12/08/2013
13:07:36
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Influence et Manigances

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#1

La pièce était plongée dans une semi-obscurité oppressante, le seul éclairage provenant des ampoules défaillantes suspendues au plafond. Leurs lueurs vacillantes jetaient des ombres mouvantes sur les murs décrépits, soulignant les fissures et les éraflures qui marquaient le passage du temps. Dans ce bunker oublié du monde moderne, le silence régnait en maître, seulement brisé par le grincement lointain des mécanismes rouillés et le sifflement occasionnel du vent qui s'infiltrait par les interstices des murs épais.
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Érato se tenait au milieu de la pièce, seule, sa silhouette frêle se découpant dans l'obscurité ambiante. Ses yeux scrutaient les coins sombres avec une intensité presque palpable, ses sens en alerte, prêts à détecter le moindre mouvement ou son suspect. Autour d'elle, les murs étaient témoins d'un passé oublié, portant les cicatrices des conflits passés, des éraflures profondes qui racontaient l'histoire tumultueuse du bunker depuis sa construction dans les années tumultueuses des années 1920.
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La table et les chaises qui occupaient l'espace semblaient aussi fatiguées que les murs qui les entouraient. Leurs surfaces éraflées et leurs jambes branlantes témoignaient de nombreuses années d'utilisation, peut-être même de décennies. La poussière recouvrait leur surface, formant un voile grisâtre qui semblait figer le temps dans cet endroit oublié de tous.
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Malgré l'atmosphère lugubre et désolée qui régnait dans la pièce, Érato ne montrait aucun signe de peur ou d'hésitation. Sa posture était droite, ses épaules carrées, et ses yeux brillaient d'une détermination farouche. Elle était prête à affronter ce que la nuit pouvait lui réserver, prête à défendre ce en quoi elle croyait, même au cœur des ténèbres les plus profondes.

La silhouette d'Érato se dressait fièrement au milieu de la pièce lugubre, son passé glorieux résonnant dans les ombres qui dansaient autour d'elle. Elle avait connu des moments bien plus effrayants et stressants que celui-ci. Des moments où le fracas des armes et le cri des révolutionnaires emplissaient l'air, où le sang coulait dans les rues pavées des villes en révolte. Elle avait participé à la Grande Révolution de la Communaterra, se tenant aux côtés de ses camarades dans les tumultes de la lutte pour la liberté et l'égalité. Dans ces jours sombres, elle avait affronté l'oppression avec une bravoure indomptable, et avait émergé victorieuse des batailles qui avaient secoué le pays.

Puis, dès que la révolution triomphante de la Communaterra avait consolidé ses fondations, Érato avait ressenti l'appel du devoir une fois de plus. Elle avait pris les armes et avait traversé les frontières, se lançant dans une nouvelle croisade au nom du Mouvement de Libération de la Caméthée. Dans les montagnes escarpées et les vallées de l'Amythie, elle avait mené la lutte pour l'indépendance et la libération du prolétariat caméthéen. Là-bas, elle avait connu des batailles acharnées, des moments de désespoir et d'espoir, mais elle avait toujours refusé de plier face à l'ennemi.

Érato avait survécu à toutes les épreuves, à toutes les tempêtes, et elle était revenue, non pas par plaisir, mais par nécessité.

Lyudmila Pavlitchenko, seconde lieutenant des Forces Spéciales Armées, se faufila silencieusement dans la pièce, son regard acéré scrutant les ombres comme si elle cherchait un ennemi invisible. Elle se positionna derrière Érato avec une grâce féline, se fondant dans l'obscurité sans émettre un seul son. Son calme olympien contrastait avec l'atmosphère chargée de tension qui enveloppait la pièce lugubre.

Érato sentit sa présence rassurante dans son dos, sachant qu'elle pouvait compter sur la compétence et la détermination de Lyudmila en toutes circonstances. Leur lien était forgé dans le feu de la bataille, dans les moments où la vie elle-même semblait suspendue à un fil ténu. Elles avaient partagé des instants de triomphe et de désespoir, des moments où chaque décision pouvait signifier la vie ou la mort.

Échangeant un regard complice avec Lyudmila, Érato attendit avec une impatience contenue l'arrivée des deux autres femmes. Xaïomara, présidente du Comité de Bon Gouvernement, et Anarka Voco, présidente de la Zone de Jurnima, devaient les rejoindre pour cette réunion cruciale.

Soudain, un bruit vint déchirer le silence pesant de la pièce lugubre, annonçant l'arrivée des deux femmes attendues, il est dire qu'elles avaient fait longues routes puisque même les représentantes vivent dans le Commun du peuple, loin des capitales qui ne sont que des grandes Zones laissant place aux démonstrations populaires [Anarka étant forgeronne d'armes et Xaïomara travaille au Centre Révolutionnaire de Lettres]. Érato se retourna pour les accueillir d'un signe de tête, leur indiquant les chaises disposées autour de la table au centre de la pièce. Xaïomara, présidente du Comité de Bon Gouvernement, entra avec une démarche assurée, son regard empreint de détermination fixé sur l'objectif à venir. À ses côtés, Anarka Voco, présidente de la Zone de Jurnima, arborait une expression grave, témoignant de la responsabilité qui pesait sur ses épaules. Mais avant de s'asseoir, Xaiomara se metta devant la Lieutenant attendant d'elle qu'elle se présente

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Lyudmila
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"Seconde Lieutenant des Forces Spéciales, Lyudmila Pavlitchenko. déclara t-elle.

"Et qui es-tu?" demanda Xaïomara, son regard se posant sur l'arme que tenait la femme.

"Une snipeure." répondit-elle, une pointe de rareté dans sa voix, car il était en effet inhabituel de voir des femmes pratiquer ce métier.

"Une Femme Sniper ?" s'étonna Xaïomara. "Et combien d'Hommes as-tu tués?"

"Pas d'Hommes. Que des fascistes." répliqua-t-elle sans hésitation.

Un long silence pesa dans l'air. Avant de continuer.

"309."

Un silence pesant s'abattit sur la pièce, chacun absorbant l'impact de ses paroles. Puis, après un moment, Xaïomara décida de reprendre place, suivie par les trois femmes qui l'accompagnaient.

Erato prit la parole d'un ton ferme et décidé : "Il doit être mené à bien ce qui a été décidé. Les réformistes du même genre que le Kah, nous mènerons à notre perte, il faut en finir aujourd'hui. Nul répis pour eux. Si personne ne s'y oppose demain à 8h03 le plan sera opéré. Alexandre tombera dans le piège. Dès que les anciens propriétaires terriens se révolteront comme ils l'ont prévu, nous ferons venir les hommes armés pour les aider, alors nous parlerons de les éliminer tandis que nos hommes infiltré chez les rebelles tueront les nouveaux travailleur-euses collectivisés sur ces Terres tandis que les autres portions de la population qui n'a pas été éliminé suite à la Grande Révolution finira par les soutenir par les armes. Alors, le peuple craindra le retour à l'Ancien Régime et au Retour à l'exploitation. Nous publierons dans la foulée la fausse déclaration d'Alexandre qui appelle à la réparation des anciens propriétaires terriens, nous savons qu'il le pense alors il assumera les propos puis nous en appellerons aux Forces Révolutionnaires des Comités pour tuer les rebelles, nos hommes se réfugieront dans la Salle du Comité de Ricajlando là où devrait se trouver Alexandre Verlumino et ses collaborateurs. C'est à ce moment que les infiltrés chez les rebelles tueront Alexandre et les rebelles. Nous nous occuperons de leur soutien improvisés."

Anarka-Voco : "C'est parfait. J'ai réussi à convaincre de mettre en état d'alerte les Forces d'Autodéfense de la Zone de Jurnima pour une période présumée d'entraînement. Nos Forces seront donc toutes mobilisées pour écraser ces fascistes."

Xaïomara acquiesça simplement, laissant transparaître son accord avec la stratégie élaborée, puis prit la parole : "Et Frida, on en fait quoi?"

Érato : "Le problème est réglé, elle se soumettra à ce qu'on lui dit."

Anarka-Voco : "Il y a un monde dans lequel notre plan ne fonctionne pas et se retourne contre-nous. Est-ce que nos alliés Loduariens sont prêts à intervenir au cas où ? "

Lyudimila: "Non et nul ne doit être au courant. Cela évitera toute fuite d'information. Nous savons que tu te sens coupable Anarka, et avec Érato on se disait que le mieux serait que tu rendes le tablier après ces évènements."

Anarka: "Non, j'ai encore mon rôle à ..." Elle se fit interrompre par Xaïomara

"Elle rendra son tablier. Tu auras ton poste en tant qu'Ambassadrice pour la Révolution en Loduarie, Anarka."
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Elle savait qu'Anarka était follement amoureuse de Lorenzo et qu'elle ne refuserait pour rien au monde ce poste. Alors c'est sans surprise qu'Anarka, gênée, accepta l'offre. Les quatre femmes quittèrent la pièce, elles devaient profiter de leur dernière nuit de sommeil avant l'application du plan.
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