Cet atlas a vocation à être consultatifs pour tout individu le souhaitant sans distinction ni restriction.
Chapitre 1 : L'Eurysie.
Territoire métropolitain de la Fédération.
Le territoire métropolitain de la Fédération est constitué principalement de marais dans l'intérieur des terres, en particulier dans l'ouest du pays. L'est, quand à lui est plus sec grâce aux vents secs du nord, descendant sur le territoire. En revanche, dans le sud-ouest du pays, vers la commune d'Amstergraaf, les marais ont été asséché par la plantation de forêts (chêne en particulier) au XVIIe siècle afin de répondre à la demande des armateurs et grandes compagnies maritimes qui étaient de grands consommateurs de bois pour la construction de leurs flottes commerciales et militaires. Ces marais asséchés ont donc finis par donnés des Landes. L'ouest étant célèbre donc, pour ses forêts, le centre lui, est connu pour ses importantes mines de charbons exploitées dès le Moyen-Âge, et l'est pour ses terres fertiles et ses célèbres champs de coquelicots et de pavots, utilisés dans la fabrication de stupéfiant, dont la Fédération est une grande exportatrice comme l'opium ou la morphine (pour des usages médicaux). Quant aux villes, ces dernières ont la particularité de posséder plus de canaux que de rues, les citadins se déplaçant par ailleurs en bicyclette à pied ou en barque, plutôt qu'en voiture.
Champ de coquelicots au nord-est du pays, au sud de la capitale Blankenvoorde.
Le Grand-Canal de la capitale : Blankenvoorde, avec au fond à droit, le Beffroi de l'hôtel de ville de la commune.
Chapitre 2 : l'Aleucie.
Territoire Aleucien de la Fédération.
Le territoire Aleucien de la Fédération est une presqu'île composée exclusivement de forêts, mais aussi de beaucoup (beaucoup) de lacs et de cascade. Il s'agit du territoire le plus boisé de la Fédération, lui assurant une autosuffisance certaine quant à son approvisionnement en bois. Historiquement, c'est la première colonie Zélandienne hors Eurysie avec la construction du port (et du fort) de Nij-Blankenvoorde, et aussi la colonie où les populations indigènes ont été les plus accueillantes avec les nouveaux arrivants, s'adaptant eux-mêmes très vite à la culture zélandienne.
Photo de la vallée de Menhetten à l'ouest de la commune de Nij-Blankenvoorde.
Chapitre 3 : la Gouden Kust (Côte de l'Or) Zélandienne et le Paltoterra.
Territoire de la Fédération au Paltoterra.
Le territoire de la Fédération au Paltoterra n'est peuplé que sur sa bande littoral, la Gouden Kust (Côte de l'Or). Cette dernière est constituée de petites communautés et d'une commune : Koninklike haven (port-Royal). Le style architectural des villes de la Gouden Kust est le même que celui des villes coloniales Listoniennes, pour la simple et bonne raison que ce territoire est l'ensemble d'anciens comptoirs Listoniens installés au Paltoterra. Quant à l'intérieur des terres, ces dernières sont départagées entre parcs fédéraux, qui sont aussi des réserves indigènes, sanctuaires pour les populations locales, et des concessions pour les compagnies d'extraction d'or, tous cela au beau milieu d'une jungle tropicale luxuriante.
Église Listonienne reconvertie en salle de concert à Koninklike haven.
Réserve Fédérale de Arnlingen et site sacrée pour les tribus locales.
Mine d'or de la Nordic Gold Mining Society, au coeur de la Jungle.
Chapitre 4 : L'Afarée.
Tout comme une ancienne colonie le long du Golfe d'Émeraude, le territoire Afaréen de la Fédération recèle un trésor caché insoupçonné. En effet, dans l'arrière-pays de la principale commune du territoire : Baai Stêd (Ville de la Baie), le sol aride du désert regorge de diamant assurant aux joailliers Zélandiens une autosuffisance certaine et leur permettant de passer maître dans leur art. Mis à part cela, c'est le territoire qui a coûté le plus chère de part son éloignement avec la métropole pour le coloniser, en plus des royaumes locaux, qui préféraient la guerre au commerce.
Photo du Draken Woestijn (désert du dragon), dans l'arrière-pays de Baai Stêd. C'est sous ces dunes, que la Fédération extrait tous ses diamants.
Chapitre 5 : Le Nazum.
Coincé entre la mer au sud et la mangrove au nord, le territoire Nazuméen de la Fédération était à sa fondation un avant-poste, puis un comptoir sur la route reliant l'Eurysie à l'empire Xin et au Tahoku. Il est par la suite devenu le producteur de caoutchouc de la Fédération, rôle qu'il occupe toujours à ce jour. À part cela, l'installation Zélandienne sur ces terres n'a pas été difficile, de par les nombreux points communs entre les Zélandiens et les royaumes locaux, chaque parties étant tournées vers la mer et le commerce, des compromis ont vite été trouvé.
L'un des canaux de la commune de Nij-Amstergraaf, mélangeant habilement, génie architectural Zélandien avec le paysage local.
