Création de pays : État Libre d'Émeraude
Généralités :
Nom officiel : Emerald Vrystaat (État Libre d'Émeraude en français).
Nom courant : Smaragland (Terre d'Émeraude en français).
Gentilé : Afaraners.
Inspirations culturelles : Afrikaners, Boers, Afrique du Sud sous apartheid.
Situation géographique : L'État Libre d'Émeraude se situe au sud-est du golfe du même nom au centre-ouest du continent d'Afarée.
Langue(s) officielle(s) : L'Afaraners.
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Le Zélandien, le Flamand et le Frison ainsi que les langues locales, depuis peu.
Drapeau :
Devise officielle : Werk, Geloof, Voorspoed (Travail, Foi, Prospérité en français).
Hymne officiel : Vorentoe Smaragland (En avant, Terre d'Émeraude).
Capitale : Nuwe Noordcroen (Nouvelle-Noordcroen en français).
Population : 18 216 000 habitants.
Aperçu du pays :
Présentation du pays :
L'Emerald Vrystaat ou l'État Libre d'Émeraude voit le jour au même moment que la Fédération de Zélandia. En effet, avant d'être un État indépendant, il s'agissait d'une colonie appartenant à la Sealân Overseas Trade Company, la fameuse S.O.T.C. Quand la Fédération vit donc le jours, il fut donc décidé de changer le statut des colonies en communes ou communautés comme pour la métropole, afin de donner le pouvoir aux citoyens de ses communes. Mais le gouverneur de l'époque du Smaragland, la Terre d'Émeraude, n'était pas de cet avis. Pour lui, la démocratisation de la métropole, et surtout des colonies signifiait la venue de réformes sociales qui réduiraient les revenues de la compagnie dans la colonie. Il décida donc de profiter de l'extrême libéralisation politique que subissaient la métropole, afin de manipuler les colons sous sa responsabilité et leur faire voter l'indépendance de la colonie vis-à-vis du reste de la Fédération, et comme la nouvelle doctrine politique -toujours en vigueur- de Zélandia est de laisser les citoyens se gouverner par eux-même et pour eux-mêmes, les premiers Secrétaires Fédéraux acceptèrent le choix de la colonie de devenir un État indépendant. Quand à la façon de manipuler ses colons, le Gouverneur de l'époque, se servit de la Foi des colons pour les monter contre la métropole qui venait dans le même temps d'interdire à tous les cultes le droit de séjourner sur le territoires de la Fédération. Cela favorisa donc les votes en faveur de l'indépendance, en plus du soutien de l'État Pontifical du Volignon, auquel les colons adhéraient aux enseignements.
Plusieurs années après l'indépendance, le nouvel État envoya plusieurs expéditions dans les terres afin de découvrir de nouvelles ressources telles que les diamants, dont le pays est un grand exportateur, en plus de chercher de nouvelles terres cultivables ou pâturables afin de nourrir la population grandissante. Cela permit de délimiter pour de bon les frontières du nouvel État, mais en contrepartie, cela intégras les populations locales qui se virent relayer au rang de citoyen de seconde classe, sans droit de vote, ainsi que d'une éducation séparée et une assimilation forcée. Bien que de nos jours, certaines réformes sociales de bases aient été faites pour contrer la pauvreté et le chômage, et que les langues locales soient reconnues à côté des langues officielles, les populations autochtones sont toujours victimes de la pauvreté et du chômage et, malgré le droit de vote aux élections législatives, sont toujours autant marginalisés d'un point de vue politique (ils ne peuvent pas se présenter comme candidats aux élections) et professionnel (bien qu'ils peuvent pratiquer les professions qu'ils veulent, ils sont la plupart du temps exclus des métiers du secteur tertiaire et sont souvent relayés aux secteurs primaires et secondaires).
Mentalité de la population :
La population est assez bipolaire en terme de mentalité. En effet, d'un côté il y a les descendants des colons zélandiens, soucieux de garder les choses telles qu'elles sont sans trop les réformer (surtout pour ce qui touche à la religion), malgré une certaine libéralisation de la jeunesse qui s'ouvre de plus en plus aux cultures des populations locales, et de l'autre côté, ces même populations locales, qui malgré les efforts de certains députés, continues de se battre pour une plus grande démocratisation du pays, ainsi que plus d'égalité entre tous les citoyens.
De plus, à la différence de leurs cousins Eurysiens, les premiers colons et leurs descendants sont moins ouverts d'esprits. Ces d'ailleurs cette différence qui les poussa à rejoindre les colonies, celle du Smaragland en particulier.
Place de la religion dans l'État et la société :
Sous les enseignements de l'Église de Volignon, la religion a une place très importante dans la sociétés Afaraners. Ces d'ailleurs l'une des raisons qui poussa les premiers colons à s'installer sur ces terres d'Afarée, afin de fuir l'athéisme de la métropole.
Par ailleurs, l'Église et l'État ne sont pas séparés, et les religieux sont considérés comme des fonctionnaires, sous un ministère du Culte et nommé par le Volignon. Ces derniers [les religieux] peuvent d'ailleurs se présenter comme candidats aux élections législatives. De plus, la vie des citoyens, même si ce phénomène commence à se raréfier, est rythmée par les institutions religieuses, qui s'occupent de beaucoup d'associations caritatives dans tout le pays, associations s'occupant sans distinctions ethniques de tous les citoyens.
Politique et institutions :
Institutions politiques :
L'Emerald Vrystaat est une république composée d'un parlement monocamérale (une seule chambre) appelé : Huis van Setlaars (Chambre des Colons en français) pour le pouvoir Législatif, d'un gouvernement présidé par un 1er Ministre pour le pouvoir Exécutif et d'une cour suprême pour le pouvoir Judiciaire.
Les députés, le 1er Ministre et les juges sont tous élus au suffrage universel mixte pour un mandat de cinq ans, renouvelable une fois, soit juste après leur dernier mandat, soit après le mandat de quelqu'un d'autre. Les autres ministres du gouvernement sont choisis par le 1er Ministre et leur mandat, peut s'arrêter par la nomination par ce dernier [le 1er Ministre] d'un autre ministre. Un ministre peut donc rester à son poste sous plusieurs gouvernement sans bougés, bien que cela soit assez rare.
Quant à leur rôle, le gouvernement propose les lois et représente la nation à l'international, le parlement vote ou non les lois proposées par le gouvernement et la cour suprême juge quelles sanctions à appliquer pour quels délits selon la loi.
Composition du Parlement de 2005 à 2015
Principaux personnages :
Violette Van Den Heever, 1ère Ministre du Smaragland.
Frederich Engelbrecht, Ministre des Affaires Étrangère.
Heinrich Isaac, Ministre de l'Économie et de l'Industrie.
Fleur Wessels, Ministre de la Marine et du Commerce et actuelle directrice de la branche indépendantiste de la S.O.T.C..
Sebastian Bekker, Ministre de la Défense.
Matthys Brown, Ministre de l'Éducation.
Wilhelmina Van Blerk, Ministre du Culte, s'occupe en plus des relations diplomatiques avec le Volignon.
Politique internationale :
À l'instar de la Fédération de Zélandia, l'État Libre d'Émeraude est une nation commerçante, cherchant avant tout des partenaires commerciaux. La seule différences, c'est qu'elle peut être plus belliciste que son ancienne métropole, en ce qui concerne la défense de ses intérêts nationaux.
