29/06/2013
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đźš— ATLAS | Atlas mondial de l'automobile

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Atlas mondial de l'automobile


La présente thématique propose de découvrir la législation ou les habitudes des automobilistes pays par pays. Les cartes et les données qui sont présentées sont libres d'utilisation, et peuvent être mobilisées dans le RP. Elles reflètent les réponses données au questionnaire.

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🛣️ Infrastructures routières :




Le pays comptant le plus de routes goudronnées est l’Empire Burujoa qui domine le monde avec ses 1,7 million de kilomètres de routes praticables. Au contraire, le Shuharri ne compte que 600 kilomètres de routes en bonne et due forme. Entre ces deux extrêmes, la Lendavie avec ses 319.000 km est le pays le plus proche de la moyenne mondiale qui est de 357.000 km. Le réseau routier mondial est actuellement de 8.218.534 kilomètres.

Le réseau routier mondial forme 4 écoles différentes :

4 “empires” de l'asphalte :

Le réseau routier mondial est dominé par 4 nations, qui avec 4.518.000 km de routes, concentrent à elles seules plus de la moitié du réseau routier mondial. Ces 4 pays sont presque tous eurysiens, à savoir l’Empire Karpok, la Youslévie, la Travie et le multi continental Empire Burujoa, les 2 derniers sont, pour l’instant, les seuls pays à avoir plus de 1 million de kilomètres de routes. Ces pays sont assez similaires puisqu’ils sont tous relativement grands, entre 288.000 et 550.000 km2 mais aussi peuplés avec 50 millions à 83 millions d’habitants. En revanche, en ce qui concerne les villes, seuls les empires Karpok et Burujoa disposent de villes considérablement peuplés, Ourok et Leonev pour le premier, BongDang et Karaimu pour le second, ces villes aussi grandes que certaines pays peuvent expliquer la taille conséquente du réseau routier de ces empires.

L’Eurysie, royaume du bitume:
6 pays essentiellement eurysiens forment cette 2e école composée de pays autour de la moyenne mondiale et regroupant un bon quart du réseau routier. Ces pays sont la Manche Silice, le Rasken, le Fjollskot, la Lendavie, Hermès, le Milouxitania et l’Esmea et compte à eux 6, 2.585.727 km de routes. Ces pays sont assez hétéroclites, aussi bien en termes de richesse, de taille, de population ou de climat, leur seul point commun est d’être eurysien. Cela témoigne de la relative richesse de l’Eurysie et de l’importante part consacrée à la voiture dans le continent qui l’a vu naître.

100.000km, la norme :
La 3e école est la plus grande puisqu’elle regroupe 9 pays de tous les continents. Bien qu’en dessous de la moyenne, ces pays forment une “norme des 100.000” puisque bien que radicalement opposés, ces pays comptent 98.000 et 145.000 km de routes, laissant ainsi présager qu’un pays de taille, de population, d’économie ou de climat “moyen” est doté d’un réseau routier d’environ 100.000km.

Micro État et pays hostiles :
Enfin, la Maronhi, le Shuharri et la Jurade de Sent-Julian forment la dernière école ultra minoritaire. Si le dernier des trois est une micronation enclavée, les deux autres États se démarquent par leur environnement particulièrement hostile. Les deux pays les moins routiers de ce classement sont donc deux nations où la survie est de chaque instant ; d’un côté le froid extrême et la glace des pôles au Shuharri, et de l’autre la chaude et moite humidité de la forêt vierge en Maronhi. Puisque ces deux États se tournent vers des alternatives à la route classique pour répondre aux contraintes de leur environnement, c'est tout naturellement que nous pouvons les retrouver en queue de peloton.
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Part des Ă©nergies :




Le sans plomb domine largement puisqu’il représente à la fois 35% des moteurs du monde mais aussi le seul carburant que l’on puisse retrouver dans tous les États sans exception. Le diesel le suit à bonne distance avec 28% de part de marché et n’est absent que d’un seul pays. L’hybride complète le podium avec un beau 16% et marque une belle percée dans le classement ; il est apprécié des pays développés mais est toutefois absent de trois États. Avec 5 points de part de marché en moins, l'électricité est l’apanage des pays riches ; quatre pays ne comptent cependant aucune voiture électrique. Le gaz se remarque à peine avec 6% de part de marché même s’il doit composer avec une certaine dangerosité justifiant son interdiction dans six des pays sondés. Enfin, les carburants alternatifs font figure d’exception avec seulement 3% de part de marché : à mettre en balance avec son utilisation dans un nombre limité de pays.

Le roi sans plomb :
Le sans plomb domine le monde puisqu’une voiture sur trois roule à l’essence. C’est le seul carburant que l’on puisse retrouver dans tous les pays et souvent en quantité non négligeable. Le Milouxitania est le seul pays qui compte moins de 10% de voitures à essence. Au contraire, le Fujiwa, avec 90% de voitures à essence, forme le plus grand utilisateur de cette motorisation. Il s'agit de la motorisation la plus répandue dans treize des pays sondés.

L'ambivalent diesel :
Le diesel reste un carburant incontournable mais de manière plus ambivalente. Ainsi, c’est le carburant incontournable à Péronas (80%), à Sent-Julian (64%) ou en Manche Silice (56%). Mais c’est également un carburant anecdotique au Fujiwa (8%), en Uusima (5%) ou encore au Burujoa (3%), sans compter l'interdiction de ce carburant au Mamiwa. Il s'agit de la motorisation la plus répandue dans cinq des pays sondés.

La percée hybride :
L’hybride réalise une belle percée dans ce classement en décrochant la 3e place. C’est tout logiquement que l'on distingue plusieurs pays où il représente une part significative des voitures comme au Milouxitania (45%), en Travie (37%), en Uusima (35%) ou au Burujoa (33%) ; des pays relativement bien développés, par ailleurs dotés d’un important réseau routier. À l'inverse, il est pratiquement absent en Lendavie (8%), au Rus’ve (6%), en Hermès (5%), en Manche Silice (3%), au Vogimska (1%) ou au Fujiwa (1%). Il est même carrément inexistant en Maronhi, Péronas et au Rasken. Divers facteurs peuvent expliquer le désintérêt de ces pays pour les moteurs hybrides : conditions climatiques, coût des voitures, faible usage de la voiture, etc. Il s'agit de la motorisation la plus répandue dans trois des pays sondés.

L’émergence électrique:
Les moteurs totalement électriques continuent de grimper dans le classement des parts de marché mais ne représentent la majorité des voitures qu’en Uusima (50%) et au Lofoten (45%). Au contraire, les voitures électriques sont largement minoritaires, moins de 10% des véhicules, dans pas moins de 14 pays, souvent ceux qui utilisent le plus de voitures essence. Finalement, les voitures électriques ne se développent que dans un reliquat de huit pays qui les voient comme un complément aux véhicules thermiques, entre 10 et 25% de part de marché.

Le rejeté gaz :
Le gaz est sans doute le carburant le moins apprécié, sans doute dû en grande partie à sa dangerosité qui ne compense pas son faible coût ou sa robustesse. Ainsi, son risque plus élevé d'explosion ou d’incendie spontanée ont conduit 7 pays à l’interdire : Uusima, Mamiwa, Burujoa, Fujiwa, Altis, Rus’ve et Lendavie. Il est anecdotique, moins de 10%, dans 12 pays et n’est plébiscité, à chaque fois à part égale avec une autre énergie, qu’en Esmea (23%) et au Shuharri (30%). Il est fort à parier que dans les années à venir, les voitures au gaz disparaissent totalement au profit des carburants alternatifs ou des voitures électrifiées.

Les confidentiels motorisations alternatives :
Enfin, les carburants alternatifs sont plus que minoritaires ; ils ne sont ainsi autorisés que dans huit pays. Ils ne représentent que 1% des véhicules de Youslévie, d’Esmea ou du Canta où l’huile de friture est utilisée pour mouvoir les voitures des frochiniens. La Maronhi et le Burujoa avec 8 et 13% d’utilisation sont un peu sensible aux biocarburants mais c’est sans compter les 37% de bioéthanols de Lendavie.
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