25/07/2013
08:52:42
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Activités étrangères au Samara

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Activités étrangères au Samara

Ce topic est ouvert à tous les joueurs possédant un pays validé. Vous pouvez publier ici les RP concernant les activités menées par vos ressortissants au Samara. Ceux-ci vous permettront d’accroître l'influence potentielle de votre pays sur les territoires locaux. Veillez toutefois à ce que vos écrits restent conformes au background développé par le joueur du Samara, sinon quoi ils pourraient être invalidés.
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"Fasciste oui, mais pas communiste !"


La région de l'eurysie de l'est comprend de nombreuses nations slaves, mais surtout de nombreuses nations communistes. L'Empire a une politique étrangère qui aurait pu grossièrement se résumer à "tout est mieux qu'un communiste, rien n'est mieux que d'emmerder un communiste !" Et un pays fasciste dans la région était du pain béni pour l'Empire du Nord qui n'a actuellement aucunes relations dans la région. Certes, un pays autoritaire n'est pas son idéal, mais ce sont souvent les nations les plus engagées dans la lutte contre le communisme et prête à y mettre les moyens nécessaires, les pas libéraux ou en tout cas modérés de la zone, ne sont pas prêts à s'engager contre la république pirate. Ils n'ont même pas bronché lors du coup d'État, alors le reste... Alors, entre l'extrême droite et l'extrême gauche, l'Empire a choisi son camp. L'objectif ici serait d'avoir un allié pour contrer l'influence pharois et plus généralement l'influence communiste dans la zone, ce qui ouvrira et sécurisera les possibilités commerciales et sécuritaires de l'Empire. Contacter officiellement le Samara sera la première étape. Le rassurer sur le fait que l'Empire ferme totalement et nous insistons sur ce mot : TOTALEMENT, les yeux sur la politique intérieure Samarienne. Ce qui nous importe, c'est de bonnes relations. Alors pourquoi pas envisager un rapprochement économique, et si cela se déroule bien, sécuritaire, afin d'être sûr à 1000% que le pays ne tombera pas dans la peste rouge. Un pays lointain ne sera pas remarqué avec un peu de chance ? De toute manière, le gouvernement restera discret quant à ce rapprochement probable, il n'ira pas le crier sous tous les toits.

À suivre...
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La Parole | 28/12/2012
Check-points à la frontière samare : la RSP répond avec d’autres checkpoints

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Déjà surveillée, la frontière samaro-prodnovienne se voit renforcée de plusieurs check-points

Bien qu’elle ait déjà fort à faire en matière de politique intérieure, la République Sociale du Prodnov n’en suit pas moins avec attention les mouvements de l’autre côté de son frontières, en particulier ceux venant de son belliqueux voisin : le Tsardom de Samara. La récente initiative du jeune et nouveau tsar Andrei Valensky d’installer trois check-points militarisés près de la frontière prodnovienne a immédiatement suscité une réaction de la part de Lavr Krayevsky, le ministre de la Défense et des Armées.

« Nul n’est assez fou pour quitter de son plein grès une république sociale et démocratique au profit d’un Etat fasciste et totalitaire. Ce prétexte du Tsardom ne vise qu’à une seule chose : provoquer une escalade pour militariser ses frontières. Cette provocation ne sera pas tolérée et chacun de ces prétendus check-point se verra renforcé d’un check-point en retour, afin de surveiller et prévenir contre tout mouvement de troupe ennemi. »

Autre raison d’inquiétude de la part du régime prodnovien : la volonté assumée du Tsardom de déporter les réfugiés hors de la région. « Un premier pas vers le nettoyage ethnique » pour Yelisey Medvenov, historien spécialiste des études slaves. « Le Tsardom se prétend régner sur toutes les populations slaves or il se heurte depuis plus d’un siècle à la montée en puissance des socialismes régionaux, ce qu’il ne peut tolérer. La déportation ou l’extermination des peuples slaves qui n’adhèrent pas à son idéologie totale sont un moyen de remplacer ces populations réfractaires par de nouvelles populations issues de Samara, plus accommodantes vis-à-vis de son régime. »

En matière démographique, le Tsardom a en effet l’avantage contre le Prodnov. Presque trois fois plus peuplé, il s’incline néanmoins face à sa voisine lutharovienne, véritable géant démographique fort de cent-cinquante millions d’habitants. Face à ces puissances, le Prodnov a souvent été la troisième roue du carrosse, une place que la République Sociale semble décidée à dépasser pour s’imposer définitivement comme un acteur régional de premier plan en Eurysie de l’est.

En RSP, le souvenir de l’instrumentalisation des check-points à des fins bellicistes est encore vif. La question de la régulation des migrations de populations slave n’est pas neutre. Le conflit aux frontières opposants la RSP et la RLP avait à l’époque été l’un des motifs invoqués pour justifier la rupture des accords de paix de Nevskigorod. Significativement, Lavr Karyevsky l’évoquait d’ailleurs dans sa récente prise de parole :

« Comme l’ONC avant-elle, la Samara prétend aujourd’hui nous imposer ses gardes armés et ses barbelés. La droite ne sait qu’ériger des murs et les garnir de pics. Contre la fraternité des peuples et l’unité de la classe ouvrière, elle est démunie : le Tsardom se prétend unificateur des slaves, il n’en est que le diviseur. L’union se fera par et pour le socialisme, par l’internationale des travailleurs et par le genre humain réunifié en une seule classe ! »

Difficile pour le moment d’estimer combien de Prodnoviens pourraient se laisser tenter à passer la frontière. La militarisation des deux côtés est susceptible de décourager les intéressés, d’autant plus que le gros des réfugiés a déjà été pris en charge par les camps humanitaires pharois. Aujourd’hui, les populations en difficultés se trouvent dans Staïglad, prises en étaux entre les troupes de la RSP et celles de la RLP. Si la proposition du Tsardom d’escorter ses réfugiés en dehors de l’Eurysie peut être vue comme une opportunité de quitter le continent pour l’Aleucie, plus riche et paisible, cette offre souffre également de la comparaison : rien n’empêche en effet aujourd’hui les Prodnoviens de se rendre au Pharois puis de là de voyager où bon leur semble.

Dès lors, il semble compliqué d’estimer la part de la population intéressée à s’en remettre à l’armée samare. D’autant que cette dernière a été depuis longtemps dépeinte comme brutale autoritaire. Lavr Krayevsky a personnellement mis en garde les Prodnoviens contre « le champ des sirènes de la Samara » : « passez cette frontière et tout ce qui vous attend ce sont les camps de travail et de la mort. L’Empire du Nord, boucher du Mokhai et la Samara, bouchère des slaves, ne seront d’aucun secours ni d’aucun refuge. Ces nations ne vivent que sur l’héritage colonial et esclavagiste du travail forcé et de la soumission des peuples. Les rejoindre, c’est se passer à soi-même et à sa famille au cou le collier de la servitude éternelle. »
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