Les Guerriers Jaguars et les Guerriers Aigles sont deux brigades qui, malgré une culture et des façons de faire différentes, sont généralement regroupés du fait de leur origine et nature commune. À l’origine, les deux groupes étaient des ordres militaires soumis à l’autorité du clergé teotliste et des rois paltoterran. Servant des royaumes différents, ils furent finalement rassemblés lors de la période dite de l’Excan Tlatoloyan (Tribunal des trois sièges) puis de l’Empire Nahualtèque. Étaient des guerriers aigles ou jaguars les guerriers envoyés en formation à la capitale, répartis dans les ordres selon leur origine géographique. Dès-lors ceux-là représentaient en fait des entités régionales au sein de gouvernements supérieurs.
Les deux ordres retrouvèrent leur indépendance lors de la colonisation, et devinrent des années durant le symbole de la résistance indigène avant d’enfin intégrer la première confédération puis l’Union du Grand Kah. Ces mouvements sont donc les plus anciennes brigades kah-tanaises et, contrairement aux autres, sont presque les piliers de son système de garde communale. Formés aux terrains difficiles tels que la jungle, les marais et les hauts plateaux montagneux, ces guerriers servent de rangers et d’éclaireurs à la garde communale, combattent les guérillas et les cartels sévissant par delà les frontières sud de l’Union et sont, plus généralement, considérés comme des soldats d’excellence. Pour autant, les deux ordres restent des entités indépendantes et il leur est déjà arrivé de dispenser leur formation à des pays étrangers et de fournir des consultants en sécurité et des mercenaires à diverses corporations étrangères. Moins motivés par de grandes idées que par un certain appât du gain, leur fidélité va avant tout aux communautés nahuatl ancestrales et à la protection de leurs terres, en faisant de fait une extension des tributs traditionnelles du paltoterra.
Les deux ordres retrouvèrent leur indépendance lors de la colonisation, et devinrent des années durant le symbole de la résistance indigène avant d’enfin intégrer la première confédération puis l’Union du Grand Kah. Ces mouvements sont donc les plus anciennes brigades kah-tanaises et, contrairement aux autres, sont presque les piliers de son système de garde communale. Formés aux terrains difficiles tels que la jungle, les marais et les hauts plateaux montagneux, ces guerriers servent de rangers et d’éclaireurs à la garde communale, combattent les guérillas et les cartels sévissant par delà les frontières sud de l’Union et sont, plus généralement, considérés comme des soldats d’excellence. Pour autant, les deux ordres restent des entités indépendantes et il leur est déjà arrivé de dispenser leur formation à des pays étrangers et de fournir des consultants en sécurité et des mercenaires à diverses corporations étrangères. Moins motivés par de grandes idées que par un certain appât du gain, leur fidélité va avant tout aux communautés nahuatl ancestrales et à la protection de leurs terres, en faisant de fait une extension des tributs traditionnelles du paltoterra.
