Création de pays : Grand Beylicat Aykhanide
Généralités :
Nom officiel :
Grand Beylicat Aykhanide
Nom courant :
Aykhanides
Gentilé :
Aykhanide
Inspirations culturelles :
Turquie, bas Caucase, Asie Centrale, ou encore historiquement ; Empire Ottoman, Houlagides(perso-mongole) et Erdalans(kurdes).
Situation géographique :
Langue officielle :
Les sept beylicats parlent tous le Yözid (mélange de turc, d'arabe, de persan et de mongole à dialecte ottoman et alphabet ottoman semblant arabe).
Autre(s) langue(s) reconnue(s) :
Les langues et dialectes turcique, arabe, mongole, grecque, chinois et russe
Drapeau :
Devise officielle :
La nation est éternel
Hymne officiel :
Monnaie nationale :
Livre Aykhanide
Capitale :
Otukhan est la capitale du pays, elle est également la ville la plus prospère du pays de par son économie.
Population :
(34355289) 34.3 millions d'habitants.
Aperçu du pays :
Présentation du pays :
Le Grand Beylicat Aykhanide est un état tout nouvellement fondé et officialisé. Anciennement, ses terres étaient divisées en sept par des beylicats de culture turcique-mongole voire pour certains semblant arabe-kurde. Les beylicats sont en outre des tribus turcique similaire à une principautés indépendante. Ils sont régis par un système de monarchie élective dont le Bey, chef du beylicat, est élu par des critères de force, de richesse et de foi parmi la dynastie du beylicat concerné.
Du 14e siècle et jusqu’au 19e siècle, les tribus étaient en constante guerre et démonstration de force, elles étaient diplomatiquement fermées au reste du monde, et leurs terres se faisaient annexées par des pays plus développés. Reculés dans leurs villes et villages, ils avaient peu de revenus et les récoltes se faisaient de plus en plus mauvaises au fil des années, au point ou vers les débuts du 19e siècle la famine régnait parmi leurs peuples qui étaient devenues trop volumineux pour être autosuffisantes. En 1879, les tribus décidèrent de faire une alliance économique pour accroître leur commerce et essayer de s’ouvrir au monde extérieur. Malgré la mauvaise impression qu’ils ont donnée de leur peuple et de leur culture au monde si avancée et civilisé, les sept tribus ont réussi à survivre dans une partie de ce continent où l’influence mondiale n’a pas encore fait tout son effet. C'est néanmoins à cette époque que la nation quitte la religion Tengriste pour l'Islam après que les religieux aient été convertis.
En 1909, une guerre éclate entre les sept beys, ne pouvant plus se décider ensemble et suivre les règles du traité d’alliance de 1879. Alors, les sept beylicats se confrontent un par un avec des batailles se terminant souvent par un duel de bey. Un beylicat s'est démarqué des autres en gagnant trois batailles sur sept. Le Bey Sélim II Aykhanide, chef du beylicat dont le fondateur fut Aykhan Bey, était sur le point d’exécuter les trois autres beys vaincus, quand le Qadi est intervenu avec ses troupes religieuses, pour lui faire un sermon afin de le nommer Grand Bey et représentant de Dieu sur terre. Du palais en bois des Aykhanides, naquit ainsi l’union des quatre beylicats, que les trois autres ont été contraints de rejoindre de force quelques mois plus tard. En 1912, le Grand Bey Sélim I régnait sous une monarchie absolue de droit divin et héréditaire sur les terres des 7 beylicats.
Jusque ces jours de l’an 2012, l'État fut une monarchie absolue. Mais depuis le début du 21e siècle, l’influence mondiale et l’aspiration à la liberté, à la justice et à la constitution créèrent chez les jeunes un vague d’agitation. De par le nationalisme des beylicats souhaitant avoir plus de reconnaissance, ainsi que des militaires constitué principalement des plus jeunes souhaitant une répartition des pouvoirs, le gouvernement Aykhanide a dû lutter pendant 12 ans avant que le Grand Bey ne soit destitué de son trône. Les beys soutenus des militaires se sont réunis, et le dernier-né fils du précédent Grand Bey, Orhan Ier, fut placé à sa place au trône sous une monarchie constitutionnelle élective. Depuis le 7 août 2012, le nouveau gouvernement d’Orhan est établi, prêt ou non à stabiliser le pays en recherche de liberté, de droits aux non-religieux et d’un élargissement du commerce et de la réputation à l'international. Le Grand Bey devra prouver aux autres beys, aux religieux et au peuple que la monarchie élective était la solution, au risque de perdre même la monarchie régnant sur les beylicats depuis des siècles.
Mentalité de la population :
Les écoles étant principalement religieuses et les lieux saints présents dans toutes les villes, la présence éminente de la foi pousse les jeunes à mettre la religion en haut de leur préoccupation, les parents se mènent a éduquer leurs enfants à suivre la religion de l'Islam ainsi qu'à leur faire adopter ses valeurs. Mais la tradition, qu'on appelle la Teuret, prend aussi une place presque aussi importante que la religion au sein de la société. Certains beylicats privilégient même la Teuret à la religion prenant le risque d'attirer les représailles du Qadi. Ce problème entre le nationalisme des partisans de la Teuret et celle du conservatisme des plus religieux créer les conflits politiques et sociaux les plus dangereuses dans le pays. Le Grand Bey actuel n'est que soutenu par un peu plus de la moitié du peuple concernant ses idées conservateur, lui conférant un poids à supporter parmi les nationalistes. Outre la religion et la Teuret, concernant le régime, les partisans de la monarchie sont majoritaires, mais malgré l'interdiction, les républicains et démocrates ne se font pas petit et manifestent leurs souhaits en se regroupant dans des villes les plus importantes pour y crier leur désir de liberté.
Mais laissant de côté les tensions politiques, les sept beylicats sont en accord et fière d'être régné par la dynastie Aykhanide, les jeunes sont tenace et ont soif d'aider la nation à se faire une place dans le monde.
Place de la religion au sein de l'État :
La religion, ou plutôt les institutions religieuses, détiennent le plus de pouvoir après le Grand Bey et sa famille. Le Qadi, élu maître de la religion, est également chef de la cour de Justice et son pouvoir sur la justice comme la religion atteint même l'assemblée des Beys (cour constitutionnelle). Autrement dit, la religion fait partie de l'Etat, et le Grand Bey à intérêt à ne pas se mettre à dos les religieux. Actuellement, les religieux appliquent une justice islamiste sévère et agissent dans les mektebs (écoles) et autres institutions publique. Ils ne sont pas appréciés par les fonctionnaires et les militaires, mais ceux-là tâchent de faire bonne figure et d'obéir à leurs ordres. Les religions païennes de l'époque sont en minorité présentes mais pas reconnues par le gouvernement.
Politique et institutions :
Institutions politiques :
Le Grand Beylicat est constitué de sept beylicats, six d’entre eux dirigés par un bey et l’un par le Grand Bey. Celui-ci est élu une fois et à vie par la cour des Beys du gouvernement présent. Concernant les Beys, ils sont élus par les habitants pour diriger un des beylicats parmi les membres de la dynastie de ce même beylicat. Une fois élus, les Beys seront attribués à un Nezaret ou à un grade militaire par le Grand Bey. Le nouveau Grand Bey, qu'il viens des Aykhanides ou non, doit épouser une fille de la dynastie aykhanide. Chez les Aykhanides, la femme donnant naissance à l’enfant, c’est à elle de donner à son époux et son enfant son nom, de ce fait le Grand Bey peu importe s'il vient d’une des six autres dynasties, appartiendra aux Aykhanides. La dynastie ne change pas, mais les idéaux et le gouvernement peuvent changer. Les beys et leurs familles peuvent être considérés comme la noblesse, exceptée la famille Aykhanide, qui bénéficie d’un statut supérieur aux autres familles de Beylicats.
La justice est gérée par les religieux. Le conseil religieux élit un Qadi, chef de la cour de justice, ainsi que sept autres religieux qui représenteront chacun un beylicat où ils travailleront avec le Bey pour faire régner la justice. Le Qadi quant à lui veillera au bon fonctionnement des lois et à ce que les Beys respectent la religion et sa justice. La justice(religion) peut être considérée comme le clergé.
Les ministères sont gérée par un bey ou un membre de la dynastie des sept Beylicats attribué à ce poste par le Grand Bey.
Les fonctionnaires et militaires paient 30 % moins d’impôts que le peuple, et peuvent posséder des terres si assez riches. Les fonctionnaires peuvent être des marchands ou des représentants de la loi dans un beylicat. Ils peuvent être considérés comme la bourgeoisie. Les militaires atteignant un grade assez élevé peuvent épouser un membre de Beylicat et de ce fait en faire partie.
Le peuple est séparé en trois classes, définissant s'ils doivent payer plus ou moins d'impôts et avoir accès au vote. Chez les Aykhanides il n'existe pas d'esclavage, en revanche une personne ayant la nationalité ou non, si ayant plus d'argent au point de vivre dans la rue, peut de son plein gré travailler pour des fonctionnaires, religieux ou beys en tant que serviteur. Un serviteur appartient à quelqu'un en tant que personne, son maître sera comme son titulaire, son patron, et perdra beaucoup de ses droits, mais bénéficiera d'une vie agréable travaillant dans de très bonnes conditions. La condition des serviteurs est surveillée de très près par les religieux et la Cour de Justice. La deuxième classe parmi le peuple est destinée aux non-religieux, ces personnes-là doivent payer un impôt supplémentaire pour exercer leur religion librement dans la société et avoir la nationalité, ils doivent également payer 50 % plus chère pour voter. La troisième classe est le peuple Aykhanide ayant la religion de l'État, payant au prix de base les impôts et le droit de vote.
Pour résumer ;
(Ulu Bey) Grand Bey et Chef de la religion : Pouvoir de véto et exécutif, mais aussi tous les autres pouvoirs si les Beys ou la cour de Justice sont en désaccord. Dans ce cas précis ce sera au Grand Bey de prendre la décision qui lui semble la plus bonne. Le Grand Bey est élit à vie par l'assemblée des Beys présents à la mort du Grand Bey précèdent parmi les Beys des sept Beylicats.
(Beyler Meclisi) Assemblée des Beys, cour constitutionnelle : Les Beys sont élit par le peuple parmi les membres de leur dynastie. Donc le Bey Guerminide sera choisi parmi la famille du précèdant Bey par les habitants de son Beylicat. L'assemblée des Beys détient le pouvoir législatif que le Grand Bey détient aussi. Les beys sont réélus tous les 4 ans.
(Adliyyah) Cour de Justice : La cour de justice est gérée par un Qadi ainsi que sept autres religieux qui nommes parmi les religieux les autres membres de la cour de justice, et veilleront à ce que les représentant de la loi nommé par les Beys travaillent conformément à la religion. Le Qadi et les sept religieux sont réélu tous les 2 ans.
Ministères :
Nezaret des affaires étrangère
Nezaret du trésor et des finances
Nezaret des armées
Nezaret de l’intérieur
Nezaret de l’industrie et de l’agriculture
Nezaret des écoles et de la santé
Nezaret des avancées technologiques
Nezaret de la culture
Nezaret des organisations humanitaire
Peuple :
-Serviteurs/es : "Esclaves" volontaires, bénéficiant de la protection de la Justice, leurs impôts sont payés par leur maîtres. Ils n'ont de ce fait pas accès au statut de citoyen/ne.
-Non-religieux/ses : Citoyens/nes n'ayant pas la religion de l'état, qui doivent payer pour pratiquer leur religion ou croyance.
-Citoyens/nes : Citoyens/nes aykhanides ayant la religion de l'état.
Principaux personnages :
(Grand Orkhan Bey)
- Grand Orkhan Bey : Actuel Grand Bey et représentant de Dieu.
- Mehmed Guermin Bey : Actuel ministre de l'intérieur, ayant le titre de Beylerbey (titre conférant le pouvoir des gérer les Beys en l'absence du Grand Bey).
-Murad Tchorum Bey : Actuel ministre des armée ainsi que Serhafiyya (titre conféré au chef de l'organisation des services secret des Aykhanide).
-Djellal Marmar Bey : Actuel ministre du trésor et des finances.
-Kemal Harzen Bey : Ex religieux et Qadi de la Cour de Justice et actuel ministre des écoles et de la santé.
-Arslan Kamar Bey : Actuel commandant de l'armée de terre et ministre de l'Industrie et de l'agriculture.
-Orkhan Ouzhem Bey : Actuel ministre des avancées technologiques.
-Hamid Gök Efendi : Actuel Qadi de la Cour de Justice.
Politique internationale :
Les Aykhanides ont été durant la majeur partie de leur histoire neutre vis à vis les autres nations lointaines, ils étaient au courant de leurs avancées, mais ne souhaitaient pas se faire de nouveaux ennemis ayant été en constant conflits entre les beylicats déjà présents. Ils n'ont que nouvellement vers la fin du 20e siècle établis une reconnaissance de l'international, aujourd'hui, avec l'arrivée de la constitution et de la monarchie élective, le Grand Bey se voit à devoir se faire une place pour lui et son pays parmi les autres nations du monde. Il doit établir une économie et des échanges commerciale stable. Il doit également faire en sorte de rattraper le temps perdu scientifiquement et technologiquement, étant souvent quelques mois et années plus tardivement au courant des nouvelles inventions. Le Grand Orkhan Bey en plus de la situation intérieur de son pays, va devoir s'imposer et tisser des liens avec les autres pays et protéger son peuple de l'influence étrangère que cela va engendrer sur le pays.
