08/07/2013
16:23:36
Index du forum Continents Nazum Esperantujo

Presse Officielle ! “Espera Novaĵoj”

Voir fiche pays
694
Journal

Bonjour! Nous sommes heureux d'annoncer que la presse officielle du pays est ouverte! Tous les mois, il y aura un résumé des actualités du pays, de manière organisée.
Chaque articles débutera avec une grosse actualité, la plus importante, puis ce sera deux faits divers qui vous serons présentés avec respectivement: un fait divers comme on l'entends, puis une curiosité culturelle en rapport avec l'actualité, où le journal s'introduira dans des projets des habitants du pays pour que les lecteurs découvrent des associations, des éléments d'histoire où tout simplement des personnes hors du commun!
Le journal se clôturera sur un mot aux lecteurs.


N'oubliez pas d'aller à la toute dernière page, au dernier article de ce post pour voir les dernières nouvelles!

- Le président du journal, Mr Johano Gazetestro.
auteur a écrit :
NEWS

Voici le journal du 15 avril. Au programme, une prise de parole du président réagissant à ce qui se passe à Port-Hafen, un crash de cesna, et une rencontre, plus sereine, avec le “maître des étoiles” de Maraurbo.


Une des journaux

Un cesna de touristes s’écrase peu après le décollage, à quelques mètres des zones résidentielles de Vojurbo

Triste journée pour cette famille de 2 enfants venus du grand Kah pour un séjour en Esperantujo. Les deux adultes et le pilote sont décédés à cause du crash, les deux enfants sont hospitalisés à Vojurbo. L’avion s’est écrasé à 6 heures 30 du matin, à quelques pas de zones de résidence. L’association de l’aéronautique ainsi que le centre de recherche aéronautique enquêtent sur l’origine de l’accident. En tout cas, nous avons rencontrés David Kalduno et Maria Bluaĵo, un couple de retraités vivant à exactement 10m du crash.
"Nous avons été réveillés par un bruit assourdissant à 6h du matin. Nous sommes sortis immédiatement et avons vu l'avion en flammes à quelques pas de chez nous. Les secours sont arrivés rapidement et ont pris en charge les enfants qui semblaient choqués. Nous sommes encore sous le choc de ce qui s'est passé si près de chez nous. Nos pensées vont aux victimes et à leurs familles."
Le pilote s'appelait Jenaro Flugisto et exerçait depuis 6 ans selon sa femme.
“Le cessna utilisé était à priori assez vieux et usé. En tout cas, il n'était pas conforme aux nouvelles réglementations” affirme le président de l’association du tourisme aérien de l’Esperantujo.
“Cet accident va amener de nouvelles règles, et plus de rigueur sera essentielle parmi le personnel prenant en charge des avions comme ceci.”
Que nos pensées et nos prières accompagnent les proches des victimes en ces moments difficiles.


Faits divers

Bien que cette section soit appelée Faits Divers, l'article qui suit est un fait assez important tout de même.

Samuelo Lumino condamne l’intervention de l’armée Listonienne à Port-Hafen.

A quelques pas de l'élection présidentielle, Samuelo Lumino a décidé de s’exprimer sur ce qui c’est passé à port Hafen lors de ses discours quotidiens du mercredi matin. Bien que l'invasion de Port-Hafen ne concerne pas directement notre pays, le chef de l'État a souligné l'importance de la paix et de la stabilité dans le monde.

"Nous condamnons avec la plus grande vigueur cette utilisation de la force qui va à l'encontre des principes de paix et de diplomatie que nous promouvons. Nous exprimons notre solidarité envers les habitants de Port-Hafen en ces moments difficiles.", a déclaré le président Lumino.
"Tout conflit aura des répercutions mondiales. Même si cela ne touchera pas forcément directement les autres pays, des événements comme cela rappellent à quels dangers est confronté le monde et que la paix peut être troublée ainsi du jour au lendemain."
Le président Lumino a conclu son discours en rappelant la position de l'Esperantujo en faveur du dialogue et de la coopération internationale pour parvenir à des résolutions pacifiques et durables.

En cette période critique, où les événements internationaux suscitent de vives préoccupations, l'Esperantujo se prépare également à un moment important de sa vie politique : les élections législatives approchent à grands pas. Les citoyens de l'Esperantujo auront bientôt l'occasion d'exprimer leur choix démocratique et de décider du futur de notre pays.


Faits divers

Rencontre avec le “maître des étoiles” de Maraurbo.

Aux zones résidentielles de la ville de Maraurbo, une rencontre hors du commun avec un habitant passionné a laissé une empreinte indélébile sur notre esprit. Joachim Lumeno, connu localement sous le surnom de "Maître des étoiles", nous a ouvert les portes de son observatoire, situé en haut de la colline voisine, pour partager son amour profond pour l'astronomie.
Joachim, un homme à la barbe grisonnante et aux yeux pétillants, a consacré la majeure partie de sa vie à étudier les constellations, les planètes et les phénomènes célestes. Dans son observatoire, où se mêlent télescopes sophistiqués et cartes célestes, il nous a guidés à travers les mystères de l'univers.
Cette passion pour les astres, il l’as tient de famille. Depuis longtemps, Maraurbo est connu pour posséder une communauté de passionnés de constellations. Joachim nous a raconté comment les anciens habitants de Maraurbo, ont cultivé cette relation intime avec le ciel. Pour eux, les étoiles n'étaient pas seulement des points lumineux dans le ciel, mais des guides, des conteurs et des messages divins.
Mais cela vient également des populations locales environnant la ville: dans les XVIIIe et XIXe siècles, les habitants ont longtemps questionné les Ranguiniens sur ce ciel qui les intriguait tant. Alors tous les récits mythologiques se sont liés à quelques sciences astrologiques et ainsi est né cette communauté de théoriciens du ciel.
Mais ce n’est pas qu’un simple passionné des astres: ancien professeur de physique, il est le fondateur de l’association “asocio de amikoj de la steloj”, fondée en 1975. Il a rencontré le président Jesuo Rodrigues la même année, rencontre que le président a beaucoup apprécié.
C’est lors de la mort de sa fille, en 1978, qu’il s’est mis à la voir dans le ciel. Alors il rencontra les populations locales pour échanger sur des théories, qu’il nota dans des articles de journaux: dans la presse sortait tous les vendredis une rubrique sur les mythologies des astres, et ce jusqu’en 1988.
Joachim écrivit un livre avec tous ses écrits, qui fut très célèbre dans le pays, et même à l'international. Ce fut une mine d’or pour les mythologues du monde entier.
À travers ses observations astronomiques, Joachim a su revitaliser cette connexion profonde entre la mythologie et les cieux étoilés. Chaque mois, il organise des nuits d'observation pour les habitants de l'île, partageant les histoires et les mythes liés aux constellations, tout en encourageant les jeunes générations à s'intéresser à la science et à la culture de leur terre natale.
Alors nous vous encourageons vivement à y participer! D’ailleurs dans quelques jours sera diffusé un documentaire sur la 1ère chaîne TV, sur les mythes liés aux étoiles. Seront interviewés Joachim, d’autres membres de l’association et des Ranguiniens.

Joachim

Autre / Mots du journal

Mot du journal
En ces temps troublés où beaucoup de choses sont à prévoir, nous vous invitons vivement à prendre du temps dans votre journée pour vous sortir du quotidien. Peut être en écoutant de la musique, en vous donnant du temps pour vos passions où en observant le ciel!
Le journal vous remercie de votre lecture et nous vous souhaitons une très bonne journée.
auteur a écrit :
NEWS

Une des journaux

Gros titre: Les élections législatives arrivent à grand pas: les préparatifs. Voici les candidats retenus des deux partis.

Dans l'effervescence pré-électorale qui agite notre cher pays, les regards se tournent vers les prochaines élections législatives. Tandis que les citoyens vaquent à leurs occupations quotidiennes, les coulisses politiques bourdonnent d'activité. À quelques semaines du jour fatidique, le paysage politique se dessine peut à peu.
Les principaux partis en lice, Amo Esperanta et le mouvement démocrate, rivalisent d'énergie pour séduire les électeurs. Les meetings se multiplient à travers l'île, et les candidats déclament leurs programmes avec passion. C'est dans cette ambiance électrique que les préparatifs battent leur plein. Les instances de vote, soigneusement organisées, seront prêtes à accueillir les citoyens soucieux d'exercer leur devoir civique.

Nous avons surtout retenus le nom des quatre candidats démocrates et Amo Esperanta:
Parti Amo Esperanta:
Marta Verdulo ; ancienne ministre de la santé
Jozefo Marajo ; député
Klara Ruĝaĵo ; ancienne ministre de la culture
Samuelo Lumino ; président actuel

Parti démocrate:

Ana Blua ; députée
Petro Esprinta ; député
Marko Anĝelo ; maire de Vojurbo
Sofia Sunaĵo ; maire de Sunurbo

L'attente est palpable dans les rues animées des villes et villages. Des affiches de tous les candidats sont affichées dans les rues. Les conversations dans les cafés, les marchés et les foyers tournent souvent autour des programmes politiques.
Le président actuel, Samuelo Lumino, au terme de son mandat de trois ans, a laissé son empreinte sur l'Esperantujo. Les observateurs scrutent les accomplissements de son mandat, évaluant ses réalisations et les défis encore en suspens. La campagne électorale est également le moment où les promesses fleurissent. Les candidats rivalisent d'idées et d'engagements pour un avenir meilleur.
Les enjeux sont grands, et bientôt nous connaitrons le président qui dirigera notre pays dans un monde de plus en plus incertain et imprévisible!

Les attentes sont en tout cas, fortes pour le moment et les pronostic s'enchainent. Car c’est seulement le mois prochain qu’auront lieu les élections législatives!


Petro Esprinta en train de débatre

Faits divers

Fait divers 1: Samuelo Lumino plus actif que jamais, à la veille de l'élection: deux nouvelles ambassades.

Le gouvernement entier semble avoir redoublé d’efficacité.
Dans cette période de turbulences internationales, le président sortant Samuelo Lumino se retrouve au cœur de l'action.
Tout d'abord, l'attaque tragique contre Port Hafen a secoué la communauté internationale. Lumino, a condamné cette action barbare avec véhémence. Dans une récente allocution, il a une fois de plus appelé à l'unité mondiale pour mettre un terme à cette violence impitoyable et a plaidé pour une intervention humanitaire internationale en faveur de Port Hafen.
En parallèle, Lumino a annoncé l'implantation prochaine de deux nouvelles ambassades sur le sol esperantujo. Celles-ci appartiennent aux pays d'Anna et du Grand Kah, de son souhait de renforcer les liens avec d'autres nations. Car selon lui et le gouvernement, il est temps, plus que jamais, de s'allier entre les pays voisins.

Le président a également mis l'accent sur la nécessité de soutenir l'industrie locale et l'innovation, dans son discours hebdomadaire du mercredi matin. Lumino a lancé un nouveau programme de subventions pour les entreprises locales.


Lumino, fameuse image affichée à tous les lieux administratifs du pays.

Faits divers

Rencontre avec Jozefo Verdaĵo, un berger fier de l'être

Au cœur des vastes étendues du sud de l'Esperantujo, nous avons rencontré Jozefo Verdaĵo, un berger de 38 ans qui incarne l'amour pour la nature et le métier pastoral. À l'image de ses ancêtres, Jozefo a consacré sa vie aux bêtes et aux champs. Arborant un accent régional prononcé, Jozefo nous a ouvert les portes de son quotidien.

Le journal est parti dans ces contrées afin de valoriser ces régions riches en histoire et en paysages. Les berges comme Jozefo font parti des métiers les plus traditionnels et célèbres de cette région. Rappelons que leur métier a été classé comme "métier du patrimoine culturel" par le ministère de la culture espérantiste il y a deux ans.

Dès l'aube, Jozefo commence sa journée en saluant le soleil qui se lève derrière les collines, ses troupeaux de moutons et de chèvres à ses côtés. "C'est l'heure où tout prend vie. les rayons du soleil à travers les collines est un spectacle magique, tous les jours!", dit-il avec un sourire radieux. Ses journées sont rythmées par le mouvement paisible des troupeaux à travers les pâturages vallonnés. "Oh non y'a pas de technologie ici, je m'ennuierais sinon. Les moutons n'en ont pas besoin, et encore moins, nous autres bergers", raconte-t-il.
Il habite depuis une dizaine d'années dans une maison en pierre qu'il a rénovée entièrement. "Elle était en ruines et menaçait de s'effondrer. C'était la maison de mes grands parents, je ne pouvais pas la laisser s'effondrer comme cela", explique-il avec fierté.
Lorsque nous lui avons demandé pourquoi il avait choisi ce métier, il répondit avec une sincérité touchante : "C'est dans mes veines. Mon père, mon grand-père étaient bergers. Je n'ai jamais pensé à autre chose."
Ici au sud de l'Esperantujo, la vie suit son cours selon un rythme plus lent et plus proche de la nature.
Le climat est ici le plus doux qu’il soit de cette immense île très vaste, et inexplorée, connue pour ses terres glacières. Grâce au microclimat qui y règne, il y a un environnement idéal pour l'agriculture et l'élevage. Cette région est le foyer de plus de 18 000 paysans, dont 8 000 bergers comme Jozefo.

Leurs pratiques agricoles et pastorales ancestrales permettent ainsi de fournir en matières premières, une grande partie du pays.
Ce n’est pas pour rien que l’on appelle cette région, “le grenier de l’Esperantujo”!

Journal de l'Esperantujo : Bonjour Jozefo ! Il en faut faire une bonne marche pour venir vous voir ! Comment vous sentez-vous dans cette région éloignée et préservée ?
Jozefo Verdaĵo : Eh bien, ça fait un peu loin pour certains, mais ici c'est ici où nous habitons: regardez, que des pierres et de l'herbe, quelques arbres ici et là. Qu'est_ce qu'il vous faut de plus?"

Journal de l'Esperantujo : Ça fait longtemps que vous vivez ici ?
Jozefo Verdaĵo : Oh, depuis toujours ! je suis né et je mourrait ici. Je n'ai jamais voulu partir. Les montagnes, les bêtes, c'est ma vie. Les grandes villes, ça ne m'a jamais attiré.

Journal de l'Esperantujo : Et vous comptez garder des moutons toute votre existence ?
Jozefo Verdaĵo : Eh oui! Il n’y a rien qui me fait sentir plus vivant que de voir mes moutons gambader dans ces collines. Tant qu'j'suis en bonne santé, je resterai ici.

Journal de l'Esperantujo : Mais alors il ne fait pas trop froid l'hiver ?
Jozefo Verdaĵo : Oh, l'hiver, c'est rude, c'est vrai. Ça peut descendre jusqu'à -20 degrés, et la neige est partout. Mais on s'en sort toujours. On est habitués à ces saisons, mes ancêtres ont vécu bien pire! les bêtes sont rentrées l'hiver et hibernent dans des bergeries. Lorsque l'occasion nous le permet, nous sortons mais très rarement.

Journal de l'Esperantujo : Vous avez déjà été en ville ?
Jozefo Verdaĵo : Oui, quelques fois. Rarement. Mais cela ne m'a jamais plu. L’air n’était pas pur.

Journal de l'Esperantujo : Eh bien vous êtes un homme gâté! Je vous remercie pour ce temps passé avec nous et vous souhaite une bonne continuation.


Jozefo Verdaĵo

Autre / Mots du journal

Mot du journal

Alors que les élections législatives se profilent à l'horizon, et que les ambassades étrangères prennent racine en terre esperantuja, gardons à l'esprit la diversité et la richesse de notre nation.
Merci de votre lecture et portez vous bien!
auteur a écrit :
NEWS

Une des journaux

Les résultats des élections législatives ont livré une nouvelle étape cruciale dans le processus démocratique de notre pays. Nous avons désormais les résultats des élections de juillet: nous étions 150 000 espérantistes à voter.
Les deux candidats sortants aux élections présidentielles, Samuelo Lumino du parti Amo Esperanta et Marko Angelo du parti démocrate, sont les candidats à la présidence de l'Esperantujo. Ces personnalités bien connues ont déjà occupé des postes de haute responsabilité dans le gouvernement!
Samuelo Lumino, actuel président, représente le parti Amo Esperanta. Son mandat précédent a été marqué par une série d'initiatives et de réformes visant à renforcer l'économie nationale, à promouvoir l'éducation et à garantir l'égalité des droits pour tous les citoyens. Sa popularité croissante est en partie attribuée à sa gestion équilibrée des affaires intérieures et extérieures.
De l'autre côté, Marko Angelo, démocrate, ancien ministre des affaires étrangères et actuel maire de Vojurbo, a également rassemblé un soutien considérable.
L'étape suivante dans le processus électoral est l'élection du président par l'élection législative du 13 août 2011! Alors que le peuple a fait connaître sa préférence, les députés joueront un rôle déterminant dans le choix final.

Samuelo Lumino, né en 1955 sur l'île de Ranguini, a connu une carrière politique exceptionnelle en tant que membre du parti "Amo Esperanta". Ses racines modestes sur cette petite île l'ont façonné en tant que défenseur inébranlable de la culture et de la langue espéranto..
Au fil des ans, Lumino est passé du statut de député au Parlement de l'Espérantujo à celui de président du pays.

Marko Anĝelo, né en 1963 sur l'île de Superia Insulo, a également gravi les échelons politiques avec succès. Membre du parti démocrate, il est élu député en 1999, où il acquiert une réputation de défenseur des intérêts locaux et des valeurs démocratiques. En 2002, il est nommé ministre des Affaires étrangères.

Aux élections municipales de 2005, Anĝelo a été élu maire de Vojurbo. Son mandat de maire a été caractérisé par des efforts visant à améliorer la qualité de vie dans sa ville natale, mettant l'accent sur le développement local, les infrastructures et la démocratie locale.
En 2008, il a fait le grand saut en se lançant dans la course à la présidence de l'Espérantujo. Bien qu'il ait perdu face à Samuelo Lumino, sa campagne a été saluée pour son engagement en faveur de la démocratie et des droits civils.
Les trois débats traditionnels sur les trois chaînes TV du pays vont se dérouler le 1er, le 8 et le 12 août.


Angelo

Lumino

Faits divers

Chaque année, la fête des Ranguiniens colorée offre aux voyageurs l'occasion de plonger dans la culture locale unique des îles. Cette année, la fête a été un succès retentissant, attirant un nombre record de touristes assoiffés de découvertes.
La Fête des Ranguiniens, qui se déroule chaque année en juillet, a proposé une expérience culturelle immersive aux visiteurs. Les festivités ont débuté le 7 juillet à Sunurbo, se sont poursuivies le 10 juillet à Feraurbo, puis ont culminé le 12 juillet à Vojurbo. L'une des caractéristiques les plus marquantes de cette fête est le défilé de chars magnifiquement ornés qui défilent dans les rues des villes côtières, exposant d'anciennes embarcations et d'impressionnantes statues.

Mais la Fête des Ranguiniens ne s’est pas limitée aux chars. Les populations indigènes de l'île, vêtues de tenues traditionnelles, se sont jointes aux festivités pour partager leurs récits mythologiques et leurs coutumes ancestrales avec les visiteurs.
Mais les spectateurs ont pu également goûter aux spécialités des Ranguiniens: Une fois les défilés terminés, les visiteurs sont invités à se rendre dans les bars et restaurants locaux pour déguster des plats traditionnels.
Cette année, la Fête des Ranguiniens a battu tous les records de fréquentation atteignant les 68 000 spéctateurs.
La Fête des Ranguiniens est bien plus qu'une simple célébration locale ; elle est devenue une fenêtre ouverte sur une culture vibrante et sur l'âme même de Ranguini.

 Fête: les radeaux traditionnels

Faits divers

Le journal a eu la chance unique de pénétrer dans les coulisses de cette célébration extraordinaire.

Les festivités ont commencé avant même le lever du soleil. Des Ranguiniens venus de toutes les îles du pays, ainsi que de nombreux volontaires, se sont réveillés à l'aube pour mettre la dernière main aux préparatifs. Les rues sont ornées de drapeaux et de décorations traditionnelles.

Les artisans locaux étaient à pied d'œuvre pour confectionner des costumes et des masques éblouissants pour les défilés. Le journal a rencontré Maria, une couturière, qui confectionnait des robes traditionnelles ranguiniennes depuis des décennies. Elle nous a dit : "C'est un honneur de contribuer à cette fête. Chaque costume raconte une histoire."

Alors que le soleil atteignait son zénith, les bénévoles se sont revêtus de leurs plus belles tenues traditionnelles.
À 18 heures précises, les rues se sont animées d'une effervescence électrique. Les chars ont commencé à défiler, précédés par des groupes de danseurs et de musiciens locaux. Les tambours battaient au rythme de la danse, tandis que les visiteurs et les habitants se pressaient le long des trottoirs pour admirer le spectacle.
Au fur et à mesure que la soirée avançait, le journal a eu l'opportunité de s'entretenir avec plusieurs Ranguiniens enthousiastes. Un groupe de jeunes musiciens partageait leur excitation à l'idée de jouer devant une foule nombreuse. "C'est notre moment pour briller et montrer au monde la musique de Ranguini", a déclaré l'un d'eux.
La nuit est tombée, mais l'ambiance festive ne faiblit pas. Les visiteurs se sont mêlés aux habitants pour danser, chanter et savourer les délices culinaires locaux.


Autre / Mots du journal

Préparons-nous pour les élections à venir et votons intelligemment pour un des candidats qui façonneront notre nation.
Restez engagés, notre avenir se construit ensemble.
3571
auteur a écrit :
NEWS

EDITION SPECIALE


Une des journaux

Voici le nouveau président élu de notre pays! Marko Anĝelo élu avec 17 députés.

Le 13 août 2011, les citoyens de l'Esperantujo ont élu leurs députés, et le résultat est formel: Marko Anĝelo a été élu du parti démocrate. Il a battu son rival, Samuelo Lumino, du parti Amo Esperanta, avec 17 députés contre 13.

Marko Anĝelo, 48 ans, est le maire de Vojurbo, la plus grande ville de Supera Insulo. Il est diplômé en droit et en économie de l'université de Vojurbo. Il est marié et père de deux enfants.

Trois débats ont marqués cette présidentielle entre les deux personnalités: le 1er, le 8 et le 12 août, ils ont échangés sur des thèmes variés. A retenir, Angelo a dit qu'il favoriserais les échanges entre les pays pour une plus grande ouverture au monde, chose dont il critique Samuelo Lumino, d'être resté au national.

Marko Anĝelo a prêté serment le 21 août, jour de la fête nationale de l'Esperantujo. Il a formé son cabinet, composé de 7 ministres issus du parti démocrate. Il a déclaré qu'il serait le président de tous les Espérantistes, et qu'il travaillerait pour le bien commun de la nation.
Les nouveaux ministres sont les suivants:

Premier ministre + ministre des Affaires étrangères et de la communication : Danielo Kreadanto (71 ans)
Danielo Kreadanto, né en 1950, est un diplomate chevronné qui a consacré sa carrière à renforcer les liens internationaux de l'Esperantujo. Il a occupé divers postes au sein du ministère des Affaires étrangères et a représenté le pays lors de nombreuses négociations diplomatiques. Il en est à sa sixième élection en tant que premier ministre.

Ministre de l'Intérieur et de la défense : Sofia Kreadanto (41 ans)
Sofia Kreadanto, née en 1970, a commencé sa carrière dans les forces de sécurité, elle a gravi les échelons grâce à son fort engagement envers la sécurité nationale.

Ministre des Finances, du commerce et du travail : Gabrielo Trankvila (44 ans)
Gabrielo Trankvila, né en 1967, est un économiste qui a occupé divers postes dans le domaine financier. C'est sa deuxième fois élu ministre.

Ministre de la Justice : Mateo Feliĉo (26 ans)
Mateo Feliĉo, né en 1985, sort de ses études en économie et en politique. C'est sa première élection tout court.

Ministre de l'Éducation : Laura Ĝojrido (59 ans)
Laura Ĝojrido, née en 1952, a consacré toute sa vie à l'éducation. Ancienne institutrice dans les écoles primaires, elle est devenu professeur d'histoire et députée.

Ministre de la Santé et des sports : Mia Floro (36 ans)
Mia Floro, née en 1975. Elle eut une carrière dans le domaine médical. Elle a suivi des études de médecine et est allée vers de la politique assez jeune.

Ministre de l’Environnement et de la culture : Tane Manuarii
Né le 27 décembre 1949, dans un village de populations Ranginuienne, il migra à Vojurbo pour faire des études dans l'histoire de l'art. Il devient peintre de profession, avant d'être élu député en 1981, et ministre en 1984. Il fut l'acteur d'une valorisation du patrimoine du pays et notamment, celui des populations Ranginuiennes et grâce à lui on organisa à partir de 1984, la fête des Ranginuiens. Il fut réélu ministre en 1987, 1990, 1999, 2002 et 2008. Ce dernier est une des premières personnalités politiques issues des populations locales!

Le nouveau président a également remercié Samuelo Lumino pour son action passée, et lui a rendu hommage pour son engagement en faveur de l'espéranto et de l'Esperantujo.

Il a enfin appelé à l'unité et à la confiance, en ces termes : "L'Esperantujo est un pays jeune, mais plein de potentiel. Nous avons une histoire, une culture, une langue qui nous rendent uniques. Nous avons aussi des défis, des opportunités, des rêves qui nous rassemblent. Ensemble, nous pouvons construire un avenir meilleur."


Assemblée

Angelo


Ci dessous image de son premier discours en tant que nouveau président.

Premier discours de Angelo


Autre / Mots du journal

Toutes nos félicitations à Marko Angelo. Une nouvelle page se tourne sur notre pays.

8040
auteur a écrit :
NEWS

Une des journaux

L’Esperantujo a envoyé ses plus grands explorateurs à Pădure

Le président Marko Anĝelo a annoncé lors de son premier discours à la fête nationale que l’Esperantujo participera au projet Pădure, une expédition internationale visant à explorer la forêt mystérieuse située au cœur du continent Nazum. Il a déclaré que le pays enverra ses meilleurs explorateurs, principalement des scientifiques, pour découvrir la faune et la flore de cette terre inexplorée. Aujourd'hui, après quelques mois de préparation, nous sommes enfin à la veille du début de l'expédition pour l'Esperantujo.
Les explorateurs sont parti ce matin, et arriverons donc demain.

“Nous sommes fiers de contribuer à cette aventure qui représente un défi historique pour notre pays et l’humanité toute entière. Nous avons confiance en nos scientifiques, qui sont des experts dans leurs domaines respectifs.”, a-t-il affirmé. D'après le président, la mission qui a commencé il y a quelques mois, s'est retardé en Esperantujo, à cause principalement de l'ancien président, Samuelo Lumino qui refusait d'envoyer des troupes là bas.

Le projet Pădure est une initiative qui invite des explorateurs de tous les pays du monde à s’engager dans cette aventure. Les participants, représentant diverses nations, établissent des camps de base en bordure de la forêt. La progression à l’intérieur se fait au prix d’efforts et de risques considérables.

Le président Marko Anĝelo a présenté, lors du discours hebdomadaire du mercredi, les scientifiques qui dirigeront l’expédition de l’Esperantujo à Pădure. Il s’agit de :

Professeur Lino Koro, biologiste et botaniste, spécialiste de la biodiversité végétale. Il est le chef de l’équipe scientifique et le coordinateur du projet. Il travaille à l’université de Vojurbo.
Docteur Ela Verdo, zoologiste et écologue, spécialiste de la faune sauvage. Elle est la responsable de l’étude des animaux et des écosystèmes de Pădure. Elle travaille au centre de recherche sur la biodiversité de Ranginui, l’une des trois îles de l’Esperantujo.
Docteur Leo Flamo, géologue et climatologue, ancien militaire, spécialiste des phénomènes naturels. Il est le responsable de l’analyse des sols, des roches, du relief et du climat. Il travaille au laboratoire de géosciences de Vojurbo.
Ces trois scientifiques sont à la tête des deux associations qui se sont formées pour participer au projet Pădure. La première association, nommée Espero, regroupe les universités et les centres de recherche qui se chargent de fournir et de préparer tout le matériel nécessaire pour l’expédition. La seconde association, nommée Aventuro, regroupe les explorateurs qui se préparent à partir pour Pădure.
Dans cette deuxième association, on trouve une quarantaine de militaires, scientifiques, journalistes et photographes de l'armée ou autre scientifique.

Ce sont donc eux qui vont partir, dirigés par les professionnels décris précédemment. Tous les partants ont eu un stage intensif de 4 mois, divisé en deux: une partie du stage s'est déroulé dans l'armée où ils ont pu vivre précairement, puis une autre partie de trois mois, où ils ont aménagés une petite base au cœur de la forêt tropicale de Ranguini.
Du côté de l'association de l'arrière-plan, la soixantaine d'adhérents ont pu suivre ces gens-là et recueillir les données reçues.
Il y a eu d'ailleurs une dizaine de conférences pendant toute cette période de préparation, de participants du stage ou autre.
Le président a salué le travail et le dévouement de ces associations, qui ont mobilisé une centaine de personnes pour rendre possible cette aventure.

“Nous espérons que nos explorateurs pourront ramener sur notre terre des échantillons, des données, des images et des témoignages qui nous permettront d’en apprendre davantage sur Pădure et ses richesses. Nous envisageons également d’exploiter certains matériaux”, a-t-il déclaré.

Le président a précisé que l’expédition pourrait durer plusieurs mois, voire plusieurs années, en fonction des conditions rencontrées sur place et des objectifs atteints.

“Nous leur souhaitons bonne chance et nous suivrons avec attention leurs aventures.”, a-t-il conclu.


Camp militaire du stage

Faits divers

Prêts pour Pădure : le bilan du stage de préparation des explorateurs de l’Esperantujo


Les quarante explorateurs qui partiront pour Pădure ont achevé il y a quelques semaines, leur stage de préparation de trois mois dans la forêt tropicale de Ranginui. Ce stage avait pour objectif de les familiariser avec les conditions de vie et de travail dans un milieu hostile et inconnu. Il s’agissait également de renforcer la cohésion et la confiance au sein du groupe, ainsi que de tester le matériel et les protocoles scientifiques.

Le stage s’est déroulé en deux phases : la première, d’un mois, a consisté en un entraînement militaire intensif, sous la direction du docteur Leo Flamo, ancien militaire et responsable de l’analyse des phénomènes naturels. Les explorateurs ont appris les techniques de survie, de navigation, de communication et de secourisme. Ils ont également été confrontés à des situations d’urgence, telles que des blessures, des maladies, des attaques d’animaux ou des conflits avec d’autres groupes.
La deuxième phase, de deux mois, a été consacrée à l’installation et à l’exploitation d’une base scientifique au cœur de la forêt tropicale. Les explorateurs ont travaillé en collaboration avec le professeur Lino Koro, chef de l’équipe scientifique et coordinateur du projet, et la docteure Ela Verdo, responsable de l’étude des animaux et des écosystèmes. Ils ont effectué des prélèvements et des observations sur la flore et la faune locales, ainsi que sur les sols, les roches, le relief et le climat. Ils ont également mis en place des dispositifs de surveillance et de protection de la base.

“J’ai été impressionnée par la diversité et la beauté de la nature. J’ai aussi été touchée par la gentillesse et l’hospitalité des Ranginuiens, qui nous ont accueillis dans leurs villages.” (Ana Luno, biologiste moléculaire)
“J’ai aimé le côté aventurier du stage. J’ai pu tester mes limites physiques et mentales. Je suis curieux de découvrir les secrets de Pădure.” (Leo Suno, photographe et journaliste)
L’association Espero, qui regroupe les universités et les centres de recherche qui soutiennent le projet, a également exprimé sa fierté et son admiration pour les explorateurs. Voici quelques propos :

“Nous sommes fiers de contribuer à cette aventure qui représente un défi historique pour notre pays et l’humanité toute entière. Nous avons confiance en nos scientifiques, qui sont des experts dans leurs domaines respectifs.” (Marko Anĝelo, président de l’Esperantujo)
“Nous sommes impressionnés par le travail et le dévouement de nos explorateurs, qui ont su se préparer avec rigueur et sérieux. Nous sommes impatients de recevoir leurs données, leurs images et leurs témoignages, qui nous permettront d’en apprendre davantage sur Pădure et ses richesses.” (Eva Kanto, directrice du centre de recherche sur la biodiversité de Ranginui)
“Nous sommes reconnaissants aux Ranginuiens, qui nous ont ouvert les portes de leur forêt et de leur culture. Nous espérons que cette collaboration se poursuivra dans le respect mutuel et la solidarité.” (Zeno Zamenhofo, professeur de linguistique et d’anthropologie à l’université de Vojurbo)
Les explorateurs sont actuellement en route vers Pădure, où ils devraient arriver demain. Ils seront accueillis par les représentants des autres nations participantes au projet. Ils établiront ensuite leur camp de base en bordure de la forêt. Leur progression à l’intérieur se fera au prix d’efforts et de risques considérables.

Mais le stage de préparation n’a pas été sans difficultés ni dangers. Les explorateurs ont dû faire face à des conditions climatiques parfois extrêmes, comme des pluies torrentielles, des orages violents ou des canicules. Ils ont également dû supporter la faune sauvage, comme des serpents venimeux, des araignées ou des jaguars. Ils ont aussi été exposés à des maladies tropicales, comme la malaria, la dengue ou la fièvre jaune.

Plusieurs explorateurs ont été blessés ou malades pendant le stage. Deux d'entre eux ne pourrons d'ailleurs pas être présents lors de la grande expédition sur Padure.
Les deux malheureux sont Ria Vento, médecin et infirmière, qui a été mordue par un serpent lors d’une sortie en forêt. Elle a été soignée à temps grâce à l’antivenin qu’elle avait emporté avec elle. Mais la blessure devenant de plus en plus grave a du obliger son évacuation et la fin de son stage et de l'expédition.
Milo Justo, photographe de l'armée, qui a contracté la malaria après avoir été piqué par un moustique. Il a été traitée avec des médicaments antipaludiques mais est tombé dans le coma et a du être amené à l'hôpital de Felixurbo.

L’un des villages Ranguiniens qui a accueilli les explorateurs de l’Esperantujo est celui de Kura, situé à une dizaine de kilomètres de la base scientifique. Les habitants de Kura sont des agriculteurs et des chasseurs, qui vivent en harmonie avec la nature.


Maison improvisée dans le camp

Autre / Mots du journal

Nous souhaitons bonne chance aux quarante aventuriers et nous suivrons avec attention leurs aventures.

6021
auteur a écrit :
NEWS

Une des journaux

Bonne année 2012 à tous!

Le pays a célébré la nouvelle année avec des feux d’artifice spectaculaires dans les principales villes du pays. Des milliers de personnes se sont rassemblées à Vojurbo, Sunurbo, Urbo Graveco, Felixurbo et sur l’île de Florinsuloj pour admirer le ciel illuminé de mille couleurs. Les feux d’artifice ont duré environ 15 minutes et ont été synchronisés avec de la musique traditionnelle esperantiste.

Le président Marko Anĝelo, élu en novembre dernier, a ensuite prononcé un discours depuis le palais présidentiel à Urbo Graveco. Il a félicité le peuple esperantiste pour sa culture, sa diversité et sa paix. Il a également annoncé que le pays s’ouvre progressivement plus au monde, car il va normalement accueillir quelques ambassadeurs et s’allier avec les voisins en raison de l’insécurité du monde qui monte de plus en plus.

“Nous sommes un petit pays, mais nous avons une grande âme. Nous sommes fiers de notre langue, de notre histoire. Nous sommes un exemple de tolérance, de solidarité et de démocratie. Nous voulons renforcer nos relations avec nos amis et voisins, mais aussi respecter notre souveraineté et notre indépendance. Nous voulons contribuer à la paix et à la coopération internationale, mais aussi protéger nos intérêts et notre sécurité. Nous sommes l’Esperantujo, et nous sommes prêts à affronter les défis de l’année 2012 avec confiance et optimisme.” a déclaré le président Anĝelo.

Le discours du président a été suivi d’une soirée endiablée dans la salle des fêtes des grandes villes du pays. Les espérantistes ont ensuite continué à faire la fête jusqu’au petit matin, dans une ambiance festive et joyeuse.


Feux d'artifices à Vojurbo.

Feux d'artifices de Vojurbo, photographie prise par notre photographe pro.

Faits divers

Des menaces de mort contre le président Marko Anĝelo

Le président Marko Anĝelo a reçu des menaces de mort de la part d’un groupe anonyme qui s’oppose à son projet Pădure, une expédition internationale visant à explorer la forêt mystérieuse située au cœur du continent Nazum. Le groupe accuse le président de mettre en danger la vie des explorateurs qui vont partir pour Pădure, et de violer la souveraineté et l’intégrité de cette terre inconnue. Plus à l'extrême, ils dénoncent le président d'être manipulé et corrompu, en jouant bien son rôle. Ils ciblent la population d'être aveuglée.

Le groupe, extrême Amo-Esperanta, pro-Lumino, a revendiqué son action en envoyant des mails, des messages et même des cartes postales en menaçant le président actuel de mort et en rappelant que des disparitions ont déjà été observées pour quelques colonies d'autre pays, dans cette même forêt .

Le groupe a également manifesté son mécontentement en faisant des tags sur les murs de plusieurs bâtiments politiques et la mairie de Vojurbo, la plus grande ville du pays. Les tags portent le même message: “Anĝelo estas krimulo”, donc “Anĝelo est un criminel”. Les tags ont été découverts le matin du 31 décembre, la veille du changement d’année.
Face à ces menaces de mort, le président Marko Anĝelo a renforcé sa sécurité personnelle et celle de ses proches. Il a augmenté le nombre de militaires, de gendarmes et de policiers déployés sur le territoire national, notamment dans les zones sensibles comme les bâtiments officiels, les aéroports, les ports, les gares, les écoles, les centres commerciaux, etc. Il a appelé la population à rester vigilante pendant les grandes fêtes de la nuit du 31 décembre. Au final pas de trouble majeur a été signalé.

Le président Marko Anĝelo a réagi aux menaces de mort lors d’une conférence de presse, dans laquelle il a affirmé qu’il ne se laisserait pas intimider par les opposants au projet Pădure. Il a déclaré: “Je condamne fermement ces actes de violence et de vandalisme, qui sont contraires aux valeurs de paix et de démocratie de notre pays. Le projet Pădure est une opportunité unique de découvrir une nouvelle frontière, de faire avancer la science, tout en respectant la nature. Je suis fier de nos explorateurs, qui sont des professionnels qualifiés et courageux, et qui ont reçu une formation adéquate pour affronter les défis de Pădure. Je leur souhaite bonne chance, et je les assure de mon soutien total. Il est certain qu'ils reviendront avec des informations précieuses. Je respecte le droit à l’expression et à la contestation, mais je n’accepte pas la violence et la terreur comme cela. Je fais confiance aux forces de l’ordre pour identifier et arrêter les responsables de ces menaces de mort, et pour assurer la sécurité de tous les citoyens.”


Tags découverts


Faits divers

Jes, le groupe qui fait chanter le monde en Esperanto



Le groupe éspérantiste Jes vient de sortir son troisième album, intitulé “Rakontoj el topografiaj oceanoj”, qui s’est déjà vendu à plus de 3 millions d’exemplaires en quelques jours. Ce nouvel opus confirme le succès phénoménal du groupe, qui avait déjà fait sensation avec ses deux premiers albums, “Proksime al la rando”, qui a battu le record incroyable de 12 millions d’exemplaires vendus, et “La Jes-albumo”, écoulé à plus de 7 millions d’exemplaires.

Mais comment expliquer une telle renommée pour un groupe qui chante en éspéranto, une langue construite parlée par une minorité de personnes dans le monde ? La réponse tient sans doute à la qualité musicale du groupe, qui a su créer un style unique et innovant, mêlant rock progressif, musique classique et influences éspérantistes. Le groupe se distingue par ses compositions ambitieuses et complexes, qui font la part belle aux solos de guitare et de synthétiseur. Le groupe se caractérise aussi par ses textes poétiques et engagés, qui abordent des thèmes comme l’amour, la paix ou la nature.

Le groupe Jes a été fondé en 2006 par six musiciens talentueux, originaires de l’Esperantujo. Le groupe a d’abord connu un succès national en jouant des morceaux alliant rock et musique éspérantiste ou classique. Puis, le groupe a décidé de se lancer dans le rock progressif, pour toucher un public plus large et international. Le groupe a alors signé avec une grande maison de disques, qui leur a permis de bénéficier d’une large diffusion et d’une promotion efficace.

Le groupe Jes est composé de six membres : Riĉardo Vakemano aux claviers et synthétiseurs, considéré comme l’un des meilleurs joueurs du monde ; Alano Blanka à la batterie ; Ĵono Andersono au chant ; Kris Kvajro à la basse et enfin Stivo Haŭo à la guitare, également reconnu comme l’un des meilleurs du monde.

Le groupe Jes prévoit également une tournée mondiale, dont les dates et les pays seront dévoilés plus tard. Le groupe compte se produire sur tous les continents.
Le but pour le groupe et l'Esperantujo tout entier, de cette tournée mondiale, est également de diffuser son message de paix et d'amour dans le monde entier, valeurs qui en ce moment sont de plus en plus en danger.


Le groupe

Autre / Mots du journal

Nous souhaitons à tous nos lecteurs, une très bonne année 2012 et une bonne santé!

5870
auteur a écrit :
NEWS

Une des journaux

Un projet d'urbanisation contesté: 4 bléssés.

Un projet d’urbanisation d’un quartier dans la ville de Urbo de la Elementoj, la ville voisine de Vojurbo, où il y a le grand port, suscite la colère et l’indignation de nombreux habitants. Ce projet, qui prévoit de raser une partie de la jungle qui occupe les coins de la ville, est animé par la municipalité depuis cinq ans. Il avait été annulé en 2010 suite à une objection dans le conseil municipal, mais il a été relancé en 2012 après que cette objection ait été levée et que le permis de construire ait été déposé.

Des manifestations se sont déroulées hier et aujourd'hui, contre le projet, et les manifestants dénoncent la destruction de la nature, de la faune et de la flore, ainsi que la disparition d’un coin joli de végétation qui fait partie du patrimoine naturel de la ville. Certains habitants se sont même réfugiés dans la forêt condamnée, pour bloquer les bulldozers. Ainsi, un incident a eu lieu hier, quand un arbre est tombé et a fait quatre blessés parmi les manifestants.
Ces blessés ont étés transportés de suite à l'hôpital. Le conducteur du bulldozer est jugé responsable.
Plus de 500 personnes se sont rassemblées dans les rues de Vojurbo, Sunurbo et Urbo de la Elementoj pour exprimer leur mécontentement et demander l’arrêt du projet. Ces manifestations se sont déroulées hier et aujourd'hui. Les forces de l'ordre ont du intervenir pour inciter et pousser les manifestants dans la forêt, ainsi hier soir ils n'étaient plus qu'une dizaine, qui sont restés dormir dans la forêt avant d'être évacués de force à l'extérieur et amenés au commissariat.

Dans la nuit, des groupes de jeunes, sont venus taguer ou dégrader le matériel présent sur place pour défricher la forêt. Des engins de chantier ont été tagués, des panneaux de signalisation ont été arrachés, des clôtures ont été coupées. Les forces de l’ordre sont intervenues pour disperser les vandales, qui ont pris la fuite. Le bilan matériel est ainsi assez lourd, et le chantier est à l’arrêt. Le maire de Urbo de la Elementoj, a condamné ces actes de violence, qu’il a qualifiés de “honteux et irresponsables”. Il a déclaré qu’il porterait plainte contre les auteurs de ces dégradations, et qu’il demanderait des dommages et intérêts. Il a dit qu’il ne se laisserait pas intimider, et qu’il poursuivrait son projet malgré les oppositions.

Le président de l’Esperantujo, Marko Anĝelo, a pris la parole ce matin, lors de son discours hebdomadaire.

Le maire, quand à lui, dénonce ces actes. "Je suis outré par ces manifestations extrêmes qui vont à l’encontre de l’intérêt général et du bon développement du pays. Nous allons, offrir un meilleur cadre de vie aux habitants. Nous allons également planter des arbres et des créer des jardins dans ce quartier. Il sera très vert, et toujours aussi joli."


Faits divers

La tempête Zefiro a fait rage sur lîle de Ranguini et de Florinsuloj.

Tempête dévastatrice sur l’Esperantujo: deux blessés et des dégâts matériels

Une violente tempête s’est abattue sur l’archipel de l’Esperantujo dans la nuit de dimanche à lundi, causant des dommages importants sur les îles de Ranguini et Florinsuloj. Selon les autorités, deux personnes ont été blessées par des chutes d’arbres et des débris volants, mais leur état n’est pas critique. Plusieurs habitations, routes, ponts et infrastructures ont été endommagés par les vents violents et les pluies torrentielles.

Les villes de Felixurboj, et de Florurbo sont parmi les plus touchées. Les secours sont à pied d’œuvre pour rétablir l’électricité, l’eau potable et les communications, ainsi que pour déblayer les routes et les pistes d’aéroports.

Le président Marko Anĝelo a exprimé sa solidarité et son soutien aux victimes de la tempête lors de son discours hebdomadaire ce matin. Il a annoncé qu’un plan d’urgence et de reconstruction serait mis en place pour aider les habitants des îles sinistrées à retrouver une vie normale le plus rapidement possible.

Les météorologues prévoient que la situation s’améliore dans les prochains jours, avec un retour progressif du soleil et du calme.

tempete


Faits divers

Trois chercheurs de l’Esperantujo honorés par le prix Majstro


Le prix Majstro, qui récompense chaque année les chercheurs qui ont apporté des connaissances, qui ont su faire partager et faire passionner des gens à quelque chose, a été décerné hier à trois personnalités de l’Esperantujo. Il s’agit de Joachim Lumeno, le “maître des étoiles”, de Lucie Verda, la botaniste qui a révélé les secrets des plantes, et de Clara Petro, l’historienne qui a redécouvert le passé de Vojurbo.

Joachim Lumeno, connu localement sous le surnom de “Maître des étoiles”, est un ancien professeur de physique et le fondateur de l’association “asocio de amikoj de la steloj”, qui rassemble les passionnés d’astronomie et de mythologie. Il a écrit un livre qui a fait le tour du monde, intitulé “La steloj kaj la mitoj”, où il raconte les histoires et les mythes liés aux constellations, tout en expliquant les phénomènes célestes avec rigueur et pédagogie. Il organise également des nuits d’observation pour les habitants de l’île, partageant son amour pour les astres et la culture de son pays.

Lucie Verda est une scientifique botaniste qui a consacré sa vie à l’étude des plantes, notamment celles de la forêt tropicale de Ranguini. Elle a écrit plusieurs livres sur la structure et la communication entre les plantes, mêlant mythes, théories et sciences. Son ouvrage le plus célèbre, “La vivo de la plantoj”, a été traduit en plusieurs langues et a été salué par la critique. Elle a également collaboré avec les populations locales, apprenant leurs savoirs ancestraux et leurs usages médicinaux des plantes.

Clara Petro est une historienne qui a mené des fouilles sur l’ancien port de Vojurbo, la plus grande ville de l’Esperantujo. Elle a découvert des vestiges datant du XVe siècle, témoignant de l’arrivée des premiers explorateurs du Fortuna sur l’île. Elle a écrit un livre sur l’histoire de Vojurbo, intitulé “La urbo de la maro”, où elle retrace le développement de la ville, ses échanges commerciaux, ses conflits et ses alliances avec les populations locales. Elle est également la vice-présidente de l’association d’histoire de Vojurbo, qui organise des visites guidées et des conférences.

Les trois lauréats du prix Majstro ont reçu une médaille et une somme d’argent lors d’une cérémonie officielle, en présence du président Marko Anĝelo, qui les a félicités pour leur contribution à la culture et à la science de l’Esperantujo.


Autre / Mots du journal

Nous apportons notre soutient aux touchés par la tempête. Nous vous recommandons d'ailleurs de lire les trois ouvrages que notre dernier article a mentionné.

3316
auteur a écrit :
NEWS

Une des journaux

Bonne année 2013 à l’Esperantujo !


L’Esperantujo a fêté le passage à la nouvelle année avec des feux d’artifice, des concerts et des danses. De Vojurbo à Urbo de Graveco, en passant par Felixurboj, Florinsuloj et les terres du sud, les habitants se sont réunis pour célébrer 2013.

Vojurbo, la ville la plus festive
Devant des milliers de personnes, c’est le groupe de rock Esperantoj qui a animé la scène principale de la plage de Vojurbo. Le public a chanté et dansé sur leurs tubes, avant d’admirer le feu d’artifice de douze minutes qui a illuminé le ciel et la mer. Le maire de Vojurbo a prononcé un discours optimiste pour l’avenir de la ville et du pays. Il a également rendu hommage aux victimes du tremblement de terre qui a frappé la Supera Insulo en novembre dernier.

A Urbo de Graveco, la capitale de l’Esperantujo, l’ambiance était plus solennelle mais non moins joyeuse. Le président Marko Anĝelo a présidé la cérémonie officielle sur la place de la République. Il a également annoncé les grandes lignes de son programme pour 2013. Le président a ensuite déclencher le feu d’artifice qui a embrasé le monument de la Liberté.
Sur Ranginui, les indigènes ont célébré la nouvelle année en pratiquant des dandes et rites traditionnelles.


Faits divers

Retour sur 2012 : une année riche en événements pour l’Esperantujo

L’année 2013 s’achève, et il est temps de faire le bilan de ce qui s’est passé en Esperantujo. Entre fêtes, catastrophes, culture et politique, l’année a été riche en événements, qui ont marqué la mémoire et le cœur des habitants.

Le 21 août, l’Esperantujo a célébré sa fête nationale, qui commémore l’indépendance du pays, acquise en 1945. Des défilés, des concerts, des discours et des feux d’artifice ont animé les villes et les villages, dans une ambiance festive et conviviale, qui a réunit plus de 30 000 personnes dans les rues de Vojurbo. Le président Marko Anĝelo a prononcé son premier discours de la fête nationale, dans lequel il a rappelé les valeurs de l’Esperantujo, et a présenté ses projets pour l’avenir du pays.

En juillet, l’Esperantujo a également célébré la fête des Ranguinis. Ce jour-là, les Ranguinis ont défilé dans les plus grandes villes du pays, en portant leurs costumes traditionnels, leurs masques et leurs instruments. Ils ont également partagé leurs danses, leurs chants, leurs contes et leurs légendes avec les autres habitants.

Mais le 7 novembre, un violent séisme de magnitude 6,2 a secoué la ville de Felixurboj, située sur l’île de Ranginui, faisant une dizaine de morts, des centaines de blessés et des centaines de sans-abri. Les dégâts matériels ont été considérables, avec des maisons écroulées, des routes fissurées, des ponts effondrés, des coupures d’électricité et d’eau. Face à cette catastrophe, la solidarité nationale s’est rapidement organisée, avec l’intervention du gouvernement, des secouristes, des bénévoles, des donateurs et des visiteurs, qui ont apporté leur aide et leur soutien aux victimes.

En 2012, l’Esperantujo a également connu un succès culturel, avec la tournée internationale du groupe Jes, un groupe de rock Esperantiste très connu, qui a parcouru le monde. Le groupe a séduit le public avec ses chansons engagées. On compte plus de 100 concerts déroulés, et des salles remplies à chaque fois.

L’année 2012 a également été marquée par des phénomènes climatiques extrêmes, qui ont touché l’Esperantujo. En janvier et en mai, deux tempêtes ont frappé le pays, avec des vents violents, des pluies torrentielles, des inondations, des glissements de terrain, des chutes d’arbres et des coupures de courant. Ces tempêtes ont causé des dommages importants, notamment sur l’île de Florinsuloj, qui a été la plus affectée.


Autre / Mots du journal



Notre journal adresse à tous les lecteurs, une très bonne année 2013, bonne santé !
Haut de page