- Commerçants eurysiens : Fin XVe - Début XVIe
Avant même l'an 1525, date à laquelle l'explorateur et samouraï Sekura Kobayashi revendiqua le plateau maronhien au nom du trône burujois, les chefferies maronhos du littoral commerçaient déjà avec des marchands étrangers, principalement francophones, hispanophones et lusophones, et qui ne s'installèrent jamais durablement. Ainsi, certains mots desdits marchands sont encore perceptibles dans les langages autochtones-maronhos, voire même créoles-nazumis, du fait des emprunts. Ainsi, j'ai besoin de pays eurysiens maritimes desdites cultures ayant des marchands venus commercer aves les autochtones de Maronhi (l'équivalent les amérindiens du bassin amazonien), voire même ayant établis de petits comptoirs, avant d'être progressivement expulsés par l'Empire Burujoa.
- Commerçants divers : Seconde moitié XVIe - XVIIe - XVIIIe
Pour toute la période coloniale, soit du XVIe au XVIIIe siècle, j'aurais besoin de pays proches et lointains ayant pu commercer avec les acteurs burujois de Maronhi ; dans l'ordre de préférence : Paltoterra, Aleucie du Sud, Nazum de l'Est et du Sud, Afarée de l'Est et de l'Ouest et Eurysie du Sud-Ouest. Ce commerce pourrait aussi donner lieu à de la piraterie.
- Missionnaires catholiques : Seconde moitié XVIe - XVIIe - XVIIIe
La période est aussi marquée par des tentatives de conversions des communautés créoles et autochtones par des acteurs catholiques eurysiens, ainsi que par une réponse brutale des autorités locales sur lesdits acteurs. Du fait de l'illégalité du christianisme sur le territoire à cette période, il faut s'attendre à ce que leur sort ne soit pas des plus réjouissant. Ainsi, j'aurais besoin de pays eurysiens ayant pu organiser des expéditions de missionnaires catholiques vers la Maronhi.
- Libéraux, impérialistes & pègres : Années 1920 à années 1950
Cette période est marquée par l'ouverture complète à l'occident proche, l'ingérence de forces étrangères impérialistes et libérales occidentales, la démocratisation des institutions couplée à une corruption massive, l'accaparement progressif de la production nationale par et pour des intérêts étrangers, notamment par des pègres pour une consommation de sucre, de tabac, de banane et de riz à moindre coût dans les sociétés proto-consuméristes. Ainsi, j'aurais besoin de pays plus proches, du Paltoterra et d'Aleucie exclusivement, alors fortement libéraux sur la période, voire même impérialistes, ayant pu directement ou indirectement chercher à s'accaparer, entre autres, des secteurs entiers de production du pays.
- Partisans dans la guerre civile : 1948 - 1962
Il s'agit d'une insurrection ayant muté en guerre civile et opposant les partisans et soutiens de la "Première république" corrompue aux anti-impérialistes de la période, soit principalement les anti-démocrates de gauche comme de droite, mais plus largement tous ceux opposés à la corruption actuelle de l'État et/ou à l'ingérence étrangère. Dans la première catégorie, l'on trouverait davantage les défenseurs de l'État faible maronhien et des ingérences étrangères. Dans la deuxième catégorie, on pourrait alors naturellement trouver des équivalents communistes, monarchistes, péronistes, poujadistes, etc qui seront amenés à former "l'Union Nationale" des premières heures de la République Nationale-Socialiste. Je cherche alors des acteurs étrangers ayant pu contribuer directement ou indirectement au soutien d'un des deux camps.
- Terres de diaspora maronhienne contemporaine : À partir des années 60
Naturellement, avec la victoire insurrectionnelle, il serait logique qu'une partie des partisans du camp de la "Première république" cherchent à fuir le pays, d'abord pour des États voisins, mais aussi, pour des États proches (Aleucie, Paltoterra) ayant soutenu directement ou indirectement le camp républicain (Première république). J'aurais ainsi besoin de communautés accueillant ces opposants au nouveau régime, une sorte d'équivalent des Cubains de Floride.
- Collaborateurs tiers-mondistes : À partir des années 60
Pour les premiers temps de la République Nationale-Socialiste ou "Deuxième république", la forme d'Union nationale alors en place chercherait à s'écarter des gros blocs "libéraux-démocrates" et "communistes" au profit d'une autre voie consistant à établir le dialogue avec d'autres États souverains en dehors desdits blocs, de préférence de faible envergure pour la période, de gauches comme de droites.
⚠️ Enfin, si vous le souhaitez, vous pouvez ici faire part d'un projet d'harmonisation ne concernant pas les points mentionnés précédemment.