Administration Nationale de l'Aéronautique et de l'Espace

La seconde moitié du XXe siècle a été marquée par des événements politiques et scientifiques majeurs, dont la création de l'Administration Nationale de l'Aéronautique (ANA) en 1951 sous l'impulsion du président Fredrick Pavi. Dirigée par un ingénieur de renom, Richard Steinmann, l'ANA a accompli d'importants exploits dans le domaine aéronautique, malgré une crise budgétaire dans les années 60.

Au sein de l'ANA, un programme spatial ambitieux a été lancé dans les années 70, renommée Administration nationale de l'aéronautique et de l'espace (ANAE). Un pacte de coopération scientifique est signé avec le Royaume de Teyla et a conduit à la création du Centre universitaire Steinmann-Villard (CUSV), focalisé sur la recherche nucléaire civile, l'aéronautique, les technologies de communication et d'images.


Création de l’Administration Nationale de l'Aéronautique (1951)

La création de l'Administration Nationale de l'Aéronautique (ANA), ou Nationale Aeronautikbehörde (NAB) en 1951 a été impulsée par le président de l'époque, Fredrick Pavi. Convaincu du rôle stratégique que la technologie aérospatiale jouerait dans l'avenir du pays, Pavi a soutenu la mise en place de cette agence gouvernementale pour coordonner les efforts dans le domaine de l'aéronautique et de l'exploration spatiale.

Le premier directeur de l'ANA a été le célèbre ingénieur aérospatial, Richard Steinmann. Steinmann, pionnier dans le domaine de l'ingénierie aérospatiale, a apporté son expertise et son leadership à cette nouvelle agence. Il est resté à la tête de l'ANA jusqu'en 1965 avant de prendre sa retraite en 1975.

Sous la direction de Steinmann, l'ANA a réalisé plusieurs exploits notables dans le domaine aérospatial : l'agence a développé des avions de plus en plus performants et ayant une plus grosse autonomie. Elle a joué un rôle essentiel dans la mise en place de programmes de recherche scientifique liés à l’aviation.

A la fin des années 60, l’ANA subit une crise budgétaire importante : l’absence de conflits ou de menaces encourage les politiques à retourner sur une économie civile et l’aéronautique subit la pression des entreprises ferroviaire. De nombreux politiciens votent des coupes dans le budget de l’ANA qui se retrouve au plus mal, la plupart des ingénieurs quitteront l’ANA pour créer leurs propres entreprises d’aéronautique, c’est à cette époque que sont fondées Horizon Aviation Développement, Atmosphère, LuftMajestät, HorizonLuftfahrt et VolTech.

Le programme spatial, bien que seulement initié dans les années 70, était en préparation depuis les débuts de l'ANA. Si dans un premier temps les ambitions étaient simplement de cartographier le monde depuis l’espace, assez rapidement les ingénieurs se tournèrent vers les possibilités infinies d’un développement de technologies aérospatiales : satellites, lanceurs, stations et bien plus.

Dans le but de relancer l’ANA, les entreprises privées se tournèrent vers le Royaume de Teyla : récemment le royaume venait de démarrer une entreprise similaire de programme spatial et Otto Fischer, président de la HorizonLuftfahrt pris la tête du projet. Après de nombreuses négociations et de jeu politique au sein des États-Unis d'Aleucie, un partenariat scientifique fut déclaré entre le Royaume de Teyla et les États-Unis d'Aleucie. L’ANA fut renommée Administration nationale de l'aéronautique et de l'espace (ANAE) ou Nationale Aeronautik- und Raumfahrtbehörde (NARB).

Le Conseil Fédéral révisa le budget de l’ANAE et octroya un budget commun avec le Royaume de Teyla. Si dans un premier temps les échanges sont timides, il est rapidement défini que la distance géographique et les moyens de communication de l’époque seraient bien trop primitifs pour envisager une coopération internationale à cette échelle.