27/07/2013
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Encyclopédie de l'Académie de Recherches Inter-domaines de Xamanac

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Ministère de la Culture - Cité de Xamanac
Encyclopédie de l'Académie de Recherches Inter-domaines de Xamanac

Sommaire
Présentation rapide
Histoire
Mythologie Akaltienne
Institutions Politiques
Géographie Physique
Géographie Humaine [en cours de rédaction]
Énergie en Akaltie
Systèmes d'abréviation divers
6864
Histoire


Période Pré-Union (environ -6500 à 1513)
L’Akaltie n’existait pas réellement jusqu’au 16ème siècle. Le territoire actuel du pays était recouvert d’une épaisse jungle, qui facilitait l’isolement des cités akaltiennes. La jungle permit aussi à la civilisation akaltienne de se développer sans être attaquée par ses voisins, qui ignoraient pratiquement l’existence de ce peuple mystérieux.
Chaque grande cité avait son propre gouvernement, et souvent une forme dérivée de la religion akaltienne différente des autres. De petites guerres survenaient régulièrement entre les cités-états, et certaines tombaient, pour un temps limité, sous le joug d’une autre. Aucun évènement marquant ne se produit lors cette période.


Période de l’Union (1513 à 1651)
Peu après l’arrivée des colons dans les pays voisins et même sur les côtes du territoire akaltien. Les cités, dont les habitants étaient de nature discrète face aux peuples étrangers, n’avaient pas encore été repérées par ces étrangers. Voyant les armes effrayantes qu’ils possédaient, ainsi que leurs intentions douteuses à l’égard des peuples locaux, la civilisation akaltienne tout entière décida de s’unir face à la menace commune, et de lever une armée de plusieurs milliers d’hommes. Ils attaquèrent un camp installé sur la côte, de nuit, et gagnèrent une victoire éclatante.
Les savants des cités, curieux des technologies étrangères, décidèrent de les étudier. Ils réussirent de grandes avancées scientifiques et parvinrent même à créer des canons rudimentaires. Ils commencèrent aussi l'élevage de chevaux, animaux inconnus ramenés par les colons, mais dont l'utilité avait déjà été observée. Ces prouesses et les épaisses murailles entourant leurs villes leur permit de résister et même de gagner face aux envahisseurs pendant longtemps. L’union ne dura cependant pas sous sa forme originelle plus de 30 ans, ensuite remplacée par un pacte de non-agression général et quelques accords d’entraide entre certaines cités.


Guerre d’Or (1651 à 1665)
Après un siècle de résistance peu difficile, les cités commençaient à relâcher leur attention et certaines même à se quereller. Cela permit aux colons, qui étaient de plus en plus nombreux, d’en attaquer et d’en piller plusieurs, en une attaque éclair généralisée à toute une grande région, et de les occuper.
Ce fut le début d’une période sombre pour les akaltiens, nommée plus tard la Guerre d’Or, du matériau tant convoité par ces étrangers. Ils reprirent le contrôle de certaines cités, mais les colons en attaquèrent d’autres, ce qui eut rapidement pour effet d’affaiblir considérablement la nation.


Le Renouveau (1665 à 1859)
En 1665, à la suite d’un pillage, une épidémie meurtrière se déclencha parmi les colons, déclenchée par une maladie connue des akaltiens, bien que rare, mais complètement nouvelle pour les assaillants, qui se replièrent dans leurs camps. Quatre des plus grandes cités s’unirent de nouveau, et assiégèrent le principal camp ennemi. La reddition fut rapide et les colons reconnurent l’indépendance d’un Etat akaltien, et signèrent un pacte de non-agression en échange du droit pour leur peuple de s’installer dans les cités et les terres vierges alentours.
Un âge d’or commença alors pour l’Akaltie, qui s’ouvrit pour la première fois au commerce avec l’extérieur et étendit considérablement ses terrains agricoles. Le français, langue des étrangers, gagna en popularité et devint une langue officielle au même titre que l’akaltien, grâce au métissage progressif des deux ethnies.


Guerre de la Souveraineté (1859 à 1860)
En 1860, la question de la création d’un véritable Etat répondant aux critères internationaux commença à se poser. Jusque-là, les cités avaient continué de s’auto-régir, tout en unifiant les lois fondamentales. Malheureusement, les quatre villes les plus peuplées prétendaient au titre de capitale, et souhaitaient gouverner sans partage sur le nouveau pays. Deux accords différents se firent, mais pas l’unification des deux accords. Une courte guerre commença, sanglante pour les deux camps et dévastatrice pour les populations neutres. Des révolutions presque simultanées se déclenchèrent un peu partout, ce qui entraîna un arrêt brutal des hostilités, réclamé par tous les citoyens.
Un comité citoyen émit la proposition de fonder une nouvelle ville, peuplée par des habitants venant de toute la nation, et située sur la côte afin de faciliter les échanges et la diplomatie. Cette idée fut approuvée à plus de 95 % par un grand référendum. La guerre se finit aussi brutalement qu’elle était apparue.


Période des Cinq Armées (1860 à 1899)
La fin du 19ème siècle fut marqué par plusieurs tentatives de coups d’Etats militaires, ne parvenant jamais à tenir plus d’une semaine car contrôlant seule la capitale, ce qui laissait les cités réprimer ces putschs avec leurs propres armées. En effet, l’Akaltie ne possède pas d’armée nationale unifiée, mais chacune des grandes cités a la sienne. Il y a donc cinq chefs des armées, ce qui rend difficile une mobilisation de l’armée entière à des fins malveillantes.


Période Contemporaine (1899 à nos jours)
L’année 1899 débuta une nouvelle ère, celle du renforcement progressif du pouvoir de la capitale sur les cités, qui jusqu’à présent étaient restées assez libre dans leurs décisions. La construction d’un grand réseau ferré reliant tout le pays permit une bien meilleure communication intercité. Des provinces regroupant plusieurs cités furent aussi formées afin de faciliter le contrôle du pouvoir central.
En 1920, un navire militaire akaltien passa en vue d’une île inhabitée dans l’océan Carmin. Le gouvernement décida sa colonisation, afin d’exploiter les riches réserves en poisson de l’archipel. C'est aujourd'hui la province extérieure de Nacuot.
Quelques années plus tard, en 1926, des prospecteurs akaltiens découvrirent un grand gisement de charbon dans une région inhabitée de la côte sud de l'Aleucie : de nouveau, le gouvernement en entreprit la colonisation afin de revendiquer ces ressources. Ce sont aujourd'hui les provinces extérieures de Napalawie-Xamin et Napalawie-Zutih.
La décennie de 1990 fut placée sous le signe de la malchance pour les akaltiens, qui subirent deux grandes tragédies : l'éruption du volcan Tilyax de 1991 à 1993 et la série d'attentats du printemps 1997.
Le volcan Tilyax est un volcan effusif situé en plein centre de la péninsule, dans une région peu peuplée. Le 19 août 1991, une grande coulée de lave s'échappa des flancs du volcan, libérant au passage une grande quantité de cendres dans l'atmosphère qui, emportée par les vents, recouvrirent une grande partie du Sud du pays, dont la capitale. Les cendres en suspensions causèrent d'abord de gros problèmes aériens, empêchant tout avion de survoler l'Akaltie dont le seul aéroport correct se trouvait à Kintan. Lors des retombées, l'air devint difficilement respirable et causa la mort de bon nombre de personnes fragiles. Le gouvernement mit rapidement en place un programme d'évacuation des habitants vers des régions non-touchées et de purification de l'air (au moyen de jets d'eau). Les populations purent revenir sur place 1 mois plus tard.
Le 13 avril 1997, une valise piégée explosa dans la gare d'Oxkintan (nœud ferroviaire du pays, situé dans le Nord de la province de Kahitz) et causa la mort d'une dizaine de personnes. Il fut le premier d'une série de 6 attentats revendiqués par plusieurs groupes extrémistes religieux ou sectaires souhaitant la reconnaissance de leur culte. L'armée de Kahitz lança après quelques semaines l'opération Cnazahle, opération d'anti-terrorisme destinée à démanteler ces groupes. Beaucoup de suspects ont été arrêtés depuis et les attentats ont cessé. Ces évènements causèrent une hausse de la surveillance des petits mouvements religieux et de paranoïa des akaltiens sur ce sujet.
1872
Présentation rapide


Nom officiel : Union des Cités d'Akaltie
Nom courant : Akaltie

Gentilé : akaltien(ne)s
Inspirations culturelles : Civilisation Maya

Langues officielles : akaltien, français
Autres langues reconnues : patois akaltiens, espagnol, portugais, anglais, osnien

Drapeau :
Drapeau de l'Union des Cités d'Akaltie
Le drapeau est constitué de 3 éléments : les 4 bandes horizontales blanches et vertes, symboles par leur nombre des 4 grandes cités (Xamanac, Jeklum, Kahitz et Yulnhol) et par leurs couleurs la paix et l'harmonie qui règne entre elles pour le blanc, et l'épaisse jungle qui recouvre le pays pour le vert ; la bande verticale orange qui les relie, symbole de Kintan, la capitale fondée afin de mettre fin aux litiges entre les cités et d'avoir une position neutre ; et l'écusson central, composé du blason de l'Akaltie représentant un toucan, symbole du pays (voir la section Mythologie pour plus de détails), entouré d'une couronne de lauriers, symbole comme toujours de pouvoir.

Devise : Quatre cités, une seule nation
Hymne officiel : Le pays ne possède pas d'hymne, les rares instruments et pratiques musicales ayant été anéantis durant la période de la Guerre d'Or.
Monnaie officielle : l'Utuk

Capitale : Kintan
Superficie : 582.022 km2
Population : 19.323.130 habitants (au 28.08.2012)
Densité de population : 33,2 hab/km2

Extension de nom de domaine : .ak
Extension réservée au gouvernement : .aw.ak
Indicatif téléphonique : +119

L'Akaltie en quelques mots : L'Akaltie est un petit pays situé à la limite de l'Aleucie et de la Paltoterra, situé pour sa plus grande partie entre l'Hasparne et le Pontarbello. Il est formé de quatre principales cités (Xamanac, Jeklum, Kahitz et Yulnohl), dirigeant chacune leur province ; ainsi que de la capitale Kintan, grande ville portuaire, centre politique et économique de la nation. Une grande partie du pays est recouvert d'une épaisse jungle, ce qui rend parfois difficile les liaisons entre les villes. Un important réseau ferroviaire quadrille donc les 5 provinces. L'Akaltie possède aussi 3 provinces non rattachées au territoire central : l'archipel de Nacuot et la Napalawie-Xamin et la Napalawie-Zutih (frontalières de l'Osno et du Liber).
Carte des provinces akaltiennes
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Mythes, légendes et religion en Akaltie


Les akaltiens ont développé depuis des siècles leur propre religion polythéiste, basée sur les Xua Ina, divinités animales à l'origine du monde qui les entoure. Le culte est le même dans tout le pays, seul la divinité principale, la plus vénérée, change en fonction des cités, influencées par leur environnement et leurs besoins.

Quelques divinités :

Tukenul, divinité qui prend la forme d'un toucan. Associé à la genèse, la jungle, aux terres fertiles et à l'agriculture.
Kanahb, un dauphin de rivière. Associé aux fleuves, lacs, rivières, à l'eau et à la pêche.
Celem, un jaguar. Associé à la guerre, la force, la bravoure, la protection et le pouvoir.
Yabal, un boa. Associé à la paix, au calme et à la diplomatie.
Simil, un dendrobate. Associé à la mort et au poison.
Yulta, un quetzal. Associé à la réussite, la richesse, la prospérité et la chance.
Kolko, un saïmiri. Associé au sciences, à l'art, au chaos et à la vitesse.


Le mythe de la création de l'Akaltie


[en cours de rédaction]
2386
Géographie Physique


Relief

Carte physique de l'Akaltie

L'Akaltie est situé sur la péninsule de Zubtali, dans le Sud-Est du continent aleucien. La majorité du territoire métropolitain est recouverte d'un plateau de 500 m d'altitude environ, délimité par les Monts du Nord dans sa partie septentrionale et la chaîne d'Ebtun au Sud-Ouest. Au centre de ce plateau se dresse le mont Tilyax, le seul volcan actif du pays, mais non moins dangereux, comme l'on appris à leur dépend les akaltiens lors de l'éruption récente de 1991 à 1993.
Le mont Tilyax est un volcan de type effusif, mais néanmoins sujet à de rares éruptions explosives. Ce comportement est dû à la teneur en gaz de son magma, qui varie au fil du temps pour une raison encore inexpliquée par les volcanologues akaltiens. Lors des éruptions effusives, il est inoffensif, car sa lave s'écoule dans un cratère secondaire vide et ne contenant pas de végétation. La forêt autour du volcan est particulièrement bien préservée car inhabitée depuis des millénaires, le volcan effrayant trop les habitants à ces époques reculées pour qu'ils s'installent à proximité. De nos jours, la région du Tilyax est un parc national (le plus grand du pays) où il est pratiquement interdit de construire.
Mont Tilyax, face OuestMont Tilyax, face Est

Dans la chaîne d'Ebtun, on peut observer bon nombre de tepuys : des plateaux entourés de falaises à pic isolant presque totalement la biodiversité du sommet de celle d'en bas. Ces structures naturelles abritent donc souvent bon nombre d'espèces endémiques.
Un tepuy de la chaîne d'Ebtun

La péninsule est traversée de deux grands fleuves, l'Ekliz au Nord et le Tubul au Sud. Ce dernier traverse le lac de Kahitz, la plus grande étendue d'eau du pays avec ses quelques 1.500 km2, avant de contourner le mont Tilyax dans un grand méandre.

Vivant

Occupation du territoire
Plus de la moitié du territoire principal (en excluant donc la Napalawie et l'archipel de Nacuot) est recouverte d'une épaisse jungle (59 % pour être exact). Ce fait est expliqué par les méthodes d'urbanisation akaltiennes : les villages n'existent pas ou pratiquement pas (voir la section Géographie humaine pour plus de détails), et les akaltiens vivent tous dans des cités avec une forte densité de population, peu étalées et entourées de champs produisant efficacement. Seul 20,3 % du territoire est donc occupé par les habitants. Les 20,7 % restant sont des chaînes de montagnes d'altitude trop haute pour abriter des jungles tropicales. On y trouve des forêts de conifères, quelques glaciers et des plaines rocheuses.
La Napalawie est séparée en deux régions climatiques : une région tropicale sèche à l'Est, avec des savanes et quelques forêts denses ; et une région chaude et désertique à l'Ouest, de l'autre côté des montagnes qui séparent les deux zones.
1877
Institutions Politiques


L'Akaltie est gouvernée par le Conseil des ministres (qui possède le pouvoir exécutif), et plus précisément par le/la premier.ère ministre. Les élections ont lieu tout les quatre ans (les dernières se sont tenues en 2010), et leur fonctionnement est relativement atypique : chaque parti qui souhaite se présenter donne une liste complète de candidats pour chaque poste du Conseil des ministres, puis les citoyens votent. Le parti arrivé en tête voit son/sa premier.ère ministre élu(e), et choisit le nombre de ministères qu'il crée. La répartition se fait ensuite proportionnellement en fonction des votes (un parti ayant reçu 20 % des voix aura environ 20 % des ministères). Les partis choisissent ensuite en fonction de leur nombre de votes : les premiers à choisir sont ceux arrivés en tête, donc celui du/de la premier.ère ministre, suivi des autres qui remplissent petit à petit les sièges. Un(e) second(e) ministre est également nommé(e), venant du parti opposé à celui du/de la premier.ère ministre, afin de modérer ses décisions, et d'en éviter des trop orientées à l'extrême.
Les ministères existant actuellement sont :
  • Le Ministère de l'Intérieur et des Provinces extérieures
  • Le Ministère des Affaires étrangères
  • Le Ministère de l'Éducation
  • Le Ministère de la Culture et du Forum Culturel Aleucien
  • Le Ministère de la Justice
  • Le Ministère de l'Économie
  • Le Ministère de l'Agriculture, des Forêts et de la Nature
  • Le Ministère de la Santé
  • Le Ministère de l'Énergie et des Télécommunications
  • Le Ministère des Sciences et de l'Espace
Ils sont répartis entre 6 cités en tout, toutes sur le territoire principal.

Carte des Ministères


Le pouvoir législatif est détenu par le Parlement des Cités, rassemblant des députés représentant toutes les cités akaltiennes. Le parlement compte cent-soixante-quatre sièges, prévoyant quatre députés par cité (l'Akaltie regroupe quarante-et-une cités en tout). Chaque cité est divisée en quatre grands quartiers, et chaque quartier élit son/sa député(e) tout les quatre ans (les dernières élections datent de 2012). Le parti atteignant la majorité dans le quartier est nommé au parlement.
2332
Système d'immatriculation des véhicules routiers


L'abréviation indiquant l'Akaltie sur les plaques minéralogiques est AK. Elle est visible à la gauche de la plaque, dans un rectangle vert foncé contenant aussi le blason akaltien. Les caractères de la plaque sont en vert foncé comme d'autres objets (le passeport par exemple).
Les plaques d'immatriculation contiennent en premier deux lettres indiquant soit la provenance du véhicule, soit s'il fait partie d'une organisation importante :
  • AW : véhicule du gouvernement
  • JK : véhicule venant de la province de Jeklum
  • KH : véhicule venant de la province de Kahitz
  • KT : véhicule venant de la province de Kintan
  • NC : véhicule venant de la province extérieure de l'archipel de Nacuot
  • NX : véhicule venant de la province extérieure de Napalawie-Xamin
  • NZ : véhicule venant de la province extérieure de Napalawie-Zutih
  • QA : véhicule d'une ambassade (QA pour "Quartier des Ambassades", à Kintan)
  • XM : véhicule venant de la province de Xamanac
  • YL : véhicule venant de la province de Yulnhol
Elles sont suivies d'un tiret, puis de cinq caractères personnalisables, que le propriétaire du véhicule choisit à l'administration (quelques suites de caractères sont cependant interdites, notamment les insultes et les noms de partis politiques).2 exemples de plaques
Deux exemples de plaque minéralogiques : l'une d'un citoyen habitant la province de Kintan et l'autre d'une voiture du gouvernement.



Numéros de téléphone


L'indicatif international délivré par le Conseil International des Télécommunications est le +119. Les numéros de téléphone sont composés de neuf chiffres en dehors du zéro obligatoire placé devant. Le premier chiffre indique la province du téléphone, ou s'il s'agit d'un téléphone mobile.
  • 01 provient de la province de Kintan
  • 02 provient des provinces de Xamanac et Jeklum
  • 03 provient des provinces de Kahitz et Yulnhol
  • 04 provient des provinces extérieures (Archipel de Nacuot, Napalawie-Xamin et Napalawie-Zutih)
  • 05 indique un téléphone mobile



Extensions de noms de domaines internet


L'extension de nom de domaine nationale est le .ak. Comme pour les plaques minéralogiques, les provinces ont ajouté un indicatif en deux lettres signifiant la provenance du site internet :
  • .aw.ak : site gouvernemental
  • .jk.ak : site provenant de la province de Jeklum
  • .kh.ak : site provenant de la province de Kahitz
  • .kt.ak : site provenant de la province de Kintan
  • .nc.ak : site provenant de la province extérieure de l'archipel de Nacuot
  • .nx.ak : site provenant de la province extérieure de Napalawie-Xamin
  • .nz.ak : site provenant de la province extérieure de Napalawie-Zutih
  • .xm.ak : site provenant de la province de Xamanac
  • .yl.ak : site provenant de la province de Yulnhol
1527
Électricité


L'Akaltie produit la grande majorité de son électricité à partir de source d'énergie à basses émissions carbones. La majorité de l'électricité produite l'est à partir de centrales solaires thermodynamiques, situées pour beaucoup dans le désert de l'Est de la Napalawie-Xamin. Ce procédé concentre les rayons du soleil d'une grande surface vers un réservoir de sel fondu au moyen d'une grande surface de miroirs. Le sel fondu permet ensuite la production d'électricité grâce à sa chaleur et fonctionne 24 heures sur 24 car le sel reste assez chaud pour fonctionner plus de 16 heures après le coucher du soleil, il tient donc largement jusqu'au matin.

Centrale solaire thermodynamique de Quetzalatun-Nord

Les origines de la production électrique akaltienne

Comme dit plus haut, la majorité de l'électricité est produite à partir de centrales solaires thermodynamiques. En deuxième place vient la production nucléaire, provenant des trois grandes centrales du pays

Carte des centrales électriques akaltiennes

La majorité de l'électricité produite en Akaltie l'est dans les provinces extérieures, qui ne consomment que peu d'énergie par rapport au territoire principal. Elle est donc transférée à l'aide de longs câbles sous-marins. La grande disparité de production et de consommation est un problème de longue date en Akaltie, toujours pas résorbé aujourd'hui, quand l'on voit que la province de Kintan, qui consomme beaucoup d'énergie dû à sa grande population, ne produit pas le moindre Volt.
Des accords avec le Grand Kah ont récemment été trouvé, faisant que l'île de Nacuot fournit une partie de celle de Nellnely, afin que l'énergie ne soit pas perdue par le transport le long d'un trop long câble.

Origines géographiques de l'énergie akaltienne
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