Ayant récemment pris contact, les deux nations ont conclu d'une rencontre à Velsna prévue le 11 décembre 2012 pour plusieurs raisons: d'une part l'établissement d'une relation de travail avec une puissance d'Aleucie (et pourquoi pas des premières mesures de libre-échange), chose qui manque encore à la République, et d'une autre part, la recherche désespérée d'un fournisseur d’équipements lourds dans un contexte eurysien agité, où la Loduarie souffle le chaud et le froid sur la politique régionale. En matière de politique intérieure, Velsna est en proie à des querelles intestines depuis l'assassinat du Patrice Dandolo et les triumvirs nommés pour assurer son intérim (HRP: voir le topic "l'horloge du Triumvirat" dans "Conflits eurysiens" pour plus d'informations). C'est donc une occasion pour le triumvir DiGrassi, en concluant un traité avantageux avec cette puissance, de marquer la politique internationale velsnienne de sa présence, et d’éclipser ses concurrents.
Tout semble prêt à l'aéroport Guiseppe Botti pour accueillir la délégation de la nation si peu connue à Velsna de Miridian : le service de sécurité semble avoir quadrillé la zone et restreint l'accès de plusieurs terminaux et les véhicules d'escorte sont stationnés à la sortie de l'aéroport. La rencontre n'a pas l'air de se faire sous les cris d'une foule quelconque, un cordon de sécurité laisse présager qu'il s’agira d'une entrevue faite sous le signe du calme. La délégation velsnienne sur le tarmac sera constituée comme suit:
- Matteo Di Grassi, Triumvir de la Grande République
- Frederico DiGrassi, Maître de l'Arsenal de Velsna
- Vito DiCanossa, sénateur et ambassadeur nouvellement nommé de Velsna auprès de Miridian
- Cinq sénateurs représentant le législatif
- Cinq licteurs (gardes du corps du Sénat)
- D'autres gardes du corps postés aux quatre coins du terminal et qui feront partie de l'escorte roulante
Dans l'attente de l'arrivée des représentants étrangers, les deux frères spéculent sur cette rencontre sur le tarmac de l'aéroport. Matteo semble soucieux, il n'a pas pipé mot depuis leur arrivée. Frederico tente de casser la glace:
- Alors, tu t'attends à quoi de Miridian ?
- Je m'attends à des chars. - lui répondit laconiquement le triumvir, avant de poursuivre. - Il nous en faudra beaucoup pour faire face à ce qui nous attend.
- La Loduarie ?
- Si seulement il n'y avait que ça. Il y a des ennemis plus insidieux que la Loduarie, Frederico. Il y a des ennemis qui ne s'annoncent pas et qui attendent qu'une chose de notre part: que nous échouons à faire ce que nous avons à accomplir. Et ces ennemis sont dans nos murs. Procurer des chars à l'armée, c'est s'assurer de leur fidélité, et c'est les détourner de Vinola et de Scaela. Cela répond t-il à des interrogations, mon frère ?
- Cela devrait le faire. Et toi, tu as appris des choses sur le Miridian avant de débuter ce sommet ? Personnellement j'ai essayé, mais tu connais ma mémoire...
- J'ai appris assez pour les mettre en confiance, si c'est ce que tu demandes...
Tout semble prêt à l'aéroport Guiseppe Botti pour accueillir la délégation de la nation si peu connue à Velsna de Miridian : le service de sécurité semble avoir quadrillé la zone et restreint l'accès de plusieurs terminaux et les véhicules d'escorte sont stationnés à la sortie de l'aéroport. La rencontre n'a pas l'air de se faire sous les cris d'une foule quelconque, un cordon de sécurité laisse présager qu'il s’agira d'une entrevue faite sous le signe du calme. La délégation velsnienne sur le tarmac sera constituée comme suit:
- Matteo Di Grassi, Triumvir de la Grande République
- Frederico DiGrassi, Maître de l'Arsenal de Velsna
- Vito DiCanossa, sénateur et ambassadeur nouvellement nommé de Velsna auprès de Miridian
- Cinq sénateurs représentant le législatif
- Cinq licteurs (gardes du corps du Sénat)
- D'autres gardes du corps postés aux quatre coins du terminal et qui feront partie de l'escorte roulante
Dans l'attente de l'arrivée des représentants étrangers, les deux frères spéculent sur cette rencontre sur le tarmac de l'aéroport. Matteo semble soucieux, il n'a pas pipé mot depuis leur arrivée. Frederico tente de casser la glace:
- Alors, tu t'attends à quoi de Miridian ?
- Je m'attends à des chars. - lui répondit laconiquement le triumvir, avant de poursuivre. - Il nous en faudra beaucoup pour faire face à ce qui nous attend.
- La Loduarie ?
- Si seulement il n'y avait que ça. Il y a des ennemis plus insidieux que la Loduarie, Frederico. Il y a des ennemis qui ne s'annoncent pas et qui attendent qu'une chose de notre part: que nous échouons à faire ce que nous avons à accomplir. Et ces ennemis sont dans nos murs. Procurer des chars à l'armée, c'est s'assurer de leur fidélité, et c'est les détourner de Vinola et de Scaela. Cela répond t-il à des interrogations, mon frère ?
- Cela devrait le faire. Et toi, tu as appris des choses sur le Miridian avant de débuter ce sommet ? Personnellement j'ai essayé, mais tu connais ma mémoire...
- J'ai appris assez pour les mettre en confiance, si c'est ce que tu demandes...