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NATURE : Des petites secousses sismiques ressenties.
Des petites secousses sismiques ont pu être ressenties à Pärbruck dont certains un peu plus fort sur la pointe de l'Eurysie Septentrionale. En effet, vers 9h deux petites secousses ça fait trembler notamment des arbres en faisant tomber des fruits et notamment des étals sur les marchés. Aussi, dans les supérettes quelques rayons se sont effondrées témoignant de la violence de certaines des secousses. Ainsi, les autorités ont mis en garde face aux risques de répétition et de possibles secousses qui devrait arriver un peu plus tard dans la journée du au mouvement des plaques tectoniques. Dans certains quartiers, les secousses ont pu provoquer quelques fissures notamment sur de grands bâtiments tels que des immeubles ou des bâtiments à plusieurs étages.

Ayant constatées cela, les autorités ont lancées des investigations sur ces bâtiments pour permettre leur sécurisation et analyser le risque d'effondrements de ceux-ci. Aujourd'hui, on dénombre un seul bâtiment susceptible de s'effondrer dans la ville de Pärbruck. Sur l'échelle de Ruckee d'un risque pour ce bâtiment de s'effondrer, il est passé en début de matinée du niveau 1 au niveau 2 dû à une fissure plus importante et profonde ayant été découverte un quart d'heure après le début des investigations.

On dénombre environs 4 blessés dû à des chute d'objets léger étant suspendus mais leur jour ne sont pas en danger et leurs blessures qualifiées par les services hospitaliers comme des blessures mineurs. L'un d'eux bénéficiera cependant de quatre agrafes à la tête.

ARMÉE : Littarg et le porte-hélicoptère.
Nous sommes à l'extrémité de l’état de Littarg et du port de Pärbruck. C’est ici que se cache le secret le mieux gardé de l’état. Le site militaire de l’état est ici et il renferme un grand bâtiment, le plus grand de toute la marine kolisienne : Son porte-hélicoptère. Le Ebrick en l’honneur du Colonel à l’origine de la Confédération est l’une des fierté de la marine kolisienne et il va pour la première fois depuis son arrivée en Kölisburg prendre la mer. En effet, après une formation de son équipage pendant plusieurs mois, il est désormais opérationnel et va pouvoir sous bonnes escorte prendre les eaux de la mer de glace. Le nouvel équipage et les nouvelles recrues dans un même objectif vont prendre les commandes de ce navire de guerre en commençant par l'appareillage du bâtiment pour déplacer ce monstre de mer. À la manoeuvre, le commandant Parrick. Ce navire qui fait la fierté de Kölisburg est aussi sensible puisqu’il peut être victime d’attaque. Il est accompagné d'une imposante escorte de sous-marins de de navires de guerres. Tous sont sur le pied de guerre car il faut à tout prix protéger ce bijou de technologie qui a coûté 20 millions de couronnes kolisiennes. Le pilier de la défense maritime kolisien s’apprête à prendre la mer. Pendant une semaine, il va assurer la sécurité de Kölisburg et sa souveraineté sur sa Z.E.E dans la mer de glace et pour tout l’équipage, c’est un sentiment exaltant où se mêlent puissance et fierté.

C'est une véritable ville qui prend vie sous ce monstre d’acier et un labyrinthe de coursives entre les centaines de câbles et de tuyaux sans compter les équipements nécéssaire pour faire fonctionner la bête. À l'arrière, le moteur assure la propulsion et produit également de l’électricité. Au centre, l’espace de vie pour l’équipage divisé en trois partis ou l’équipage de marins vivent. Dans ce navire de guerre immense, les marins qui composent l’équipage vont devoir assurer la mission la plus importante de leur vie puisque cette mission a pour but d’assurer la souveraineté de Kölisburg sur les mers. Ce navire a notamment pour but d’affirmer sa souveraineté sur la partie la plus grande sa Z.E.E. Ainsi, le navire de guerre va naviguer dans les eaux kolisiennes pour montrer aux navires de commerces alentours et notamment ceux évitant la Z.E.E par peur soit assurés que la sécurité kolisienne ne plaisante pas. En effet, la liberté de circulation des navires civils et notamment de commerce est assuré sur la Z.E.E de Kölisburg mais certains depuis sa proclamation n’hésitent pas à faire un détour. Entre mêlés entre la peur et l’incertitude, ils préfèrent rester sur les eaux internationales lorsqu’il s’agit de traverser la mer de glace. C’est une route très peu empruntée mais pour ceux qui l’empruntent, la route est périeuse. De là, il est préférable de passer sur la Z.E.E kolisienne. Pour les navires qui le font, c’est l’assurance d’une sécurité supplémentaire et surtout d’une assistance. En effet, les états de Palargue et de Littarg ont récemment conclut un accord sur une politique d’assistance des navires civils et de commerce étant en danger sur la Z.E.E kolisienne et le territoire qui les concernent. Ceci veut dire que si un navire venait à prendre feu ou être en danger dans leurs eaux, ils interviendraient quoi qu’il en coûte pour sauver le navire. Ainsi, par cette mission, les deux états et l'état de Littarg notamment espèrent pouvoir montrer qu'ils sont engagés dans la mission de sécurité et d'affirmation de la souveraineté kolisienne en mer.