Le premier mondial de Béhourd est en préparation, aussi la toute nouvelle fédération internationale de Béhourd vient elle de lancer un recensement des clubs nationaux. Les pays intéressés par ce sport authentique et viril peuvent remplir le formulaire fourni en bas de ce petit document explicatif. La qualité et même l'existence de cette compétition dépendront essentiellement du nombres d'inscrits. Jusqu'à présent, Prima ne se souciait pas du monde se contentait de ses équipes et affrontement, mais depuis que l'UMT a atteint une notoriété et une puissance aussi considérable et que Prima s'est lancée ouvertement dans une démarche d'influence en faveur de l'Ancien Monde, de sa culture et de sa civilisation, la mondialisation est devenue une nécessité. La fédération mondiale de Béhourd est Organisation non gouvernementale primaine.
Comme notre sport n'est pas le plus connu ni le plus pratiqué, nous allons commencer par le décrire. Le béhourd, sport primain par excellence, est un sport de combat dans le cadre duquel deux équipes armées et armurées selon des considérations historiques s'affrontent en combat de mêlée. Les armes sont émoussées et privées de leurs pointes, et les armures, dans leurs parties non visibles, sont volontiers renforcées par le moyen de technologies modernes.
Les combats se passent dans une lice, c'est à dire un espace de forme carré bordé le plus souvent par une solide barrière de bois. Chaque équipe commence l'affrontement en investissant l'un des deux cotés de la lice. Il y a un arbitre par coin et un arbitre sur le terrain. Les arbitres ne sont armés que d'un bâton et ne sont pas armurés, il est capital pour eux de savoir se positionner, ni trop proche, ni trop loin de la mêlée. Le bâton de l'arbitre est symbolique et sert davantage à marquer une séparation entre les joueurs qu'à se battre. Il est d'usage que les arbitres soient habillés en tenu traditionnelle ou historique.
le combat commence, on voit la lice du coté d'un des deux camps
Les deux équipe commencent le combat en nombre égal et les joueurs sont éliminés au fur et à mesure de l'affrontement jusqu'à ce qu'il ne demeure plus qu'une seule équipe en lice. Les éliminés ne quittent pas le terrain, ils restent au sol, immobiles et désarmés. Un joueur est éliminé quand il tombe ou passe à plus de deux appuis. Il faut gagner trois affrontements pour être gagnant, aussi une rencontre peut avoir entre trois et cinq joutes.
En ce qui concerne les coups, comme nous l'avons dit il faut se battre avec des armes réelles mais dont la lame est volontairement émoussée et la pointe volontairement arrondie, il n'est pas permis de donner des coups d'estoc, de viser sciemment les articulations et défauts de l'armure, ni de se battre à main nue, si l'on est désarmé il faut aller chercher une arme du coté de la lice qui appartient à son équipe.
En béhourd la blessure est courante et attendue.
Dans ce sport d'hyper violence, une obéissance parfaite aux arbitres est exigée, les éliminations des joueurs arrivent rapidement en cas de manquement à l'arbitre, lequel, rappelons le n'est pas armuré et seulement armé d'un bâton. Les blessures graves sont des choses ordinaires en Béhourd, notamment les fractures, mais tout est mis en œuvre pour limiter au maximum les morts ou les blessures permanentes. La plupart des accidents gaves ou mortels sont évités grâce à l'inspection minutieuse des armures et des armes que font les arbitres avant chaque rencontre.
Rappelons enfin que ce sport est tellement viril qu'il est considéré en Prima comme une des modalités possibles de duel entre hommes pour réparer les affronts ou régler certains différents juridiques graves et éviter ainsi la tragique et toujours meurtrière guerre privée. En Prima, par ailleurs, le Béhourd est un sport national que pratique toute la noblesse mâle en age de le faire, il y a donc des millions de pratiquants, dans installations en conséquence et une couverture médiatique considérable. Enfin, en Prima, la pratique du béhourd est rigoureuse interdite aux femmes, lesquels sont faites pour l'amour et la vie plutôt que pour la guerre et la mort (le sport national féminin étant lui-même presque aussi populaire mais n'ayant rien à voir puisque c'est le très classique Volley Ball).
Les combats se passent dans une lice, c'est à dire un espace de forme carré bordé le plus souvent par une solide barrière de bois. Chaque équipe commence l'affrontement en investissant l'un des deux cotés de la lice. Il y a un arbitre par coin et un arbitre sur le terrain. Les arbitres ne sont armés que d'un bâton et ne sont pas armurés, il est capital pour eux de savoir se positionner, ni trop proche, ni trop loin de la mêlée. Le bâton de l'arbitre est symbolique et sert davantage à marquer une séparation entre les joueurs qu'à se battre. Il est d'usage que les arbitres soient habillés en tenu traditionnelle ou historique.
Les deux équipe commencent le combat en nombre égal et les joueurs sont éliminés au fur et à mesure de l'affrontement jusqu'à ce qu'il ne demeure plus qu'une seule équipe en lice. Les éliminés ne quittent pas le terrain, ils restent au sol, immobiles et désarmés. Un joueur est éliminé quand il tombe ou passe à plus de deux appuis. Il faut gagner trois affrontements pour être gagnant, aussi une rencontre peut avoir entre trois et cinq joutes.
En ce qui concerne les coups, comme nous l'avons dit il faut se battre avec des armes réelles mais dont la lame est volontairement émoussée et la pointe volontairement arrondie, il n'est pas permis de donner des coups d'estoc, de viser sciemment les articulations et défauts de l'armure, ni de se battre à main nue, si l'on est désarmé il faut aller chercher une arme du coté de la lice qui appartient à son équipe.
Dans ce sport d'hyper violence, une obéissance parfaite aux arbitres est exigée, les éliminations des joueurs arrivent rapidement en cas de manquement à l'arbitre, lequel, rappelons le n'est pas armuré et seulement armé d'un bâton. Les blessures graves sont des choses ordinaires en Béhourd, notamment les fractures, mais tout est mis en œuvre pour limiter au maximum les morts ou les blessures permanentes. La plupart des accidents gaves ou mortels sont évités grâce à l'inspection minutieuse des armures et des armes que font les arbitres avant chaque rencontre.
Rappelons enfin que ce sport est tellement viril qu'il est considéré en Prima comme une des modalités possibles de duel entre hommes pour réparer les affronts ou régler certains différents juridiques graves et éviter ainsi la tragique et toujours meurtrière guerre privée. En Prima, par ailleurs, le Béhourd est un sport national que pratique toute la noblesse mâle en age de le faire, il y a donc des millions de pratiquants, dans installations en conséquence et une couverture médiatique considérable. Enfin, en Prima, la pratique du béhourd est rigoureuse interdite aux femmes, lesquels sont faites pour l'amour et la vie plutôt que pour la guerre et la mort (le sport national féminin étant lui-même presque aussi populaire mais n'ayant rien à voir puisque c'est le très classique Volley Ball).
Afin de bien préparer la compétition internationale, la fédération internationale de Béhourd demande à tout les clubs nationaux qu'ils renseignent le formulaire que voici :
Nom du pays :
Armoiries et couleurs de l'équipe :
Description du club (succincte) :
Niveau du club de Béhourd : est égal à (Escrime + lutte + musculation) /3 (facultatif, sera fourni par les animateurs si vous n'avez plus vos valeurs en tête)
Popularité de ce sport dans votre pays :
Armoiries et couleurs de l'équipe :
Description du club (succincte) :
Niveau du club de Béhourd : est égal à (Escrime + lutte + musculation) /3 (facultatif, sera fourni par les animateurs si vous n'avez plus vos valeurs en tête)
Popularité de ce sport dans votre pays :
Notez qu'il vous est possible d'avoir une section féminine et des sections pour les mineurs, simplement la FMB ne les reconnaitra pas.
Jean du Pont sur la Bold
hérault royal de Prima
Président de la FMB