27/07/2013
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Secrétariat Particulier Autonome Centralisé pour l'Espace

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Le Secrétariat Particulier Autonome Centralisé pour l'Espace (SPACE) est un Secrétariat du gouvernement rattaché au bureau de la Première ministre. Il a pour tâche de dresser les grandes lignes, les objectifs et les budgets des programmes spatiaux tanskiens. Il n'est ni chargé de la conception ni de la réalisation de tels programmes. Il donne simplement à
Agence Spatiale Tanskienne de Recherche et d'Exploration (ASTRE) ses directives. L'agence, dont le bureau de direction est uniquement composé de scientifiques ou d'ingénieurs, propose elle les programmes dans le détail qu'il faut ensuite valider. En réalité, la gestion même des programmes et de leur déroulement revient ainsi à l'ASTRE. La gestion politique et économique - le budget est dans les grandes lignes constituées d'une enveloppe planificatrice sur 5 ans - revient elle au SPACE.

Le SPACE fut fondé en avril 2011 dans le cadre des Grands Programmes proposés en mars 2011. Constitué avant le vote devant le Congrès Fédéral, le Secrétariat particulier sert notamment d'interlocuteur politique aux autres Etats souhaitants s'entretenir avec la République Fédérale de Tanska sur des questions spatiales. Dès lors qu'un partenariat, contrat ou accord est trouvé, son déroulement est confié à l'AST. Le SPACE ne garde lui qu'un contrôle politique qu'il doit présenter au Congrès Fédéral annuellement. Dans le cadre de l'Egalité Fédérale, c'est en lien avec le ministère de l'Industrie, de la Coordination territoriale et des Communications, et celui de la Science et des Techniques, que le SPACE planifie l'ensemble des installations. L'accord d'installation d'une quelconque base spatiale, station de suivi des objets spatiaux ou autre doit être fait entre le Congrès Fédéral et les Parlements Provinciaux selon une procédure accélérée de consultation.

Le directeur actuel du SPACE est Monsieur Olivur Sigurðsson.
La directrice actuelle de l'ASTRE est Madame Lilja Ólavsson.

L'ensemble des actions du SPACE et de l'ASTRE doivent permettre, pour les citoyens tanskiens de garantir :
  • des données et services spatiaux de qualité, actualisés et sécurisés;
  • des avantages socio-économiques plus importants découlant de l'utilisation de ces données et services, en vue d'une croissance et d'une création d'emplois accrues dans l'ensemble des régions et provinces fédérales;
  • un renforcement de la sécurité et de l'autonomie de la République Fédérale de Tanska;
  • un rôle plus important pour la République Fédérale de Tanska en tant qu'acteur de premier plan dans le secteur spatial tout en étant un partenaire fiable.

A terme, les avancées de l'AST pilotées par le SPACE doivent permettre aussi de mettre à disposition des services d'importance comme le guidage d'équipe de sauvetages dans des lieux touchés par des catastrophe naturelles ; l'amélioration de l'utilisation des terres agricoles tanskiennes mais aussi étrangères sous la forme d'un service ou d'un partenariat ; de renforcer la sécurité des infrastructures stratégiques que sont celles du transport et de l'énergie. Cet ensemble est bien évidemment le fruit d'une vision à long terme qui ne sera pas obtenu seule, pas plus qu'elle ne le sera sans le maintien d'un budget et d'un intérêt politique constant de la part des dirigeants tanskiens.

Le SPACE rejette toute possibilité d'initiative de militarisation du domaine spatial.


En date 11 avril 2011, le Grand Programme lié à l'espace n'a pas encore été voté mais des programmes existent déjà :

  • ALTAIR : Alternative Advanced Independant Rocket
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Le présent post sera édité au fur et à mesures des principales évolutions. Le topic postera l'actualité et servira aussi de portail pour toute communication avec la République Fédérale de Tanska relative au SPACE ou à l'ASTRE.
Le programme CENTAURI d'observation de la Terre officiellement lancé.

Le programme CENTAURI est un programme destiné aux utilisateurs civils qui visera a fournir des données et des services de géo-information ainsi qu'une base de données en accès ouvert aux populations tanskiennes et aux chercheurs sur la Terre. La base de donnes pourra être ouvertes à des scientifiques et populations étrangères sur la base d'accords bilatéraux signés avec le Secrétariat Particulier Autonome Centralisé pour l'Espace.

Dirigé par l'Agence Spatiale Tanskienne de Recherche et d'Exploration (ASTRE), ce programme visera à fournir des services opérationnels de surveillance de l'atmosphère, de surveillance de l'environnement maritime, de surveillance des sols, du climat, de gestion de situations d'urgences et de sécurité. Il s'agit donc d'un ensemble de six services. Il vise à combler les lacunes existantes sur l'observation planétaires pour les acteurs tanskiens qu'ils soient publics ou privés tout en entraînant, dans sa mise en marche et dans sa continuité, des investissements et des développements technologiques et économiques. Si le rôle principal est avant tout scientifique, l'avancée progressive du programme et la mise en application évolutive des services opérationnels visera à étendre le champ des utilisateurs au secteur privé par l'apport en service en temps réel d'informations.

Les services opérationnels de surveillance de l'environnement maritime et terrestre ainsi que la gestion d'urgences qui seront déployé pour le secteur privé afin de maximiser les bénéfices socio-économiques de l'observation terrestre. La surveillance atmosphérique et de l'évolution climatique, qui seront les deux premiers services mis en application sont avant tout à destination des institutions publics, des centres de recherche et des universités. Le service opérationnel de sécurité visera à la surveillance frontalière, maritime et à l'assistance dans le cadre d'action humanitaire du gouvernement fédéral. Ce service pourra aussi être délégué à d'éventuels partenaires.

Etabli en mai 2011, ce service vise l'entrée en activité des premiers services pour l'année 2013 par le lancement, via une fusée nationale ou non, des premiers satellites d'observation de première génération. La mise en application complète du service, dans une version initiale, doit être atteinte à l'horizon 2015.

L'ASTRE lancera prochainement un appel d'offres au secteur technologique tanskien pour l'assistance à la conception du premier satellite d'observation atmosphérique destiné à surveiller la couche d'ozone. Les premiers satellites seront des CUBSATS afin de limiter les coûts et d'agréger une expérience et des connaissances dans le lancement du satellite. Le lanceur, si il est tanskien, ne relèvera pas du programme ALTAIR (Alternative Advanced Independant Rocket).
L'Agence Spatiale Tanskienne de Recherche et d'Exploration (ASTRE) prépare les premiers essais du test de moteur de la fusée ALTAIR (Alternative Advanced Independant Rocket). Première fusée de conception et de construction tanskienne, ce démonstrateur devra aussi être capable d'envoyer une charge utile totale de 200 kilogrammes en orbite héliosynchrone. Elle sera équipée de deux étages pour une taille totale avoisinant les 22 mètres de long.

Le premier étage sera équipé de 6 moteurs Aquila à ergol liquides brulant un mélange de propane et d'oxygène liquide émettant chacun une poussée de 60kN. Le second étage ne comprendra lui qu'un seul moteur-fusée Aquila. L'Altair ne devrait pas être réutilisable. Plusieurs tests doivent avoir lieu dans les semaines à venir à indique Lilja Ólavsson, directrice générale de l'ASTRE. Un premier, simplement d'allumage sur une courte durée. Un d'allumage et de mise à feu pendant une durée pouvant aller jusqu'à trois minutes, un d'allumage de trois moteurs en simultané sur une période d'une minute et enfin un dernier d'allumage commun des six moteurs. Le premier vol du lanceur léger ne devrait pas avoir lieu avant l'année 2012 selon les prévisions optimistes sur la base de lancement d'Akrak actuellement en construction dans l'est de la Province fédérale d'Etelämanner. Il est évident que l'ensemble de la base ne sera pas prête pour ce premier lancement mais le site de lancement T-1 (pour Test), relativement est simplifiée est quant à lui presque prêt à indiquer la direction du Secrétariat Particulier Autonome Centralisé pour l'Espace aujourd'hui.


ALTAIR
Décollage du prototype X-12


La base spatiale d'Atrak a connue une importante hausse de son activité ces dernières semaines. Ce n'est cette fois-ci non pas ALTAIR qui passionne la presse mais le prototype d'un aéronef furtif à haute vitesse et haute altitude en développement, le X-12.

Très peu d'informations ont été dévoilées par le projet mais on sait toutefois qu'il est mené conjointement entre l'ASTRE, le SPACE, la FAT (Force Aérienne Tanskienne) ainsi que l'industriel Stað-Repan. Seuls deux prototypes auraient été construit il y a seulement quelques semaines. Ces prototypes, qui font aussi office de démonstrateurs, doivent effectuer plusieurs dizaines de vols et d'essais au cours des prochains mois ont assurés les différentes autorités spatiales et militaires. Le X-12A ayant effectué un vol ce 5 février ferait environ 25% de la taille de l'aéronef final prévu, et il ne comporterait pas toutes les caractéristiques de furtivité, de manœuvrabilité et de vitesse de la version prévue.

Ni le ministère de la Défense nationale ni l'Agence Spatiale tanskienne n'ont souhaités donner de précisions sur les caractéristiques actuelles du vol, sur l'état réel de la réussite du vol et sur les finalités prévues du X-12 si celui-ci venait à voir le jour. Un représentant de l'ASTRE a toutefois communiqué sur ce vol.

Porte-parole de l'ASTRE a écrit :
Le X-&2A qui a volé ce matin autour de la base d'Atrak et à l'est près des îles a largement réussi l'ensemble des tests que nous souhaitions lui faire passer. Ces derniers ne sont que préliminaires, mais ils sont toutefois de bonne augure avant la mise en place de test plus conséquent. La version en taille finale du X-12 n'est pas encore construite. Ce vol nous permet toutefois déjà d'en préciser quelques angles, quelques approches. L'aspect le plus important pour nous est évidemment l'insertion d'un pilote dans le cockpit. Comme vous avez sans doute du le comprendre, l'appareil n'étant pas à sa taille finale, nous avons du insérer un dispositif de contrôle à distance, placé dans ce qui devra être le cockpit à l'avenir. Nous espérons pouvoir présenter une version en taille réelle, toujours sous forme de prototype, pour le début de l'année 2013.

Pour l'ASTRE, l'appareil semble avant tout être un démonstrateur technologique qui pourrait servir au développement d'appareils pour des missions habitées. C'est toutefois ce que laissent penser plusieurs ingénieurs du projet ainsi que plusieurs journalistes et experts bien informés sur la question. Un autre appareil de prototype, destiné au vol à très haute altitude, serait en cours de développement d'après plusieurs rumeurs. La Force Aérienne ne serait cette fois-ci pas impliqué dans le prototype du X-22. Cela laisse pensé que le X-12 aurait quant à lui une finalité belle et bien militaire. L'architecture visible du prototype, dont nous n'avons pas d'image complète, semblant là aussi aller dans le sens d'un appareil militaire. Peut être le futur programme du ministère de la Défense nationale ? Aucun financement officiel n'a été présenté et le Gouvernement n'a pas répondu aux questions de certains journalistes sur la question.

X-36
"Høsto, ici Cap Akrak, nous avons un décollage"

18 juin 2012, quelque part à l'est de la base aérospatiale d'Akrak.

Ma première rencontre avec l'espace, ce fut un matin de juin 2012. Jeune journaliste pour le compte du Dimanchissime järvien, j'avais été envoyé sur les plages de galets de la péninsule de Riihiluimi pour observer le premier lancement de l'Agence Spatiale Tanskienne. Nous n'étions alors situés qu'à quelques centaines de mètres du pas de tir, mais hors de sa trajectoire. Akrak j'en avais entendu parler dans le cadre de mes études à l'école de journalisme centrale, à Norja. On avait eu à lire quelques papier à propos de la fondation de l'ASTRE. Et donc forcément, on entendait parler d'Akrak. Elle nous avait été décrite comme un lieu vaste, étendu, aux multiples installations où se côtoyaient la Force Aérienne et la recherche spatiale. Jamais article n'avait été aussi réducteur à propos de la réalité. Pour accéder à la plage, nous avons dus, avec quelques autres journalistes presque tous aussi jeunes et inexpérimentés sur les questions spatiales, traverser la base en voiture. La traversée dura près d'une demi-heure. Je ne sais guère combien de kilomètres furent parcourus ce jour-là, mais l'armée nous avait précisé qu'on ne devait rien écrire de précis à ce sujet. Je tiens juste à indiquer à tout lecteur qu'Akrak n'est pas la petite piste de décollage et le site de lancement dont on pouvait entendre parfois parler. Non, Akrak disposait de plusieurs pistes, d'innombrables hangar et bâtiment et, après avoir traversée une maigre forêt, les premières installations de l'Agence Spatiale.

La fusée ALTAIR était posée là, magnifique. D'un bleu un peu terne, j'aperçu une coiffe plus cuivrée qui reflétait le soleil levant järvien en cette matinée légèrement brumeuse tandis que l'océan apparaissait progressivement. Elle trônait, adossait à son bras de lancement, attendant patiemment de prendre son indépendance et de rejoindre les cieux. A la vu de cette peinture qui se dessinait lentement face à moi, je compris que j'avais fait le bon choix d'accepter cette mission. J'aurais voulu rester là, au plus près de la fusée, au plus près du lancement. On nous conduisait malheureusement plus loin, là où l'on ne pouvait plus distinguer les détails de la fusée. Nous étions mis en sécurité. J'étais mis en danger de rater chaque détail du décollage. J'étais un grand incompris.

[A FINIR]
3000
Après le lancement réussi du 18 juin, Akrak ne cessa pas son activité. Tout d'abord, il avait fallut pleinement recueillir, analyser, exploiter l'ensemble des données recueillies lors du premier vol. Elles avaient été des plus nombreuses, mais, à l'exception de quelques éléments d'une importance minime, tout le décollage s'était passé à merveille. Les résultats avaient été parfaitement concluants. Le mot "nominal", n'avait jamais été autant prononcé dans une seule journée dans l'histoire de la République. L'ensemble de ces donnés préparaient l'étape suivante, le lancement de la fusée Altair.


DEUXIEME LANCEE ET REUSSITE POUR LE SPATIAL TANSKIEN

Comme pour la première fois, je dois reconnaître l'émerveillement toujours similaire qui était mien pour ce lancement. Je n'étais point sur le pas de tir, exceptionnellement, l'ASTRE avait autorisé une poignée de journalistes à assister au vol depuis le centre de commande sur le centre aérospatial d'Akrak.

Altaïr-B, trônait fièrement sur son pas de tir, prête à conquérir les cieux. Elle était le fruit de milliers d'heures de recherche et de travail et d'un développement renchérit du précédemment lancement. Les ingénieurs, scientifiques et quelques députés étaient réunis dans la salle. Comme moi, ils scrutaient, avec fébrilité, les écrans et les caméras. Nous regardions, eux analysaient chaque donnée.

Le compte à rebours avait commencé. Tandis que les secondes s'égrenaient, des dents grinçaient et quelques doigts tapaient mécaniquement sur des tables ou des vitres dans un stress palpable. A dix secondes du décollage, la voix de la base, dont j'ignore toujours le nom, lança le décompte final tandis que les moteurs s'allumèrent, illuminant la nuit järvienne, il était 23h32. la fusée, retenue par le seul bras la maintenant, trembla dans son ensemble alors que les six moteurs Aquila rugissaient. Le son du commentateur s'amenuit, progressivement remplacé par celui de la fusée que l'on nous laissait entendre.

Le bruit était assourdissant, un grondement sourd, une douce mélodie de science et d'espace raisonnait dans la salle alors qu'elle s'arrachait à ses premiers mètres de gravités. Sur les plages, à quelques kilomètres d'Akrak, des milliers de tanskiens assistaient sans nulle doute à une nuit merveilleuse. Claire, sans lune, la galaxie qu'ils pouvaient apercevoir fut traversée par une trainée de lumière grimpant dans le ciel. La seule caméra embarqué sur la fusée nous donnait à voir quelques images qui marquent.

Alors qu'elle gagnait en altitude et que le sourire apparaissait sur les visages de quelques invitaient, les ingénieurs poursuivaient leur travail. "Nominal", le mot revint autant de fois que de soupir de soulagement distinguable parmi la nuée de cols blancs. Les étapes furent franchit une à une, relativement sans problème. J'appris plus tard, des mots d'un ingénieur, qu'en réalité la fusée avait du continuellement compensée un déficit initial de poussée de l'un des moteurs qui aurait pu s'avérer fatal.

Malgré tout, elle réussit à atteindre l'espace et à se placer en orbite. Pour seulement quelques jours. Déjà, avant la fin du mois, le second étage devrait rentrer et se consumer entre l'atmosphère et l'océan des perles. Elle n'emportait rien, sinon un nouvel espoir pour le spatial tanskien, et celui-ci flottait déjà haut dans les cieux de Järvi, Norja et de tant d'autres villes.

Quand le terme "orbite" fut prononcé, pour la première fois, je vis quelques ingénieurs pleurer.
Tir d'un missile Engill depuis le Centre Aérospatial d'Akrak

Tôt dans la matinée aujourd'hui, un nouveau tir à eu lieu depuis le Centre Aérospatial d'Akrak en Aleucie. Les forces armées tanskiennes viennent de tester avec succès le premier missile balistique tanskien dénommé Engill pour un tir "à longue distance" au dessus de l'Océan d'Espérance. effectué sans charge utile, ce premier tir balistique a été décrit comme un franc succès par le porte-parole des armées tanskiennes. Il a été surveillé tout au long de sa trajcetoire par des bâtiments de la Force d'Auto-Défense Navale avant de terminer sa course dans la zone définie avec une "excellente précision" a affirmé l'armée.

Le tir survient dans le cadre du développement de capacités balistiques nationales. Ces dernières devront être introduites sur l'ensemble du spectre et sur l'ensemble du territoire fédéral. Dit autrement, chacune des provinces fédérales en plus des régions centrales devra, à terme, être doté de silos de lancement de missiles balistiques ou d'unités mobiles. A cela s'ajoutera une composante navale permise par le développement de sous-marin lanceur d'engin dont le premier est déjà en construction sur les chantiers navals de Norja. Et enfin, une composante aérienne via des avions à long rayon d'action et une version modifiée de l'Engill devra venir compléter le panel de capacité des forces de Défense fédéral. L'objectif avancé par le gouvernement et soutenu la dedans par l'ensemble des forces politiques du pays, est de doter le pays d'un outil de dissuasion "complet", capable de venir frapper chaque pays en tout temps et en tout lieu dès lors que celui-ci pèserait une menace effective pour la sécurité des intérêts vitaux de la nation.

Le Gouvernement n'a pas précisé le nombre de missiles qu'il volait construire à terme. Toutefois, il a été indiqué que plusieurs discussions devaient avoir lieu avec les partenaires du Conseil militaire de l'Organisation des Nations Démocratiques sur la dotation généralisée de missiles et d'un bouclier anti-missiles au sein de l'alliance. cela surviendrait après la récente adoption par l'OND d'une division géographique des commandements, avant tout par continent.

Le ministère de la Défense a fait savoir que certaines régions, à commencer par les régions centrales puis la province de Kyli dans l'Isthme d'Afarée seraient dotés en priorités des capacités balistiques pour des "raisons évidentes de sécurité". l'"Engill", dans sa version actuelle, atteindrait une portée de plusieurs milliers de kilomètres. Dans sa prochaine dotation dans les régions centrales en Eurysie, il offrirait une couverture sur la majorité du continent. L'emplacement des missiles, sans doute intégrés au sein d'unités mobiles pas encore officialisée, ne sera pas public a tenu à préciser le ministère, là encore pour des raisons de sécurité. "Des missiles balistiques seront répartis sur toutes les régions centrales. Notre seule ligne rouge est évidemment leur absence directe dans des zones peuplées pour ne mettre personne à risque, y compris face à un accident."
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