« Dans le "Vide" il y a le bien et non le mal. L'intelligence est "être". Les principes sont "être". Les voies sont "être". Mais l'esprit est "Vide". » MusashiSociété & Mentalité :
Autorité
Dans la société maronhienne, l'autorité est traditionnellement perçue d'une manière positive et valorisée comme un pilier essentiel de la stabilité sociale et du bien-être collectif. Cette vision de l'autorité puise ses racines dans l'influence des enseignements du confucianisme, qui ont profondément façonné la culture et la mentalité maronhiennes depuis la colonisation burujoise. Le confucianisme enseigne l'importance du respect des aînés, des parents, des enseignants et des autorités gouvernementales. L'autorité est considérée comme un moyen de maintenir l'ordre et l'harmonie dans la société, en établissant des normes de comportement et de conduite qui renforcent les liens familiaux, communautaires et nationaux. Cette vision de l'autorité est enracinée dans l'idée que les dirigeants doivent être des modèles de vertu et de sagesse, et qu'ils doivent agir dans l'intérêt supérieur de la société et du peuple.
Dans la société maronhienne, l'autorité est souvent associée à la notion de filialité, qui est un principe clé du confucianisme. La filialité implique le respect et la gratitude envers les parents et les aînés, ainsi que la reconnaissance de leur autorité sur les membres plus jeunes de la famille. Cela se traduit par des valeurs telles que l'obéissance, le dévouement et le soutien envers les parents et les aînés, qui sont considérés comme les gardiens de la sagesse et de l'expérience. Par ailleurs, l'autorité est également vue comme un moyen de garantir l'efficacité et la stabilité du gouvernement. Dans la tradition maronhienne, les dirigeants sont perçus comme des figures paternelles qui veillent au bien-être de leur peuple. Lorsque les dirigeants sont perçus comme justes et compétents, leur autorité est largement acceptée et respectée par la population. Cette vision positive de l'autorité se reflète également dans la culture du travail et dans le système éducatif maronhien.
Pression sociale
Dans la société maronhienne, à l'image de certaines sociétés asiatiques IRL, notamment au Japon, la pression sociale joue un rôle essentiel et omniprésent, influençant la vie quotidienne, les relations interpersonnelles et les choix individuels. Cette importance de la pression sociale découle de valeurs culturelles profondément ancrées, de normes sociales strictes et d'une forte cohésion communautaire. Comprendre ce concept est crucial pour appréhender le fonctionnement de la société maronhienne. L'une des raisons principales de l'importance de la pression sociale en Maronhi est le principe de "wa", qui se traduit par l'harmonie et la cohésion sociale. Cette valeur fondamentale met l'accent sur le bien-être collectif et l'unité de la communauté plutôt que sur l'individualisme. Ainsi, la pression sociale s'exerce pour maintenir cette harmonie en conformant les comportements individuels aux normes sociales établies qui n'ont aucunement besoin de l'État pour se maintenir. Cette pression sociale commence dès le plus jeune âge, avec un système éducatif qui met l'accent sur la discipline, le respect des enseignants et l'uniformité dans les écoles. Les élèves sont encouragés à travailler dur, à être disciplinés et à respecter les règles établies pour le bien de la classe et de l'école dans son ensemble. Au travail, la pression sociale est également prédominante. La culture du travail en Maronhi est marquée par des hiérarchies strictes, où les employés sont encouragés à se conformer aux attentes de leur poste et à faire de leur mieux pour atteindre les objectifs de l'entreprise. De plus, le salaire est souvent rémunéré, non au temps de travail, mais à la qualité de celui-ci ou au remplissage des objectifs de la journée. Cette pression pour réussir est liée à la peur de décevoir ainsi qu'au surpassement, tout deux très ancrés dans la société maronhienne.
Dans les relations sociales, la pression sociale joue également un rôle crucial. La Maronhi est une société basée sur les relations interpersonnelles, et les individus sont souvent jugés en fonction de leur capacité à s'adapter aux attentes sociales et à maintenir l'harmonie dans les interactions. Les normes régissent la manière de se comporter dans différentes situations, qu'il s'agisse d'une réunion formelle ou informelle, d'un dîner d'affaires ou d'une rencontre entre amis. La pression sociale influence les choix de vie des individus, tels que le mariage, la carrière ou le mode de vie. Les attentes familiales et sociales pèsent souvent sur les décisions individuelles, et le non-respect de ces attentes peut entraîner des conséquences sociales et familiales importantes. Il est important de noter que la pression sociale en Maronhi est loin d'être perçue comme une contrainte négative. Pour beaucoup de Maronhiens, cette dernière fait partie intégrante de leur identité culturelle et de leur sens du devoir envers la communauté, sinon quoi elle s'effondrerait ou serait tenue artificiellement un certain temps. Elle contribue également à renforcer le sentiment d'appartenance à un groupe (État, région, ethnie, commune, famille, entreprise, etc) et à favoriser la coopération entre les individus.
Volonté
Au sein de la société maronhienne, la psychologie individuelle occupe une place prépondérante et exerce une influence profonde sur les comportements, les interactions sociales et les dynamiques culturelles. Dans cette psychologie, l'individu est considéré comme un être social et créatif, cherchant à réaliser son potentiel et à trouver un sens à sa vie au sein de sa communauté. Ainsi, que ce soit entre quidams ou entre psychiatres, l'on croit que les comportements humains sont en grande partie façonnés par le désir d'appartenir, de contribuer et de surmonter les défis de la vie. Par conséquent, les actions d'une personne sont guidées par sa quête d'accomplissement personnel et de reconnaissance sociale. Dans la société maronhienne, cette approche psychologique trouve un écho significatif. Les Maronhiens accordent une importance considérable à la réalisation personnelle et à la contribution positive à leur communauté. La culture maronhienne valorise la collaboration, l'entraide et le sens de la communauté. Ainsi, la psychologie individuelle résonne avec ces valeurs culturelles en mettant l'accent sur le rôle de chaque individu dans la construction et le maintien d'une société équilibrée et harmonieuse.
La place prépondérante de la psychologie individuelle dans la société maronhienne se manifeste aussi à travers plusieurs aspects. Tout d'abord, le système éducatif maronhien intègre des principes de psychologie individuelle pour encourager les élèves à développer leur confiance en eux, à définir leurs objectifs et à contribuer positivement à leur éducation et à leur communauté. Logiquement, les interactions sociales en Maronhi sont influencées par la compréhension des motivations individuelles et des aspirations. Les Maronhiens ont tendance à soutenir et à encourager les autres à contribuer à la société de manière significative, la psychologie individuelle étant censée motiver les individus à prendre des rôles actifs dans la société. Les expressions artistiques et culturelles maronhiennes reflètent souvent l'importance de l'accomplissement personnel et de la contribution à la société. Les programmes sociaux et les initiatives de bien-être en Maronhi sont conçus pour favoriser l'autonomie, l'estime de soi et l'engagement pour la communauté, alignés sur les principes de la psychologie individuelle.
Ainsi, en Maronhi, la plupart des pathologies sociales des classes populaires des pays développés sont considérées comme trouvant leurs origines dans les idées des élites intellectuelles. Tout découlerait du concept selon lequel, ce n'est pas la conscience des Hommes qui détermine ce qu'ils sont, mais au contraire, leur appartenance sociale qui détermine leur conscience. L'idée selon laquelle personne n'est acteur mais une victime des circonstances d'occultes forces sociales et économiques n'est pas jugée comme venant naturellement. Les criminels ne sont alors aucunement considérés comme des victimes de la société. La déresponsabilisation de ces derniers est perçu comme une manière d'offrir une excuse d'avance à ceux qui commettront des méfaits en justifiant leurs actes par les sciences sociales. L'obsession du laxisme, les plaidoyers en faveur de la réduction des peines, la clémence et les manies de toujours trouver des excuses, sont considérées comme parties intégrantes du problème enfermant les défavorisés non dans des classes sociales, mais dans des castes dont ils ne pourront s'extraire. En Maronhi, l'on ne considère pas les individus comme des objets qui ne répondraient qu'à des règles extérieures, ne niant donc pas qu'ils puissent avoir une volonté propre malgré la pression sociale.
Pessimisme
Si pour les Maronhiens il existe une division à faire des hommes et des sociétés, c'est bien entre les optimistes et les pessimistes. Ainsi, d'après ce schéma, les premiers croiraient fermement que l'accomplissement de l'Homme passera par l'établissement d'une certaine société, les seconds qu'il est une quête d'abord individuelle et/ou intérieure, et que donc la société n'est là, au mieux, que pour servir ce but. La quête individuelle et intérieure du péssimisme zen, largement diffusée sur le plateau maronhien, observe que l’espérance entraîne avec elle la déception ; que la jouissance produit la satiété et le dégoût ; que dans la vie, la somme des peines est supérieure à celle des plaisirs ; que chercher le bonheur, ou seulement le plaisir, c’est donc chose vaine et contradictoire, puisqu’en réalité, on trouvera toujours un surplus de peines. Ce à quoi il faut tendre et ce que la société maronhienne cherche à faire tendre, c’est seulement à éviter la peine ; or, pour moins sentir la peine, il n’est qu’un moyen : se rendre indifférent aux plaisirs mêmes et à ce qui les produit, émousser la sensibilité, anéantir le désir. L’indifférence, le renoncement, voilà donc le seul palliatif de la vie. On peut autrement résumer ce pessimisme par les quatre propositions suivantes : l'existence est inséparable de la douleur ; la douleur est la conséquence du désir ou de la « soif de vivre » ; l'existence et la douleur peuvent cesser par le nirvana ; le nirvana s'obtient par la destruction du désir et l'absolu détachement de soi-même. Le zen consiste seulement à rentrer en soi et à adopter l’attitude, la posture et la pensée d'un bouddha, à faire ressortir le bouddha que chacun possède en soi, et que l'on révèle par cette pratique.
Vide et non-attachement
Le Vide, élément primordial dans les pensées maronhiennes dont les origines sont attestées avant la colonisation du territoire mais qui fut particulièrement mis en avant par le régime "Nationale-Socialiste", n'est pas simplement un concept intellectuel, mais nécessite des années de pratique, que ce soit par la méditation ou par la pratique d'un art, qu'il soit martial ou professionnel du moment que le travail puisse être adapté à la pratique de l'excellence dite de "l'esprit de l'artisan" ou "shokunin kishitsu". Lorsque l'esprit est clair et vide de pensées, il est libre de l'ego et peut agir spontanément et avec fluidité. L'objectif est de ne pas se fixer sur un objet particulier, de ne pas contrôler ses pensées, mais de les laisser venir et partir librement, sans être entraîné par elles. Cette idée trouve ses racines dans le bouddhisme, particulièrement zen. On enseigne que la peur est un sentiment qui n'a pas d'existence réelle et que pour vaincre, il faut d'abord vaincre la peur intérieure qui provient de nos pensées. Ainsi, le Vide représente la capacité à surmonter cette peur et à agir sans être entravé par des pensées conscientes. Comme l'eau d'un étang calme qui reflète une image claire, l'esprit doit être apaisé et sans fixation pour percevoir avec justesse. L'eau ne cherche pas à retenir l'image qui s'y reflète, de même notre esprit ne doit pas s'attacher aux pensées qui le traversent. Le Vide imprègne ainsi de nombreux aspects de la vie quotidienne, y compris dans les domaines de l'entreprenariat, de l'art, de l'artisanat et du travail en général. Au sein de la sphère du travail, sa pratique encourage la concentration sans entraves, favorisant ainsi la productivité et la créativité des individus, tout en les libérant au mieux des limitations mentales et émotionnelles.