15/07/2013
11:13:06
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Activités étrangères en Astérie

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Activités étrangères en Astérie

Ce topic est ouvert à tous les joueurs possédant un pays validé. Vous pouvez publier ici les RP concernant les activités menées par vos ressortissants en Astérie. Ceux-ci vous permettront d’accroître l'influence potentielle de votre pays sur les territoires locaux. Veillez toutefois à ce que vos écrits restent conformes au background développé par le joueur de l'Astérie, sinon quoi ils pourraient être invalidés.
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Agence de Presse Saint-Julianaise

30.10.2012. Concert de Latifa Castel à Pauilhac. La chanteuse banairo-julianaise Latifa Castel a fait une apparition dans une boîte de nuit de Pauilhac, en Auccitonne du Sud. C'est la boîte elle-même, Lo Lum, qui a invité la chanteuse à se produire sur scène le temps d'une soirée, annonçant d'ailleurs la sortie imminente de son nouvel album, Reina del mond. Cela faisait presque un an que la chanteuse Latifa Castel ne s'était pas produite sur scène, depuis la fin de sa tournée mondiale en 2011 et son interview pour Lo Testimòni, le principal journal saint-julianais.
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Banderole



Aide Humanitaire en vue du récent Tsunami ayant frappé les côtes Astérienne
02/11/2012


Après avoir entendu la nouvelle des dégâts occasionnés par ce récent tsunami, les Très Honorables Sénateurs de la République d'Achosie ont voté, à la majorité, l'envoi immédiat de 200 pompiers de métier de la Brigâd Dân y Weriniaeth (Brigade de Sapeurs-pompiers de la République) spécialisés dans le secourisme en terrain périlleux ainsi que leur équipement. Quinze (15) médecins urgentistes de la prestigieuse Academi Meddygaeth a Gwyddorau Bywyd (Académie de la médecine et des sciences du vivant) seront également dépêchés pour assister au mieux les populations en danger et soulager du mieux que nous pouvons les Astériennes.
La République d'Achos se tien au côté de l'Astérie en ces temps difficiles.
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Arrivés des secours humanitaires miridians en Funtalie



Quelque parts à Miridian dans un aéroport de l'armée... Le soleil venait à peine de se lever, et déployait tranquillement ses rayons orangés. Lottar Tomas trépignait d'impatience, il avait hâte d'enfin décoller, des gens risquaient de mourir et souffraient à chaque minute qui passait. Il avait été nommé chef de l'expédition humanitaire, la seconde seulement de l'histoire moderne de Miridian après celle de Port Hafen revenue traumatisée par ce qu'elle avait découvert. Tomas espérait que son expédition ne connaitrait pas le même sort. Il se dirigea d'une démarche pressé vers le bureau du colonel du troisième régiment de parachutistes, et toqua à la porte de manière impatiente. Il rentra et demanda: "Quand est ce que nous pourrons enfin décoller ? Des gens meurent colonel !", "soyez patient" lui répondit ce dernier, j'attends un appel de l'Ark avant que vous puissiez décoller. Puis tout d'un coup, une sonnerie de téléphone retentit, les deux hommes se figèrent, le colonel prit l'appel, un bref silence régna alors sur la pièce, puis le colonel lâcha un bref "ok messieurs" et dit à Tomas: "vous pouvez partir". Aussitôt ce dernier s'élança hors de la pièce et se mit à courir en direction de la piste atterrissage. Sur cette piste, se trouvait deux beaux avions de transports tactique de l'armée miridienne, frappés du logo à tête de griffon de l'armée. Il s'élança à 'intérieur d'un des deux appareils et demanda: "tout le monde est prêt ?", ayant reçu confirmation il déclara: "alors on décolle". Il s'installa dans la cabine de pilotage et le pilote devant lui, se mit à presser les différentes commandes de l'appareil. Très vite, le majestueux engin se mit à monter vers les cieux, à un rythme effréné.

Les deux appareils, regroupaient en tout 70 hommes et femmes, ils étaient pompiers, médecins, infirmier, et tous étaient animés par la même volonté de sauver des vies. De plus le vol, emmenait aussi avec lui des provisions et des médicaments afin de parvenir aux besoins des sinistrés sur place. Enfin il était prévu, que lors du vol retour serait évacués certains sinistrés vers les territoires aleuciens de l'Astérie.

Le vol fut long, à bord plusieurs sentiments se partageaient la maîtrise de l'équipage: peur, appréhension, pitié, impatience... Tomas se mit alors en tête de motiver ses troupes, il demanda l'attention des deux équipages et déclara: "Messieurs, Mesdames,
Nous sommes aujourd'hui en route pour une mission de la plus haute importance, porter secours à des victimes d'un tsunami. La population locale de Funtalie vit très probablement dans des conditions déplorables à cause de la catastrophe, manque d'eau, de nourriture, de médicaments, d'abris... À nous donc de leur apporter tout ce dont ils ont besoin, que ce soit des besoins primaires ou simplement de réconfort. Je conte sur vous et votre professionnalisme pour mener à bien cette mission." Puis il conclut par: "Que dieu nous garde"

Quelques heures plus tard, les deux appareils survolaient la région dévastée de Funtalie. Puis ils atterrissèrent sur une piste encore en état. Tomas sortit en premier et déclara: "En avant"...
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L'aide sylvoise est en route !

La nouvelle du sinistre en Funtalie s'était rapidement ébruité et avait provoqué une réaction rapide, d'autant plus quand les chiffres concernant les victimes prenaient une ampleur rapide au fil du temps. Une expédition secouriste fut montée avec l'approbation de l'Astérie, et découpé en deux vagues.

La première vague se fit via les quatre avions tactiques du Duché, accompagné d'un avion de ligne et d'un ravitailleur pour soutenir la distance. Aucune escorte armée ne fut allouée, de par le caractère apaisé des environs, et la nature pacifique du convoi. Ces quatre avions tactiques permirent notamment le transport d'une première partie du matériel dans des délais très courts, à savoir :
-Un ensemble de cinq véhicules utilitaires aménagés en ambulances.
-Autant de véhicules légers tout terrain pour le secourisme et la patrouille en terrain accidenté, à la recherche de victimes.
-Un bulldozer,
-Un véhicule de transmission radio, pour relayer les réseaux de communication locaux et la coordination des différentes unités de secours.
-Deux camions tout terrain.
-Un ensemble de dispositif de secours, incluant le nécessaire pour les hôpitaux de campagne, des vivres et médicament, et une unité de traitement d'eau potable.
Les équipes furent par ailleurs auscultées avant de partir, particulièrement pour vérifier qu'elles ne véhiculent pas de maladies qui seraient dévastatrices dans un environnement ravagé, et réciproquement que leurs vaccins soient à jour.

La première vague devait arriver dans un délai assez court, après un vol d'approximativement 19 heures, suivis de la seconde après deux semaines de trajet en mer.

Ladite seconde vague était acheminée par un navire cargo, et comptait davantage d'ambulances et véhicules tout terrain, mais aussi un pont mobile et une très large quantité de provision, tentes et médicaments. Il s'agissait là d'établir un campement durable pour assurer la survie des populations sur le plus long terme, le temps que les infrastructures sur place soient réparées et remises en fonction.

Durant ce long délai, la première vague pris ses fonctions en faisant le nécessaire pour mettre en place un premier hôpital de campagne et contribuer au secours des populations. La contribution semblait infime face à l'ampleur des dégâts mais, apportait à son échelle un certain soutien.
Les avions, qui s'étaient posés sur une zone grossièrement dégagée, n'avaient pas perdu de temps et étaient repartis immédiatement après avoir déchargé le matériel. Deux avions tactiques se chargeront de faire la navette avec le territoire aleucien de l'Astérie, et les deux autres avec Sylva, de façon à apporter davantage de vivres et matériel de secours. L'avion de ligne n'était pas en reste et ramenait si nécessaire des sinistrés de la Funtalie vers l'Astérie, dans le cas des blessés les plus graves ne pouvant être soignés avec le nécessaire d'urgence sur place.

Les opérations se faisaient avec beaucoup de coordination auprès des autorités locales, sur qui l'on comptait pour coordonner les efforts des différents acteurs impliqués. Il s'agissait d'éviter les redondances, compléter les apports de chacun, et ne délaisser aucun point en particulier. Ce travail d'organisation ne pouvait être assuré par Sylva pour des raisons politiques et souveraines, la responsabilité revenant à l'Astérie et les secouristes n'avaient pas pour intention de l'outrepasser.
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