11/07/2013
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[EN ATTENTE] Création de pays: Empire Khmon

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Création de pays : Empire Khmon


Généralités :



Nom officiel : Nouvelle dynastie constitutionnelle du Dei-sot (Dei-sot : Terre pure)
Nom courant : Empire Khmon/ Empire du Dei-sot
Gentilé : Khmon (prononcez « Khmone »), Khmone

Inspirations culturelles : Asie du Sud-Est, Empire Khmer
Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : Khmon (Khmer)
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Jashurien, Hutan, Stranéen

Drapeau :
Drapeau nouveau Dei-sot

Devise officielle : «Un peuple uni, un destin partagé »
Hymne officiel :
Monnaie nationale : Supol §

Capitale : Khmaureng, Bhagavan

Population : 31 081 661 habitants (2020)


Aperçu du pays :



Présentation du pays :
La terre du Dei-sot (signifiant « Terre pure » en Khmon) est une terre fertile sans accès à la mer du Nazum du Sud-Est, au centre de la péninsule du Nazum. Il s’agit du berceau des populations de la péninsule avec des traces de vies humaines datant de plusieurs millions d’années, mais ce n’est que vers le VI eme siècle avant Jésus-Christ qu’une unité politique se forme au sein du Dei-sot, l’empire Khmon. Le royaume connaît alors une expansion sans précédent, obligeant certains peuples à migrer vers l’Est. Mais cette croissance freine au fil du temps. Les anciens peuples ayant migrés se sont développés et décident donc de convoiter la terre du Dei-sot. L’empire Khmon se divise alors, le Nord devient le royaume Hutan et l’Ouest devient le royaume Souksanh. L'empire Khmon est au plus mal et les ennemis gagnent du terrain après des siècles de puissance, jusqu’à l’avènement du nouvel empereur Choeun Sotearith V en 692, l’empereur Khmon le plus connu jusqu’à ce jour. Choeun Sotearith V reconquiert le territoire Souksanh et reprends Bhagavan de la main des Hutan. En reconnaissance envers l’empereur, le peuple Khmon construit le temple de Gokarta dans la capitale de Khmaureng, dédié à la gloire de l’empereur et des dieux. Ce temple est le plus grand symbole de la culture Khmone, subsistant toujours dans les mémoires aujourd’hui. Hélas, la suite des événements sera une longue descente aux enfers pour les Khmons…

L’empereur Choeun Sotearith VI n’ayant pas de descendant, son conseiller Sok Vireak est choisi comme successeur. Le règne de Sok Vireak va entraîner une importante famine suite à de mauvaises décisions concernant la gestion des sols. Le Dei-sot, vanté comme la terre la plus propice à l’agriculture de la péninsule perd aussi les revenus issus du troc avec les peuples voisins. De plus, un autre peuple venant de l’Est débarque dans la région actuelle de Yahubara aux alentours de 1264. Il s’agit de l’empire Yahudharma, surnommé empire Chalerm (« adversaires » en Khmon) par l’empire Khmon. L’empire Yahudharma annexe le territoire conquis et établis le siège de l’empire à Bhagavan. Le gouvernement Yahudharma est tyrannique : le temple de Gokarta est détruit et les Khmons sont forcés à apprendre le Jashurien afin de s’assimiler au reste de l’empire. Cependant, le territoire Khmon n’a pas été conquis dans son entièreté, la culture et la langue Khmon subsistent dans la région de Phanomran, à l’Ouest du Dei-sot. L’empereur, ayant fui dans ce bout de terre, fomente le grand retour de l’armée Khmon dans l’ancien territoire du Dei-sot. Des alliances avec l’empire Xin sont mises en place afin de repousser l’envahisseur. Une grande offensive est lancée en 1592 sur Khmaureng pour reprendre les terres du Dei-Khmon et de Sorodom. L’attaque fait mouche et les Yahudharmiens sont obligés de se retirer vers Yahubara et l’Est du Nokoreach. Bien sûr, Bhagavan est toujours entre les mains de l’empire Yahudharma mais la partie Ouest du Dei-sot Khmon est désormais libre. Ce territoire sera abandonné vers 1744 par l’empire Yahudharma, lors de son déclin progressif. Les territoires délaissés sont donc ré-annexés à l’empire Khmon, bien qu’un décalage culturelle se soit mis en place entre les deux territoires. En effet, comme le Sukhochan, le Nokoreach et Yahubara sont les terres qui ont été le plus longtemps envahis, la culture Yahudharmienne s’est ancrée de façon plus importante dans la façon de penser des Khmon, au point de créer des tensions entre l’Est et l’Ouest du Dei-sot.
Carte de l'actuel Dei-sot:
Carte


La période post-empire Yahudharma présente une diminution importante de l’économie Khmone. Cependant, l’invasion a permis d’ouvrir l’empire Khmon aux colons et donc à la technologie. Les Khmons lancent donc une politique d’industrialisation à partir de 1913 afin de rattraper le temps perdu et de renflouer les caisses de l’empire, jusque-là basée sur la culture de la terre. Cette époque marque aussi l’apparition de beaucoup d’idéologies différentes. L’empire Khmon est alors divisé en deux pôles, eux même divisés en idéaux. Les Khmons changent alors de système politique en 1954: il s’agit maintenant d’un « empire constitutionnel » (détail dans la partie « Politique et institution »). Des partis sont créés pour représenter le peuple, dont un peu apprécié : le parti communiste. Ce parti est issu de la défaite des communistes Jashuriens ayant migrés vers l’Ouest. Ainsi, Bhagavan devient la capitale des communistes en les accueillant au sein de communauté Jashurienne. L’influence du communisme s’étend facilement dans une ville aussi grande et importante que Bhagavan, hélas, le communisme sera considéré plus tard comme nocif pour le régime. Des lois anti-communistes sont donc établies à partir de 1981 afin de freiner le communisme, désormais interdit car jugé comme un moyen de nuire à l’empereur. L’empire Khmon réprime les communistes (aussi nommés Khmons rouges), au point de créer une unité de contrôle anti-communiste, faisant de Bhagavan la ville la plus surveillée du Dei-sot. Le régime de l’empire constitutionnel Khmon est vanté comme plus égalitaire que la précédente entité qu’était l’empire Khmon, bien qu’une face sombre soit à déplorer…
Drapeau des Khmons rouges et de Bhagavan:
Drapeau communiste

Mentalité de la population :
Les Khmons sont un peuple très attaché à la terre et à sa culture. C’est un pays peu familier avec la mer depuis la création du royaume Hutan. L’agriculture a donc pris une place importante, au point de se sacraliser. Avec une majorité de paysans, les Khmons sont très rechignant quant aux nouvelles technologies. L’industrialisation de masse a été très mal vu, au point que le peuple doive exposer ses idéaux en 1954. Maintenant, les Khmons n’ont pas peur de s’exprimer. Le niveau de scolarisation étant en hausse, les Khmons sortent peu à peu de l’ombre, sur le plan régional comme mondial.
Une autre caractéristique concerne l’esprit particulièrement soudé des Khmons. L’empire Khmon a survécu pendant des millénaires, et ce, grâce à l’unité du peuple. Même si de plus en plus d’idéaux divergent, l’identité nationale reste présente, ainsi le Dei-sot restera le Dei-sot, peu importe les gouvernements en place. Cet aspect se reflète notamment dans la devise du pays ou dans le drapeau (les rayons restent soudés au soleil)


Place de la religion dans l'État et la société :
L’empire Khmon est le berceau du bouddhisme theravada, un bouddhisme très proche du bouddhisme primitif, où les traditions sont les mêmes depuis des siècles.
Pendant l’invasion de l’empire Yahudharma, la religion vouée au soleil s’est répandue dans l’Est du pays. De retour au pouvoir, l’empereur a lancé une politique de « désintoxication ». Les habitants du Dei-sot étaient donc forcés de réapprendre le Khmon et d’exercer le bouddhisme theravada. Depuis, cette religion a quasiment disparue, même si elle est encore pratiquée en territoire rurale de l’Est.
La liberté de culte y est autorisée, mais des discriminations subsistent toujours et le gouvernement en place semble ne pas le voir. Les religions autres que le bouddhisme disposent de peu d’endroits où exercer leur foi.



Politique et institutions :



Institutions politiques :
Dans l’empire Khmon, les pouvoirs principaux ne sont pas les traditionnels pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire. Ils sont représentés par les trois joyaux du Bouddhisme, à savoir : le pouvoir du Bouddha (pouvoir judiciaire), du Dharma (pouvoir exécutif et législatif) et le Sangha (pouvoir religieux). L’empereur détient le pouvoir du Bouddha et du Sangha, mais il peut aussi intervenir dans le Dharma.

-Chambre du Dharma (de la loi) : Chambre où les lois sont votées. Le peuple propose des lois via les représentants du peuple, tandis que les représentants des partis votent la loi. Les partis ont des sièges proportionnellement aux nombres de voies, le tout sur 40 sièges. Les décisions liées à l’exécutif proviennent des membres de la chambre. Elles sont votées, puis le commissaire exécutif valide ou non. Sur tout cela, l’empereur a droit de veto. Il peut s’y opposer, mais ne peut en aucun cas changer la loi. Si c’est non, il faudra préparer une nouvelle loi.

-Grand Stupa (pouvoir du Sangha) : Ici, toutes les affaires concernant la religion sont traitées. Quand une loi ou un procès concerne la religion, le grand stupa se doit de la prendre en main. Cette institution est dirigée par le sous-chef de la religion au Dei-sot, car l’empereur est lui-même le chef religieux suprême du pays. Cependant, sa présence est moins commune.

-Chakravartin (celui qui tourne la roue) : Il s’agit là du titre de l’empereur. Ce titre confère le pouvoir judiciaire suprême. Bien sûr, il existe des tribunaux locaux, où les juges sont représentants de l’empereur. Le Chakravartin ne juge que des affaires graves où le concernant.


Principaux personnages :
Choeun Rama Sotearith Chakravartin : Empereur actuel
Khay Chankrisna : Conseiller de l’empereur et responsable des relations extérieures
Noung Vithara : Sceau du Chakravartin (son rôle consiste à limiter les pouvoirs du Chakravartin si la situation l’exige), représentant principal impérial au Dharma
Poteng Soriya : Chef de la religion (après l’empereur)
Bun Rath : Représentant principal de la religion au Dharma
Phy Sokhem : Maire de Khmaureng
Prum Chanthou: Mairesse de Bhagavan
Om Achariya : chef du parti secret communiste (ennemi public n°1)
Rempung Rath : Chef des armée de terre et de l’air (l’empereur dispose aussi d’un droit de veto)


Politique internationale :
Les Khmons ont été très longtemps fermés à la diplomatie avec des peuples extérieurs. L’invasion Yahudharma leur a ouvert les yeux quant au monde extérieur, avec la venue des colons. Depuis, une volonté de commercer avec les peuples environnants émerge. L’industrialisation est aussi dût à l’envie d’ouverture du Dei-sot. Des projets d’ambassade sont actuellement en cours de décision dans la chambre du Dharma.
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