30/06/2013
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[NJ2] République de Myapakafghie

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EN TRAVAUX.
Je mettrais un message en réponse quand elle sera finie. Ouverte à la discussion notamment auprès des voisins si ils veulent mettre en avant des détails, des histoires, des erratum à corriger

Création de pays : République de Myapakafghie


Généralités :



Nom officiel : République de Myapakafghie
Nom courant : Myapakafghie
Gentilé : Myapakafghais, Maypakafghaise

Inspirations culturelles : Myanmar, Pakistan, Afghanistan, Mexique, Colombie
Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : Myapais
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Hisiu, Jashurien, Fujiwan

Drapeau :
Drapeau

Devise officielle : Uni dans l'adversité
Hymne officiel :
Monnaie nationale : Le pakaf

Capitale : Mandouabad

Population : 49 572 016 habitants


Aperçu du pays :



Présentation du pays :
La Myapakafghie est une république fédérale socialiste. Ca, c'est pour la théorie. Dans la pratique, l'Etat de la "République" change au gré des élections, tous les ans, ou tous les quelques mois, ou une fois par décennie. Cela dépend. Prétendre savoir ce qu'il en est, c'est soit être un prétendu expert du pays n'y connaissant peu, ou réellement le savoir et donc être membre des Renseignements Généraux.

La République comporte un ensemble de 40 districts fédéraux, tous complètement inégaux en taille, en population, en économie, et en stabilité. Plus on est loin du centre, plus la situation est calme, à condition d'être en accord avec l'autorité à la tête du district. A l'exception de la capitale, et du seul port du pays, Kayunpo, les régions sont majoritairement divisées entre deux autorités politiques. D'une part, le Parti Communiste Myapakfghais. De l'autre, le Parti National Myapakfghais. Le PCM et le PNM. Seulement, là n'est qu'une union d'apparence, celle des listes électorales, quand elles ont lieux et que les résultats ne sont pas définis à l'avance par une autorité quelconque. En réalité, le PCM est divisé en un certain nombre de courants qu'il est inutile de détailler ici (on peut toutefois en citer quelques-uns : Janamukhi, d'ascendance marxiste-léniniste ; Manhimain, d'ascendance marxiste-léniniste mais en désaccord sur le Janamukhi pour une affaire de drapeau ; Mashoil, d'ascendance maoiste ; le Parti communiste Mashoil, d'ascendance maoiste-révolutionnaire et qu'il ne faut pas confondre avec le simple Mashoil). Une division similaire peut être trouvé du côté nationaliste. Selon les saisons, on compte en moyenne une vingtaine de mouvements communistes et seulement une quinzaine de mouvements nationalistes. Au centre, le Parti d'Union Fédérale, sorte d'amalgame incompréhensible entre communistes et nationalistes s'étant mis d'accord pour conserver le contrôle de la capitale Mandouabad.

En apparente guerre civile perpétuelle depuis sa formation, le pays est en réalité dans une stabilité apparente. Changer de district est vraisemblablement plus compliqué que de quitter le pays, mais c'est aussi s'exposer à une mouvance politique différente de son district d'origine. Les ordres politiques se mouvant au gré des vents et tempêtes, il n'est pas rare d'observer d'importants déplacement de populations internes simplement dus au fait que le Mashoil vient de prendre le district d'Aabparey au Parti communiste Mashoil. Il est donc préférable de partir. En dépit de cela, et du nombre élevé de milices paramilitaires nationalistes, communistes, communistes soutenues par les renseignements, nationalistes soutenues par les renseignements, et juste soutenu par l'étranger ou se cachant de l'étranger, les combats se font finalement assez rare dans le pays. La raison est simple. D'une part, tout mouvement qui se lancerait en direction de la capitale risquerait de perdre son ou ses districts de présence, et donc de disparaître. Ce qui arrive une fois de temps en temps, en moyenne. D'autre part, il pourrait tout simplement perdre à l'approche de la capitale, ce qui arrive, la aussi, en moyenne une fois de temps en temps. Enfin, si il venait à prendre la capitale, il exposerait le pays à un risque d'implosion sociale et militaire complet. Cela n'arrive, en moyenne, pas vraiment.

Ce qui est intriguant avec la Mypakfghie, c'est qu'en dépit de cette complexité d'apparence, le pays est relativement fonctionnel. Disposant de réserves pétrolières importantes, et d'une production d'opium proche de celle du thé au Fujiwan, le pays disposerait théoriquement d'immenses richesses. La population n'en bénéficie toutefois pas tant les richesses servent à financer des groupes, à calmer les renseignements généraux, à acheter des votes, et à financer la corruption en général. En effet, la politique myapakafghaise tourne avant tout au clientélisme. Le mot est grand, il ne veut pas dire grand chose. Simplement, pour être élu dans un district, il est nécessaire de serrer de bonnes mains et de remplir une valise de l'autre.

En particulier, il faut discuter avec les Renseignements Généraux. A la tête informelle (prétendument, mais tout le monde le sait), du Parti d'union Fédérale, de la capitale et du pays (et accessoirement, des renseignements), ils s'assurent de maintenir une forme d'unité au sein du pays, de ne pas le faire entrer en guerre civile, de protéger l'export de pétrole et d'opium et, parfois, de lutter contre l'ingérence étrangère, rôle principal des services de renseignement.

Au sein du pays, le Président de la République, étonnamment stable (c'est le même depuis l'indépendance en 1973), ne sert à rien. Cloitré dans son palais présidentiel ou en sortie pour négocier des contrats ne s'appliquant pas, il permet avant tout d'afficher une vision d'unité, de définir des politiques publiques (qu'il ne peut pas appliquer) et l'orientation politique du pays, à savoir la stabilité. Le Gouvernement est absent en dehors de la capitale et de Kayunpo. Il collecte certes l'impôt (bien qu'il collecte avant tout les pots de vins), et gère virtuellement les districts, mais en réalité son autorité reste faible. Dans les districts, chaque autorité, au gré des évolutions fréquentes, établit des politiques publiques régulièrement modifiées avant d'être appliquées, collecte l'impôt, finance l'éducation, quand elle existe et traite avec les ONGs pour attirer de l'aide humanitaire.

Si, d'apparence, le pays peut paraître pauvre, c'est parce qu'il l'est. La mortalité infantile est généralement élevée, tout comme le sont les victimes du paludisme. Cependant, la natalité permise par une absence complète de politique de contraceptions (en dépit des livraisons de préservatifs et autre par les ONGs), amène tout de même à une croissance notable de celle-ci. Répartie dans des grands centres urbains (comme Kapyonpo ou encore Mandouabad), une partie de la population vit aussi dans des villes et villages plus éloignées entre la jungle, les vallées et les montagnes. La famine est étonnamment absente du pays. Tout du moins, d'après les registres fédéraux, quand ils sont tenus à jour. La production de riz, la pêche fluviale et d'autres formes d'agriculture suffisent à nourrir la population. Point convenablement, mais à lui assurer tout de même une subsistance certaine que les groupes armés n'enfreignent pas sous peine d'y périr.

Si vous pensez avoir compris la Myapakafghie, c'est sans doute que vous êtes un expert géopolitique fortunéen arrogant, et donc vous avez tort. Ou alors vous êtes un membre des renseignements infiltré au Jashuria, auquel cas bravo.

Mentalité de la population :
Survivre, avant tout. La population vit au gré des évolutions politiques et conflictuelles. Une partie vote sans y croire, l'autre survie dans l'espoir.

Place de la religion dans l'État et la société :
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Politique et institutions :



Institutions politiques :
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Principaux personnages :
[à remplir]

Politique internationale :
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