30/06/2013
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Armée Impériale - Unités iconiques de Listonia

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flag.el

Codex : forces militaires impériales


Autrefois puissance militaire majeure du globe, l’Empire colonial de Listonia est l’héritier d’une longue tradition d’excellence militaire et navale. Nation à l’essence militariste, les forces armées listoniennes se sont illustrées dans de nombreux conflits internationaux au fil de l’histoire. Grâce à sa présence sur la plupart des continents, la Listonie a toujours été de nature interventionniste en tant que porte-étendard d’un colonialisme autoritaire. Ses soldats portent d’ailleurs fièrement cet héritage militaire et cultivent un nationalisme implacable. Malgré la puissance déclinante que représente désormais l’Empire, sa force brute n’est pas à prendre à la légère surtout à l’heure où il n’hésite plus à prendre des mesures expéditives à l’encontre de ses ennemis.

La spécificité hiérarchique des forces impériales listoniennes, c’est l’autonomie relative de ses commandants-en-chef répartis en Gouverneurs militaires en charge des opérations continentales. (voir Atlas). Malgré cette évidente dispersion hiérarchique, l’Empereur reste une figure d’autorité naturelle qui inspire une loyauté indéniable à ses officiers.



Soldats de l'Armée Impériale de Listonia
Les composantes de l’appareil militaire impérial :

La Garde Impériale

Élite militaire rattachée directement au commandement de l’Empereur en personne. Elle s’organise en deux légions aux missions distinctes : la première légion est en charge de la protection de l’Empereur, de son Palais et de la capitale impériale. Tandis que la seconde légion incarne le bras armé de l’Empereur à l’étranger et est sous la supervision directe du Gouverneur Suprême des Colonies.

L’Armée Impériale

Célèbre pour avoir été actrice majeure de nombreuses batailles eurysiennes au fil de l’histoire. Elle représente la composante terrestre des forces listoniennes et s’organise en régiments d’infanterie, de cavalerie (mécanisée) ou d’artillerie. Sa charge principale est la défense des frontières impériales, de ses infrastructures stratégiques et de ses garnisons coloniales.

La Marine Impériale

Réputée à travers le monde pour avoir été la plus puissante force navale pendant plusieurs siècles. Elle représente la composante navale listonienne et s’organise en flottes continentales, flottilles corsaires et régiments d’infanterie de marine. Elle dispose traditionnellement des effectifs les plus élevés parmi les forces impériales.

La Garde Coloniale

Contrairement aux autres composantes, elle est détachée de la chaine hiérarchique traditionnelle et est plutôt placée sous le commandement des gouverneurs coloniaux. C’est une force légère qui se spécialise dans le maintien de l’ordre comme une sorte de police paramilitaire rattachée aux administrations coloniales locales. Théoriquement, elle ne peut se substituer à l’autorité de l’Armée Impériale dans le cas d’un conflit d’intérêt.

Corps Aériens Impériaux

Composante la plus récente de l’appareil militaire listonien, elle n’en reste pas moins la plus estimée à l’heure de la guerre moderne. Amenée à intervenir sur le plupart des opérations listoniennes, c’est une force dispersée qui profite d’une autonomie élargie pour lui permettre d’intervenir rapidement. Elle s’organise en escadrons aériens et en régiments de parachutistes.

Renseignements Impériaux

Plus que jamais, les renseignements impériaux jouent un rôle crucial dans la survie de l’intégrité impériale. Discrète et efficace, cette composante excelle dans l’espionnage, le contre-espionnage et les opérations clandestines. Son organisation est variée, elle accueille autant des agents que des techniciens ou encore certaines compagnies des forces spéciales. Elle profite bien évidemment d’une autonomie totale pour pouvoir mener à bien sa mission sans contraintes hiérarchiques.



Unités iconiques
Unités iconiques de Listonia :

Certaines unités, régiments, compagnies ou escouades iconiques dans le lore listonien peuvent être jouées par des joueurs incarnant un personnage listonien conformément aux règles du PNJ. Dans ce cadre, ils peuvent se servir dans l'Atlas listonien si jamais ils sont amenés à gérer des opérations militaires au nom de l'Empire listonien. Ces unités profitent généralement d'une réputation et d'une aura particulière par rapport aux troupes régulières, elles seront présentés ci-dessous.

Exemple de formulaire de présentation d'une unité iconique (modifiable)


Nom de l'unité : par exemple "Vème Régiment d'Infanterie de Marine : Sea Wolf"
Blason ou image d'illustration :
Composante militaire : Garde Impériale / Armée Impériale / Marine Impériale / Garde Coloniale / Corps Aériens Impériaux / Renseignements Impériaux
Localisation : rattachement à un endroit précis ou mixte
Commandant : nom + description
Spécialisation :
Description libre :
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Legio Mortis

La Legio Mortis

Composante militaire : Garde Impériale
Localisation : La Legio Mortis loge dans des bases secrètes réparties à travers l'Empire colonial.
Commandant : Seigneur-Commandant Nogueira
Spécialisation : Combat de haute-intensité / expédition punitive / destruction massive / opération à haut-risque.
Effectifs : environ 5 000 légionnaires.

La « Legio Mortis » ou de sa dénomination officielle « IIème Légion de la Garde Impériale de Listonia » est un corps d’armée spécial rattaché directement au commandement de l’Empereur et du Général Cortés. Véritable troupe d’assaut d’élite constituée de soldats vétérans, elle est fondée en 1876 par l’Empereur Santiago XIII afin d’écraser plusieurs tentatives de rébellions coloniales au Nazum et en Afarée. Elle se distingue notamment lors des grandes guerres eurysiennes du début du XXème siècle par son utilisation alors inédite de gaz de combat et d’armes de destruction massive. Connue mondialement pour sa réputation implacable et meurtrière, la Legio Mortis est une épée de Damoclès au-dessus de la tête des ennemis de Listonia et la représentation physique de la colère de l’Empereur.

Autonome dans son recrutement et relativement à part dans son mode de fonctionnement, la IIème Légion est une unité militaire particulière qui ne répond pas aux normes habituelles des unités traditionnelles de l’Armée Impériale. Cette particularité peut s’entrevoir notamment par la forte présence des symbolismes nationalistes et de la propagande d’État en son sein. En effet, les légionnaires de la Legio Mortis arborent de nombreuses coutumes martiales qui leur sont propres. La plus connue de ses coutumes étant bien évidemment le port d’un masque à gaz couvrant l’intégralité du visage en référence aux guerres eurysiennes du siècle précédent mais aussi pour des soucis d’anonymat.

L’appellation de « Legio Mortis » ou « Légion des Morts » provient en réalité du mode de recrutement des légionnaires. Considérée comme une force d’élite, la Legio procède à une sélection rigoureuse des candidats potentiels parmi le reste des forces militaires impériales. Si les futurs légionnaires ne postulent pas concrètement à cet honneur, ils sont plutôt « appelés » par la Legio. Dès lors, le soldat est officiellement déclaré « mort au combat » et son identité est changée jusqu’à la fin de son service. Cette situation peut s’étaler parfois sur plusieurs années mais la récompense finale est substantielle : le légionnaire recevant des terres et une rente annuelle s’il survit pendant au moins dix années dans la Légio.

Pendant ce temps de service, ils vivent dans une forme d’isolement permanent, contraints à rester auprès de leur unité même lors des permissions qui ne se font que dans des centres de repos spéciaux de la Legio Mortis. Ils ne peuvent conserver aucun lien avec leur ancienne vie, la Légion étant considérée comme leur nouvelle famille, ce paradigme s’étalant même jusqu’à l’attribution d’un nouveau nom spécifique à leur condition de légionnaire. Certains observateurs extérieurs ayant d’ailleurs souligné l’intérêt de cet isolement comme une étape clef du processus de conditionnement mental et cognitif propre à la IIème Légion.

Leur entraînement militaire impitoyable développe leur férocité tout en éliminant presque l'instinct de conservation. Si on leur enseigne l’utilisation de la cruauté et de la terreur pour obtenir des résultats concrets. Ils subissent également un conditionnement quasi fanatique qui participe au développement d’une forme de « culte » de la mort au combat. S’ils meurent c’est pour la gloire du peuple listonien et de la Couronne. On dénote d’ailleurs l’utilisation régulière de drogues de combat et psychotropes visant à réduire leur sensibilité aux horreurs de la guerre. Cela permet aussi de les rendre plus efficace sur le terrain et à s’adapter en conséquence, quitte à se sacrifier sans la moindre hésitation si la situation l’exige.

ORBAT d'un groupe de combat de la Legio Mortis
ORBAT d'un groupe de combat de la Legio Mortis (clic gauche pour agrandir)


Ainsi la Legio Mortis est une force redoutable, utilisée en dernier recours et particulièrement meurtrière. Véritable bras armé de l’Empereur, elle peut intervenir à tout moment en totale autonomie et mobiliser l’ensemble des moyens matériels de l’Empire listonien selon les besoins de sa mission. Jusqu'au-boutiste, la doctrine martiale de la IIème Légion pousse les légionnaires à atteindre leur objectif à tout prix même si cela doit se faire à un prix élevé en vies humaines. Controversée pour ses exactions contre les populations civiles, la Legio Mortis s’est récemment fait connaitre par l’épisode du « massacre de Port-Hafen » où la moitié de la commune fut rasée pour servir d’exemple au reste du monde.
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Ecusson de la Compagnie des harpies

Companhia das harpias
"Nuit noire, aube rouge"

Forces militaires de la compagnie des harpies
Prises de vue des éléments de la Compagnie des harpies, en mission/représentation (clic gauche pour agrandir)


Composante militaire : Compagnie des harpies / Companhia das harpias
Localisation : SECRÈTE / actuellement affectée à la province coloniale nazuméenne de Tartugà.
Commandant : Capitaine Vítor DA CRUZ DANTAS (diminutif Vítor CRUZ)
Spécialisation : Opération clandestine / guerre psychologique / sabotage / infiltration des lignes ennemies / reconnaissance tactique / contre-terrorisme / actions de type "frappe et repli".
Effectifs : 154 hommes.

La Compagnie des harpies est une dénomination qui renvoie en premier lieu au caractère aéromobile de ses forces composantes. En effet, cette dernière étant réduite en nombre, elle n'a pas vocation à occuper le terrain ou à tenir une ligne de front face à l'ennemi, sa mobilité s'inscrit dans une volonté de se mouvoir derrière les positions ennemies pour y causer des dégâts importants au travers d'une action ciblée. Agir avec rapidité, mais également précision et discrétion, une doctrine qui aide l'unité à porter sa devise emblématique "Nuit noire, aube rouge".

Identifiée comme unité d'élite au sein des forces armées impériales listoniennes, la compagnie des harpies fonde surtout sa notoriété et à travers elle, ses gages d'expérience, dans la conduite d'opérations clandestines insaisissables ou presque, qui vont d'une part entamer l'intégrité d'une armée ennemie par l'élimination d'un élément précis et ciblé, et d'autres parts amorcer une guerre psychologique en matérialisant un ennemi invisible, réinventant la localisation du front au gré des missions confiées.

L'infiltration des lignes ennemies, leur reconnaissance tactique pour allr chercher des renseignements cruciaux attendus par l'état-major et la conduite d'actions de type "frappe et repli" sont des objectifs portés à la juste valeur des figures mythologiques choisies pour représenter l'unité, celles-ci se présentant comme des créatures aussi féroces qu'agiles, aussi insaisissables que soudaines, semant la mort et la terreur selon un ordre qui reste à définir. Pour les définir autrement et avec un peu plus d'humanité, il conviendrait de préciser que les soldats composant la compagnie sont réputés appartenir au corps des forces spéciales, chargés de la conduite d'opérations autonomes derrière les lignes ennemies, une spécialisation qui attend de ces derniers de la compétence et de la discipline soumis à des degrés d'exigence parmi les plus importants.

Et pourtant... parmi ce contingent de soldats à l'entrainement avancé, le capitaine Vítor DA CRUZ DANTAS vient également miser sur un cercle d'officiers et sous-officiers tout aussi hors norme, mais cette fois exempt du conformisme habituellement imposé par le rang occupé au sein de l'institution martiale. Un cercle de têtes brûlées, qu'il agglomère avec lui sur la base de renseignements solides quant à des manquements volontiers couverts, pour entretenir auprès d'eux différents atouts susceptibles d'apporter une aide tactique profitable. Il est permis de citer pour illustrer mon propos, le cas du Segundo-sargento Raimundo Guimarães, un braconnier local nourrissant quelques expertises sur la pose de pièges, la survie en terrain hostile ou encore le pistage en forêt.

En parallèle à ces têtes brûlées, la compagnie dispose également de soldats tournés vers la maîtrise technologique, par l'emploi de plusieurs drones de reconnaissance, radars mobiles et même des aéronefs qu'ils pilotent dans des conditions plus hostiles que la moyenne, considérant la conduite d'opérations généralement hautement sensibles, voire ouvertement clandestines.

ORBAT de la compagnie des harpies
ORBAT de la Compagnie des harpies - Nuit noire, aube rouge (clic gauche pour agrandir)



COMPANHIA DAS HARPIAS

Peloton d'infanterie d'appui feu au combat

Une unité de commandement
  • 6 soldats professionnels avec 6 armes légères d’infanterie,
  • 1 char léger,
  • 1 véhicule de transmission radio.
Une section de reconnaissance mécanisée (à roues)
  • 12 soldats professionnels avec 12 armes légères d’infanterie,
  • 2 véhicules de combat d'infanterie,
  • 4 véhicules légers tout-terrain.
Une unité d'infanterie antichar
  • 7 soldats professionnels avec 7 armes légères d’infanterie,
  • 1 véhicule blindé léger,
  • 2 lance-missiles antichar.
Une unité de mortiers d'infanterie
  • 7 soldats professionnels avec 7 armes légères d’infanterie,
  • 1 véhicule blindé léger,
  • 2 mortiers légers.

Peloton d'infanterie mécanisée

Une unité de commandement
  • 2 soldats professionnels avec 2 armes légères d’infanterie,
  • 1 véhicule radar,
Une section de reconnaissance motorisée
  • 8 soldats professionnels avec 8 armes légères d’infanterie,
  • 2 véhicules blindés légers,
  • 2 drones de reconnaissance.
Une unité de reconnaissance mécanisée
  • 4 soldats professionnels avec 4 armes légères d’infanterie,
  • 1 char léger.
Un peloton d'infanterie mécanisée
  • 36 soldats professionnels avec 36 armes légères d’infanterie,
  • 3 transports de troupes blindés,
  • 3 mortiers légers,
  • 3 mitrailleuses lourdes,
  • 3 lance-missiles antichar.

Groupe aéroporté des forces spéciales

Une unité de commandement
  • 2 soldats professionnels avec 2 armes légères d'infanterie,
  • 1 hélicoptère d'attaque.
Une section aéroportée des forces spéciales
  • 14 soldats professionnels avec 14 armes légères d'infanterie,
  • 2 hélicoptères légers polyvalents,
  • 2 drones de reconnaissance,
  • 2 lance-missiles antichar,
  • 2 lance-roquettes.
Une section aéroportée des forces spéciales
  • 12 soldats professionnels avec 12 armes légères d'infanterie,
  • 1 hélicoptère de transport moyen,
  • 2 drones de reconnaissance,
  • 2 véhicules légers tout-terrain,
  • 2 lance-roquettes.

Groupe d'appui aux opérations spéciales

Une unité de commandement
  • 2 soldats professionnels avec 2 armes légères d'infanterie,
  • 1 véhicule de transmission radio.
Une unité de défense antiaérienne
  • 6 soldats professionnels avec 6 armes légères d'infanterie,
  • 2 lance-missiles antiaériens mobiles.
Une unité de contrôle de radar
  • 2 soldats professionnels avec 2 armes légères d'infanterie,
  • 1 véhicule radar.
Une unité de maintenance (sur aéronefs)
  • 6 soldats professionnels avec 6 armes légères d'infanterie,
  • 1 véhicule blindé léger,
  • 2 véhicules légers tout-terrain,
  • 1 camion de transport,
  • 1 drone de reconnaissance.
Une unité d'approvisionnement et transport
  • 6 soldats professionnels avec 6 armes légères d'infanterie,
  • 2 camions citernes,
  • 1 camion de transport.
Une unité de cargo aérien
  • 3 soldats professionnels avec 3 armes légères d'infanterie,
  • 1 avion de transport tactique.
Une unité de cargo aérien
  • 3 soldats professionnels avec 3 armes légères d'infanterie,
  • 1 avion de transport tactique.
Une unité d'approvisionnement en vol
  • 3 soldats professionnels avec 3 armes légères d'infanterie,
  • 1 avion ravitailleur.
Une unité d'appui-feu au combat
  • 12 soldats professionnels avec 12 armes légères d'infanterie,
  • 1 bombardier gunship.
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