Nous sommes le trois septembre 2012, à Blankenvoorde. En ce milieu d'après-midi, il fait étonnamment beau, le ciel est bleu et dégagé de nuage. Seul un vent du nord ; nord-est frappe encore et toujours la Fédération, obligeant quand même les Zélandiens et les touristes a rester un minimum couvert. En ce trois septembre, nous sommes non loin de l'hôtel de ville de la commune - là où a lieu les assemblées de conseil -, dans le district gouvernemental. Plus précisément dans le bâtiment du Secrétariat Fédéral aux Affaires Étrangères.
L'actuel occupant des lieux était dans son bureau en train de lire, et d'écrire des rapports en tout genre, venant du Bureau à la Sécurité Fédérale (B.S.F.) ou à l'attention de ses homologues. Sur le bureau, est aussi posée une pile de journaux de la presse internationale ; colonne bien droite et alignée, non pas que le Secrétaire Fédéral se préoccupait habituellement de ce genre de chose, mais comme il allait recevoir quelqu'un, il voulait faire un tant soit peu bonne impression.
Comme toujours, Giel Rutter était accompagné d'une tasse de café ; noir et serré comme il l'aime tant, afin de ne pas se laisser emporter dans les bras de Morphée. Il est habillé d'un costume bleu marine et d'une cravate rouge, et porte aussi de très grandes cernes, poches d'un léger gris sur une peau pâle, sous des yeux qui, malgré tout ce que le personnage puisse dire, sont la preuve d'une grande fatigue. C'est que notre cher Giel, après une rencontre avec un représentant Pharois, puis sa visite à Velsna dont il est revenu il y a quelques jours, a prit beaucoup de retard dans ses dossiers, et dans le but de résoudre ce problème, a fait une véritable nuit blanche, seul dans son ministère à boucler ses papiers. Une cafetière, encore fumante, est d'ailleurs posée non loin du bureau, avec deux tasses.
L'actuel occupant des lieux était dans son bureau en train de lire, et d'écrire des rapports en tout genre, venant du Bureau à la Sécurité Fédérale (B.S.F.) ou à l'attention de ses homologues. Sur le bureau, est aussi posée une pile de journaux de la presse internationale ; colonne bien droite et alignée, non pas que le Secrétaire Fédéral se préoccupait habituellement de ce genre de chose, mais comme il allait recevoir quelqu'un, il voulait faire un tant soit peu bonne impression.
Comme toujours, Giel Rutter était accompagné d'une tasse de café ; noir et serré comme il l'aime tant, afin de ne pas se laisser emporter dans les bras de Morphée. Il est habillé d'un costume bleu marine et d'une cravate rouge, et porte aussi de très grandes cernes, poches d'un léger gris sur une peau pâle, sous des yeux qui, malgré tout ce que le personnage puisse dire, sont la preuve d'une grande fatigue. C'est que notre cher Giel, après une rencontre avec un représentant Pharois, puis sa visite à Velsna dont il est revenu il y a quelques jours, a prit beaucoup de retard dans ses dossiers, et dans le but de résoudre ce problème, a fait une véritable nuit blanche, seul dans son ministère à boucler ses papiers. Une cafetière, encore fumante, est d'ailleurs posée non loin du bureau, avec deux tasses.
Alors que le Zélandien termine ce qu'il est en train de faire, Mr. Sonderman, le Secrétaire adjoint aux Affaires Étrangères, rentre dans le bureau afin d'annoncer l'arrivée de Vittorio Vinola : l'Ambassadeur Velsnien en Zélandia. Le Secrétaire Fédéral fait alors signe à son adjoint de faire entrer son invité.
— Ah ! Mr. Vinola. Entrez donc, et bienvenue !
— Ah ! Mr. Vinola. Entrez donc, et bienvenue !