[ATLAS] Questionnaire sur l'automobile

Nombre total de kilomètres de routes goudronnées : environ 600 km de routes goudronnées utilisées.
Toutes situées à Hohhothaï, la quantité de routes goudronnées et actuellement en baisse au profit du pavage progressif des routes, considérées plus durable et moins exigeant en infrastructure (et en pétrole). Les routes à longue distances voyant passer de grands camions restent prioritaires à l'entretien. Il reste dans les fait beaucoup de routes bitumées à Hohhothaï qui son plus ou moins praticables, mais pas entretenues. Les nouvelles routes sont plutôt en terre, gravier, ou pavés.

Part des types de voirie et financement
Voiries urbaines : 0%
Voiries rurales : 0 %
Voies routières secondaires : 20 %, Communauté locale (quartier, tribu, village...)
Voies principales : 35 %, Assemblée municipale de Hohhothaï
Voies “rapides” : 40 %, Assemblée municipale de Hohhothaï
Autoroute : 0 %
Autres : 5 %, généralement des voies industrielles gérées par les équipes qui maintiennent les installations desservies

Le goudron est en général produit artisanalement sur le chantier à partir de composés commandés et stockées collectivement, importations gérées par l'Assemblée Municipale de Hohhothaï.

Ouvrage d’art le plus remarquable : Pas de réel ouvrage d'art important lié au transport routier réalisée par une structure liée à l'Union des Terres australes. La politique des trois régions de l'Union n'ont jamais réellement mis l'accent sur le transport routier depuis qu'elles sont shuhes.

⚖️ Législation :
Existe-t-il un code de la route ?
Non, du moins pas comme on le connait dans d'autres pays. La conduite de véhicule routiers est considérée comme une compétence technique de pilotage et tombe sous le coup de législations professionnelles.

Existe-t-il d’autres législations spécifiques aux mobilités ?
Différentes législations professionnelles, et des règles spécifiques à la traversées (souvent à pied ou à monture) de certaines régions, souvent liées à des accords successifs entre peuples ou à des codes de conduites traditionnels. Typiquement, il n'est pas autorisé d'envoyer un convoi de camions ou de voitures hors des pistes tracées sans avoir l'accord explicite de la Région de Tumgao, la raison étant que cela peut désorganiser un troupeau de buffle ou de chameaux au grand déplaisir des nomades. Des traversées peuvent aussi être limitées pour des raisons de maintien des écosystèmes (forêt hohhothaïenne par exemple) ou de sécurité (zones à fumerolles des Terres australes par exemple).

Existe-t-il un permis de conduire ?
Non, conduire un véhicule routier implique une licence de pilotage, souvent obtenu dans le cadre d'études professionnelles en mécanique, même si la formation à part est possible, mais implique des bases de mécanique. L'exception sont les permis étrangers, notamment les routiers entrant dans la région de Tumgao et Hohhothaï, qui est reconnue comme une licence de pilotage pour conduire, mais pas pour travailler comme conducteur auprès de groupes shuhs, le transport interne sera confié à des pilotes.

Si oui a t-il un système de points ?
Non, les problèmes sont remontées et jugées au cas par cas par les organismes compétents, les erreurs peuvent être auditées comme pour un pilote d'avion.

Quel est l’âge limite pour obtenir le permis de conduire ?
Formation professionnelle, donc rarement avant 16 ans.

Existe-t-il un âge maximal de conduite ? Ou le permis a-t-il une durée limitée ?
Non, mais une licence vaut souvent pour un ensemble de technologies données, si les véhicules routiers connaissent des bouleversements technologiques, de nouvelles formations seraient nécessaires pour mettre à jour la licence et conduire ces nouveaux véhicules. La licence n'a donc pas de durée limitée, mais peut devenir obsolète.

A partir de quel âge l’apprentissage de la conduite est possible ?
En théorie, dès que la personne peut tenir un volant si en compagnie d'un conducteur.

Les infractions routières graves relèvent-elles d’une juridiction spéciale ou de droit commun ?
Association de droit commun et de législations professionnelles, comme pour les avions, on chercherait à connaître la cause des accidents et à auditer les conducteurs. Cela vaut aussi pour les étrangers.

Limitations de vitesse :
Voiries urbaines : 30 à 50 km/h
Voiries rurales : "illimitée", en d'autres termes, il revient généralement, au conducteur de juger des meilleures méthodes de conduite sur une voie donnée, sauf si une indication précise a été données (panneau, ou inscription, ou poteau coloré).
Voies routières secondaires : au choix de la communauté, en général, plutôt vers les 30 à 40 km/h.
Voies principales : 70 km/h, 50 ou 40 par intempéries ou dans les zones fréquentées
Voies “rapides” : Illimitée, la confiance est données au conducteur sur la vitesse de conduite adaptée.
Autoroute : -
Autres : Pour les voies industrielles, aux choix du personnel travaillant sur place

Sens de conduite :
Au choix des conducteurs, la convention dit à gauche à Hohhothaï, à droite à Tumgao

Plaque d'immatriculations :
Identifiant unique à 8 chiffres du véhicule, et en-dessous, une mention de l'institution à qui le véhicule est affilié. A droite, le symbole de l'atelier de fabrication du véhicule.

🚗 Mobilité :
Part de chaque mode de transport :

Urbain :
🚘 Voiture : 2 %
Quelques transports internes à Hohhothaï se font en prenant des passagers dans la voiture de la communauté locale.

🛵 2 roues motorisés : 1 %
Principalement à Hohhothaï et Tumgao

🚇 Métro / tramway : 20 %, un métro est en reconstruction à Hohhothaï, les lignes de train urbain et de tramway combinées sont l'épine dorsale du transport à l'échelle d'une ville, lorsque la marche commence à se faire longue. Ces lignes sont d'ailleurs également utilisées pour le transport de marchandises.

🚲 Vélo : 20 %
Extrêmement utilisée à Hohhothaï, introduit et en expansion à Tumgao

🚶 Marche : 45 %
La marche reste le mode de transport le plus utilisées dans les trois régions pour les trajets quotidiens, notamment aux Terres australes ou les villes sont souvent construites très denses.

Autres : 12 %
Certaines villes et communautés des Terres australes ont installé des téléphériques pour mieux grimper les pentes escarpées, voire les falaises de la Chaîne de Tsaagan, plusieurs communautés sont parfois installées le long de la ligne de téléphérique. Le transport à monture est normal à Tumgao. La navigation maritime locale est très utilisée aussi bien sur le Fjörd des Ankallyt, que dans les réseaux de canaux de Hohhothaï.

Interurbain :
🚘 Voiture : 3 %
Surtout des transport professionnels

🏍️ 2 roues motorisés : 1 %
Principalement des gens qui vont et viennent de Hohhothaï et Tumgao

🚆Train : 35 %
Il s'agit aussi bien des lignes de train étendues des Terres australes que des lignes locales moins importantes de Hohhothaï, la déconcentration de la région de Tumgao, et notamment la construction de la ville d'Oworri marque aussi le début de la construction d'une ligne de train dans la région. Quelques villages, notamment dalganes semblent également être intéressés. A Hohhothaï, les draisines sont très utilisées en milieu rural. Les Terres australes disposent de lignes locales avec des wagons électrifiés, voire des petits trains spécifiquement construits pour des transports ruraux. Il s'agit de l'un des mode de transport à l’intérieur des terres les plus utilisés.

🚌Bus : 30 %
Une bonne part des trajets longue distance, notamment vers les régions rurales, de Hohhothaï et Tumgao, sont réalisés par bus, qui disposent de lignes de transport bien développées.

✈️Avion : 2 %
Toutefois, quasiment pas de trajet en avion, l'hydravion peut être utilisé entre les trois régions, sinon, les régions isolées peuvent être atteintes par dirigeable ou hélicoptère, même si dans le cas des Terres australes, les intempéries sont un problème important qui rendent les voie aériennes peu fiables. Une piste d'aéroport est en réparation à Hohhothaï, il n'est pas prévu que les autres régions voient un aéroport (qui devrait avoir une portée internationale) de sitôt.

⛴️Bateau : 20 %
Si des trajets en bateau avec les villages côtiers, insulaires ou lacustre du coin sont possibles dans les trois régions, le Fjord des Ankallyt est massivement desservi. Un bonne part des trajets de la région se font par bateau. De même pour les trajets entre les trois régions, pour lesquels le bateau reste le mode de transport le plus utilisé.

Indication supplémentaire : entre les populations nomades encore très présentes à Tumgao et aux Terres australes, et les habitudes des ruraux de faire les trajets à pied ou en vélo de village en village, et parfois jusqu'à la ville, (y compris à Hohhothaï), la marche, le vélo et les montures restent encore très représentées dans les trajets interurbains.

🔢 Economie :
Nombre de voitures total : 100 000 véhicules routiers environ, dont 25 000 voitures

Nombre de voitures par habitant : Environ 0.08 voitures
Il y a très peu de voitures en état de fonctionnement sur les terres shuhes, pour des raisons à la fois assez proches et différentes entre les régions. Aux Terres australes, les carburants sont très peu disponible et construire des routes est très, très compliqué, aussi bien à cause du climat que des terres volcaniques instables, lors qu'un ouvrage d'art est à l'étude, les personnes chargées de la planification en profitent pour y installer une voie ferrée, capable de beaucoup plus de transport avec moins de travail et de ressources qu'une route. Certaines pistes sont également destinées à simplifier les voyages de peuples nomade, ce n'est pas pour leur imposer le passage permanent de véhicules routiers. A Tumgao, les populations arrivantes sont généralement pauvres et n'ont pas les moyens se se fournir une voiture, la municipalité de Tumgao considère qu'il est plus simple et efficace de construire des réseaux de transports publics que de fournir des voitures et l’infrastructure qui va avec à chacun des habitants ou des familles). A Hohhothaï, les voitures n'ont jamais été accessibles à une majorité de la population, et réservées à des personnes plutôt aisées, patrons ou classe moyenne (surtout du personnel qualifié). A la Révolution, la voiture a été associé à un mode de vie bourgeois qui maintenait l'exploitation des travailleurs pauvres contre laquelle ils se révoltaient. Les révolutionnaires ont donc une préférence pour d'autres modes de transport plus collectifs. Les autochtones sont également content de ne plus voir leur région envahie du bruit des voitures des ces minorités. Dans les trois cas, les pouvoirs publics et les communautés locales considèrent qu'une adoption de la voiture en masse ne vaut ni les ressources, ni le travail que l'on devrait y investir et préfèrent donc d'autres modes de transport.

Type de voitures :
Micro (voiture sans permis / K Car) : 5 %
Mini (Twingo / C1) : 50 % la majorité des voitures, souvent de petites voitures proches de la 2CV, conçus pour être légères et très robustes, pour rouler sur des routes de terre voire des zones boueuses. Elles les voitures de la plupart des trajets, notamment en zone rurale. Elles sont suffisantes pour la plupart des tâches.
Citadines (Clio /C3) : 6 % usage assez proches des minis, mais avec un peu plus de poids, ce que certains apprécient pour leur plus grande résistance au renversement.
Compactes (Mégane / Golf) : 4 %, ici, ce sont plutôt des voitures utilisées pour le transport à longue distance sur des voies en bon état, des voitures à la fois endurantes et efficaces dans leur usage du carburant
Ludospaces (Kangoo / Nemo) : 2 %
Monospaces (Espace / C4) : 10 %, utilisés à des fins de transport local, notamment de passagers
Berlines (Laguna / Passat) : 0 %
SUV (Captur / 3008) : 0 %
Tout terrain (Defender) : 20 %, très utilisées sur les routes de terre, quand le besoin de voitures de fortes puissances se fait ressentir. Ils sont utilisés notamment pour la traction et le dépannage.
Pick up (Alaskan / Hilux ) : 1 %, utilisés sur les chantiers, et dans certains travaux agricoles, les camionnettes étant toutefois plus utilisées
Les classifications de tailles pouvant différer étant donné la façon dont les véhicules sont utilisés en Shuharri, on est loin d'être précis. Il n'est pas dit que vous ne croiserez aucun véhicule que vous qualifieriez de ludospace ou ou un SUV à Hohhothaï, ou à Tumgao, simplement, les typologies de véhicules utilisés y sont assez différentes.

Part des énergies
⛽ Essence sans plomb : 10 %
🛢️Diesel : 10 %
🔥 Gaz :30 %
⚡ Hybride : 30 %, principalement gaz/électrique
🔌 Électricité : 20 %
Autres : Les carburant les plus a l'étude sont ceux à base d'hydrogène, et ceux à base de biomasse (algues, microbes), le besoin de carburants produits localement sans impliquer de ressources rares se faisant sentir dans les trois régions, surtout les Terres australes.

Nombre de constructeurs nationaux :
3-4 groupements d'ateliers, et quelques dizaines d'ateliers indépendants, souvent liés à une communauté. L'assemblage des véhicules routiers est principalement le fait d'artisans aidés de machinerie d'assemblage voiture par voiture. Chaque véhicule est adapté aux besoins de l'usager. Globalement, il s'agit d'ateliers généralistes qui ne font pas uniquement des voitures.

Part des voitures fabriqués sur le territoire national :[/b]
100 % et exportation, notamment de véhicules personnalisés pour des usages spécifiques (à vocation industrielle par exemple). Les importations existent également, mais globalement, le pays est faiblement exportateur.

🛣️ Infrastructures routières :
Nombre total de kilomètres de routes goudronnées : ≈ 12 000 km

Part des types de voirie et financement
Voiries urbaines : 10% (Collectivités ou Privés)
Voiries rurales : 20% (Collectivités ou Privés)
Voies routières secondaires : 20% (État ou Privés)
Voies principales : 10% (État ou Privés)
Voies “rapides” : 9% (État ou Privés)
Autoroute : 1% (État ou Privés)
Voies fluviales : 30% (Collectivités ou Privés)

Ouvrage d’art le plus remarquable :
Cet ouvrage d’art peut aussi bien être un pont très haut ou mobile, un tunnel très long ou particulier, une route particulièrement complexe à réaliser ou tout autre ouvrage ayant trait au transport routier.

Le pont Sekura Kobayashi est un pont à haubans d'une longueur de 3 600 mètres situé à Siwa et enjambant le fleuve Opaya. Sa construction démarre en 2001 et il est inauguré le 21 février 2005. Son coût est d'environ vingt milliards d'ikkōs. D'une largeur d'environ 20 mètres, le pont comprend quatre voies de circulation ainsi qu'une voie piétonne et une piste cyclable dans les deux sens. Celui-ci compte 56 câbles porteurs ainsi que 74 piliers dont le plus long atteint les 190 mètres de haut.

⚖️ Législation :
Existe-t-il un code de la route ?
Oui, valable sur l'ensemble du territoire maronhien. Celui est plutôt succinct. La circulation est principalement encadrée par des "Agents de circulation", pouvant être motorisés ou non, armés ou non selon leur assignation et leur rang.

Existe-t-il d’autres législations spécifiques aux mobilités ? (code de la rue, code vélo…)
Oui, il existe un code bateau.

Existe-t-il un permis de conduire ?
Oui, il existe même plusieurs permis de conduire sur voies terrestres : permis moto, permis voiture, permis poids lourd.
Il existe également des permis pour les différents types de navires fluviaux (pirogues, etc) et maritimes (jonques, etc).

Si oui a t-il un système de points ?
Non, sont mis en place des systèmes de suspension (période donnée) et de révocation du permis en cas d'infractions graves ou répétées.

Quel est l’âge limite pour obtenir le permis de conduire ?
L'âge minimal pour obtenir le permis de conduire pour moto et voiture est de 17 ans. Pour le permis poids lourd, l'âge minimal est de 23 ans.

Existe-t-il un âge maximal de conduite ? Ou le permis a-t-il une durée limitée ?
Il n'existe aucun âge maximal de conduite.
Cependant, le permis peut être retiré par les autorités compétentes à la demande d'un médecin autorisé.

À partir de quel âge l’apprentissage de la conduite est possible ?
L'âge minimal pour apprendre la conduite accompagnée est de 15 ans (voitures, deux-roues motorisés, navires maritimes). Il est de 13 ans pour les navires fluviaux et de 17 ans pour les poids lourds.

Les infractions routières graves relèvent-elles d’une juridiction spéciale ou de droit commun ?
Les infractions routières graves sont généralement traitées par des tribunaux spécialisés appelés Kōtsū saibansho (Tribunaux de la circulation), qui sont spécifiquement chargés de juger les affaires pénales liées à la circulation routière, y compris les délits de conduite en état d'ivresse et les accidents de la route causant des blessures graves.

Limitations de vitesse :
Voiries urbaines : 40 ou 60 km/h selon la densité de passage
Voiries rurales : Aucune
Voies routières secondaires : 70 ou 90 km/h selon la densité de passage
Voies principales : 110 km/h
Voies “rapides” : 130 km/h
Autoroute : 140 km/h
Voies fluviales : Aucune

Les limites de vitesse peuvent être exprimées dans l’unité de votre choix, en cas d’utilisation du système impérial, d’un système de votre invention ou de tout autre système aérien, maritime) merci de tout de même préciser la vitesse en km/h.


Sens de conduite : À droite.

Plaque d'immatriculations :

Il n'existe qu'un seul type de plaque (275×200) pour tout type de voitures, mais aussi pour les bus, cars, deux-roues motorisés et pirogues. Les couleurs et polices doivent être aux normes afin que la plaque puisse être homologuée.
Les plaques d'immatriculation sont délivrées par l'Office des Titres Sécurisés, un établissement administratif placé sous la tutelle du Département de l'Intérieur. Cet office est responsable de la gestion et de la délivrance des titres sécurisés tels que les cartes grises, les permis de conduire et les plaques d'immatriculation. Lors de l'immatriculation d'un véhicule neuf ou d'un changement de propriétaire, l'office attribue un numéro d'immatriculation unique et émet les plaques d'immatriculation correspondantes, conformément aux normes en vigueur.



🚗 Mobilité :
Part de chaque mode de transport :

Urbain :
🚘 Voiture : 5%
🛵 2 roues motorisés : 14%
🚇 Métro / tramway : 16%
🚌 Bus : 3%
🚲 Vélo : 28%
🚶 Marche : 17%
🐃 Traction animale/ Animal monté : 18%

Les modes de transport préférés en zone urbaine sont principalement le vélo et la moto. Ces derniers sont très populaires en raison de leur praticité, de leur coût abordable et de leur capacité à naviguer facilement dans la circulation dense des villes. Les deux-roues offrent une grande flexibilité et permettent aux habitants de se déplacer rapidement d'un point à un autre. Ainsi, la conduite en zone urbaine peut être chaotique et présenter des défis uniques, en particulier dans la métropole siwanaise. Ces dernières années, l'on observe une nette tendance à l'augmentation du nombre de voitures particulières dans les grandes villes. Avec l'amélioration du niveau de vie et l'essor économique du pays, davantage de Maronhiens ont la possibilité d'acheter des voitures, celles-ci offrant un certain confort et une protection contre les intempéries. Parallèlement, les transports en commun gagnent également en popularité. Les systèmes de métro sont en développement dans les grandes villes comme, principalement celles de la Péninsule du Couchant.

Interurbain :
🚘 Voiture : 14%
🏍️ 2 roues motorisés :4%
🚆 Train : 8%%
🚌 Bus : 2%
✈️ Avion : 3%
⛴️ Bateau : 10%
🛶 Pirogue : 17%
🐃 Traction animale/ Animal monté : 19%

Les modes de transport préférés en zone urbaine sont principalement la voiture et la pirogue. Les voitures, ici pour beaucoup des pick up, offrent une grande flexibilité pour se déplacer sur les routes agitées. Les pirogues sont également très populaires dans les régions reculées de Maronhi. Les pirogues sont souvent utilisées pour de courts trajets locaux tels que se rendre au marché, se rendre au travail ou se déplacer dans les villages voisins. Elles sont appréciées pour leur simplicité, leur faible coût et leur contribution à un mode de vie plus sain. Mais elles sont également utilisées pour des trajets plus longs, et donc alors équipées de moteurs. La conduite en zone interurbaine en Maronhi peut être chaotique et présenter des défis uniques étant donné la fragilité des aménagements en raison des conditions météorologiques, hydrologiques, etc..

🔢 Economie :
Nombre de voitures total : 5 400 000

Nombre de voitures par habitant : 0,29

Type de voitures :
Micro (voiture sans permis / K Car) : 0%
Mini (Twingo / C1) : 0%
Citadines (Clio /C3) : 2%
Compactes (Mégane / Golf) : 10%
Ludospaces (Kangoo / Nemo) : 10%
Monospaces (Espace / C4) + Mini-vans : 15%
Berlines (Laguna / Passat) : 3%
SUV (Captur / 3008) : 8%
Tout terrain (Defender) : 12%
Pick up (Alaskan / Hilux ) : 42%

Les pick up sont les plus privilégiées des voitures en raison d'une part, de leur adaptabilité au terrain difficile de Maronhi, et d'autre part, de la superficie de stockage permise. Cette dernière est principalement utilisée à des fins professionnelles (maraichage, bûcheronnage, transport lourd, etc). De plus, il est assez fréquent de croiser, sur le bord des routes maronhiennes, des pick up à l'arrêt ou non loin de modestes échoppes de fortune, où sont vendus les dernières récoltes. Les véhicules tout terrain sont également bien présents sur le territoire, toujours pour l'adaptabilité au terrain. Pour ce qui est de la côte et des zones plus urbanisées, les monospaces et mini-vans sont nettement privilégiés, les familles maronhiennes étant nombreuses, bien que les déplacements restent rares en comparaison d'États aussi développés, la raison étant principalement l'ultra-concentration des routes, et plus largement des activités humaines, sur certains points de la côte maritime ou des grands fleuves..

Part des énergies
⛽ Essence sans plomb : 50%
🛢️ Diesel : 32%
🔥 Gaz : 10%
⚡ Hybride : 0%
🔌 Électricité : 0%
🌱 Bioéthanol : 8%

Il n'existe aucune tendance pour les voitures électriques ou hybrides. La construction automobile étant

Nombre de constructeurs nationaux : 2

• Koyoshi : Pick up / Tout terrain
• Ashuna : Citadines / Compactes / Ludospaces / Monospaces

Les constructeurs maronhiens visent le public large, faisant de la sobriété leur mot d'ordre.



Part des voitures fabriquées sur le territoire national :

Près de 86% des voitures présentes sur le sol maronhien en sont également originaires.
Sont principalement importées des berlines ainsi que des SUV, en provenance du Nazum ou du supercontinent auleucio-paltoterran.
La part de voitures maronhiennes présentes sur le territoire national est cependant en baisse, les constructeurs nationaux étant connus pour la sobriété presque pauvre de leurs véhicules.