12/08/2013
11:10:15
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[1ère rencontre] Réunion de l'UNIL, dont la date sera celle de la fin de la réunion

K

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OUVERTURE DE LA PREMIERE REUNION DE L'UNIL


Mme GASPAR Josepa : Et bien, bienvenue à tous ! Pour tous ceux qui n'avaient jamais mis les pieds en Milouxitania, j'espère que le voyage n'aura pas été trop long et que ce pays vous plait. Mais j'ouvre sans attendre la première réunion de l'UNIL ! Nous avons beaucoup de sujets à discuter aujourd'hui !

Mr. TRAVES Roger : Et à commencer par la candidature pour l'adhésion d'état-membre de la République Démocratique Fédérale de Finnevalta et de la République Fédérale d'Uusimaa, et celles pour devenir état-partenaire du Duché de Gallouèse et de la Nation Communiste de Loduarie. De plus, le gouvernement de la République Laïque et Fédérale du Milouxitania, dont je suis l'un des représentants, aimerait poser sur la table la question de l'interdiction d'entrée des nations membres de l'ONC, de l'UNCS et de l'UMT. Nous aurons également l'occasion de parler d'éventuelles revendications d'autres gouvernements, ainsi que l'idée de cette même République de la création d'une section environnementale, et enfin discuter de notre première action concrète, vu que notre manque de précision est un sujet qui a beaucoup fait débat ces derniers temps.

Le vieil homme de 84 ans, doyen de la politique milouxitane, dut reprendre son souffle et boire un demi-litre d'eau afin de ne pas succomber à ces cinq minutes de prises en parole en continue. Cela fit sourire quelques personnes dans la salle, mais cet homme était très apprécié au Milouxitania et beaucoup admirait sa longévité politique, lui qui avait commencé à l'âge de 21 ans.
Mr. BALTA Rodolf : Je pense que nous devons commencer par le plus simple : la candidature de la Loduarie. Je suis personnellement formellement contre. En effet, le gouvernement loduarien est ouvertement militariste, ce serait le comble de l'accepter, ne serais-ce en état-partenaire ! Qui plus, cela ne ferait qu'enterrer l'organisation à tout jamais... Qui voudrait adhérer à une organisation prônant la paix et qui acceptes dans ses rangs la Loduarie ? A l'avenir peut-être, mais aujourd'hui nous ne pouvons pas ! Nous serions ridiculiser à l'internationale et cela signifierait la disgrâce. Cependant, concernant les trois autres que sont le Finnevalta, la Gallouèse et l'Uusimaa, je pense que cela serait une idée formidable ! Trois nations démocratiques, pacifistes et non liberticides !
MONSIEUR XAVIER ISLEROND
"Merci de nous recevoir pour ce premier Conseil Décisionnel.
Pour commencer, mes collègues sont un peu étonnés par la candidature de la Loduarie. La République de Saint-Marquise que nous représentons a certes une relation amicale avec cette nation mais sa candidature est un peu une surprise pour nous."


Après les paroles de Xavier Islerond, une dame d'une trentaine d'années, prit la parole.

MADAME CHRISTINE WALTOUR
"Je suis d'accord, la Loduarie qui candidate pour intégrer l'UNIL, cette organisation qui prône la diplomatie et la liberté alors que la Loduarie est le pays le plus militaarisé du continent eurysien.
Pour le moment vous aurez un NON de la part des membres de Saint-Marquise, si il y aurait vote pour son adhésion. "


Elle regarda ses collègues qui étaient d'accord avec elle sur le cas de la Loduarie pour son adhésion à l'Organisation.


Mme. Cassandre Samodig :
Les représentants Fjøllskotiens se sont réunis avant cette réunion pour la préparer. Nous souhaitons donc vous informer de notre voie quant à la candidature de la Loduarie Communiste à l'UNIL. À 7 contre, 2 pour et 1 vote blanc, nous votons ainsi contre l'adhésion de la Loduarie Communiste à l'UNIL pour, je cite : "Bien que nous aillons établi des relations cordiales avec cette nation, le fait que ce pays soit présent dans de nombreux conflits est une barrière pour l'adoptien de la Loduarie Communiste au sein de l'UNIL. La démilitarisation progressive du pays pourrait nous permettre d'accepter cette candidature d'ici peu.". Je laisse la parole à Monsieur Liv Frafjorden pour la suite.

M. Liv Frafjorden :
Pour les autres candidatures nous ne nous y oppositions pas. Nous souhaitons ajouter un point supplémentaire sur Uusima. En effet, l'ouverture de canaux diplomatiques avec cette nation nous permet de voir que cette nation est volontaire et pourra réellement participer au sein de l'UNIL en tant que membre essentiel.
Lorenzo Vadesco prit la parole pour la Malévie. Ayant fait une étape à la Commission d'Adhésions à Sorlane en venant, il avait tous les dossiers sous sa main et connaissait les détails des pays candidats par coeur. Ce n'était pas un personnage conventionnel, car il avait l'habitude d'être très précis, presque au-delà du nécessaire.

"Tout d'abord, j'aimerais prononcer au nom de la Malévie le respect et l'admiration que nous avons pour ce rassemblement de nations qui a su résister aux tendances autoritaires et bellicistes de notre temps. Cette première réunion, dans laquelle Malévie est fière d'être représentée, n'est qu'un début dans le long combat vers un processus de paix dans le monde.

Venons maintenant à l'essentiel. La Malévie partage l'opinion de la majorité des États présents: La Loduarie n'a pas de place dans cette organisation, même pour n'être seulement un état-partenaire, tant qu'elle n'adapte pas son État aux valeurs de la paix et de la liberté. La nature de son fonctionnement actuel est une antithèse à la charte que nous avons tous signés à Neffies.

Ensuite, la politique malévienne face aux adhésions d'État-membres est assez simple. Étant donné que le statut d'état-membre est quasiment définitif, nous sommes généralement réticents d'accorder notre vote aux nouveaux pays. En l'occurence, nous connaissons très bien le Finnevalta, par le Libéralintern et des échanges diplomatiques constructifs; nous voterons donc en faveur de l'adhésion d'État-membre de ce pays à l'UNIL. La république fédérale d'Uusimaa en revanche ne nous inspire pas encore assez de confiance pour ce vote. Néanmoins, son profile nous semble parfaitement compatible avec l'UNIL et c'est pour cela que nous proposons de lui accorder le statut d'état-partenaire, provisoirement. Si le pays d'Uusimaa s'avère être un partenaire fiable, la Malévie est tout à fait d'accord pour changer sa décision dans un deuxième temps.
Mr. RAMIS Eliseu : Quant au Milouxitania, cela dépendra vraisemblablement des membres. Pour ma part, étant fervemment anti-communiste, je ne suis pas spécialement...

Mr. Nèstor Fijo lui coupa la parole, lui qui est membre du Parti Anarchiste en Milouxitania.

Mr. FIJO Nèstor : Votre haine du communisme n'a pas lieu d'être dans cette enceinte, Mr. Ramis ! Nous savons tous à quel point l'ANM, (le Rassemblement de la Nation Milouxitane), fait jouer sa politique ! Notre parti pense que la Loduarie pourrait faire un bon parti : étant responsables ou faisant parti de la moitié des guerres du monde, cela les obligerait à se calmer et à ce pacifier un peu !
M. Tom Libouilski :
Je pense en effet que la Loduarie viendrait à se pacifier en entrant à l'UNIL.

M. Panak voyait que si l'on continuait comme ça, la situation s'éterniserait et l'on ne pourrait pas passer au prochains sujets.

M. Evan Panak :
Je propose que chaque état membre fasse lui même un vote pour chaque candidature, puis afficher ensuite les résultats par pays, et les comparer pour juger quel pays entrera ou non, à la majorité absolue.
Mme. GASPAR Josepa : Les procédures imposées par la Charte fondatrice seront respectées. A la fin de cette séance, chaque représentant votera pour ou contre l'adhésion des pays concernés. Et je rappelle évidemment qu'en tant que représentants de partis politiques divers, tous les représentants d'un même pays ne sont pas obligés de voter la même motion. Donc à moins que quelqu'un ait quelque chose à ajouter sur le cas de la Loduarie, qu'il le fasse, sinon passons aux autres candidatures qui font moins polémiques. Pour ma part, je pense qu'il est encore trop tôt, que l'UNIL est encore trop jeune pour tenter un tel risque. l'adhésion de la Loduarie, au vu de la situation géopolitique actuelle, serait un vrai jeu de hasard : ça passera ou ça cassera. Or aujourd'hui je ne pense pas être prête, personnellement, à prendre ce risque.

Concernant les autres candidatures, celle du Finnevalta me semble tout à fait adéquat. Concernant l'Uusimaa, comme le dit notre confrère malévien, il faut se pencher un peu plus sur leur cas, quoique je ne vois pas spécialement d'obstacles à une adhésion en tant qu'état-membre. Et enfin, pour la Gallouèse, leur participation importante à l'ONC "Amnestie" prouve qu'ils sont préoccupés par les affaires de libertés. Je voterai pour, personnellement.
Madame Sarah Leclerc, Haut-Commissaire

"Je peut vous résumer la position travienne discutée en assemblée."
Elle sortit alors un papier de sa sacoche.
"En somme, nous sommes sur la même longueur d'onde que la majorité des représentants ici présents. Le cas de la Loduarie est complexe en raison de la situation du pays. Notre Union à, entre autres objectifs, de promouvoir la paix et la liberté. Il serait tout de même intéressant de discuter avec la Loduarie sans pour autant l'inclure au sein de l'organisation.
A l'inverse, les autres candidatures sont plutôt simples à répondre. Nous sommes, pour la majorité, favorable à l'adhésion de la République Démocratique Fédérale de Finnevalta et à celle de la République Fédérale d'Uusimaa. Nous sommes aussi en accord avec le souhait du Duché de Gallouèse de devenir Etat-partenaire.
Étonnée de voir le "dossier le plus simple" abordé en premier, Mme. Qiu Wuying, proche des anarchistes hohhothaïens, avait rapidement jeté un œil à ses notes et réorganisé ses pensées. elle finit par prendre la parole :

"La Loduarie est longuement impliquée dans différentes guerres et tends à intervenir militairement dans des situations où cela semblerait inévitable. Clairement, l'état lodurien contrevient pour le moment aux préceptes défendus par l'UNIL, mais ces derniers, de défense de la paix, implique que l'on a besoin d'être reconnu par les pays qui mène ces conflits. La Loduarie communiste demande à prendre un statut d'état-partenaire à l'UNIL quand bien même cela implique un droit de regard sur son activité militaire, la demande à négocier un conflit, voire des possibilités d'interventions armées sur le terrain. Qu'un pays en conflit tel que la Loduarie demande à reconnaître l'UNIL pourtant conçue de manière assez autoritaire est assez inespérée, et rien interdit à un état de l'UNCS de devenir état-partenaire de l'UNIL. Moi, Wuying Qiu, soutiens l'admission de la Loduarie communiste en tant qu'état-partenaire"


Mr. Han Hong, aussi révolutionnaire à Hohhothaï, entra dans le débat :

"La candidature loduarienne, même si recevable, dispose d'une faille importante : tout le monde sait que la Loduarie ne peut être considéré comme un état de droit sous aucun critère de mesure. Et pourtant, ils le disent. De manière générale, de fortes présomptions pèsent sur cette candidature concernant l'omission d'informations importantes, voire de réels mensonges, et je ne suis pas sûr que la Loduarie comprenne ce qu'implique une adhésion à l'UNIL comme nous la comprenons, même en tant qu'état-partenaire. Je recommande la méfiance concernant cette candidature et un travail d'enquête sur la doctrine militaire et diplomatique de la Loduarie communiste"


La Pèlèe tumgaone, Essien Abrefa, prit une longue inspiration, puis parla à son tour :

"Autant faire les candidatures rapidement, pour le plus simple : je soutiens la candidature au statut d’État-partenaire de la Gallouèse, rien ne s'y oppose. Je soutiens également l'adhésion du Finnevalta et de l'Uusimaa, au statut d'état-membre. Ces deux pays sont plutôt paisibles, ne contreviennent à aucune règle de l'UNIL, on des positions politiques et diplomatiques assez différentes pour maintenir un rapport de force équilibré au sein de l'UNIL, je donne mon accord à leur intégration en tant qu'état-membre. Pour ce qui est de la candidature de la Loduarie, je donnerais mon désaccord : ce pays est considéré impérialiste à l'international et si accueillir un pays impérialiste parmi nos états partenaires pourrait se justifier, il n'est pas garanti du tout que cela soit considéré comme tel à l'international. Aucun pays ici présent à part une partie des représentants shuhs ne semblent soutenir cette candidature, nous savons toustes qu'elle sera refuser, continuer de la discuter n'a donc peu de sens. Donc oui pour la Gallouèse, le Finnevalta et l'Uusimaa, non pour la Loduarie, l'UNIL est trop jeune pour l'accueillir"


Mme. Iena Kuori, issue de la technocratie shue, qui avait déjà été parmi les experts planifiant les activités de la ville de Qikiqtaniistoq, et assurant sa survie année après année, prit la parole à son tour :

"J'accorde mon soutien à l'octroi d'un statut d'état-membre de l'UNIL à la République Fédérale d'Uusimaa et à la République Démocratique et Fédérale de Finnevalta, jaccorde également mon soutien à l'octroi d'un statut d'état-partenaire de l'UNIL au Duché de Gallouèse. Je n'accorde pas mon soutien à l'octroi d'un statut d'état-partenaire de l'UNIL concernant la Nation Communiste de Loduarie, notamment dans la mesure où la pression internationale et les dissentions internes à l'UNIL la rends actuellement inapte à l'accueillir en tant qu'état-partenaire à l'UNIL. Je considère toutefois que la question doit être discutée, que la décision pourrait être différente à l'avenir, et par conséquent, recommande que l'enquête concernant la doctrine militaire, diplomatique, et je rajoute, économique de la Nation Communiste de Loduarie, soit menée et qu'un travail de prospective soit faite. J'appelle également les alliés à adopter une posture calme et modérée vis-à-vis de la Nation Communiste de Loduarie, qui sait si un jour nous n'aurions pas intérêt à établir des liens avec eux"

La représentante issue du peuple nomade thuranni Munkhtsetseg Marai, voulant ajouter quelque chose, prit la parole

"On s'accorde aux autres concernant le Finnevalta, Uusimaa et la Gallouèse, nous soutenons un refus de la Loduarie associé à une enquête concernant les stratégies et tactiques de ce pays. Nous considérons toutefois le dirigeant loduarien peu fiable et relativement dangereux. La Loduarie Communiste reste un pays fortement autoritaire, nous recommandons de traiter ses représentants avec courtoisie, mais méfiance. Nous aimerions porter à l'ordre du jour la fondation d'une nouvelle institution de l'UNIL : une institution dotée d'une armée d'intervention clairement définie, et de ressources pour mener des opérations de contre-insurrection et fournir un soutien humain et matériel à des pays en situation de crise humanitaire ou dérivant vers une crise humanitaire. Nous considérons la solidarité internationale comme un pilier important de la désescalade guerrière et si nous nous donnons pour mission de défendre la paix mondiale, encore faut-il se doter d'outils clairs et compris à l'international pour atteindre nos objectifs".
Mme. Anna Butjosa (AM, Rassemblement de la Mer) : Notre parti est assez d'accord concernant une possible adhésion d'état-partenaire de l'UNIL. Si cela peut nous permettre d'avoir un meilleur coup d'oeil... Mais nous verrons cela lors du vote final. Concernant les trois autres états, je serais surprise que leurs candidatures soient rejetées au vu de ce qui a été dit sur leur sujet. Ils ont chacun une ligne politique différente qui permettent, comme l'ont dit nos camarades shuhs, de maintenir un équilibre essentiel dans notre organisation.
Mais, je ne suis pas sur de comprendre... Mme. Marai, vous voulez parlez d'une force d'intervention, donc somme toute d'une armée, liée à l'organisation ? Cela est une idée, effectivement, et rentre dans les termes de la charte fondatrice.
Munkhtsetseg répondit :

"Une telle institution comportera entres autres une armée centralisée, mais pas seulement. L'idée d'une coalition armée dédiée à l'UNIL permet de répondre à la disposition figurant dans le traité de Neffies permettant une intervention de pacification armée. Pour le moment, il est implicitement admis que cette intervention serait menée par les états-membres de l'UNIL, ce qui implique des armées relativement importante et un regard limité sur la quantité de personnes et de matériel qui pourrait intervenir, ou encore, sur les conditions d'intervention, qui pourraient dépendre de l'intérêt de chaque état membre. Ainsi, l'UNIL admet être prêt à utiliser la force pour mener une opération de pacification, mais avec une armée mal définie et possiblement massive, ce qui peut nous valoir des soupçons d'impérialisme ou une réticence à reconnaitre l'UNIL. Disposer d'une force coalisée d'intervention aux moyens et aux missions définies clairement à l'avance nous permettrait de la faire intervenir dans des opérations de contre-insurrection sur une décision internationale selon des règles connues de tous. L'idée serait une coalition d'armées dédiée contenant 1000 ou 2000 guerriers par membre, dédiée à la contre-insurrection, pouvant intervenir avec l'accord des états concernés ou des populations concernées. Et il serait aussi question d'accueillir des ingénieurs, des travailleurs humanitaires, des logisticiens, des diplomates dédiés, des interprètes, des opérateurs radio et télécom, et tout ce qu'il faut pour désescalader un conflit. Cette institution permettrait de stabiliser un conflit dans une région donnée, ce qui peut impliquer une intervention armée, mais aussi la mise en place de services publics et d'infrastructure de base permettant aux habitant de retrouver un semblant de normalité, l'installation de zones neutres permettant non seulement des médiations de paix, mais également la simple rencontre entre les populations. Le but de la contre-insurrection est de rendre la paix envisageable, voire souhaitable, parmi toutes les factions considérées"
Mme Anna Butjosa : Mmh... Tout bien considérée cette proposition me semble plus que recevable. L'armée milouxitane est encore largement sous-développée, nous travaillons d'arrache-pied pour y remédier mais ça prend du temps. Cependant nous sommes parfaitement capables de répondre aux besoins évoqués ici. Voudriez-vous procéder à un dressement plus précis des engagements de chaque état-membre en même temps de voter pour les candidatures ?
Mme. Josepa GASPAR : Et bien sinon, je vous propose à tous de voter pour les candidatures. Pour rappel, chaque représentant doit voter pour ou contre la candidature au statut d'état-membre du Finnevalta et de l'Uusimaa, et au statut d'état-partenaire de la Gallouèse et de la Loduarie. Les candidatures rassemblant plus de 50% des voies seront soumises au vote des états-membres, à raison d'une voie par état-membre. Nous vous laissons donc voter.

Résultat des votes des représentants du Milouxitania

1. République démocratique fédérale du Finnevalta

Pour : 8
Contre : 2

2. République Fédérale d'Uusimaa

Pour : 9
Contre : 1

3. Duché de Gallouèse

Pour : 6
Contre : 4

4. Nation Communiste de Loduarie

Pour : 3
Contre : 7
RÉSULTATS DU VOTE DES REPRÉSENTANTS
DE SAINT-MARQUISE


ERIC WARTONE
"Voici le vote des représentants de la République de Saint-Marquise sur les adhésions des nations suivantes à l'Union des Nations Indépendantes et Libres : "

1. RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE FÉDÉRALE DU FINNEVALTA
POUR : 7
CONTRE : 3

2. RÉPUBLIQUE FÉDÉRALE D'UUSIMAA
POUR : 9
CONTRE : 1

3. DUCHÉ DE GALLOUÈSE
POUR : 10
CONTRE : 0

4. NATION COMMUNISTE DE LODUARIE
POUR : 1
CONTRE : 9
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