Gwyddoniadur y Weriniaeth | Encyclopédie de la République

Ceci est une première version, elle à vocation à évoluée


Nom officiel :
Sérénissime République d’Achos [Prononcé « AKOS »]

Nom d’usage :
République d’Achos

Gentilé :
Achosien/Achosienne[prononcé « AKOSIEN/AKOSIENNE »]

Inspiration culturelle 
Pays de Galles
Ecosse
Irlande





Situation géographique :

Langue officiel :
Gallois

Autre(s) langues(s) reconnue(s) :
L’anglais
Le français
Le velsnien



Drapeau :



Devise officielle :
« Unité et souveraineté »



Hymne officiel :

Monnaie officielle :
Le Darn

Capitale :
Coningsby


Population :
7,135,063 hab.(2007)


Présentation du pays :

La Sérénissime République d’Achos a été créée en 1054 par l’Union des Républiques de Culan et de Kheoles, deux entités politiques de faible envergure cherchant à résister à leurs belliqueux voisins. Dans ce dessein, et par accord commun, les deux gouvernements ont décidé de s’unir sous l'impulsion de Maxim ap Llywelyn, doge de Culan, formant ainsi une République composée de deux consuls et d’un sénat de 500 places (unification des deux sénats de 250 places des deux républiques respectives), entre autres.
Pour s'imposer face aux autres nations, la nouvelle République a dû s'armer en conséquence, devenant en l’espace d’un siècle l'une des premières puissances militaires de la région. Cette période, s'étendant sur tout le XIIe siècle, a vu la République d’Achos prospérer tant au niveau militaire qu'économique. Cependant, elle prit néanmoins fin en 1197 lors de la Guerre d’O'r Ing Araf, lorsque l’armée républicaine fut battue à plate couture par des envahisseurs venus de la République de Velsna. La République fut alors détruite, le territoire occupé, et les Achosiens obligés de s'organiser en réseaux souterrains afin de déstabiliser la politique des occupants et de préparer une manière d'enfin récupérer leurs droits sur leur terre. L’hymne national, « Yma o Hyd », littéralement « Toujours là », fut écrit durant la période d’occupation (appelée l’Oerfel Mawr par les Achosiens). S'étalant sur près de 500 ans, l'Oerfel Mawr fut marqué par une occupation agressive de la part des Velsniens, prenant majoritairement la forme de lois interdisant la pratique des traditions achosiennes ou de persécutions et d'exploitation des habitants. L'Oerfel Mawr prit fin le 6 août 1590 lors de la Révolte o'r Alltud (révolte des bannis), menée par les consuls Lloyd Cadwallen et Eirwyn Meredith (le titre de consuls étant toujours décerné clandestinement dans la discrétion des sociétés achosiennes), qui réussirent à fédérer une armée de 10 000 hommes grâce à l’aide de la Fédération de Zélandia qui a fourni le matériel militaire nécessaire et avec laquelle ils reprirent le contrôle de Coningsby, la capitale, lors de la très célèbre bataille d’O bont yr Ornach. Une des traces les plus flagrantes de cette période est le territoire ultramarin nommé la Gwlad y llochesau. En effet, des populations achosiennes ramenées par les Velsniens sur leur territoire en Aleusie, que ce soit dans un but d'exploitation ou d'emprisonnement, réussirent peu de temps après la reconquête du pays à fonder un territoire autonome qui sera rattaché à la métropole en 1645. Une partie du territoire de jure de la République d’Achos, appelé l’Achosie du Nord, resta néanmoins sous occupation velsnienne et ce jusqu’à nos jours. Les tensions avec la République de Vesna ne diminuèrent donc pas pour autant après la Révolte o’r Alltud, et de nombreux conflits de faible envergure éclatèrent au fil du temps, dont les plus mémorables sont la Guerre des 30 jours (1685), durant laquelle l’armée républicaine, aidée par des indépendantistes d’Achosie du Nord, tenta en vain de reprendre leur terre aux Velsniens, et la Bataille du Pont de Garreg Hynafol (1739), qui vit un affrontement bref de quelques jours entre les armées Velsniennes et Achosiennes pour le contrôle de la rive sud du fleuve Tawelwch, séparant l’Achosie du Nord du reste du territoire de la République. Cette bataille fut remportée par celle-ci.

Le pays se stabilisa autour de la fin du XVIIIe siècle, atteignant son statut « de croisière », à savoir celui d’une puissance moyenne tant économique que militaire. La dernière constitution en date adoptée fut celle de 1897, qui garantit notamment le suffrage universel à tout homme de plus de 21 ans (elle sera modifiée en 1932 pour inclure le droit de vote des femmes). Néanmoins, bien que les affrontements directs avec Velsna cessèrent, de nombreux actes de guérilla furent commis par l’A.I.A.N (L'Alliance pour l'Indépendance de l'Achosie du Nord) entre 1805 et 1867, rendant la région très instable durant cette période. L’AIAN est d’ailleurs encore aujourd’hui un groupe actif commettant de temps à autre des attentats, principalement dirigés contre les institutions Velsniennes.

L'industrie principale du pays est la poissonnerie (1/5 des ménages du pays vivent de la pêche), grâce aux eaux riches en poissons de la Manche Blanche, bien que la production de la laine soit non loin derrière, plaçant ainsi le pays comme l'un des principaux exportateurs en Eurysie. Au XXIe siècle, la Sérénissime République d’Achos est une nation vieillissante mais présente qui arrive à se maintenir à flot et à garder son indépendance et sa souveraineté dans un monde en perpétuelle mouvement.

Mentalité de la population :

Les Achosiens sont un peuple nationaliste et conservateur. Ils tolèrent très mal que l’on touche à leurs institutions. Le gouvernement actuel est plutôt apprécié, les Achosiens estiment que le cahier des charges est rempli. Le parti écologique dénote la volonté du pays d'améliorer son empreinte carbone sur la planète et d'accompagner la transition écologique du mieux possible. Il est également bon de noter que, bien que minoritaire, une montée légère du socialisme s’observe dans les populations jeunes depuis ces 30 dernières années. L'extrême droite semble de plus monter en puissance. La présence du Parti Sécessionniste dans l'hémicycle du Sénat montre pour finir une montée de cette idée voulant réintégrer la République de Velsna. On comprend les enjeux politiques que devra affronter la République d'Achos au cours du XXIe siècle.

Place de la religion :
Le Sénat est totalement séparé d’une quelconque fonction religieuses depuis la constitution de 1897. Néanmoins, les consul garde un rôle à jouer dans les cérémonie religieuses , représentant les premiers prêtres du pays.
La Liberté de culte est tolérer, mais la religion d’État reste le christianisme Achosien, branche du christianisme avec un Clergé différent.

Institutions politiques :


-Consulat :
Les deux consuls occupent les postes les plus élevés de l’exécutif. Présidant le Sénat, ils ont le droit de veto sur les lois (1 par mandat et pour deux consuls) et sur les budgets (3 par mandat et par consul). Les consuls sont également les chefs de l’armée et peuvent décider, de manière autonome et par accord commun, d’une opération militaire si nécessaire. S'ils estiment que c'est nécessaire pour le bien du pays, les consuls peuvent dissoudre le Sénat et la Chambre Magistrale. Un mandat consulaire dure 1 an. Ils sont également responsables de la gestion de la politique extérieure du pays, incluant les rencontres, la diplomatie, les prises de parole publiques, etc. Les consuls ont également le pouvoir de gracier tout condamné s'ils estiment que cela est pertinent.

- Sénat :
Le Sénat constitue le cœur du gouvernement du pays. Élus par suffrage universel direct par les citoyens majeurs, les sénateurs votent les lois et les budgets. C’est également le Sénat qui élit les consuls. Un sénateur est élu pour 3 ans. Le nombre total de sénateurs est de 500.

- Magistrature :
Les magistrats sont responsables de la gestion du judiciaire au sein du pays. Ils ont un droit de regard sur les lois et sont chargés tant de leur application que de ceux qui les appliquent (Forces de l’Ordre). Les magistrats veillent également à faire respecter la constitution en contrôlant chaque loi proposée avant le vote du Sénat. Choisit par le Sénat, leur nombre est de 50, et un mandat magistral dure 1 an. Un président de la chambre est élu en interne.

- Questeurs :
Les questeurs gèrent les questions militaires du pays, votent les levées de troupes et les investissements militaires. Ils ont également le pouvoir d'ordonner une opération militaire. Ils sont sélectionnés en interne par un vote au sein de l’armée. La chambre des questeurs est appelée La Tribune. Leur nombre est de 15, et les questeurs sont élus pour 10 ans. Un président de la chambre est élu en interne.

- Citoyens :
Les citoyens achosiens, en plus de voter pour les sénateurs, peuvent décider de faire opposition à une loi. Si un groupe de plus de 200 000 personnes signe une pétition (appelée la Deiseb Genedlaethol), la loi sera soumise à un référendum national.

Organisation de la République d'Achos


Disposition du Sénat pour les mandat de 2007 à 2010 et de 2010 à 2013:


Principaux personnages :

-Les Consuls : Arawn Lewison (à gauche sur l'image) et Ermid Cadwalader (à droite sur l'image)
- Le Président de la Chambre Magistrale : Myrddin Vaughan
- Le Président de La Tribune : Gal Edwards Cadwallen

Politique Internationale :
La République d'Achos est une nation assez calme cherchant rarement le conflit. Les relation avec la République de Velsna, bien que toujours quelque peut tendues (en particlulier à cause des action de L'AIAN) ont évolué et les deux nations arrive désormais à travailler ensemble et conserve également de très bonne relation avec la République de Zélandia. Le pays est néanmoins très attaché aux valeurs de liberté et de souverainetés des états, et soutient de nombreuses organisation d'aides humanitaires ou de maintient de la paix .

Grande Histoire de la Sérénissime République d'Achos
Cette partie à pour but de résumé du mieux possible la riche et grande histoire de la république.



Chapitre Premier : Préhistoire et Période Antique :

Les premières traces de présence humaine sur le territoire achosien remontent à -12 600. Les archéologues ont, par exemple, retrouvé de nombreuses traces de campements de populations nomades, de pointes de flèche ou de restes de nourriture. De ce que l'on sait de leurs habitudes pour le moment, ces populations semblaient vivre en petits groupes de 20 individus maximum et suivaient les populations de gibiers (principalement des cervidés), installant leurs campements dans les vastes forêts de la région. Des preuves de sociétés organisées et sédentaires ont, quant à elles, été identifiées comme ayant au moins 3000 ans. Les premières sociétés achosiennes semblaient être organisées en clans familiaux ne dépassant pas les 200 personnes, et subvenaient à leurs besoins majoritairement grâce à la pêche, à l'agriculture et à l'élevage de moutons. Ces clans évoluèrent plus tard en cités-états, organisées autour d'un Arglwydd (un seigneur) pour la plupart, bien que d'autres, plus rares, s'organisèrent en démocraties, que l'on pourrait qualifier de "proto-Républiques". Ces nombreuses entités politiques grossirent et s'unifièrent. Ainsi, arrivé en l'an 480, une dizaine de royaumes et de républiques composaient ce qui est maintenant le territoire achosien. De nombreuses guerres éclatèrent entre des différents états. On peut par exemple citer les Guerres pobloedd Celtaidd opposant pendant près de 100 ans les Royaumes d'Yeorruning et d'Eqagetish pour le contrôle de la partie nord de la rive de la Manche Blanche, vitale de par ses eaux riches en poissons. Le Royaume d'Yeorruning en sortie vainqueur , ce qui eux pour conséquence de fortement déstabilisé la région pour les siècle à venir.


Reconstitution d'un village du IIème siècle



Chapitre II : Les Premiers temps de la République, de son instauration à l’Oerfel Mawr :

I-Fondation et Âge d'Or de la République.

Suite à la victoire du Royaume d'Yeorruning lors des guerres pobloedd Celtaidd, les autres états de la région se sentirent menacés face à cette puissance nouvelle. C'est ainsi que, dans l'optique de se protéger, les Républiques de Culan et de Kheoles décidèrent de s'unir en 1054, formant une unique nation, une unique République, qu'elles nommèrent du même nom que celui du gui en proto-gallois, car celui-ci vient toujours par groupe : la République d'Achos. De cette union naquirent nos institutions actuelles comme le Sénat, ou les deux consuls qui, à la base, furent les deux doges des Républiques de Culan et de Kheoles. Cette idée brillante vint de Maxim ap Llywelyn, le doge de Culan, fin stratège et grand politicien, qui après avoir réfléchi à tous les scénarios possibles, en conclut que l'unification était la meilleure option. C'est pour rendre hommage à lui, ainsi qu'à la République de Culan, que Coningsby fut choisie comme capitale, car c'était celle de Culan.

Le Royaume d'Yeorruning vit d'un mauvais œil cette nouvelle nation, et pour s'éviter tout futur problème, décida de déclarer la guerre à la jeune république. Ainsi fut donc scellé le destin de ce Royaume, qui osa sous-estimer le génie de Maxim ap Llywelyn et du fier peuple Achosien. Pendant trois ans, la guerre fit rage, et pendant trois ans, le Royaume d'Yeorruning fut mis en échec, enchaînant défaites après défaites tandis que la Fière Armée de la République avançait de plus en plus dans ses terres, jusqu'à finalement atteindre leur Capitale. Et alors, bien que mourant et souffrant d'une horrible maladie, Maxim ap Llywelyn déclara dans un sublime effort, comme une menace aux autres états : "Voyez ! Voyez ce qu'il arrive lorsque l'on ose s'en prendre aux enfants d'Achos ! Que cela reste à jamais un exemple ! Nul ne peut s'opposer à nous, notre Unicité, ou notre Souveraineté ! Rejoignez-nous ou subissez-en les conséquences ! ".


II- L'arriver de la Guerre et des occupants .

Le siècle qui suivit fut riche et prospère pour la République, finalisant l'unification des peuples d'Achosie sous une même bannière, et augmentant ses relations avec ses voisins d'outre-mer avec lesquels elle commerce. Mais là fut peut-être l'erreur de la République car en cherchant à commercer, elle mit le pied dans une fourmilière. À force de commercer via la Mer Blanche, les Achosiens firent bientôt la découverte d'une nation plus lointaine, mais semblant commercer avec toute la région, voire tout le continent, et ce pays ne fut autre que la République de Velsna. Les relations allèrent d'abord de bon train, et bien que les Achosiens ne comprenaient pas vraiment les étranges coutumes de ces gens, plus frêles et plus petits que les Achosiens. Mais les Velsniens étaient avides de contrôle et de pouvoir, et commencèrent à essayer de prendre racine sur notre terre. Afin d'endiguer ce problème, il fut d'abord interdit de commercer avec ceux-ci. Puis, constatant que cela était vain, il fut décidé de traiter tout navire velsnien comme un navire hostile, les empêchant ainsi de s'approcher des côtes achosiennes sous peine de se voir attaqué par la marine républicaine. Rien n'y fit et bientôt, le fort de Caelan Manor vit arriver des navires étranges sur sa côte. Les Velsniens, dans leur caractéristique lâcheté, se firent passer pour des chefs venus d'une nation amie dans le but de duper les valeureux habitants du fort. Et dans un élan d'immondices, alors que tous étaient endormis, le chef velsnien ordonna le massacre de chaque habitant du fort. Les cris retentirent comme de sordides trompettes, et le sang coula en torrent le long des escaliers de la forteresse. Rien ne semblait pouvoir arrêter la folie meurtrière de ces hommes. Forcés d'abandonner Caelan Manor, les survivants, se retournant une dernière fois vers leurs agresseurs, les baptisèrent du nom de "Strombola," qui en gallois ancien désigne le Dieu achosien de la Guerre sale, des immondices et des maladies. Lorsque l'information arriva à la capitale, l'indignation se propagea comme une traînée de poudre et bientôt, la guerre fut déclarée. Les envahisseurs devaient partir, et partir sur le champ. Une armée de 5 000 hommes prit alors la direction du Nord, commandés par le valeureux Général et Tribun Pawl MacDonagh, un Homme dont la sagesse était égalée par peu. Lorsque les vaillants soldats de la République arrivèrent sur place, ceux qui, dans leur plus total ahurissement, s'étaient renommés "Strombolais" avaient pris le contrôle de plusieurs petites places fortes de la région, et commençaient déjà à s'installer à leur aise. Le gros de leur troupe, quant à elles, s'était réfugié sur l'île Ynys Gerrig, au nord. Pawl MacDonagh décida donc de prendre une décision radicale: tels des souris que l'on enferme dans leur terrier, il décida d'affamer les Strombolais sur "leur" île, leur donnant ainsi une bonne leçon.
.
.
.
EN COUR



Chapitre III : La Libération du peuple achosiens et la défaite sordide de la Perfide Velsna :


I- Ou comment s'organisèrent les Achosiens
.
.
.
EN PREPARATION