LA CAPITALE - CENTRE DE LA MALÉVIE

PRÉSENTATION DE LA CAPITALE
La capitale de la Malévie, nommée Scar, se situe au Sud-Ouest du pays. Depuis la conquête coloniale, elle représente le centre politique, économique et culturel de son pays. Elle accueille le gouvernement, le parlement, ainsi que les délégations diplomatiques étrangères. Toutes les grandes entreprises sont encrées dans la capitale, comme de nombreuses organisations qui profitent du prestige de la capitale.

Carte:



Retrouvez ci-dessous les liens pour retrouver les établissements et organisations montrées sur la carte.

Le Palais Présidentiel


Le Palais Présidentiel, autrefois appelé le Palais du Gouverneur, est un palais qui sert aujourd’hui de siège et de résidence officielle au Président de la Malévie. Il se situe à la pointe de la colline rocheuse de Scar, au nord de la ville, où il occupe une place majeure sur la façade maritime.

Construit en 1901 pour servir comme quartier général au gouverneur de Malévie, il est aujourd’hui reconnu comme l’une des répliques les plus impressionnantes des palais eurysiens dans la capitale. C’est ici que le président réalise ses fonctions et où sont souvent finalisés les signatures de lois et de traités. Si l’extérieur fait souvent rêver les touristes, l’intérieur reste interdit au grand public à l’exception d’occasions rares. Seul le personnel et les agents de sécurité y sont autorisés d’accès, ainsi que certains dignitaires invités.

Le Parlement


Le parlement malévien est situé dans l'ancien Palais des Grands Empereurs. À l’origine, ce bâtiment, dont la construction commença en 1937, était conçu comme hôtel pour loger les nombreux dignitaires qu’accueillait le gouverneur. Cependant, le projet fut interrompu par le désordre crée par la résistance, qui en 1940 fit même exploser une bombe pour ralentir le projet. Après l’indépendance et le Traité de Cazena, le nouveau gouvernement a décidé de reconcevoir le projet ambitieux du gouverneur déchu pour construire le parlement. Il sera inauguré le 14 mars 1953.

Aujourd’hui, c’est un symbole de la démocratie malévienne. Les drapeaux des pays du monde entier, affichés au centre du parlement, sont un geste de solidarité avec les peuples, emblématique de la mentalité d’ouverture de la Malévie.

Les citoyens maléviens peuvent même assister aux débats qui y ont lieu, même si cela nécessite une candidature (mesure de sécurité).

l'Opéra National


L’Opéra National, construit en 1894, est un des premiers grands projets du Général Mantor. Depuis son inauguration, c’est un endroit très fréquenté par l’élite de Scar et notamment les amateurs de musique. Toutefois, l’Opéra essaye de rester un établissement inclusif et propose un spectacle sur six gratuit d’entrée où les places sont distribuées aléatoirement.

L’Opéra engage une quarantaine d’artistes qui présentent autour de six opéras différents par année. Le catalogue inclut des œuvres du monde entier, mais réserve habituellement deux opéras par an pour les productions maléviennes.

De surcroît, l’Opéra propose régulièrement des spectacles de ballet, mais dont les tickets sont toujours très demandés grâce au grand renom du groupe de danseurs qui y figurent.

Ministère des Affaires Étrangères


Le Ministère des Affaires Étrangères réside dans l’ancien hôtel particulier Raspreina. C’est le quartier général du Ministre des Affaires Étrangères et l’endroit où sont conçu et rédigé toutes les communications de l’administration malévienne à l’étranger. Le bâtiment est strictement interdit d’accès à tous les individus n’appartenant pas au personnel du Ministère ou au gouvernement.

Savoir plus sur les fonctions administratives du Ministère

Quartier des Ministères


Le Quartier des Ministères est un ensemble de bâtiments de la capitale situé entre la gare et le centre historique. Il abrite plusieurs Ministères (Intérieur, Énergie, Commerce, Éducation, Travail, Patrimoine et Infrastructure) depuis sa réalisation. À part de sa fonction comme noyau administratif de la politique intérieure, c'est le lieu de travail de plus de 10 000 employés.

Achevé en 2008, après dix années de construction, ces bâtiments ont été construits pour permettre l'expansion du personnel des Ministères, qui avant étaient logés dans des vieux immeubles du centre-ville qui n'étaient pas adaptés à leur fonction. Le projet, dont les coûts sont estimés à environ 1,1M de dollars, était controversé car il nécessitait outre qu'un financement massif le relogement de 40 000 habitants de la ville. En 2001, deux ans après le début de la construction, un scandale de corruption et ce mécontentement général ont provoqué la démission du président Garricha.

Malgré ses débuts critiqués, le projet achevé a finalement été bien reçu par la population de la capitale. Son architecture, emblématique d'une Malévie moderne, figure désormais dans les manuels et les magazines d'art. Des visites y sont possible, mais il est nécessaire de réserver à l'avance car la capacité est très réduite.

Ministère de l'Économie


Le Ministère de l'Économie a été construit en 1994 par l'architecte malévien Renato Ludi. Ce bâtiment, qui est le lieu de travail pour tous les fonctionnaires maléviens sous la direction du Ministre de l'Économie, est une goutte de modernité rafraichissante dans la mer des vieux immeubles du centre historique. Il ne peut être visité en ce moment.

En savoir plus sur les fonctions du Ministère

Le Casino de Scar


1 Place de l'Indépendance

Les jeux d'argent ne sont généralement pas autorisés en Malévie. Cependant, cet établissement, le seul dans le pays, a obtenu l'autorisation de la part de la municipalité. Il s'agit de capitaliser sur les porte-monnaies des touristes étrangers: uniquement la monnaie étrangère est acceptée dans le casino. Les citoyens maléviens ne sont techniquement pas censées participer aux activités de cet établissement; mais les en exclure par le droit serait discriminer!

La Philharmonie



40 Avenue des Libérateurs

Les travaux de rénovation étant finis, la Philharmonie de Scar fête sa réouverture cette année, en 2012. Construite en 1901, cette salle de concert accomode 1800 places dont les vues sont harmonieusement centrés sur la scène ronde. L'opulence de cette salle reflète sur l'histoire coloniale de la Malévie, dont les gouverneurs avaient favorisé la construction des loisirs bourgeois aux infrastructures nationales. Il faut toutefois admettre que les ornements sont uniques; le savoir-faire peut concurrencer les artisans eurysiens. Les billets sont difficiles à acquerir, car ils sont distribués parmi les citoyens maléviens de manière aléatoire (ou presque).

Musée Olberto Muivón



14 Place de l'Égalité

Le musée Olberto Muivón, dont le nom vient du célèbre réalisateur malévien des années 1950, est dédié à l'histoire du cinéma. On peut y trouver l'exposition permanente, qui retrace la naissance du septième art en Malévie, ainsi que des expositions spéciales, dédiées au cinéma international et au cinéma d'auteur. Ce musée est un prérequis pour tout amateur de cinéma. L'entrée est gratuite pour les moins de 18 ans, ainsi que pour les étudiants. Le musée est plutôt vide, sauf le week-end, où il peut y avoir de la queue.

Musée de l'Art Contemporain



89 Avenue Vicente de Meija

Le Musée de l'Art Contemporain, situé entre la gare et le vieux centre-ville, a la charge de faire découvrir les courants artistiques contemporains du monde à la société malévienne. Le bâtiment moderne, construit en 2002, est parfaitement équipé pour cela. Chaque année, ce musée organise de surcroît la Nuit des Enfants, pendant laquelle les citoyens sont invités à s'exprimer de manière artistique en dessinant sur les murs. Les résultats sont conservés et font partie de la collection du musée. Le musée est saturé les samedis et dimanches; il est impossible d'y rentrer sans réservation.

Musée National



Le Musée National est sous la responsabilité des historiens de l'Académie de Scar, qui y retracent l'histoire de la Malévie. Chaque année, le musée organise des expositions sur des sujets très pointus, tels que les pêcheurs maléviens pendant l'ère coloniale. Malgré la qualité de ses présentations, le musée n'est pas très fréquenté. Toutefois, c'est un point de rendez-vous pour les amateurs de l'histoire et les étudiants passionés par le passé. Entrée gratuite pour les moins de 18 ans, ainsi que pour les étudiants.

Banque de Malévie



21 Promenade de la Victoire

La Banque de Malévie est l'institution qui gère la monnaie nationale, le Malion. Elle sert aussi de banque de crédit auprès des citoyens n'ayant pas les moyens de démarrer leurs projets.

L'immeuble de la Banque Nationale est reconnu pour son architecture singulière. L'architecte Munio Vegas a conservé la facade ancienne vers l'extérieur, mais transformé l'intérieur en une véritable métaphore. Organisé de manière efficace pour permettre aux économistes de faire leur travail, le grand hall est une satire de la bureaucratie; les bureux donnant sur la cour intérieure ressemblant à des tiroirs. Certains sont fermés, d'autres ne le sont pas, encore d'autres sont vides. Ils viennent de partout. La rénovation de Vegas a eu un grand succès en Malévie, où les critiques ont apprécié l'emploi subtil d'ironie de la part de l'artiste.

Pendant les week-ends, des visites guidées sont organisées. Cependant, elle ne sont pas peu chers et doivent être prises en avance.

Café des Aviateurs


Photo prise le matin

10 Rue Massimo Valar

Le Café des Aviateurs est un café situé à deux pas du cercle d'Arisse. C'est un endroit très prisé du cercle étudiant de la capitale, parfois on peut même y voir des professeurs. La raison pour ce succès est simple: une ambiance authentique et un café qui donne des ailes. Cependant, ce n'est pas un lieu pour travailler, car le silence n'y règne pas. Tout au contraire, les débats à haute voix et les rigolades, ne font pas apercevoir le côté difficile des études.

Club de la Course Automobile



63 Avenue des Libérateurs

Le Club de la Course Automobile de Scar est une association d'amateurs d'automobiles. À ne pas confondre avec l'association de la Formule 1, qui siège à Portomeiro. Ce club était autrefois réservé aux gens de l'industrie automobilière du pays, mais est aujourd'hui accessible à tous (en théorie). Certains journaux, tels que le Radical, ont accusé cet établissement d'être un lieu d'entre-soi et de reproduction sociale. Le gouvernement municipal a cependant affirmé ne pas avoir de preuves de mauvais comportement émanant du club; ainsi il a ignoré les protestations.