Création de pays : San Eduardo
Généralités :
Nom officiel : Etat Socialiste Militaire de San Eduardo de Burgos
Nom courant : San Eduardo
Gentilé : Burgésien, burgésienne
Inspirations culturelles : Espagne, Cuba
Situation géographique :
Langue(s) officielle(s) : Espagnol, Anglais
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Burgésien (dialecte)
Drapeau :
Devise officielle : Lealtad, Honor y Libertad
Hymne officiel :
Capitale : Nuevo Burgos, 1 million d'habitants
Population : 44 523 444 habitants
Aperçu du pays :
Présentation du pays :
San Eduardo est un vaste pays côtier, avec un archipel et une île. On y trouve différents climats, mais surtout des plages paradisiaques et des fôrets à mi-chemin avec la jungle. Ce climat semi tropical l'été est remplacé par des hivers très froids, qui font parfois plonger le thermomètre en dessous des 0°C.
Histoire du pays :
Les premières populations sont arrivées vers -6000. Différents royaumes tribaux se sont succédés mais la partie la plus intéressante commence en 1512, avec la fondation par Juàn de Alborvaz, un navigateur youslève, de la colonie d'Isla Majora. Il décède en 1526 et est remplacé par Carlos, son fils, qui règnera 12 ans jusqu'à son assassinat en 1538, à seulement 56 ans. En 1538, le roi de Youslévie offre Isla Majora aux noblesse afin d'apaiser les tensions, et proclame la Vice-Royauté de San Eduardo, nommé d'après Saint Edouard, protecteur de la ville de Burgos. Eduardo de Burgos, le 1er vice-roi, et ses enfants vont se succéder à travers conflits et conquêtes pendant presque 300 ans.
Mais en 1822, Alfonso de Burgos décède. Or, il n'a pas d'enfant. Par contre 3 personnes réclament le trône :
Carlos de Burgos-Alborvaz, neveu du défunt vice-roi
Sebastian Morera, général-gouverneur de l'armée
Pedro de Alborvaz, un noble très puissant
Morera, en chef des armées, appelle tout le monde avec lui pour prendre le parlement. Nuevo Burgos est pris par les 600 000 soldats et semble irrécupérable. Mais Carlos est motivé. Il rassemble les 40 000 hommes qui lui sont fidèle, et marche sur Santiago, à 50km de NB. En route, il lève une armée de fermiers, qui comptait aux alentours de 1 300 000 personnes, et part en direction de NB. Puis, une fois là-bas, il prend le parlement, fait exécuter Morera, et se proclame vice-roi au terme d'une parade de 3 jours à travers la ville. Cette parade deviendra une tradition parmi les dictateurs, symbole de leur force.
Il règnera pendant 15 ans, enchaînant les exécutions et les massacres. En 1837, Carlos, son fils, le fit emprisonner à Fort Guardia, où il se suicide 3 semaines plus tard. En 1842, Carlos se proclame Roi de San Eduardo de Burgos, et prend le surnom de "El Libertador", le Libérateur. Il passera 20 ans à redresser le pays, mais tout le monde savait que les problèmes reviendraient.
En 1905, Juàn-Carlos Ier décède dans des circonstances étranges. Le ministre Eduardo Milerme profite du chaos pour se proclamer gouverneur-président et obtenir les pleins pouvoirs. Il nomme, en successeur, un militaire du nom de Gustavo Mendez Correà, un royaliste beaucoup trop ambitieux pour obtenir du pouvoir. Lorsqu'il arrive au pouvoir en 1910, il crée des lois qui lui donnent toujours plus de pouvoir, jusqu'à se proclamer empereur en 1915. Mais c'était beaucoup trop. Il est assassiné en 1916. Son successeur, Juan Veron Lopez, règne 5 mois. Puis, 3 autres se succèdent pendant 3 ans. Puis un nouveau roi. Puis la guerre civile de 1931 est arrivé, et le pays s'est scindé en 4 nations indépendantes, qui se sont fait absorbées une par une jusqu'en 1956, lorsque Andres Soler, ancien 1er ministre de San Eduardo, s'est fait élire président à 77%. La république et la monarchie ont ensuite alternés jusqu'à la dernière révolution : celle de mai 1998.
En mai 1998, 3 généraux, Carlos Mozer, Alvaro Mendez et Carlos Rodriguez, ont pris le parlement et ont instauré un Triumvirat. En 2001, Rodriguez est assassiné par Mozer et Mendez, ce qui a mené à une micro révolution qui dura 2 ans. En 2003, Alvaro Mendez est arrêté et Carlos Mozer se proclame maréchal et prend le pouvoir du pays. Il fait son triomphe et se choisit un surnom de règne, comme si c'était un roi.
"Diablo del Sol"
Mentalité de la population :
La population burgésienne est réputée pour son patriotisme et son adoration de la discipline. Ils vouent un quasi-culte au Maréchal Mozer, le dirigeant du pays.
Leurs origines youslèves, les colons venant d'une région hispanophone de la Youslévie, sont encore assez présentes, et des personnes parlent encore youslève ou des dérivés. Le burgésien est d'ailleurs un de ces dérivés.
Place de la religion dans l'État et la société :
La population est majoritairement catholique, même si, depuis 1877, le pape n'est plus reconnu comme l'autorité catholique suprême. Une partie de la population est musulmane, grâce à des vagues d'immigration au 19e et 20e siècle. Les autres croyances, comme le judaïsme ou les croyances ancestrales des burgésiens, ne représentent qu'environ 3% des croyances de la population.
La séparation de l'église et de l'état, ou loi Arpeza, a été votée en 1933 pour arrêter les lois anti-religieuses mises en place par Luis de Burgos.
Politique et institutions :
Institutions politiques :
Sénat : Vote les lois, peut virer les ministres. 126 sièges, élus pour 4 ans. Il faut un service militaire de 3 ans, et avoir QUE la nationalité burgésienne.
Assemblée Populaire : Choisit les lois. 440 sièges, élus pour 2 ans. Il faut un service militaire d'1 an, et la double nationalité est autorisée.
Chambre des Ministres : Peut dissoudre l'Assemblée Populaire et le Sénat, sont choisis sur une liste par le Maréchal. Elus pour 4 ans.
Principaux personnages :
Carlos Mozer (1955-), maréchal, dirigeant du pays
Francisco Gueria (1962-), 1er ministre
Jaime Perez (1964-), ADC du maréchal Mozer
Diego Albera (1959-), Ministre des affaires étrangères
Juàn Mozer (1987-), fils et successeur du maréchal Mozer
Politique internationale :
Relations cordiales avec le dirigeant de la Youslévie
