👑 Miss & Mister Mondial - Azur 2011

Miss & Mister Mondial 2011



Modalités du concours


Le concours Miss & Mister Mondial est un évènement international qui consacre la reine et le roi de beauté du monde entier. Cette année, le concours s’installe à Azur (Jashuria). Ville tentaculaire embrassant l'ensemble du bassin d'Azur, cette cité est la seconde ville du Jashuria en terme de population et aussi l'un de ses principaux centres industriels. Accueillant les industries du Jashuria, Azur est fière de représenter les forces manufacturières de la nation et une métropole industrieuse quand sa rivale d'Agartha est plus tournée sur les services tertiaires et les hautes technologies. Pendant longtemps, cette rivalité a été stimulante dans le processus de modernisation du pays et aujourd'hui, Azur peut compter parmi les plus grandes villes de la Péninsule.

Pour la première fois le concours déterminera deux podiums :

🥇 Miss Mondial 2011
🥈 Première dauphine
🥉 Deuxième dauphine

🥇 Mister Mondial 2011
🥈 Premier dauphin
🥉 Deuxième dauphin

L’attribution des prix sera déterminée par un vote de tous les joueurs validés de Geokratos, qui pourront voter pour trois candidates maximum (en attribuant respectivement 5, 3 et 1 point). Nous rappelons que, conformément aux règles, il est demandé de voter en tant que joueur, et non en tant que pays, que les considérations diplomatiques inRP ne doivent pas intervenir dans votre choix et que les amitiés ou inimitiés éventuelles ne doivent pas influencer votre vote.


Comment participer ?


Tous les joueurs validés de Geokratos peuvent inscrire leur candidate à la suite de ce message, via le formulaire ci-dessous. En outre quelques règles sont à respecter :

• Chaque pays ne peut présenter qu’un.e seul.e candidat.e, de sexe féminin et masculin, âgé.e d’au moins 18 ans et au plus de 29 ans, qui a déjà été consacré roi ou reine de beauté dans ledit pays.


• Pour ce faire, le joueur présente 1 à 3 photos du candidat. Ces photos doivent être de bonne qualité, de taille raisonnable et ne doivent pas présenter le ou la candidate de manière dénudée (seins, organes génitaux ou fessiers nus), ou promouvoir des activités érotiques. Les photos en maillot de bain sont tolérées, seulement si elles viennent en complément d’une photo habillée et si elles présentent le ou la candidate sans posture érotique.


• Cette année le concours de beauté met à l'honneur les esthétiques culturelles.

Formulaire à remplir



Vous pouvez aménager ce formulaire à votre convenance, ajouter d’autres informations qui vous paraissent intéressantes, et lui donner une esthétique particulière, tant que tous les critères ci-dessus y figurent.


Vous avez jusqu’au 20 novembre 2023, 20 heures, pour déposer votre candidature. Bonne chance !

Née le 17 août 1990 dans la commune de Nij-Amstergraaf. Phoebe Sibarani est la fille d'un professeur d'Histoire en faculté et d'une journaliste politique locale, ayant déjà une certaine notoriété. De par son lignage paternel, la jeune femme est d'origine "autochtone" nazuméenne et eurysienne de par son lignage maternelle. Ce métissage sera d'ailleurs toujours pour elle une source de fierté. Dans sa prime enfance, elle est d'abord attirée par l'apprentissage de la lecture, qu'elle maîtrisera très rapidement que l'apprentissage de la marche, qu'elle apprendra bien plus tard. Introvertie, mais non-timide, elle se fera connaître de ses camarades de classe par... l'évitement de ces derniers. En effet, elle préférait rester dans son coin (la salle de classe de préférence), un livre sur les genoux plutôt que d'aller participer aux jeux des autres élèves. Ce "mode de vie" inquiétera ses parents sur la vie sociale inexistante de leur fille, jusqu'à ce que cette dernière leur fasse comprendre par ses propres arguments auxquels elle a beaucoup réfléchi que c'était ce qui lui convenait. Concernant sa scolarité "obligatoire", elle développe très rapidement une passion pour l'Histoire, ainsi que la Philosophie, deux disciplines dans lesquelles ses notes sont absolument excellentes, à l'inverse des sciences dites "dures", que la jeune Phoebe préfère ignorée, ne se sachant pas attirée par ce milieu. Durant sa période correspondant au lycée, sa curiosité et son envie de comprendre le fonctionnement interne de l'humain, la pousse à délaisser l'Histoire au profit de la psychologie et de la psychanalyse, dont elle en commencera les études à ses 18 ans. C'est cette même année que les quelques amis de son cercle restreint de connaissances l'ont inscrite à l'élection de niveau fédéral des Miss, concours qu'elle remporte aisément grâce à son "exotisme" dû à ses origines, face à la concurrence eurysienne, ainsi que son maintien, sa grâce et la délicatesse de ses mouvements. En parallèle de ses études, c'est donc sur cette base nationale qu'elle est choisie afin de représenter la Fédération à l'événement qu'est Miss & Mister Mondial de 2011 dans la ville Jashurienne d'Azur.

Côté caractère, la jeune femme, malgré une apparence discrète, presque effacée est cependant très forte d'esprit, doté d'un esprit libre et ouvert.

Mesurant 1m70, Phoebe Sibarani passe pour être une jeune femme grande, selon les critères locaux, mais de taille moyenne selon les critères eurysiens. Âgée de vingt ans, elle a des cheveux d'un noir de jais, ondulant jusqu'aux épaules. Son nez est fin, remontant légèrement vers le haut et ses lèvres sont un petit peu plus pulpeuses que la moyenne nationale. Sa plus grande force et plus grand atout sont ses yeux en amande, tous aussi sombres que sa chevelure.

Miss Maronhi, portant le doux nom de Mawipa Kupuakou, bénit des esprits et des ancêtres de ses terres, incarne la vigueur et la détermination dans sa lutte contre l'orpaillage illégal et l'empoisonnement des fleuves du Paltoterra au mercure. Fille du chef coutumier Tokoto Kupuakou de l'ethnie awanapi, elle est originaire du grand bois maronhien, plus précisément de la province d'Ahminikya. Aînée d'une fratrie de sept enfants, elle s'occupa très tôt de ses plus jeunes frères et sœurs, dont le petit dernier, Memoki, touché par ce qu'on nomme en Maronhi "le mal des esprits fluviaux", ici un ensemble d'handicaps physiques et psychiques congénitaux nés d'un contact avec le perfide métal par la voie de la nutrition de sa mère. En l'occasion de cet évènement international d'envergure, elle porte sur ses épaules le poids des rivières qui berçaient son enfance, des bois qui étaient son terrain de jeu, des écosystèmes qui sont le souffle vital de son peuple, et surtout, de son plus jeune frère, désormais symbole des malheurs du temps. Au-delà de ses activités militantes, Mawipa est également une musicienne talentueuse, célèbre pour sa maîtrise des flûtes autochtones-maronhos et créoles-nazumies sur l'intranet maronhien qui la fit connaître en premier lieu.

Enfant des rives d'émeraude, Mawipa a grandi au son apaisant de la forêt vierge, apprenant la valeur des eaux riches qui abritaient une biodiversité étonnante, alors grenier naturel de toute une société cachée sous la canopée. Cependant, au fil des années, elle fut témoin de l'empoisonnement dramatique des poissons du fleuve et bientôt, des gens s'en nourrissant, la production halieutique ayant une place centrale dans ces sociétés maronhos. L'orpaillage illégal a ainsi laissé des cicatrices profondes sur les terres de Mawipa. Les rivières qui étaient autrefois des artères de vie sont devenues des victimes du mercure, un poison insidieux déversé dans les eaux par des populations diverses traversant les frontières passoires du continent à la recherche de gain, souvent pour subvenir aux besoins de leurs familles. La naissance malheureuse de son plus jeune frère alluma cependant la flamme que voulurent les dieux pour la mener sur la voie qu'elle empreinte aujourd'hui. Armée de son héritage unique et d'une éducation qui a cultivé son amour pour son environnement autant que pour les siens, elle a décidé de se dresser contre cette menace grandissante. Les autochtones du Paltoterra, dont elle est une représentante fière, subissent les conséquences dévastatrices de ces activités, avec des impacts directs sur leur santé, leur sécurité alimentaire et leur mode de vie.

Mawipa a commencé par sensibiliser sa communauté, partageant son savoir acquit à la force de sa volonté et éduquant sur les dangers du mercure. Elle a collaboré avec des scientifiques, des organisations environnementales et des milices locales pour rassembler des preuves et des données incontestables sur les impacts de l'orpaillage illégal. Une photo d'elle armée à l'occasion du démantèlement d'un camp d'orpaillage et relayé par tous les médias de la province d'Ahminikya lui donna un second souffle de notoriété. Son engagement est devenu un cri de ralliement, ralliant les esprits de ceux qui partagent son amour pour ces terres. La lutte de Mawipa ne se limite pas à la sensibilisation. Elle a pris la tête de campagnes pour la protection légale de ces espaces naturels. Elle a plaidé pour des régulations plus strictes, des patrouilles renforcées pour empêcher les opérations illégales, et des programmes de décontamination pour réhabiliter les rivières empoisonnées. Sa voix résonne à travers celles des Man aux hautes instances du pays et des médias en tout genre, portant son urgent message. Cependant, la situation étant ce qu'elle est, ce territoire caractéristique et caractériel est à la fois un trésor et une malédiction ; malédiction car c'est bien ce qui fait cet environnement qui le rend aussi ardu à contrôler, même avec la plus bonne foi qui puisse être. Mawipa Kupuakou se tient comme une gardienne déterminée des rivières de Maronhi. Son héritage, son amour pour la terre, et son engagement indéfectible font d'elle une voix puissante dans la lutte contre l'orpaillage illégal et le poison qui menace les veines vitales de sa patrie.

En participant au concours de Miss Mondial, Mawipa vise ainsi à utiliser sa voix pour plaider en faveur de la protection contre l'orpaillage illégal, de la pollution de la forêt vierge devant la communauté internationale et notamment devant les États dont les ressortissants seraient impliqués dans ce désastre humanitaire et écologique. Elle souhaite également exhorter les pays ne portant jusque-là qu'une attention minime au contrôle des frontières ou à la précarité des ressortissants concernés à s'impliquer activement afin de changer la situation. Les causes sociales n'expliquant pas l'entièreté du problème, elle prône une politique ferme envers ceux qui seraient toujours amenés à piller le trésor national maronhien en mettant en danger des populations pour leur profit personnel. Sans des mesures conséquentes, la nécrose de tout mal se répand où bon lui semble ; les effets sur les populations vulnérables aboutissent en désastres. Elle est la figure d'une beauté mal connue, d'une intelligence méprisée, d'une force féminine enracinée dans sa culture et son environnement.

Description physique :

Mawipa représente la splendeur authentique des peuples autochtones du grand bois maronhien, les Maronhos. Sa peau olivâtre est d'une teinte dorée, rayonnant sous l'ardent soleil équatorial, celui-là même qui, avec l'acier, est dit selon les mémoires du pays, forger les hommes et femmes de ces terres sauvages. Ses yeux sont d'un noir profond, à l'aspect laqué sous la lumière, lui offrant un regard à la fois intense et apaisant. Sur sa tête, perchée sur un long et fin cou d'une élégance rare à l'aspect de grand kapokier, elle arbore une chevelure aussi sombre et luxuriante que le grand bois. Ses cheveux sont souvent ornés de couronnes plumées, de plumes colorées ou de fleurs exotiques. Ses traits du visage sont délicatement sculptés ; son nez droit, ses sourcils nets, ses lèvres pulpeuses, sa mâchoire taillée, ses pommettes visibles, son menton légèrement saillant. Sa silhouette est gracieuse et athlétique, et reflète évidemment une vie active propre aux habitants du grand bois ainsi qu'une alimentation équilibrée, à cheval sur des traditions culinaires séculaires adaptées à leurs peuples et à leurs besoins. Ses mouvements sont empreints d'une grâce naturelle, et ce aussi bien sur un tapis de défilé en laine rouge que sur un tapis de feuilles, de racines et de dangers rampants, tant celle-ci semble danser au rythme des battements de cœur de la forêt vierge. Par sa taille, jugée haut dessus de la moyenne par les siens, et en dessous par les organisateurs de l'évènement international, elle est dominée d'une à deux têtes par bon nombre des beautés présentes, particulièrement par les Eurysiennes.

Nom du pays d'origine : Tamurt n Althalj
Catégorie : Miss
Nom du candidat :Tayri Aimra'at
Courte biographie : Tayri Aimra'at est la fille d'une institutrice d'une école Ilahmique.
Provenant de la région d'Asefsaf, elle a très tôt fait preuve d'une affirmation de soi et force de caractère dans la lignée de la culture qarienne lui permettant de se faire un nom au sein de la communauté, avec par la même occasion la direction des travaux communautaires payés par les locaux dans l'amélioration du réseau de collecte des ordures ménagères et de la rénovation des pavés de la médina d'Asefsaf.
Membre d'un conseil qqqarien de quartier d'Asefsaf, elle représente parfaitement les critères de beauté d'une femme Althaljir.
A travers ses communications dans la presse sur son engagement pour la communauté d'Asefsaf, elle est suivie rapidement par un grand nombre d'Althaljirs, lui proférant une notoriété encore plus importante et notamment chez les jeunes Althaljirs étudiantes.
Embauchée chez GorillAth, première entreprise nationale de construction et travaux publics, elle devient une icône de cette nouvelle génération Althaljir qui souhaite préserver la beauté des Tamurt n Althalj.
La suggestion aura été faîte par un journal de presse, l'Altimutasawilin, afin de représenter la nation dans un concours de beauté international.


Description physique :

• 1m85
• Yeux dorés