Alors que
l'Empire Tchére était en déclin suite aux invasions Vikings provenant du Valkoïnenland actuel sous
l'Empereur Mérelim II ( 1348-1367 ), leur voisin limitrophe,
l'Empire Kaulthe, commença à s'étendre par la guerre, formant un puissant empire dirigé par
Hildebar. Les Tchéres, en pleine crise de politique suite
à la mort de Gonsgard, fils de Mérelim II et Prince de Tchérie, durent se préparer à l'inévitable invasion de leur territoire par
l'une des plus grande puissance Eurysienne de l'époque : l'Empire Kaulthe. Ceux-ci
envahirent le pays en 1354, balayant les faibles armées Tchéres et occupant rapidement plusieurs régions.
L'une des batailles qui marqua le plus les Tchéres fut celle de Juxent. A l'époque, de
solides remparts dominait la ville, ils étaient tant épais qu'on prétendait
la ville imprenable. De plus, lors de l'arrivée massive des armées Kaulthes,
estimées à 10 000-20 000 hommes selon les historiens d'époque, les provisions étaient largement suffisantes
pour tenir 2 mois. Carte de la ville de juxent vers 1200-1400Cependant, les kaulthes disposaient, grâce aux guerres et conflits qu'ils avaient menés, de
technologie largement supérieure à celle des Tchéres. Entre autre
des catapultes et des tours, permettant la prise rapide des remparts.
Alors que la nuit allait tombée, les soldats Kaulthes situés à l'ouest de la ville escaladèrent les remparts est qui menait vers le quartier hellénique et prirent à revers la garnison qui protégeait le mur sud-ouest de la cité. De plus, les armées kaulthes se situant au sud, dirigé par
Frédéric Amelintsk, Duc exilé de Juxent, engagea une attaque sur les murs en même temps que l'armée de l'ouest et ils décimèrent ensemble la garnison sud. Bien que les soldats de la garnisons nord-Ouest ont tenté de venir au secours de leur camarade, leur attaque fut vaine.
Plus à l'Est, sur les collines de Drucarte et de Posanias, les armées kaulthes et Sapythes firent une percée dans les murs sud-est de la ville et s'engouffrèrent à l'intérieur, exterminant la garnison composée d'esclaves légèrement armés et de faibles paysans. Rapidement, la retraite fut commandé et les derniers navires s'embarquèrent à l'autre rive du lac de Juxent pour fuir l'armée kaulthe.
Sur les 5000-8000 hommes de la garnison Tchére, seulement 1000 à peine survécurent de cette bataille tandis que les kaulthes n'avaient perdu que 1000 hommes dans certains assauts désespérés. Carte de la bataille de JuxentLa seconde bataille qui marqua les Tchéres ( ou du moins empêcha une riposte au nord de leur territoire ) fut la
bataille de Kenesbourg ( ou Kenesburg ) en 1356. Durant celle-ci, les armée Marhéniennes et Kaulthes (
estimées à 500 chevaliers, 50 canons et 20 arquebusiers ) prirent en tenaille les armées Tchéres qui, équipé de rares chevaliers et d'une masse inexpérimenté de paysans, succombèrent face
aux tirs des canons et arquebuses kaulthes, des armes jusqu'alors inconnues par les Tchéres.
Cependant, aucun texte connue n'atteste du nombre de Tchéres présent durant la bataille, car les seuls récits nous étant arrivés sont kaulthes.
De nombreuses batailles ont également eu lieu le long de la frontières au centre-ouest de l'Empire Tchére,
avec quelques rares victoires Tchéres, mais dans la grande majorité des cas
la défaite fut totale. L'Empereur Tchére Mérelim II, prétend-t-on, se
serait donner la mort afin d'abréger ses souffrances, mettant
fin à la dynastie des Adériens. Les kaulthes, n'ayant
aucun véritable ennemi capable de les arrêter, avancèrent rapidement en territoire Tchére.
Carte des premières attaques Kaulthes[En Rédaction]