La Confédération de Kresetchnie est un projet de pays multijoueur associant les joueurs des pays voisin au sein d'une confédération d'États très chaotique et morcelée. Je présenterai dans un premier temps la confédération dans son ensemble, puis la partie que j'interpréterai personnellement, à savoir la République d'Hotsaline, qui constitue le siège du pouvoir central. Les autres entités constituantes seront présentées en détail par leurs joueurs respectifs, à savoir Aestana, Kentsa, Urakan et Kekw.
Création de pays : KRESETCHNIE
Généralités :
Nom officiel : Confédération de Kresetchnie
Nom courant : Kresetchnie (Кресечния / Kresetchnien)
Gentilé : Kresetchnien(ne)
Inspirations culturelles : Slave orientale, germanique, française
Situation géographique :
Langue(s) officielle(s) : Russo-ukranien (langue originale de l'Hotsaline), Russe (en Karbovotskie), Kaulthe (dialecte germanique en Kaulthie des Altars), Français (Avène Libre)
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Allemand (en territoire occupé par Gradenbourg), Tchère (en territoire occupé par l'Organisation des Raches)
Drapeau :
Devise officielle : « Ensemble nous tenons, divisés nous tombons »
Hymne officiel :
Capitale : Troïtsiv (capitale de la République d'Hotsaline)
Population : 15 500 000 habitants
Aperçu du pays :
Présentation du pays :
La Kresetchnie est un État confédéral fortement décentralisé rassemblant des populations hétéroclites sur le plan ethnique et culturel. Ses frontières actuelles recoupent, à quelques détails près, celles qu'arborait jadis le Duché de Gradenbourg, une ancienne province de culture austro-allemande appartenant à l'Empire Kaulthe. La déstabilisation progressive de celui-ci au tournant des XVIIIème et XIXème siècles entraîna la sécession de multiples possessions, parmi lesquelles figure l'actuelle Kresetchnie. S'ensuivirent plusieurs vagues de migrations, principalement slaves, mais également latines dans la partie nord du pays, qui noyèrent progressivement l'essence germanique des souches locales, si bien que les populations occupant aujourd'hui le territoire descendent majoritairement des peuples slaves venus des steppes orientales. Les principales poches germaniques restantes sur le territoire kresetchnien demeurent au nord-ouest du territoire, ainsi qu'au sein de la République Kaulthe des Altars, au sud. Le pays, pris dans sa globalité, arbore aujourd'hui un nom issu, selon toute vraisemblance, des termes slaves Кресть (croix, croisement) et Сечь (couper), qui décrivent bien ce qu'est la Kresetchnie sur le plan géographique et géostratégique : un territoire situé à l'intersection des civilisations slave et germanique, qui trace la frontière entre celles-ci.
Puisque nous en venons à évoquer le sujet de la division du territoire kresetchnien, il serait incongru de poursuivre cette présentation sans lister les entités politiques qui composent cette confédération bigarrée :
Bien qu'il s'agisse de la division politique officielle et légale du territoire confédéral, la situation a évolué au tournant de l'année 1994, au cours de laquelle la Kresetchnie eut à affronter une invasion militaire lancée par le Rasken. Après environ un an de conflit, la ligne de front s'est stabilisée et un cessez-le-feu fut signé avec le gouvernement confédéral, qui permit l'établissement d'une zone d'occupation aujourd'hui dénommée Administration Militaire de Gradenbourg. Celle-ci s'étend sur l'intégralité du territoire gradenbourgeois, et inclut également une bonne partie des terres hotsaliennes, ainsi que quelques parcelles avéniennes. Au cours de la même année, les forces terroristes tcharnoviennes de l'Organisation des Raches profitèrent de la désorganisation causée par l'invasion pour investir à leur tour le territoire oriental de la Confédération, en vue d'y établir une base arrière. Pris en étau, le gouvernement central kresetchnien fut également contraint de conclure une trève avec le groupe terroriste, si bien que celui-ci occupe aujourd'hui encore une partie des territoires hotsalien et kaulthe des Altars.
La panique induite par ces invasions a contraint le gouvernement central à prendre des mesures exceptionnelles pour assurer la défense du territoire confédéral, alors que la capitale se trouvait physiquement coupée des terres situées plus au nord. Vers la fin de l'an 1994, la loi conférant au pouvoir confédéral le monopole de la gestion de la défense fut révoquée, au profit d'un nouveau régime permettant à chaque entité membre de constituer ses propres unités militaires en vue d'assurer la protection de son territoire. Bien que cette mesure permit de sauver la situation sur le front nord en autorisant la Karbovotskie et l'Avène Libre à défendre leur sol face à l'envahisseur raskenois en constituant leurs propres troupes, elle porta également un coup majeur à l'influence politique du pouvoir central de la Confédération, dont le monopole militaire garantissait jusqu'alors la légitimité. Aujourd'hui plus que jamais fracturée ethniquement, culturellement, politiquement, géographiquement, et partiellement occupée par des forces terroristes et des troupes étrangères, la Kresetchnie vit des heures troubles, au cours desquelles son unité se trouvera sans nul doute particulièrement mise à l'épreuve.
Puisque nous en venons à évoquer le sujet de la division du territoire kresetchnien, il serait incongru de poursuivre cette présentation sans lister les entités politiques qui composent cette confédération bigarrée :
- La République d'Hotsaline se trouve au cœur de la Confédération et en constitue le cœur politique et économique. Tandis que la majorité du territoire est composé de hautes chaînes de montagnes, l'Hotsaline a l'avantage de bénéficier d'un vaste plateau, seul propice au développement de l'agriculture et des activités humaines.
- La République de Karbovotskie est un État communiste situé à la frontière avec le Rus've, dont il accueille une partie des exilés politiques.
- La République de l'Avène Libre est une entité francophone située dans les montagnes au nord de la Confédération. État démocratique en déshérence, elle sait tirer les avantages commerciaux afférents à sa position stratégique en amont du principal fleuve traversant la Kretchenie.
- La République de Gradenbourg, au nord-ouest, est un État germanique situé à la frontière du Rasken. Surnommée au fil du temps « la Petite Rasken » du fait de sa proximité géographique et culturelle avec l'empire voisin, elle est aujourd'hui privée de toute souveraineté politique et territoriale du fait de son occupation militaire par celui-ci.
- La République de Kaulthie des Altars est une province germanique située au sud. Elle abrite une partie des exilés républicains issus de la Kaulthie voisine.
Bien qu'il s'agisse de la division politique officielle et légale du territoire confédéral, la situation a évolué au tournant de l'année 1994, au cours de laquelle la Kresetchnie eut à affronter une invasion militaire lancée par le Rasken. Après environ un an de conflit, la ligne de front s'est stabilisée et un cessez-le-feu fut signé avec le gouvernement confédéral, qui permit l'établissement d'une zone d'occupation aujourd'hui dénommée Administration Militaire de Gradenbourg. Celle-ci s'étend sur l'intégralité du territoire gradenbourgeois, et inclut également une bonne partie des terres hotsaliennes, ainsi que quelques parcelles avéniennes. Au cours de la même année, les forces terroristes tcharnoviennes de l'Organisation des Raches profitèrent de la désorganisation causée par l'invasion pour investir à leur tour le territoire oriental de la Confédération, en vue d'y établir une base arrière. Pris en étau, le gouvernement central kresetchnien fut également contraint de conclure une trève avec le groupe terroriste, si bien que celui-ci occupe aujourd'hui encore une partie des territoires hotsalien et kaulthe des Altars.
La panique induite par ces invasions a contraint le gouvernement central à prendre des mesures exceptionnelles pour assurer la défense du territoire confédéral, alors que la capitale se trouvait physiquement coupée des terres situées plus au nord. Vers la fin de l'an 1994, la loi conférant au pouvoir confédéral le monopole de la gestion de la défense fut révoquée, au profit d'un nouveau régime permettant à chaque entité membre de constituer ses propres unités militaires en vue d'assurer la protection de son territoire. Bien que cette mesure permit de sauver la situation sur le front nord en autorisant la Karbovotskie et l'Avène Libre à défendre leur sol face à l'envahisseur raskenois en constituant leurs propres troupes, elle porta également un coup majeur à l'influence politique du pouvoir central de la Confédération, dont le monopole militaire garantissait jusqu'alors la légitimité. Aujourd'hui plus que jamais fracturée ethniquement, culturellement, politiquement, géographiquement, et partiellement occupée par des forces terroristes et des troupes étrangères, la Kresetchnie vit des heures troubles, au cours desquelles son unité se trouvera sans nul doute particulièrement mise à l'épreuve.
Mentalité de la population :
Il serait difficile de caractériser la mentalité des populations kresetchniennes tant leur composition est disparate. Il est globalement admis que le sentiment national des Kresetchniens est bien davantage tourné vers leur ethnie ou l'État confédérale confédérale dont ils sont issus, que vers la Confédération elle-même. Pour le reste, les peuples de Kresetchnie diffèrent trop pour qu'il soit permis d'émettre des généralités.
Place de la religion dans l'État et la société :
La Confédération de Kresetchnie est laïque, au sens où le pouvoir confédéral ne se revendique d'aucune religion particulière. Ces considérations peuvent en revanche varier au niveau des États confédérés.
Politique et institutions :
Institutions politiques :
Les institutions confédérales ont des prérogatives très faibles, surtout depuis la fin de leur monopole sur la défense du territoire, aujourd'hui assuré par les États membres. Ses compétences concernent aujourd'hui surtout la politique commerciale internationale du pays.
Le pouvoir exécutif au niveau confédéral est assuré par le Gouvernement de la Confédération, présidé et nommé par un Président de la Confédération, qui est lui-même nommé à l'unanimité par les gouvernements des entités membres. Si ceux-ci se trouvent en incapacité de s'accorder sur un candidat, le Président en fonction n'est pas démis.
Dans la mesure où la Confédération n'est pas dotée de système législatif supranational (du point de vue des entités membres), ses institutions ne comptent pas de parlement législatif. Elle compte cependant une assemblée représentative, sobrement nommée l'Assemblée des Représentants, dont les membres sont élus au suffrage universel direct par la population kresetchnienne, et dont le rôle est d'exprimer, auprès du gouvernement fédéral, les préoccupations populaires.
Principaux personnages :
La Confédération est actuellement présidée par Viktor Bodnar.
Politique internationale :
La Confédération nourrit bien évidemment une hostilité particulière à l'égard du Rasken, dont les troupes continuent d'occuper illégalement son territoire. Elle pourrait également chercher à collaborer avec les autorités tcharnoves en vue de trouver une solution commune à la problématique de l'occupation du territoire kresetchnien par les terroristes des Raches. De manière plus générale, le gouvernement confédéral est disposé à établir des relations diplomatiques avec tous les États, au mépris de toute considération ethnique ou idéologique, dès lors qu'un partenariat servirait les intérêts de la Kresetchnie, s'agissant notamment de la réclamation du territoire national occupé par ses ennemis.
Les institutions confédérales ont des prérogatives très faibles, surtout depuis la fin de leur monopole sur la défense du territoire, aujourd'hui assuré par les États membres. Ses compétences concernent aujourd'hui surtout la politique commerciale internationale du pays.
Le pouvoir exécutif au niveau confédéral est assuré par le Gouvernement de la Confédération, présidé et nommé par un Président de la Confédération, qui est lui-même nommé à l'unanimité par les gouvernements des entités membres. Si ceux-ci se trouvent en incapacité de s'accorder sur un candidat, le Président en fonction n'est pas démis.
Dans la mesure où la Confédération n'est pas dotée de système législatif supranational (du point de vue des entités membres), ses institutions ne comptent pas de parlement législatif. Elle compte cependant une assemblée représentative, sobrement nommée l'Assemblée des Représentants, dont les membres sont élus au suffrage universel direct par la population kresetchnienne, et dont le rôle est d'exprimer, auprès du gouvernement fédéral, les préoccupations populaires.
Principaux personnages :
La Confédération est actuellement présidée par Viktor Bodnar.
Politique internationale :
La Confédération nourrit bien évidemment une hostilité particulière à l'égard du Rasken, dont les troupes continuent d'occuper illégalement son territoire. Elle pourrait également chercher à collaborer avec les autorités tcharnoves en vue de trouver une solution commune à la problématique de l'occupation du territoire kresetchnien par les terroristes des Raches. De manière plus générale, le gouvernement confédéral est disposé à établir des relations diplomatiques avec tous les États, au mépris de toute considération ethnique ou idéologique, dès lors qu'un partenariat servirait les intérêts de la Kresetchnie, s'agissant notamment de la réclamation du territoire national occupé par ses ennemis.