois, je pense aussi que c'est la meilleure chose à faire.
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Les trois Finnevaltai paraissaient heureux de la tournure des événements, la rencontre se déroulait plus ou moins comme prévu. La présidente Pokka enchaîna.

Pasi Pokka : Nous sommes ravis, nous candidaterons pour l'organisation juste après cette rencontre soyez en sûr. Nous allons instantanément appelé le Grand Capitanat Pharois. Veuillez pascienté quelques instants...

Après plusieurs minutes, c'est la Capitaine Vaapa qui répondit à la visio conférence.

Capitaine Vaapa : Bonjour, à toutes et tous, je me présente Grande Capitaine Vaapa. Je suppose que vous appelez pour le port-franc, c'est cela.

Roppe Kottia : Absoluement Capitaine.

Capitaine Vaapa : Et bien, je vous écoute Mme Culio, qu'elles sont vos revendications, j'ai cru comprendre qu'une proposition a déjà été soumise par les Finnevaltai...
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La Présidente ne s'était pas du tout attendu à avoir le Pharois au bout de la ligne. Elle mit deux secondes à se remettre, se qui fit sourire doucement les Finnevaltais.

Et bien, euh... quelle surprise ! Mais je suis heureuse de vous entendre ! Mais je vais d'abord me présenter : Mme Aurelia Culio, Présidente Fédérale... bon vous connaissez la suite. J suis assez connue sur la scène internationale, et on dit des choses sur moi assez drôle d'ailleurs... mais enfin espérons que vous n'êtes pas du genre à colporter des rumeurs !
Et bien écoutez, je dois commencer par vous soumettre u point inévitable, qui ne vous dérangera pas cela dit je pense : l'établissement d'une ambassade pharot en Milouxitania et vice-versa !
Bon venons-en au sujet. Je dois déjà commencer par vous dire que j'ai déjà reçu une missive des Fortunéens à propos de la méfiance que je dois avoir envers vous, étant donné le bursque changement de situation. Et à vrai dire, je ne leur donne pas totalement tort... Je vais être franche, je ne comprends pas spécialement ce revirement de situation dans votre pays et j'aimerais être éclairée : je ne voudrais pas livrer mon territoire à des attaques pirates...


La Présidente rit doucement.

Cela dit je pense, enfin j'espère, que la situation n'est pas aussi ridicule que le prétendent les Fortunéens, à savoir que vous envoyez des raids pirates sur les côtes étrangères. Mais du coup, éclairez-moi !
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Capitaine Vaapa : Évidemment que l'établissement d'ambassade respective ne nous dérange pas le moins du monde, nous acceptons votre demande avec plaisir !

La Capitaine se racla la gorge avant de reprendre.

Capitaine Vaapa : Soyez sans crainte présidente. Ce revirement de situation politique au Pharois était inévitable, le contrat social du Syndikaali était en train de s'effriter de toute part. À vrai dire, ce changement de régime n'est en réalité qu'un remaniement de ce dit contrat social. Les objectifs du Pharois restent plus ou moins les mêmes qu'à l'époque du Syndikaali, alors non nous n'allons pas attaquer les côtes Milouxitane, ni Fortunéenne, ni aucune côte d'ailleurs, tant que vous êtes en bons termes avec nous. L'établissement de cette zone Pharot-Finnevaltaise en vos terres ne se fait que dans un but purement commercial, toujours dans la légalité évidemment...
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La Présidente eut une petite pensée pour ses voisins Fortunéens.

Et bien si vous nous assurer que vous ne viendrez pas attaquer ni les côtes milouxitanes ni les côtes fortunéennes, l'établissement d'un port franc dans le Mostrocean n'est pas un problème. Pour le paiement, nous vous proposons de payer trimestriellement, pour hauteur de 500 millions de medridas (monnaie locale).

Information HRP

Cela équivaudrait à 3000 points tous les trois mois ^^.
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Avant d'enchaîner la Capitaine Pharoise fut interrompu par un de ses secrétaires.

"Grande Capitaine j'ai un message à vous transmettre de la plus haute importance"

Capitaine Vaapa : Messieurs, dames, je suis navré, mais je dois vous quitter un instant, je reviens dans quelques minutes.

Elle coupa alors la visio et elle laissa les Milouxitane et les Finnevaltai.se dans un blanc magistrale. Personne n'osa parler avant son retour... Quelques minutes, plus tard, elle reveins la mine un peu terne.

Pasi Pokka : Qui y a-t-il Capitaine vous semblez préoccuper.

Capitaine Vaapa : Et bien il y a un petit problème. Un gros en fait. Nous venons de recevoir les résultats du vote interne concernant cette question de port-franc. Et en fait, comment dire, le résultat est négatif. C'est-à-dire que nous nous retirons des négociations. Ce projet ne nous intéresse plus. Je suis navré de vous avoir fait perdre du temps. Au revoir.

Elle quitta la visio et laissa la salle dans une ambiance lourde. La présidente Pokka décida de changer cette atmosphère pesante en lançant un nouveau sujet.

Pasi Pokka : Nous sommes navrés, mesdames, mais vues que le Pharois, c'est retirer, nous ne pouvons pas suivre nous non plus ce projet qui serait bien trop coûteux pour nous. Enfin bon, ce n'est pas bien grave. Nous avons encore des sujets à aborder, n'est ce pas mesdames ?
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Deux minutes et trente-deux secondes. C'était le temps qu'avait eu la Présidente pour tout digérer.

Et bien, à vrai dire... ce n'était pas prévu donc cela ne me gêne pas, cependant je suis troublée... mais enfin bon nous étions là pour discuter de l'UNIL, c'est chose faite. Nous vous proposons d'en terminer là, à moins que vous n'ayez quelque chose à ajouter. Vous pourrez soumettre votre candidature.
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