[Géographie] Cartes et territoires aykhanides

Géographie du Grand Beylicat Aykhanide

Résumé des choses essentiels ;

Le peuple yözid s’est installé au Nord-Ouest de nazum depuis les debuts de l’époque des sept beylicats, ce qui correspond à presque 700 ans dans cette même région. La nation aykhanide est dans une grande péninsule turcique-sibérienne partagé par plusieurs pays, comme la Transblêmie ou le Workland en 2012. La superficie du pays atteint 336.107 km², mais en fait en réalité 341.349 km² avec les lacs et les îles. Le fait qu’il y ait une différence avec la superficie de projection est due au fait que les territoires aykhanides sont dans certaines régions très montagneuses. La largeur du pays est d’environ 923 kilomètres. Le pays est aussi appelé depuis ce dernier siècle comme “Yözidie” en français, et “Yözidiye” en yözid.

Le pays est divisé en sept régions, chacune faisant partie du territoire d’un des beylicats. Ces septs régions ont pris le nom de la dynastie régnante dans celle-ci, on retrouve la région de Tchorum, la régions d’Aykhan, la région de Marmar, la région de Kamar, la région de d’Harzen, la région d’Ouzhem et la région de Guermin. Les régions comptent entre cinq provinces pour Tchorum jusqu’à treize provinces pour Aykhan. La raison principale de l’écart important de provinces entre certaines régions est le fait que le beylicat Aykhanide fut le grand vainqueur de la guerre d’unification, tandis que les Tchorumides ont capitulé en dernier. La région de Tchorum possède une superficie de 33.005 km², elle représente donc 9.82 % de la superficie du pays ; la région Harzen possède huit provinces et sa superficie est de 48.930 km², cela représente 14.56 % de la superficie du pays ; la région Kamar avec elle aussi huit provinces, à une superficie de 43.141, soit 12.84 % de celle du pays ; la région Ouzhem est quant à elle constitué de di provinces, pour 49.841 km² représentant 14.83 % de la superficie totale du pays ; la région Marmar possède huit provinces également avec 47.129 km² de superficie, ce qui constitue 14.02 % du pays ; concernant la région Guermin, elle possède sept provinces pour 37.227 km², représentant donc 11.08 % du pays ; pour finir, la région la plus grand du pays étant celle de Aykhan avec treize provinces, elle possède une superficie de 76.835, représentant ainsi 22.86 % de la superficie totale du pays. Le pays possède plus de 1221 kilomètres de territoires côtiers à la mer de blême sans compter les îles. En comptant celles-ci, on atteint 1469 kilomètres de territoire côtier à la mer de blême. La plage la plus longue du pays mesure quant à elle 21 kilomètres de long. Au total, les aykhanides comptes 59 provinces possédées par sept régions, eux même possession d’un des sept beylicat, et eux même possession du Grand Beylicat Aykhanide.

Les pays frontaliers au Grand Beylicat en 2012 sont ; Le Grand duché de Transblêmie, voisin avec lequel le pays partage la plus longue frontière s’étendant sur plus de 988 kilomètres. Le Workland, étant le seul voisin frontalier communiste, ainsi que l’Amythie, un pays de culture grecque. Autrement dit, le Grand Beylicat Aykhanide est le seul pays de culture turcique, dans une zone de culture turcique et mongole. La population yözid, peuple turcique, compose en 2012 l’entièreté de la population totale du pays.


SOMMAIRE;

1. Géographie aykhanide en sa globalité
2. Les sept régions des sept beylicats
3. Les villes importantes et leur caractéristiques
4. Les rivières, lacs, fleuves et barrages
5. Les paysages aykhanides selon les régions
6. Ressources du territoire Aykhanide

1. La Géographie aykhanide en sa globalité ;

Le Grand Beylicat Aykhanide est entouré des trois côtés Ouest, Est et Nord de territoires de la péninsule turcique et sibérienne du Nord-Ouest de Nazum, que les yözid appel Anakale, signifiant “Fort principale”. Ce nom lui vient du fait que cette région est celle où se trouve la plus grande partie du peuple turcique des yözids. Le sud de son territoire est quant à elle côtière à la mer de Blême, une mer que se partagent les trois continents de Nazum, d’Eurysie et d’Afaré. La superficie totale de la nation aykhanide fait 336.107 km² selon les dossiers 2012, et sa population est de 34.363.890 habitants, composés entièrement de yözids. Sa capitale est Otukhan où habitents 5.205.619 habitants, soit 15.14 % de la population totale du pays. La raison de cette forte densité de population à la capitale est dû au fait qu’elle est la plus grande ville, proposant du travail et des opportunités depuis très longtemps contrairement aux autres villes. Avant les débuts du 21e siècle,exceptée la capitale, la population était beaucoup plus pesante en dehors des villes les plus riches, qui étaient préférées par les nobles (les beys et leur familles), ainsi que les bourgeois et haut-fonctionnaires. C’est vers la fin du 20e les débuts du 21e siècle que les autres villes ont pu profiter d’un accroissement de leurs habitants, ainsi que de plus modernes infrastructures. Selon les sources de 2011, la nation Aykhanide avait 52.2 % de citoyens hommes, et 47.8 % de citoyens femmes les enfants compris. Concernant les données de la population par âge, on retient en 2009 que 24.2 % de la population ont entre 0 et 14 ans, que 66.7 ont entre 15 et 64 ans, et que 9.1 % ont plus de 65 ans.

Le climat du Grand Beylicat Aykhanide est plutôt moyen, pouvant être qualifié de climat tempéré, cependant c’est un pays avec des variations de températures très instable. Pour exemple, on peu prendre le cas d’Otukhan, où une température de 45.3 degré à été relevé le 20 juillet 2009, l’année d’après à la même date du 20 juillet 2010, la température était de 48.7, et l’année d’après encore, elle était descendu à 43.6 le 20 juillet 2011, il est peu probable de trouver dans d’autres pays ce genre de différence énorme et imprévisible en terme de température. Cela est dû au fait que le territoire est entouré de montagnes très variées en termes de hauteur, et que la température dépend beaucoup des vents venant de la mer de Blême. En été comme en hiver, on peut trouver le Sud du pays chaud et le Nord-Est presque toujours froid et enneigé. Ce pourquoi il est ordinaire qu’une famille du Nord passe en début d’hiver ses vacances à la plage au Sud du pays avec une température variant entre 28-32 degré, et qu’une même famille au printemps puisse profiter du ski au Nord-Est du pays. La raison à cela est que le Nord-Est est très montagneux et en hauteur, tandis que le Sud est trop exposé à la mer et est plutôt bas. Les vents pouvant venir du Nord étant coupé par les montagnes au centre du pays, empêche des fois certaines parties du Sud à profiter d’un bon hiver. Néanmoins au Sud-Est du pays et jusqu’à la capitale, des hivers avec de la neige pendant 2-3 semaines sont possibles d’une année à une autre. La diversité du climat dans le pays se reflète également dans la diversité de végétations, ou on peu trouver toute sorte d’arbres allant du sud au nord das l’ordre du pin rouge et du mélèze au sud, des forêts de cèdre au centre du pays ainsi que des épicéas, sapins et pins jaunes au centre et au Nord Est et Ouest du pays.

La diversité des formes, de la végétation et des terres sont également des causes de l’économie, de la population et des spécialisations agricoles du pays, iqoa aussi dans les zones montagneuses source d’une énorme diversité de ressources minérales. En termes de fer, de production d’acier, et tout autre ressources minérales hormis les ressources fossiles, le Grand Beylicat Aykhanide est autosuffisant et même excédant.
Le pays va donc compenser ses dépenses en ressources fossiles comme le gaz et un peu de pétrole en exportant d’autres ressources souvent transformés. Le pays se voit fabricant dans les ressources minières comme du marbre (pierres naturelles), du chrome, de la magnésite, du feldspath de sodium, du zinc, de la baryte, du gypse, du ponce, du fer, du cuivre, de la magnésite, du feldspath de potassium, du soufre, du graphite, du sable de silice et d’autres pierres utilisés à la fabrication de bijoux. Néanmoins, si plus d’usines sont fabriquées, les ressources comme le fer et le cuivre peuvent devenir des besoins.En revanche le pays possède et l’or ainsi que du charbon en abondance, surtout qu’il n’utilise pas particulièrement le charbon pour la production industrielle depuis l’an 1987.
Presque la moitié du pays est composé de zones montagneuses dépassant les 1000 mètres d'altitude. Plus de 2/4 d’entre eux sont néanmoins couverts de plaines verdoyantes, de plateaux florissants et de collines. Le plus haut point culminant du pays est celle du Mont-Hazerfan qui atteint les 6.845 mètres d'altitude. Le plus grand lac quant à lui est le lac naturel de Gölübolu, qui couvre 1.754 km², soit plus de 1/4 de la province.


Le pays est divisé en 7 régions chacuns dirigés par un beylicat, qui sont eux-mêmes constitués de “provinces” qu’on appelle des départements administratifs. Ces départements (provinces) sont divisés en districts, qui sont eux-même divisés en divers villages. La plus grande unité administrative est donc appelée région, qui peut être gérée par le Bey de la région, ou généralement un haut fonctionnaire qui fera le travail à sa place et qui le représentera. Les gouverneurs, peu importe si ils font partie de la famille royale, recevront le titre de Muhtar, signifiant “Celui qui est choisi”, et comme le nom l’indique celui-ci sera choisi par le bey de sa région ou un de ses hauts fonctionnaires. Le Grand Beylicat Aykhanide compte en 2012 59 provinces dirigées par sept régions.
En effet, lors du premier congrès de la géographie aykhanide organisé par Selim Ier, il avait été décidé de créer sept régions qui forment les frontières exacte des sept beylicats, de ce fait leurs noms sont tirés par le nom de la dynastie de leurs beylicats respectives.

Séparation du Grand Beylicat Aykhanides en sept régions

La première séparation du Grand Beylicats en différentes régions et provinces s’était faite en 1916 sous la période Selimiye (Sélimie). Selim Ier des Aykhanides fut le premier grand monarque du Grand Beylicat Aykhanide, il était non seulement un très bon stratège et commandant de guerre pour l’unification des sept beylicats, mais aussi un dirigeant qui à su préserver la tradition et la religion du pays tout en la réformant. Plusieurs personnages illustres et importants ont alors contribué à sa cour, avec chacun le souhait de glorifier leur nation avec leurs travaux et inventions.

Parmi les plus connus, on retrouve Abdurrahman Şevketli Efendi était diplômé du mekteb de littérature d’Otukhan. Après avoir voyagé en Nazum et Eurysie de l’Est en bâteau, où il à travailler la cartographie et les géographies, pour ensuite rejoindre la cour de Sélim Ier des Aykhanides en lui proposant ses travaux. En 1921 il écrit le livre intitulé “Nouveau Beylicat Aykhanide, carte nationale” où il publie toutes les cartes du pays, partant des districts aux régions. C’est avec la direction de Sélim Ier qu’il à dessiner les premières frontières officielles des régions, qui sont fort similaires à celles de nos jours en 2012.


Sur la carte ci-dessus, les premières frontières officielles des régions aykhanides sont présentées. C’est Sélim Ier qui les as exigé ainsi, estimant que les sept régions seraient aussi le territoire des sept beylicats. De ce fait, chaque beylicat gérait un territoire égale à sa participation en la faveur du Beylicat Aykhanide. A cette époque là, il n’y avait pas encore de cartes officielles concernant la délimitation des districts et des provinces, c’est seulement en 1931 que Rafet Selâ Efendi à repris la carte de Abdurrahman Şevketli Efendi afin d’y ajouter les provinces officielles reconnu et accepté par le monarque.

2. Les sept régions des sept beylicats

2.1 Le beylicat/région Aykhan
La région d’Aykhan, qui est aussi le territoire du beylicat de la dynastie Aykhanide, est communément appelé “Anagöl” qui veut dire “Lac mère”. Le territoire actuel du beylicats est officiellement celui connu aujourd’hui depuis les rapports d'État de 1997. Ils sont réutilisés par le gouvernement d’Orkhan Ier en moitié d’année 2012 pour la nouvelle monarchie constitutionnelle.

2.1.1 Le beylicat et la dynastie

Selon les rapports du règne Sélimie, il est admis que la famille Aykhanide de culture yözid venait de la dernière nation qui a survécu à l’Invasion du Triumvirat des Beylicats. La famille d’Aykhan, dont le nom signifie “Lune Khan”, soit “Ay” signifiant “lune”, était une famille de marchands nomades, son père Uğur Efendi était un guerrier comme un marchand important pendant la période du Triumvirat des beylicats. Après l’invasion (ou même pendant selon les sources), la famille du père d’Aykhan aurait fui pour le Nord-Ouest, mais Uğur Efendi, le père d’Aykhan, serait mort du choléra sur la route. Celui-ci aurait alors pris la décision d'assumer la responsabilité de “l’homme de la famille” afin d’emmener sa famille à la destination. Cependant Aykhan n’était que le dernier des 4 fils d’Uğur Efendi, et ses trois grand frère qui ne sont venu assumer leur responsabilité seulement après la mort de leur père afin d’hériter de son titre n’étaient pas d’accord avec le fait que Aykhan prenne les commandes de la famille. Alors en pleine route hostile et montagneuses (qui serait selon les sources dans le territoire de l’actuel Transblêmie), un conflit fraternel a éclaté afin de prendre la lourde mais honorable charge de l’homme de la famille ainsi que du titre d’Efendi. C’est en premier lieu l’aîné et le deuxième fils qui s’est soumis à son grand frère afin de l’aider contre Aykhan. Le troisième fils, est né de la deuxième femme d’Uğur Efendi, de ce fait, il n’était pas d’accord avec les deux premiers fils né de la première femme d’Uğur Efendi, mais non plus avec son petit frère Aykhan, il considérait qu’il devait l’aider pour qu’il puisse honorer la voix de son père. Cependant, Aykhan était ambitieux, il avait passé son enfance et les débuts de sa jeunesse à combattre pour le dernier beylicat survivant à la grande invasion de l'Est des trois beylicats. Il voulait créer une nouvelle nation yözid sur le beylicat de Dondur, le beylicat le plus à l'Est des trois beylicats, cette nation en serait une qui perdurerait dans l’histoire, qui sera le berceau des peuples turciques. Les deux premiers fils d’Uğur ont alors divisé le kervan (caravane) en deux, prenant avec eux leur mère, leur sœurs, et les alp (soldats). Selon des sources, la première mère ne voulait pas que son fils prenne les choses en main, jugeant qu’il était trop imprudent. Cette imprudence s’est fait ressentir jusque dans les archives aykhanides, puisque selon celles-ci nous montre que Enes Uğuroğlu, était moins compétent en combat que son petit frère Aykhan Uğuroğlu. Dans son journal, le petit frère d’Enes, qui plus tard deviendra conseiller d’Aykhan, écrit que Enes était incontrôlable, qu’il s’énervait rapidement et qu’il n’était pas grand stratège. Finalement, entre les hommes de la famille Uğuroğlu une bataille éclate dans une vallée entre deux grandes montagnes. La bataille fut sanglante, la moitié des hommes d’Enes sont morts, la tactique d’Aykhan était de cacher des archers dans les bois, qui sont sortis en soutiens aux guerriers déjà présents sur le champ de bataille. Il est écrit que Aykhan, au dos de son cheval, aurait foncé sur son frère pour le transpercer avec la lance piqué au sol par un soldat mort qu’il prit en main dans sa course. La mort de Enes fit que ses hommes s’arrêtèrent de se battre pour rejoindre les hommes d’Aykhan, et que la famille d’Enes (son frère, sa mère et ses deux sœurs), accepta Aykhan comme un Efendi. Aykhan Efendi dirigea ses hommes jusqu’à l’actuelle Harukay, où il rencontra un Ağa(agha), fils d’un ancien Bey yözid qui avait gardé son titre a la mort de son père, son nom passe comme Tchorum Karahanoğlu Ağa. Celui-ci fit part de son souhait de fonder un Beylicat nouveau à la frontière de l’ancien dernier beylicats survivant, Aykhan Efendi comprit qu’il devait aller plus loin pour fonder la nation de ses rêves. Ainsi la famille fit un long voyage jusqu'aux décombres de la vieille capitale du beylicat Dondur(beylicat du triumvirat qui était tout à l'est au Nord) que les mongoles avaient détruit pour retourner d'où ils viennent. Lui et sa famille s’y installèrent, pour appeler leur nouvelle ville Otukhan, en mémoire à la première ville yözid connue dans le monde.

2.1.2 La région d’Aykhan

Essentiel
La plus grande, la plus somptueuse et la plus prospère région du pays est la région Aykhan, en se plaçant premier et juste devant la région Marmar en termes d'économie. Sa superficie totale est de 76.835 km² pour 13 provinces, ce qui représente très exactement 22.86 % de la superficie totale du pays. Les terres d’Aykhan sont au centre du pays, cette région est aussi appelée Anagöl (lac du centre) du fait que le plus grand lac du pays, le lac de Can(djanne) (Lac de vie) se trouve au centre de la région. La région est plutôt chaude en été pour profiter pleinement de la plage et du bronzage qu’offre le soleil frappant sur ses terres, et en même temps assez froid en hiver pour se retrouver avec les jambes enfouies dans la neige. Le climat terrestre est plutôt frais tendant sec en été et enneigé avec beaucoup de vents en hiver.

Climat et végétation
Les hivers sont généralement froids, où la neige peut remplir presque toute l’étendue de la région de paysages blanchâtres. Le mois le plus froid de l’année est dans la moyenne depuis 2009 entre -0.9 et -0.7 est le mois de janvier, tandis que l’été, qui est assez chaud mais frais au nord et au centre sud pour mi-humide et chaud au sud-est peut atteindre 28°C. La température annuelle se trouve être à 16°C en moyenne. Les précipitations quant à elles sont de plus en plus faibles ces années, qui atteignent malgré tout les 650mm environ chaque année. A partir d’un peu plus de la moitié du Sud du pays, hormis la province de la capitale, la région est protégé par des lignées de hautes montagnes, l’air tempéré et humide des mers n’atteignent donc pas le centre et le Nord du pays sauf pour les quelques vallées autours du fleuve de Kuser (Coussère). Le climat continental du Nazum du Nord n'est pas sans influence sur la raison des hivers froids et enneigés et des étés chauds et secs. Dans la région, à mesure qu’on s’avance au Sud-Ouest, les températures augmentent et deviennent quelque peu “sec”, même si l’eau ne se fait pas peu, l’air assez chaud empêche celle-ci de remonter à la surface. Le continent d’Afarée avec lequel le Grand Beylicat Aykhanide et la région Aykhan partagent la mer de Blême est aussi une des raisons des vents chauds en été. Fort heureusement, au centre du pays, des vents plus frais se font sentir malgré la chaleur, alors que plus au nord, que ce soit au nord-est, à l' ouest ou au centre, on retrouve des températures variant de 9 à 23°C. La capitale Otukhan est néanmoins chanceuse de se trouver au centre des montagnes lui permettant de profiter de l’angle idéal pour recevoir des vents frais malgré la chaleur provenant de la mer de Blême. Pour en revenir aux précipitations, elles sont plus fréquentes au printemps, surtout dans les alentours du grand lac Anagöl. Le lieu où il y a le moins de précipitations dans la zone est au nord-ouest, elle est due à la fermeture de l’influence de l’air maritime sur la zone. Plus au nord-est de la région, à la frontière de la région Kamar, les steppes entre les montagnes sont également fréquentes, elles deviennent généralement verdoyantes avec l’arrivée des pluies printanières, après lesquelles il passe quelques mois avant de se retrouver enneigé. La région regroupe 13 % des fôrets de notre pays en se plaçant à la 4ème position parmi les régions avec le plus de forêts dans tout le Grand Beylicat. Concernant la végétation

Agriculture et l’élevage
De par sa superficie et son territoire, la région d’Aykhan est la plus développée dans beaucoups domaines d’agriculture malgré les grandes villes qui s’y développent. Malgré le fait que ça leur à value un retard technologique avec les autres pays, n’ayant pas utilisé le charbon comme énergie pendant la révolution industrielle, les terres, l’air et l’eau de la région sont propre, c’est un des avantages des aykhanides de ne pas être dépendant du charbon abondant dans leur pays, ça leur permet de se concentrer sur une agriculture et des pâturages de qualités. Cette compétence est également expliquée par le fait que c’est la région la moins “accidentée” et que les plaines malgré les motagnes recouvre plus de la moitié de la région. Il faut aussi parler du fait que la région entourée des motagnes ainsi que toutes les zones proches du fleuve de Kuser sont avantageuses pour l’agriculture. La région étant la première qui à béneficié infrastructures contemporaines dans le pays, elle est également la région où le transport est le plus simple, contrairement au Nord du pays où les routes se font rares. Évidemment, la prévalence des pluies et de l’irrigation ainsi que la forte population se concentrant en une grosse masse de consommateurs dans les grandes villes joue un rôle important dans les dépenses fournies à l’agriculture dans la région. La présence de trois différentes températures, chaud sec au centre sud et sud-est ainsi que chaud humide au sud-ouest, pour froid enneigé et froid des steppes au nord fait la richesse accru de la variété de produits agricoles de la région.
Voici une liste des produits agricoles produites dans la région pour mieux se situer dans la production de la région concernant l’agriculture ;

Olives ; Les olivers préferant les terres à air marin, sont surtout cultivés aux côtés de la mer de blême ainsi que sur l’île Kıbreş, le sud de l’île produit des olives d’une très grande qualité, souvent vendu aux chaînes de restaurant de la capitale.

Coton ; Le coton est également cultivée au sud-est du pays, profitant des précipitations qui diminuent en périodes éstivales.

Tabac ; Produit dans des zones divers de la région, un tabac de qualité vendu dans les villes et villages est également produite en quantité raisonnable.

Tournesol ; La région d’Aykhan est celle qui produit le plus intensément la fleur de tournesol. Elle sera transformée en huile de tournesol ou en graines de tournesols séchées au sel qui est très répandue dans le pays comme tous les autres fruits secs de son genre.

Blé : Il est cultivé presque partout dans la région. Il est planté en rotation avec diverses installations industrielles (notamment la betterave sucrière) et est également planté sur des terres qui ne peuvent pas être irriguées en raison de la pluviométrie moyenne suffisante dans la région.

Riz : Plus de la moitié du riz de notre pays provient de cette région. Il est cultivé notamment autour du fleuve de Kuser et de ses rivières environnantes.

Maïs : Il est cultivé en quantité juste suffisante à la consommation dans l’Est de la région. Elle nécessite cependant trop de ressources à produire pour ce qu’elle produit à certaines récoltes. La population augmentante pourrait faire bientôt qu’elle soit insuffisante à répondre aux besoins de la région, ce qui fera que le beylicat devra en importer d’autres régions.

Culture fruitière : Les cultures fruitières sont très développées dans la région. Surtout autour de Aycanköy, la production de fraises, de pommes, de poires, de cerises, de pêches et de châtaignes est assez élevée.

Concernant les pâturages et l’élevage, elle est développé dans toute la région et constitue une excessif production, le pays cherche à profiter de cette opportunité en exportant des produits laitiers, de la laine ou encore du cuir, mais surtout se spécialiser dans viande de grande qualité qui sera vendu au marché de viande de luxe. En outre, l'adéquation du relief et des conditions climatiques de la région est très propice. Le gros problème à résoudre est dû à la prédominance de l'agriculture mécanisée dans la région qui entraîne une diminution des producteurs d’élevage et de pâturages ne peuvent pas vendre leur production à un prix raisonnable pour la qualité, l’état fixe un prix à la viande dans les villes trop peu élevée pour les viandes de qualités supérieur. Le gouvernement prévoit de résoudre le problème en cherchant des pays ou des restaurants à qui vendre leur viande de luxe.
La pêche est également présente mais n’est pas une spécialité et ne représente aucune réel production appartenant à la région, la région Marmar en profite plus.

Industrie et ressources
La région d’Aykhan est économiquement la plus développée devant la région Marmar. Près d’un tiers des travailleurs du secteur industriel comme les produits en sortant dans le pays proviennent de cette région, du moins, pour l’instant. Cela pourrait changer si le pays trouve un moyen d’exporter le charbon qui n’a pas une grande utilité pour la quantité présente. Les avantages industriels présentes sont les suivants: Facilité de transport terrestre et d’accès militaire, approvisionnement en ressources de matières premières facile, grande quantité de main-d’œuvre/travailleurs, Installations de grands commerces dans les grandes villes, importante population et consommateurs.
Un tiers de l’énergie actuellement produite dans le Grand Beylicat est consommé par la région d’Aykhan, les autres régions n’étant pas encore aussi développées et dotés d’infrastructures comme elle. Le port d’Otukhan est également propice à beaucoup d’opportunités commerciales et industrielles.
Voici une liste des ressources présente, les ressources non encore extraites sont notée;

Marbre ; Divers gisements de marbre non extraites sont présentes dans la région, sur l’île de Kıbreş.

Bore : Celles-ci sont extraite afin d’être transformé et vendu à la population

Gaz naturel : Il est estimé par les chercheurs qu’une grande réserve de gaz naturelle est présente dans les terres et même les mers devant et dans la région d’Aykhan. Le problème que rencontre le pays est qu’elle n’a pas les moyens de l'extraire avec la toute nouvelle économie. Cependant une entreprise est prévue pour l’extraction du gaz naturel.

Tourisme
Le pays n’est que tout nouvellement ouvert au monde depuis 2012 à peine, elle n’espère pas forcément attirer grand monde, mais le gouvernement pense que les nouvelles infrastructures de la capitale ainsi que sa partie historique peuvent s’avérer une bonne source de revenus dont a grandement besoins la trésorerie aykhanide.

2.2 Le beylicat/région de Marmar

Le beylicat et la région de Marmar est la deuxième plus riche et prospère du pays, elle est côtière à la mer de Blême et possède la culture marine yözid / turcique la plus développée et poussée dans le pays.. L’actuel Bey du Beylicat Marmaride est Djellal Marmar Bey.

2.2.1 Le Beylicat et la dynastie

Le fondateur du beylicat Marmar est Polat Marmar Bey, son père était mercenaire de culture grecque pendant la période du Triumvirat des Beylicats, sa mère quant à elle était une simple nomade yözid. Polat était lui aussi mercenaire, comme son père dont il avait hérité l’armure et l’arme en même temps que sa fortune. Il prévoyait d’épouser la fille de Dondur Bey quand l’invasion avait commencé, leur fiançailles ont alors été retardées. Le Bey de Dondur était alors parti à L’Est avec ses troupes, et Polat Marmar Efendi, future gendre du Bey de Dondur, était sur le point de se rendre à Dondur pour aider le Bey qu’il considérait comme son beau-père. Hélas, à son arrivée, on lui annonce que les envahisseurs mongoles ont frappé le Beylicat de Dondur plus tôt que prévu par la stratégie du Bey, et que celui-ci est mort à la frontière d’Otukhan (anciennement Rillibiyye). En apprenant cette triste nouvelle, Polat Marmar Efendi prend sa bien aimée et ses hommes, pour aller plus vers l’Ouest et trouver refuge des envahisseurs. A la porte de la ville, les aghas (fils) et illustres effendis du Bey Dondur se sont joints à lui pour l’accompagner jusque l’Ouest. Ils ont alors rejoint ensemble la région le seizième jour de l’été 1299. Pendant plus de 25 ans, Polat à travaillé avec les anciens hommes de Kâmil Dondur Bey afin de se défendre des derniers envahisseurs, ayant marre de la vie de nomade, il décide de fonder une nation. Les autres aghas et éffendis souhaitant également de retrouver leur vie au beylicat, adhère à la volonté de Polat, pour la première fois dans l’histoire yözid, des hommes et femmes se sont soumis au nom de famille d’un homme et non d’une femme, et chaques aghas de Dondur ainsi que sa femme, l’ex princesse Dondur, ont changé de nom quand Polat est devenu bey avec l’accord des éffendis. Polat Marmar Bey à fonder ses premières villes et villages aux côtés de la mer blême, après sa mort, le beylicat à perdurer jusqu'à nos jours, en faisant passer la région de secteur à piraterie barbaresque en gros producteurs de produits maritime.

2.2.2 Région de Marmar

Essentiel
La région de Marmar, dont le nom du fondateur “Marmar” signifie en fait “Blanche”, est à l’éfigie de son nom avec sa terre et les sables de ses plages à couleurs les plus blanchâtres du monde. Elle est berceau des paysages maritimes paradisiaques sublimes grâce à sa chaleur idéale, notamment avec la plus longue plage du pays près d’Iskenderuniyye (Iskenderunie). La plus longue distance en largeur de la région est 303 kilomètres et la plus longue distance en longueur est de 438 kilomètres. Le beylicat comme la région est constitué de 8 provinces pour une superficie totale de 47.129 km², ce qui fait qu’il compose 14,02 % de la superficie totale du pays. La région possède de grandes villes comme Sinastopol, Iskenderiyye, Ulubak, Mevlan et Surunay. Des chaînes de montagnes se trouvent au nord d’Ulubak et Surunay à la frontière avec la région Guermin, mais aussi au Sud avec l’Est d’Iskenderuniyye et le Nord de Sinastopol. Dans les plages proches d’Iskenderuniyye peuvent être distingués des vagues quelquefois puissantes, cela vient du fait que les montagnes de la province sont parallèles à la côte. Le transport à la région est notamment possible que par certains cols au Nord et au Sud du pays à cause de ses montagnes. Néanmoins, entre ces cols, de vastes plateaux de plaines quelquefois même arides se trouvent au milieu du pays. C’est l’endroit où la mer comme l’air est la plus chaude du pays. Mlagré les plaines collineuses, l’agriculture n’est pas aussi développée que la région d’Aykhan car trop accidentée et plus humide. Cette situation affecte grandement la répartission de la population dans la région, la végétation et le transport terrestre, c’est aussi un problème aux nouveaux projets touristiques de la régions qui seront très dispersée au vue des villes éloignées et des routes peu pratiques. Heureusement, concernant les routes, le beylicat prévoit un projet de construction de route de Sinastopol à Iskenderuniyye pour relier les deux villes proches de la mer de Blême. Ainsi, la production industrielle est la production la moins affectée par la situation.


Climat et végétation
La région à un climat classique des majorités des côtes maritimes de la mer de Blême, car contrairement à la région Aykhan, elle n’est pas protégé par l’air marin qui provient de cette mer. Au Nord, les étés sont quelque peu secs et chauds, mais au niveau du centre et jusqu’au Sud, la région est mi-humide voire humide. Les hivers quants à elles sont généralement à température moyenne basse et pluvieux. La température annuelle moyenne atteint 18-19°C et les précipitations dépassent toujours les 1000mm. La côte Blême où les saisons hivernales sont les plus chaudes, la température peut atteindre les 25°C. La raison provient du fait que les montagnes assez basses qui ne protègent pas du soleil et aussi de l’humidité abondante du Sud de la région. C’est aussi dû aux montagnes à l’Est et au Nord de la région empêche le vent froid d'arriver au centre et au Sud de la région. Concernant les précipitations, elles sont plus fréquentes en hiver mais surtout diminuent considérablement après celle-ci, ce qui provoque des sécheresses estivales. Si on remonte plus au Nord depuis les côtes du Sud, la température diminue et les précipitations augmentent. Alors qu’au sud les précipitations sont entre 500-600mm, voire des fois 700mm, en hivers au Sud, elles atteignent facilement les 1000mm plus au Nord, et ce même en été. Concernant la végétations, le genres de plantes résistantes à la chaleurs tels que les maquis, oliviers, lauriers, myrtes, gommiers, lauriers roses et caroubiers poussent en quantité abondante dans la région.Quants aux fôrets, le nord ass” pluviale fait que la région constitue 11 % des forêts du pays.

Agriculture et élevage
Les activités agricoles sont limitées mais apportent quand même beaucoup à la région de part ses productions uniques. C’est la région la plus valorisante pour les produits des plus grandes qualités de par la chaleur propice à leurs productions. Elle serait même la première région agricole du pays si ses terres n’étaient pas accidentées. Les principaux produits agricoles de la régions sont ainsi listé ;

Blé ; Le blé est cultivé partout dans la région en quantité suffisante à la population de la région.

Riz ; Le riz est surtout cultivé aux alentours d’Iskenderiniyye dans la plaine de Reyhan.

Coton ; la région est la région produisant le plus de coton du pays de par sa chaleur, sa production est estimée à 40 % du coton produit dans tout le pays.

Roses ; La région est également un gros producteur de roses qui servent notamment à la fabrication des produits cosmétiques.

Agrume ; Grâce à sa chaleur idéale, la région produit une quantité énorme d’Agrumes, presque 90 % de la production d’agrumes dans le pays se fait dans cette région.

Banane ; Dans les alentours de Sinastopol, une production de banane est possibles grâce aux forts
chaleurs venues d’Afarée.

Pavot et bettraves sucrières ; Même si pas autant que la région d’Aykhan, la région de Marmar est un bon producteur de bettraves sucrières et de pavots.

Raisin ; La région produit aussi énormément de raisin, le pays cherche même à exporter ce raisin de qualité qui peut servir à d’autres pays pour la production de vin.

La région produit aussi d’autres fruits secs, du soja, des arachides et du maïs.

Pour en venir à l’élevage, elle n’est pas très développée dans la région, mais des élevages de bovins, de moutons et de chèvres sont présents.

Industrie et ressources
L’Industrie est très développé à Ulubak et Iskenderiyye, où la production textile de coton, de laine et de soie se fait en abondance. La région détient également la majrotiés des usines de transformations chimiques, métaliques et de bois dans le pays. Sinastopol est la ville portuaire la plus importante du pays après Otukhan. La région présente également du pétrole en bonne quantité, mais le pays n’installe qu’une quantité limitée de raffinerie pour l’heure. Des usines alimentaires sont égalements présent, une des facteurs de la richesse de la région est qu’elle importe les productions des autres régions pour les transformer.
Voici une liste des ressources présentes, dont la plupart ne sont pas encore exploitées.

Chrome ; Il existe une grande quantité de gisements de chrome dans la région, ils ne sont que très peu exploités pour l’instant.

Uranium ; La région possède entre les montages également une quantité éstimé à plus de 190.000 tonnes de réserves d’Uranium, aucune recherche officielle n’a encore été faite par le gouvernement en raison des manques de moyens pour l’extraire et l'inutilité qu’elle représente pour l’instant.

Barytine ;La barytine produite est utilisée dans la transformation des produits et la fabrication de plastique et de papier.

Aluminium ; La région présente également de l’aluminium extraite actuellement au Nord de Mevlan.

Fer, amiante et soufre ; Ces trois ressources sont présentes et extraites en quantité suffisante à la demande des secteurs industriels. Elles sont majoritairement extraites à Iskenderuniyye.

Tourisme
La région de Marmar et d’Aykhan sont les seules régions du pays qui projettent de s’ouvrir au tourisme. Des projets de routes et d’infrastructures sont prévus au cours de l’année 2013.

2.3 Beylicat/région de Guermin
Le beylicat de Guermin est installé dans la région dite “Déserte” de notre pays. Ce nom lui vient non seulement car elle est dotée d’un désert entre deux montagnes de terres blanches et sableuses, mais aussi parce que elle est actuellement la région la moins productive malgré sa taille. Elle se place à la place de la région la plus pauvre du pays.

2.3.1 Le Beylicat et la dynastie

Le Beylicat Guerminide est né 3 ans après les autres six beylicats, la région aride n’intéressait pas les yözids, le jugeant comme trop éloigné de leur culture. Contrairement aux autres beylicats, leur histoire ne commence pas à l’invasion. Selon régions, un peuple nomade turcique autre que les yözids vivait déja ici, et qu’une Khatun (Femme d’un bey ou dirigeante femme d’un beylicat) dirigeait ces nomades qui n’avaient qu’un seul village dans le désert de Mûlk. Cette Khatun s’appelait Aylâ Guermin Khatun, elle venait du peuple turcique Cherkez. Quand les 6 autres beylicats ont émergé à sa frontière, la Khatun a décidé d’officialiser son beylicat pour la protéger des yözids, et a proposé un mariage royale a Aykhan Bey avec le fils de celui-ci. Ainsi, Umut Aykhan Agha à épiusé la Khatun en changeant son nom Umut Guermin Bey. Après la mort de Aylâ Guermin Khatun, c’est le fims qu’elle à eut avec Umut qui à hériter du trône à cause de l’hernie de son père incapable de régner. Celik Guermin Bey, nouveau Bey du beylicat de Guermin, à décidé alors d'accueillir des yözids nomades dans son territoire pour leur permettre d’y construire des villes et des villages. Il permit alors au beylicat d’être reconnu comme une nation yözid par les 6 autres beylicats en 1359. Les guerminides ont passé leur histoire à faire du mercenariat pour les 6 autres beylicats et même d’autres nations encore, c’est une des raison pour laquelle ils sont moins développés en infrastructures et en technologie que les autres beylicats. Néanmoins leur capitales et villes sont culturellements intéressantes et plus différentes des autres cultures yözids, avec un mélange de culture arabe comme le peuple de Guermin Khatun l’était.

2.3.2 Région de Guermin

Essentiel
La région est souvent séparée en deux, l’Est de la région est formé de terres, de contrés, de collines et de montagnes en terre blanche avec des paysages verdâtres tendant grises. L’agriculture est le type de production la plus présente dans cette partie de la région appelée “Yeşilli diyar” (Contrée verte). Cette partie de la région ne regroupe que 2 provinces et demi sur les 7 provinces de la région, la raison de cette séparation est faite pour séparer la partie déserte de la partie plaine et collines verdâtres. La deuxième partie de la région, la partie du désert de Mûlk et des montages, est quant à elle appelée “Çöllü diyar”” (Contrée déserte). La région en entier regroupe en tout 7 provinces pour une superficie de 37.227 km², ce qui représente donc 11.08 % de la superficie totale du pays.
La terre de la région présente des formes assez simples, souvent des plaines et déserts avec de possibles collines, et des montagnes du désert à l’Ouest du pays pour des montagnes simples à l’Est. Néanmoins la région regroupe 3 volcans sur les 7 présents dans le pays, ce qui attire l’attention des géologues et des fois même des visiteurs des autres régions, la région profite de cette attraction en installant des stands et des bazars à proximité des volcans. Concernant la partie Yeşilli diyar, elle possède l’un des volcans, celui de “Karaduman” (Fumée noir), qui est “endormis” depus lus de trois siècle selon les archives, mais présente des fumées d’évaporations presque noir en hiver. Les fumées du volcaniques provoquent une baisse considérable des précipitations déjà rare dans l’autre partie de la région. Pour compenser, la région utilise le fleuve de Kuser dont il possède une petite partie.Néanmoins, la partie profite de 500mm de précipitations annuelles moyennes grâce à l’automne. Les plaines, collines et plateaux de terres blanches de cette partie de la région sont entre 500 et 1000 mètres d’altitude. Le cône du volcan de Karaduman est la plus haute parmi toutes les autres montagnes et volcans de la région. La région est par ailleurs la moins peuplée en raison de son manque d’eau considérable et de sa faible production agricole.
Concernant l’autre partie de la région, la partie Çöllü diyar, un grande désert sans montagne y est présent à la frontière de la partie de Yeşilli diyar. Ce désert est quand même habité à ses extrémités, comme avec la ville de Veliyye qui est collé aux montagnes du désert à l’Est de la région. L’altitude moyenne de cette partie est similaire à celle de Yeşilli diyar, étant entre 500 et 1050 mètres maximum. La région possède néanmoins, offerte par le gouvernement aykhanide, un barrage lui permettant de remplir ses besoins énergétiques.

Climat et végétation
La région est une forme un peu détériorée du climat marin de la mer de Blême des déserts d’Afarée, qui est sec et chaud avec peu de précipitations. Et exactement comme ces déserts, on retrouve des températures très froides en hiver et très chaudes en été. Les précipitations varient de 250 à 600 dans certaines parties de la région. Des plantes hérbacées de types déserts remplissent toute la région d’Est en Ouest, les rivières et les lacs quant à eux se font moindres excepté pour le fleuve de Kuser. Les étés, la température peut augmenter jusqu’à 55°C maximum, en hiver, la partie verte de la région peut être enneigée grâce aux nuits décendants en dessous de 0°C très facilement, en jour, les températures peuvent atteindre les 28°C.

Agriculture et élevage
La région bénéficie principalement de productions en céréales qui ne suffisent à peine à la faible densité de population. La région est surtout aidée par la province où passe une partie du fleuve de Kuser, grâce auxquelles des plantations de riz peuvent être installées. Autour de Veliyye, l'élevage des moutons et de vers à soie sont une ressource importante qui permet à la région de répodre à ses besoins. Par ailleurs, les régions ne bénéficiant pas de l'agriculture remplacent celle-ci par l’élevage de bétail.
Voici une liste des productions principales de la région avec lesquels ils remplissent les besoins essentiels des citoyens en espérant chaque année de produire plus pour être moins dépendant des autres régions sur le plan de la nourriture ;

L’orge ; Contrairement au blé, qui sert uniquement à nourrir la population, la région vend aux autres sa production d’orge qui est préférée au blé par la plupart des restaurateurs et citoyens aisés.

Blé ; Le blé ne sert uniquement à nourrir la population

Le riz ; La faible production en blé et la nécessité de vendre l’orge qui provoquerait normalement de la famine dans toute la région est compensée par les plantations de riz tout à l’Est du pays.

Coton et soie ; La région produit en bonne quantité du coton et de la soie qu’elle vend généralement à la région Marmar qui possède des usines en textiles.

Pistaches ; Une des spécialités de la région est la pistache, souvent utilisée dans les meilleures pâtisseries traditionnelles yözid. La région n’en profite hélas pas étant obligée de vendre sa production ailleurs.

Raisin ; Le raisin est également produit en faible quantité consommé par la région. Le sharbat de raisin est d’ailleurs une excellente boisson de spécialité Guermin.



Industrie et ressources
La région ne profite d’aucune réel industrie ou de production énergétique, presque toutes ses richesses en production agricole sont vendues à d’autres régions plus riches afin de les transformer. Cependant, la région possède des usines de transformation animales, tels que pour la fabrication de graisse animale, de lait et de laine. La région possède des gisements de pétrole et de phosphate, même de l’uranium, elle nécessite seulement qu’on fasse les recherches nécessaires, et qu’on ait les moyens de l’extraire. Malheureusement, il n’est ni dans les moyens de la région, ni dans l’intérêt de trop dépenser sans recherches pour le pays afin d’extraire ces ressources. Actuellement, la région projette de construire un nouveau barrage pour répondre aux demandes en électricité dont la moitié de l’autre barrage est déjà vendu à l’etranger. Ce nouveau barrage profiterait non seulement à la population, mais aussi à vendre plus de sa production énergétique, ce qui pourrait enfin mettre fin au problèmes de financements que subit le beylicat.
Voici une liste des ressources de la région ;

Pétrol ; On estime que le pétrol présent dans la région serait suffisant pour remplir les demandes des grandes villes du pays. Hélas, le pays ne cherche pas à dépenser plus que ses moyens dans la recherches et les constructions d’infrastructures dans une région en manque de main d'œuvre.

Phosphate ; Le phosphate à l’Est du pays est quant à elle extraite par la région Aykhan grâce à un contrat entre les deux beylicats qui est d’ailleurs celle qui donne le droit à la région Marmar de profiter du fleuve de Kuser normalement propriété du gouvernement Aykhanide.

Sable ; La région entière est fait d’un sable blanc qui est pour l’instant seulement utilisé par les usines d’autres régions pour la transformer.


Tourisme
Le potentiel de la région est très intéressant concernant le tourisme, elle présente des paysages uniques et une culture différente des autres, et les paysages entièrement naturels et sublimes sont présents en abondance. Des artefacts et anciens temples historiques aux déserts et paysages majestueux, la région ne manque que d’un élement pour profiter au maximum de l’ouverture au monde des Aykhanides ; de moyens financiers et alimentaires.

2.4 Le beylicat/région Ouzhem
Le beylicat Ouzhemide possède l’histoire la plus ancienne et la région dont les paysages naturels sont les plus vantées.

2.4.1 Le Beylicat et la dynastie

Le Beylicat Ouzhem est l’avant dernier beylicat officiellement fondée par les yözid avant le beylicat Guermin et après le beylicat Marmar. Mais la réalité est telle que le beylicat Ouzhem existait bien avant l’arrivée des six autres beylicats. Elle n’était simplement pas un beylicat comme on le connaîtrait. Le Bey Ouzhem possédait des terres dans l'actuelle province de Sırıyye (Ville des Secrets) qui s’appelait à son époque Sırlı Diyar (Contré à secret). La raison de ce nom vient du fait que les Ouzhemides, dont la dynastie remonte à bien avant celle des six autres, étaient selon la rumeur la secte d’Erçoban. Cette “secte” est inscrite dans la mythologie Gökhaniste, la secte aurait été fondée par un des enfants de Erkhan Bey, le premier Bey des yözids comme inscrit dans l’histoire du beylicat de yözid. La secte consiste à ce qu' en ~350 av. JC, un groupe des plus influents personnages de l’époque, dont Erkhan Bey, se seraient réunis pour donner au fils d’Erkhan une responsabilité, celle de fonder une secte secrète dont le devoir consistera à faire perdurer le peuple yözids, à toujours leur faire une place dans l’histoire, à faire en sorte qu’ils règnent sur tous les peuples turciques et qu’ils ne disparaissent jamais. La légende raconte que le fils d’Erkhan aurait alors disparus, et que chacun des grands Khans et beys de l’histoire du peuple yözid aurait reçu au moins une fois la visite de cette secte qui leur aurait transmis les secrets et reliques nécessaires à la fondation d’une nouvelle nation ou même pour aider à faire survivre une déjà existante. Ils détiendraient encore aujourd’hui la plupart des plus grandes reliques yözids dont certaines seraient même dotées de pouvoirs donnés par le dieu Gökhan lui-même. Cette légende court toujours les rues des villes et villages d’Ouzhem.
Pour en revenir au beylicat, il était dirigée donc dans une seul province actuel de la région Ouzhem, celle de “Sırıyye”, mais à du à cette même période étendre son territoire quand les autres beylicats en faisaient de même. Cela leur à permis en premier lieu de récupérer tout le nord du fleuve de Kuser, et en plus de très rapidement s’enrichir grâce à leurs plantations et champs déjà présentes dans la région dont tous les autres beylicats ont eu besoin pour s’installer. La première réunion des beys pour officialiser les sepy beylicats.

2.4.2 Région de Ouzhem

Essentiel
La région de Ouzhem, aussi appelée la région du “Silo”, est la deuxième région agricole du pays et la première en production de blé. La plupart des produits alimentaires du pays sont stockées et transformées ici, pour ensuite être redistribuées aux autres régions. La région rencontre des difficultés de stockages néanmoins et attend de l’état de vendre à l’étranger leurs excédents en production agricole. La région de Ouzhem est de dix provinces, pour 49.841 km² représentant 14.83 % de la superficie totale du pays, ce qui lui octroie le titre de la deuxième plus grande région. La région possède un territoire très simple si on ne compte pas les quelques montagnes du Nord-Ouest et à l’Est. Les reliefs et la terre pas du tout accidentées après que très peu de collines permettent un transport très facile et une terre agréable à cultiver. La région possède la plus grande superficie de plaine de tous le pays, avec généralement des plaines de 1000 mètres d'altitude, exceptées pour les extrémités du fleuve du kuser qui descend à un peu moins 800 mètres d'altitude. La montagne au Nord de Meteşehir (Ville de Mete) est le troisième plus grand volcan du pays, la région n’en possède qu’une. Ce volcan est nommé par la région comme étant le volcan de “Metekhan”, en l’honneur au Bey Mete Guermin qui était le fondateur de Meteşehir, on l’appelait souvent Mete Khan en raison du fait qu’il passait tout son temps à essayer de rallier les beys à sa cause, comme le ferait u khan. La plaine dans la province au Sud de la province d’Aykuthan est la plaine la plus large de tout le Grand Beylicat, on l’appel la plaine de “Saray” (palais), en raison du fait qu’un domaine avec un palais se situe en plein milieu de cette grande plaine. On peut retrouver dans toute la partie Est du fleuve de kuser les plus grandes étendues de plantations de blé du pays. La région possède également 2 barrages sur le fleuve de Kuser, lui fournissant assez d’énergie pour sa population qui lui permet d’être le deuxième beylicat avec la population la plus dense du Grand Beylicat Aykhanide.

Climat et végétation
Étant donné que la région est entourée de hautes montagnes à l’Est et à l’Ouest, et même au-delà de sa frontière par les montagnes de Guermin et d’Aykhan, l’air tempéré humide des mers ne pénètrent pas dans la région. Grâce à cela la région profite d’un climat agréable avec des été chauds à vends frais et des hivers froids et enneigés. Plus on va vers l’Est et l’Ouest, plus les températures hivernales sont élevées (moins à l’Ouest exceptées pour les hautes montagnes), et plus on se dirige vers le centre, plus la température hivernale baisse en raison de l’altitude qui diminue au niveau du fleuve de Kuser. Les précipitations dans la région sont plus rares en été car éloignées des mers et entourées de montagnes, elle utilise donc son stock d’eau et de ses pluies pour l’agriculture à cette période. Si on compte l’hiver, les précipitations totales sont autour de 400-500mm, elles peuvent certaines années être les plus faibles du pays. Ce problème de sécheresse n’est pas dérangeant pour le blé résistant à la chaleur, mais un gros problème pour les produits tels que les légumes et les quelques productions de légumes. C’est d’ailleur ce problème de précipitations qui fait que la région n’est pas premier en agriculture. L’endroit le moins pluvieux de la région est à l’Ouest de Malikhan avec 350mm de précipitations annuelles, c’est d'ailleurs dans cette partie de la région qu’on retrouve un petit lac de sel appelé “Tuzkaya” (Roche salée). Cette région couvre 8 % des forêts de notre pays, avec une diversité d'arbres impressionnante. L'été la température est généralement autour de 35°C, elle peut descendre à moins de 0°C pendant l’hiver.

Agriculture et élevage
L’agriculture produite est constituée à 75 % de la production de blé et d’autres céréales, dont presque 63% va être vendue en dehors de la région après leur transformation. Une grande partie de la population travaille d’ailleurs dans ces champs et plantations. L’agriculture est de ce fait ce qui rapporte le plus dans la région, c’est ce qui permet leur développement. Malgré le climat semi-aride, presques toutes les plaines sont consacrées à l’agriculture, et même la production de légumes est présente malgré les dépenses en eau considérables. Heuresements, deux barrages existent déja, elle réponde aux problèmes d’irrigations de la région, la région demande quand même un troisième barrage pour augmenter leur production, mais les discussions sont sans fins depuis 2009 avec le gouvernement monarchique, les ouzhemides espère qu’avec l’arrivée de la constitution, un nouveau barrage va pouvoir être construite. Presque la moitié de toutes les terres destinées à la production de céréales se trouve dans la région d’Ouzhem, ce qui fait qu’elle constitue près de 25 % du revenu national du Grand Beylicat Aykhanide, c’est ce qui lui vaut le surnom de “Silo du Grand Beylicat”. Autour du fleuve de user, la production de betteraves sucrières et de pommes ne se font pas rares non plus grâce à la facilité d’accès à l’irrigation. Une bonne partie des céréales sont d’ailleurs des produits jachères, donc produites en automne.
Etant donné que les produits céréales sont les seuls produits excédentaires de la région, il n’y aura pas de liste pour celle-ci.

Industrie et ressources
Le gouvernement prévoit d’ouvrir une grande entreprise de production et transformation alimentaire, et même les futures usines automobiles et de matériaux de construction en raison des larges terres libres dans la région. Pour l’instant seul des usines alimentaires et de transformation des céréales sont présentes. La population croissante dans la région offre des possibilités de grrands projets pour la région d’ouzhem comme le gouvernement aykhanide. Des ressources intéressantes sont également présentes dans la région ;

Chrome ; Aucune extraction du chrome n’est présente malgré le fait qu’une grande quantité de gisements sont situés à l’Ouest près du volcan de Metekhan.

Charbon lignite ; Le charbon est présent en grande quantité, utilisé seulement par les localités environnantes des gisements pour leur propre maison. La loi constitutionnelle comme il l’était en temps de monarchie interdit aux usines d’utiliser le charbon comme énérgie en raison du fait qu’elle est très polluante. Néanmoins le gouvernement projette d’extraire dans un future proche ce charbon afin de le vendre à des pays qui utilisent ce type d’énergies.

Zinc et fer ; Le zinc et le faire sont extraites au Sud de Malikhan à proximités des montagnes, elles vont plus tard aussi servir aux projets industrielles de la région.

Mercure ; Le mercure est utilisé par les scientifiques et chimistes du pays.

Titane ; La région contient également du titane, pour l’instant utilisé qu’en faible quantité.

Tourisme
La région ne prévoit aucun projet touristique, même si ses paysages valent le coup d’être vus.

2.5 Le beylicat/région Kamar

La région et le Beylicat de kamar se situe au Nord-Est du pays, c’est sans doute la région plus traditionaliste d’entre tous. Le peuple kamar est la représentation la plus réelle du peuple yözid historiquement parlant. Son économie est basée sur la production et la transformation du bois et des minerais métalliques comme le fer. C’est ici que sont fabriqués 80% des outils, des meubles et d’autres objets similaires. La part du rendement que reçoit le Grand Beylicat de la part de la région de Kamar représente un peu moins de 15% du revenu national.

2.5.1 Le Beylicat et la dynastie

Le Beylicat de Kamar a été fondé en 1326 par le Bey Kamar Çevkezoğlu. La culture Kamar présente de nos jours des caractéristiques culturellement différentes des autres régions. Malgré l’isolement majoritaire du pays au reste du monde, il n’a suffit que de quelques fois où des contacts ont été établis qui se comptent sur le bout du doigt, pour que certaines façons de faire changent chez les yözids. Seulement, les Kamar n’ont absolument jamais suivis le gouvernement dans ce genre de politique, et aujourd’hui, même si ce n’est pas le cas, les citoyens kamarides étant refermé sur eux même, on peut retrouver la même culture et façon de vivre que il y a plusieurs siècles. Le Beylicat à souvent usé de ses montagnes afin de se protéger des autres beylicats pendant la période et guerre, ce pourquoi elle à pu garder à l’unification des territoires similaires à ceux de leur fondation. Chez les Kamars, les vêtements traditionnels d’il y a des siècles sont toujours portés, tel que les coiffes en fourrure, les ceintures en cuir couvrant du bas du nombril jusqu’au bas de la poitrine, les turbans islamiques et même encore les tuniques de l’époque recouvert souvent de long manteaux en laine. Par exemple, à l’époque Selimie, en 1912, une réforme du Fez s’est faite dans le pays afin d’être conforme à la modernisation mais surtout la représentation parfaite d’un yözids, les kamarides ont été les seuls à ne pas être obligés de suivre ses règles de part leur attachement aux vêtements traditionnels. En outre, le beylicat kamaride est l’exemple le plus authentique de ce que devrait être un peuple et un beylicats yözid. Le problème est tel qu’au regard des autres pays, leur culture peut être jugée de barbare et de tribal. L’Actuel bey du Beylicat Kamaride est Arslan Kamar Bey, qui était pendant son époque d’Ağa Veliaht, un religieux très respecté de la société kamaride. Arslan Kamar Bey est un homme de foi, un traditionaliste et un concervateur, tout en respectant le nationalisme des citoyens. Il est le Bey qui gère le mieux les litiges entre conservateurs et nationalistes parmi tous les autres Beys qui rencontrent des difficultés dans leurs beylicats concernant cela.

2.5.2 La région de Kamar

Essentiel
La région de Kamar est également appelée “Akdağ”, qui signifie “Montagne blanche”, celle-ci se situe au Nord de la région et est la plus grande montagne du pays avec 6.342 mètres d’altitude. La région est constituée de 8 provinces pour 43.141 km², ce qui représente 12.84 % de la population totale du Grand Beylicat. La région de Kamar est la région la plus montagneuse du Grand Beylicat, les zones montagneuses représentent plus de 80 % de la région. Il y a trois grandes montagnes dans la région, la montagne Akdağ, Bolkar et Kafsaz. La montagne Akdağ est la plus grande et haute d’entre, elle remplit à elle seule presque toute sa zone de montagne au Nord Est de la région. La montagne Bokar quant à elle est la 4ème plus grande du pays avec 4.145 mètres d’altitude, elle est dans la plus grande zone montagneuse du pays et en couvre un peu moins de la moitié. Quant à la montagne Kafsaz, elle mesure 2544 mètres d'altitude et se trouve à côté d’autres lignées de montagnes. Des villes importantes comme la ville de Kırım qui est la plus grande ville de la région sont souvent situées entre les vallés des montagnes ou dans des plaines se trouvant entre les chaînes des montagnes. La région de Kamar possède aussi la rivière la plus longue, épaisse et grande du Grand Beylicat, autour d’elle les zones sont plus constitués de plaines, ces zones sont deux demi-provinces, celle de Yenikale et de Mezlek. Concernant les précipitations, elles sont autour de 1900-2000mm en moyenne par années, elles peuvent atteindre 2500mm de précipitations moyennes annuelles dans la partie Est de la région, les précipitations ont été notés dans l’essentiel car c’est la région qui reçoit le plus de précipitations dans tout le Grand Beylicat avec un écart considérable. Par ailleurs, la région possède une altitude moyenne de 1600 mètres de hauteur.

Climat et végétation
Du fait des formes de terres accidentées, en pentes et avec certaines zones ou le sol et en argile et les précipitations, plusieurs glissements de terrains sont fréquents chaque année. L’été comme les hivers se passent dans un climat très frais, les montagnes empêchent la chaleur des autres régions de Nazum de frapper sur la région, c’est également la région avec l’altitude la plus haute du pays, les vents sont de ce fait très présents. Les sols des vallées sont remplis d'épaisses couches d’herbes comme sur les montagnes, les sols forestiers sont quant à eux un peu plus grises. Comme évoquées en haut, les précipitations sont très fréquentes, c’est très simple, il pleut à toutes les saisons avec des fréquences dépendantes des étés et des hivers. Concernant l’humidité, elle est en réalité par trop présente, certes il pleut beaucoup, mais l’air n’est pas “collante” comme dans une zone à humidité d’air marin, l’air est plutôt sec et frais quand il ne pleut pas. Au fur et à mesure qu’on remonte dans les montagnes, les précipitations diminuent et on passe pour certaines montagnes à des paysages enneigés même en été. Le gouvernement Aykhanide souhaitait d’ailleurs installer des stations de services pour ses futurs projets touristiques, cependant la région Kamar étant assez refermée a fait part de son souhait étant de ne pas collaborer avec la région la dessus, ni donner son accord. Plus au Sud dans les plaines il y a néanmoins une production d’agrumes car non protégé de l’air marin et des chaleurs venant de l’Est et du Sud. Les montagnes de la région surtout à l'Est sont surplombées de forêts luxuriantes grâce aux pluies fréquentes dans cette partie de la région. En allant au Nord, les steppes et des forêts à arbres plus résistantes au froid sont présentes.

Agriculture et élevage
Les fortes précipitations font qu’aucune production de céréales n’est présente dans la région car nécessitant un climat estival. Les chaleurs autour des vallées et plaines du Sud-Ouest de la région ont néanmoins laissé l’accès à la région de produire des noisettes, du thé et d’autres types de fruits secs. Des productions de betteraves sucrières sont également présentes dans la région. Près de 45 % de la population de la région vit de l’agriculture présente dans le Sud, certains voyagent même en été au Sud pour travailler dans l'agriculture et l’hiver retournent chez eux dans leurs villages de montagnes.
Voici une liste des principaux produits agricoles de la région ;

Noisettes ; 87 % de la production de noisettes vient de la région de Kamar. Elles sont produites autour de Yenikale et de l’autre côté de la rivière d’Aknehir (Rivière blanche).

Thé ; Près de 70 % de la production de thé est fabriqué dans cette région du pays.

Tabac ; Le tabac est aussi produit dans la région, la région produit 20 % de la production totale de tabac de tout le pays.

Kiwi ; Il y a aussi une quantité considérable de production de kiwi particulièrement dans cette région.

Pomme ; Les vergers de pommes sont aussi très fréquents chez tous les agriculteurs, ils sont réservés à la consommation des citoyens de la région cependant.

Betteraves sucrières ; Les betteraves sucrières sont aussi beaucoup produites dans la région, les kamarides font d’ailleurs d’excellents meze (entrées) avec les betteraves sucrières.

L’élevage dans la région présente une activité économique très importante dans cette région, la plupart des citoyens vivent grâce au bétail. La végétation luxuriante et abondante, et surtout des hautes herbes en montagne, permet un élevage sain et important du bétail tel que les moutons et les brebis. Les gros bovins sont les plus concernés par cette activité dans la région. La région présente aussi ces dernières années une forte croissante de l’apiculture et de la production de miel de qualités et de différentes variations de plantes et fleurs. Ce miel est un miel de qualité très élevé et 100 % naturel, l’état prévoit même de soutenir financièrement l’accroissement de la production de ce miel pour les produits alimentaires de luxe, les restaurants et même peut-être l’exportation à l’étranger.

Industrie et ressources
L’industrie est très développée dans la région, surtout en ce qui concerne la production et la transformation du bois, le gouvernement prévoit d’ailleurs d’acheter les usines de la région afin de créer une entreprise nationale puis même internationale si suffisamment concluante. La région de Kamar est la 3ème région industrielle du pays.
Voici une liste des ressources produites dans la région de Kamar ;

Fer - Acier ; Le fer est extraite dans la région et même certains années importés pour être transformé en acier dans les usines de Yenikale. Les usines sont installées proche de cette ville en raison du fait que c’est la seule ville avec une facilité de transport élevé dans la région.

Sucre ; 70 % des bettraves sucrières du pays sont importés dans la région pour être transformés en sucre.

Cuivre ; Près de 30 % du cuivre du pays est extrait et vendu transformé ou comme telle par la région de Kamar.

Sel ; La région présente également pas mal de minerais de sels dans les mines souterraines, la fabrication et la vente n’est que régionale.

Papier ; La région fabrique plus de 90 % du papier du pays, une entreprise plus autonome serait même bénéfique.

Bois ; Le bois, comme le fer, va être transformé et utiliser dans pleins de productions divers ou exporter dans les autres régions comme telle ( même si la région préfère transformer son bois).

Tourisme
Le tourisme n’est pas prévu dans la région, l’idée est même très mal perçue par les kamarides. Cependant, cet environnement si authentique et exemplaire de la tradition et de la culture yözid est impressionnant à voir, la région à d’ailleurs des craintes que ça attire l’attention de touristes étrangers.

2.6 Le beylicat/région Harzen

La région et le Beylicat Harzenide se situe tout à l’Est du pays, c’est une région ou les infrastructures médiévales yözids sont les plus présentes, tel que les deux grandes villes Gölübölü et Çorumkhan qui étaient des châteaux. Cette façon de construire à l’Occidentale vient du fait qu’avant que les harzen s’y installent, ce genre d’infrastructure existaient déjà dans la région, les harzenides ont alors reconstruit avec le même style d’architecture afin de profiter pour la première fois de grands murs en pierre grise alors que les yözids n’étaient pas habitués à ça.

2.6.1 Le beylicat et la dynastie

Le Beylicat Harzenide a été fondé un peu avant le Beylicat Aykhanide et les autres, on raconte que c’est le fils de du Bey de Dondur lui même qui as épousé la fille d’un riche Marchand d’origine grecque afin d’hériter de son domaine. Il à ensuite profité de l’invasion des beylicats et de la mort de son père et de la chute du Beylicat de Dondur afin de créer sa propre nation, le Beylicat Harzenide (en yözid; Harzenoğulları Beyliği). Les Harzenides se sont toujours les mieux défendues comme les Kamar grâce à leurs châteaux construits entre les montagnes, ils profitaient du lac de Gölübolu (plus grand lac du pays) et de ses rivières environnantes afin d’avoir de l’irrigation et de l’eau. Ils avaient même le potentiel en 1909 de vaincre les Aykhanides avant que ceux-là ne viennent à leur portes plus puissantes. Ils ont opté cependant de rendre leurs armes en ne risquant pas de perdre leur défense et leur bonne économie. De plus, les Harzenides ont été les premiers à donner leur avis favorable à la création d’un Grand Beylicat pour recréer la gloire de la nation yözid et empêcher sa disparition devant toutes ces nations. Le nom Harzen signifie “Polymathe”, ce nom vient de l’épouse du Bey Dondur, la lignée du côté du père de celle-ci est une lignée de scientifique, et le nom Harzen est un mélange de dialecte mongole et turcique, qui à été donné à cette famille de scientifique par une ancienne nation/peuple turcique plusieurs siècles avant que le fils de Dondur Bey épouse sa femme, Katerina Harzen. Les harzenides ont été tout au long de leur histoire digne de ce nom, les plus brillants et illustres scientifiques de l’histoire yözid viennent de ce beylicat. Aujourd’hui encore, le Grand Beylicat respecte et connaît cette histoire propre au Beylicat, le plus grand centre de recherche du pays va d’ailleurs être construit dans cette région au cours de l’année 2013. On dit d’ailleurs souvent aux personnes intelligentes et brillantes l’expression suivante: “ Vous êtes très Harzen !” (“Pek Harzensiniz !”).

2.6.2 La région de Harzen

Essentiel
La région de Harzen est constituée de 8 provinces, ce qui lui fait profiter de la place de la troisième plus grande région du Grand Beylicat Aykhanide. Sa superficie est très exactement de 48.930 km², ce qui représente 14.56 % de la superficie totale du pays. La région n’est pas montagneuse, mais c’est notre région la plus haute en altitude car entourée de montagnes dont elle se trouve au centre. La forme de la région ressemble un peu à une corne de chèvre, c’est pourquoi on l'appelle “Boynuz Harzen” (Corne Harzen). La région de Harzen possède d’ailleurs le lac de Gölübolu (Lac remplie), qui est le lac le plus grand du pays et qui remplit 1.754 km² de la superficie de la province qui tient d'ailleurs le nom de ce lac. La taille de ce lac est impressionnante, elle remplie plus de 1/4 de la région, c’est une fierté pour tous le pays et les harzenides en premier. Concernant l’altitude de la région, elle atteint une moyenne qui se situe entre 1900 et 2250 mètres, elle est de ce fait de loin la région avec la moyenne d’altitude la plus haute. Même le point le moins haut de la région étant de 950 mètres, reste plus haut que la moyenne d’altitude de la région Aykhanide. Si on ne compte pas les montagnes, l’altitude moyenne des plaines et vallées est d’environ 1600 mètres.La région possède trois zones montagneuses avec trois “grandes” montagnes, donc une dans chacune de ces zones. Ces trois montagnes sont la montagne de “Hezer” avec 3.145 mètres d’altitude, la montagne de “Miraç” avec 2.989 mètres d’altitude et pour la dernière, la montagne de “Kesmez” avec 2.894 mètres d’altitude au point le plus haut. La montagne de Hezer est située au Nord-Ouest de la région, elle sépare la province du reste de la région, ce qui pose de réels soucis de transport entre cette province et le reste de la région. La montagne de Miraç quant à elle se situe au centre du pays, elle est juste à côté du lac de Gölübolu, et se trouve juste derrière la ville de Gölübolu qui tient son nom du lac. Quant à la montagne de Kesmez, elle se situe tout au sud-est de la région de Harzen. La plupart des provinces du pays sont formés de provinces et de hauts-plateaux, les provinces constitués principalements de plaines ou zones non-montagneuses concerne un peu plus de trois provinces et demi, en parlant de provinces, c’est surtout en prenant l’exemple de la superficie de ces dites provinces, il n’y à en réalité qu’une seule province dénué totalement de montagnes, c’est la province de Nehirli au nord de Çorumhan. Cette province se trouve entre plusieurs montagnes et se trouve être la province à haut plateaux le plus haut comme le plus large du pays avec 2.240 mètres d’altitude environ. Un des plus gros problèmes du territoire est le transport, la région n’est pas des plus montagneuses, mais les infrastructures se trouvent tous entre ces montagnes ou derrière elle, c’est une des raison pour laquelle la région à du mal à exporter dans les autres régions la plupart de ses régions, ou même simplement attirer l’attention de riches personnes qui voudront participer à l’industrie ou l’agriculture.

Climat et végétation
La région de Harzen est notre région la plus froide et est souvent fraîche en été, et pendant souvent plusieurs mois enneigés. En été, l’air se fait frais avec des précipitations quelque peu aléatoires, dépendant chaque année des pluies venant de la région de Kamar. Les températures restent donc plutôt basses même en été, les journées ensoleillées et chaudes ne sont pas communes. Il y a néanmoins certaines des plaines et hauts plateaux qui reçoivent assez de soleil chaque année pour permettre à une variété étendue de plantes de se développer dans toute la région. La région de Harzen, comme la région de Kamar, se trouve dotée de rivières puissantes et assez larges pour permettre une production en énergie hydraulique très intéressante. Le seul problème de la région, est de devoir attendre la construction de plus bonnes routes et tunnels afin que le gouvernement accepte de financer ces installations. Les hivers sont les plus froides comme les plus longues du pays en raison de l’altitude de la région, c’est notre région la plus froide et enneigé en hiver, le potentiel de stations de ski est d’ailleurs le plus développée, chaques années les zones montagnes et plus hautes plaines restent enneigés en grande quantité en été, les citoyens Aykhanides peuvent donc profiter de grâce à cette région, comme ils le souhaitent, des vacances à la mer ou des vacances au ski pendant les vacances d’été. En hiver, les températures les plus faibles peuvent atteindre certaines fois les -40°C, surtout autour du lac de Gölübolu où les températures peuvent ont atteint les -48°C en janvier 2011, pendant ces périodes, le lac de Gölübolu peut complètement ou partiellement être recouvert d’une couche de glace, les activités de patinages sont d’ailleurs très appréciée dans la province. En été, les températures moyennes de la région peuvent atteindre les 25-29°C certaines années, les températures sont de plus en plus chaudes à l’Ouest de la région et plus froides à l’Est. Les précipitations moyennes annuelles sont souvent autour de 400 mm dans la région, tout au long de l’hiver, il ne pleut presque jamais mais neige beaucoup. Les précipitations restent néanmoins suffisantes à la demande en pluie de la région et des cultures agricoles.

Agriculture et élevage
L’agriculture n’est vraiment pas privilégiée dans la région, c’est essentiellement l’élevage de bétail qui est plus favorisée et pratiquée. Néanmoins, certaines productions qui ne servent pas à l’exportation mais la consommation des habitants de la région sont présentes.
Voici une liste de ces quelques produits agricoles dans la région ;

Blé - orge ; Le blé et l’orge sont cultivés afin de nourrir la population, elles sont généralement transformés et stockés en été pour être consommés en hiver. L’orge est plus favorisée que le blé en raison de sa résistance au chaud comme au froid.

Laine - coton ; C’est notre région produisant le plus de laine et de coton dans tout le pays, cette production représente 15 % de son économie en 2012. La production de coton est malheureusement en baisse ces dernières années en raison des températures qui augmentent de plus en plus.


Industrie et ressources
La région n’est certes pas très concluante, mais au niveau de l’industrie et surtout des ressources qu’elle possède, elle peut être un réel source de revenus pour tout le pays. Le seul problème actuel est que le gouvernement Aykhanide craint la construction de routes et d’infrastructures d’extractions dans la région en raison de la forte quantité de neiges en hiver. Malgré son potentiel, c’est une des régions les plus sous-développées en industrie, et ça à cause des problèmes de climat et de terres cités ci-dessus. Néanmoins, des projets d’extractions minières afin d’exporter les ressources présentes va être envisagé, et la transformation et utilisation sur place n’est peut-être pas perdu si le gouvernement trouve un moyen de protéger les usines et la production, comme la main d'œuvre, du climat très défavorable de la région. Fort heureusement, les projets en infrastructures hydrauliques de la région peuvent encore favoriser le développement de l’industrie et de l’économie du pays.
Voici une liste des ressources présentes dans la régions, celles extraites sont dites ;

Chrome ;[u/] Le chrome est une ressource omniprésente dans le pays, ce pourquoi aucune extraction n’est faite dans la région à l’heure actuel (2012)

[u]Fer ; Le fer produit dans la région est extraite et vendue aux régions et beylicats voisines, principalement la région de Kamar qui reçoit 70 % de la production de la région pour sa production d’acier.

Cuivre - plomb - zinc ; Ces ressources sont extraites et utilisé dans les rares usines de transformation, cependant, un contrat existe entre la région de Harzen et de Kamar, où les kamarides vendent leurs produits transformés à moins chère pour la région en échange de profiter de minimum 60% de la production de ces dites ressources.

Barite ; Le barite (barytine) est présente en grande quantité dans la région, seulement 2/10 des gisements sont exploités aujourd’hui (2012).

Gypse ; 70% des gisements de gypses se trouvent dans la région de Harzen, son extraction est très bénéfique à l’économie de la région.

Or ; De nombreux points d’extractions de l’or se trouve dans les montagnes de la région d’Harzen, près de 40% de l’or de tout le pays est extraite ici.

Charbon ; Le charbon est également pésente dans la région, aucune extraction n’est faite pour l’heure (2012)


Tourisme
La région profite des visiteurs yözids en temps d'hiver. De vrais projets de stations de ski devraient être envisagés par la région avant 2015. Les paysages sont aussi très beaux, le lac de Gölübolu, plus grand lac du pays, est très intéressant à visiter en hiver comme en été pour les activités locales par exemple. Les visiteurs pourront également profiter des infrastructures médiévales à style unique avec un mélange grecquo-eurysien et yözid.

2.7 Le beylicat/région de Tchorum

Le beylicat de Tchorum (Tşorum) est le beylicat “militariste” et nationaliste par excellenxe. “Chaque tchorumide naît avec la vocation d’être un soldat”, voilà une propagande commune en Tchorum. C’est dans cette région que sont formés la plupart de nos soldats, les écoles militaires sont également dans cette région à la frontière de la région d’Aykhan.

2.7.1 Le beylicat et la dynastie

Le beylicat de Tchorum a été fondé par Cemal Tşorum Bey, jusqu’en 1478 et depuis sa fondation, la capitale de beylicat etat Çorumkhan. En 1475, la guerre la plus sanguinaire de l’histoire des sept beylicats avait éclaté, suivi du siège de Çorumkhan contre le Beylicat de Harzen, qui détient désormais la ville. En 1912, Selim Ier à décidé de ne pas rendre au Beylicat de Tchorum son ancienne capitale, tout simplement parce que les tchorumides ont résisté à l’unification contrairement aux harzenides, c’est aussi la raison pour laquel ils sont le Beylicat le plus petit en terme de territoire. Depuis 1478, la capitale du beylicats était donc jusqu’en 1912, la ville de Harukay, c’était un point très stratégique en raison des montagnes qui se tourvent au sud et tout à l'Est, le Nord-Ouest est de ce fait le seul point par lequel la ville était attaquable par voie terrestre. En 1912, c’est malheureusement la marine Aykhanide et celle des marmarides qui ont fait attaquer la moitié de leurs troupes depuis les côtes Ouest et Sud-Ouest. De ce fait, l’accès aux armées de la ville à été coupé, et les troupes tchorumides ont été vaincues. Outre cette période, le beylicats de Tchorum à toujours été berceau à de grands commandants et d’impressionnantes armées. C’est d’ailleurs eux qui ont utilisé pour la première fois des armes de sièges du moyen âge dans l’histoire yözid, ils avaient selon les sources du beylicats, pris de force les plans de constructions à un capitaine étranger dont ni le nom ni l’origine n’est cité. Malgré tout, le beylicat de Tchorum est entré dans l’histoire du pays comme un des beylicats les plus puissants de par leur gloire et efficacité passé. Le Grand Bey Sélim Ier avait d’ailleurs pris comme conseiller militaire le nouveau bey de Tchorum qu’il avait sans vote mis sur le trône parmi l’un de ses enfants qu’il estimait le plus compétent à gérer le beylicat. Aujourd’hui encore, le beylicat de Tchorum est refuge aux plus prestigieuses et compétentes écoles militaires comme d’industries militaires. C’est d’ailleurs la seule région qui à utilisé du charbon pendant un certain temps afin d’alimenter les premières usines de fabrication militaire de la nation.

2.6.2 La région de Harzen

Essentiel
La région de Tchorum est la plus petite de nos régions, elle n’est constituée que de 5 provinces pour 33.005 km² de superficie, sa superficie représente donc 9.82 % de la superficie totale du Grand Beylicat Aykhanide. Néanmoins, la région n’est pas des plus contraintes, son territoire est certes petit, mais ses terres sont riches et stratégiques, l’accès à la mer est également à leur avantage. Le nom de la région, qui était celui du Bey fondateur, signifie en yözid “Gros poisson”, cela vient du fait que la mer de Tchorum est riche en poisson, c’est d’ailleurs une source de revenu intéressante de la région malgré le fait que les pêcheurs aykhanides et marmarides en profitent également. Malgré la montagne au Nord de Harukay, l’air marin entre facilement dans presque l’entièreté de la région, cela empêche d’ailleurs le climat si froid de la région de Harzen et de Kamar de pénétrer dans la région. Il y à seulement deux grandes zones montagneuses dans la région, dont une n’est qu’une partie de chaînes de montagne de Harzen. La région profite d’ailleurs du lac Gölübolü de la région Harzen et de ses rivières, même si elle possède elle aussi un lac au dessus de la montagne de Filiz, cette montagne offre une vue merveilleuse sur toute les provinces environnantes à son sommet en plus d’avoir un lac plus que splendide où le beylicat projette d’installer des cabanes en bois pour des services d’hôtellerie de luxe. Les rivières abondantes et la chaleur venant de l’Ouest et de la mer de Blême offrent à la région une capacité raisonnable en termes d’agriculture et d’irrigation pour s’y faire.

Climat et végétation
Comme dit au dessus, le climat de la région est presque parfait et surtout très efficace, les étés sont chauds et les hivers sont pluvieux au nord et secs au Sud, ce qui permet à la région d'avoir une production très variée en termes d’agriculture. Les mois les plus chauds de l’été, la température peut atteindre les 31°C, et elles sont en moyenne vers 28°C durant ces mois-là. Les mois les plus froids comme en janvier, la température dans le Nord peut descendre jusqu'à 7°C. La température annuelle est selon les données de 2011 de 17°C en moyenne dans l’année,quant à l’année 2012, elle a été fidèle aux températures de 2011. En janvier, il peut y avoir certaines zones qui descendent à 0°C ou légèrement en dessous, dans ces rares cas, il peut y avoir de la neige. Le plus souvent, les nuages de neige viennent de la région de Harzen, mais les vents de la mer Blême font que la chance que cela arrive est de 3 % chaque année. En hiver, ce sont plutôt des précipitations qui se font en abondance dans le Nord, même si le Sud en est épargné de par les forts vents et le courant que la montagne de Filiz provoque. En moyenne, les précipitations sont autour de 650-950 mm chaque année. Grâce à ce climat variant dans le Nord et le Sud, la région de Tchorum profite de végétations et forêts très différentes selon l’emplacement. Au Nord, on est plus dans des climats et terres dite steppes tandis qu’au Sud, on peut retrouver des plaines florissantes avec même des herbes sec et paysages jaune tout à l’Ouest.

Agriculture et élevage
Concernant l’agriculture, elle est beaucoup plus présente à l’Ouest et au Sud du pays, même si des plantations de légumes sont présentes dans la région, c’est d’ailleurs notre région qui produit le plus de variétés de légumes. Si son territoire était plus grand, elle aurait largement pu être le premier producteur agricole parmi toutes les régions. Voici une liste des productions importantes de la région ;

Raisins ; C’est dans cette région que 60 % du raisin de tous le Grand beylicat est produit. Son exportation constitue une source de revenus importante pour la région.

Pommes de terre ; La région produit près de 56 % de la production de pommes de terre dans tous le Grand Beylicat. C'est une source de revenus intéressante pour la région, qui sera investit dans l'industrie.

Pavots (opium) ; La région de Tchorum produit l’entièreté des pavot à opium de tous les pays, ces plantes sont énormément utilisées dans les produits pharmaceutiques. Elle est connue pour attenuée les douleurs contre la fièvres et autres maladies, elle est pour l’instant surtout utilisée par les Loqman, qui sont des médecins des plantes très répandue dans le pays de part la tradition et l’ancienne religion gökhaniste, les recettes médicinales de cette plante sont connues depuis le temps des chamanes.

Olives ;/[u] Un peu moins de 2/5 des olives du pays sont produites dans la région de Tchorum, mais la consommation locale étant très importante, la vente à d’autres régions ne rapporte pas énormément.

[u]Figues ; Plus de 80% de la production de figues du pays se fait dans la région, elle est exportés juste après les récoltes et en grande quantité dans les régions d’Aykhan et de Marmar.

Coton ; La région produit une bonne quantité de cotons de qui seront toutes exportées en Marmar pour sa production en textile.

Fruits secs ; La région produit également 19% des fruits secs du pays, presque 6 % de la production sera consommée par les habitants, le reste sera vendu en dehors de la région.

Agrumes La production d’agrume est très faible, mais suffisante pour la population en Tchorum.

Blé - Sésame ; Le blé est souvent éxcedente, elle n’est malheureusement pas vendue car exploitée par la région d’Aykhan, qui vend sur place ce qu’elle peut vendre pour ramener l'excédent dans les stocks de la région. En revanche, la production de sésame est vendue pour la fabrication d’huile de sésame.

Betteraves sucrières ; Comme le blé, toutes les productions en betterave sucrière sont exploitées par la région d’Aykhan.

Concernant l’élevage, la région de Tchorum est la région qui produit le plus de viande des volailles ainsi que d'œufs. D’autres types d’élevage comme le bétail sont également présents, mais pour la consommation locale. La région produit également une quantité satisfaisante de poissons grâce à la pêche, sa production sera vendue en Tchorum et en Kamar. Ces dernières années, comme d’en d’autres régions, l’apiculture se développe également grâce aux zones pleines de fleurs de variétés diverses, même si elle n’égale pas la région de kamar.

Industrie et ressources
La région profite et continuera à profiter de la majorité des usines de productions militaires. Mais la région projette de se développer également dans l’industrie de l’automobile (nonmilitaire) ainsi que l’industrie pharmaceutique. Dans un future proche ou loin, la région prévoit de devenir la région la plus développée en terme d'industrie, et de toutes les productions qui va avec.
Voici une liste des ressources extraites et présents dans la région ;

Papier ; Même si pas autant que Kamar, certaines usines de productions de papiers sont présentes dans le pays.

Fer ; Le fer est omniprésent dans la région, elle n’est malheureusement pas exploitée entièrement par la région, elle sert surtout à l’industrie militaire et l’ingénierie.

Engrais ; La plus grande production en engrais de tout le pays se trouve dans la région de Tchorum.

Chrome ; Le chrome est présent dans l’Ouest-Nord de la région, elle est entièrement extraite par la région Aykhan contre 10 % de la valeur extraite.

Charbon ; La région porte à disposition des gisements de charbon, surtout dans les montagnes au Nord de la région.

Sel ; Une production de sel de provenance marin comme minérale est présente dans la région. Cette production représente près de 63 % du sel produit dans tout le pays.

Tourisme
La région de Tchorum présente un potentiel en tourisme assez élevé, de par son architecture et le musée de l’armée d’Harukay, mais aussi les paysages, comme le lac de Filiz, en haut de la montagne qui porte le même nom. Cependant, ce n’est pas encore dans les priorités de la région d’envisager ce genre d’installations touristiques.