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11 janvier 2013, Manticore
Manticore, capitale du Royaume de Teyla,
On pouvait décrire ce jour de rencontre internationale à Manticore par les qualificatifs suivants : Déprimant, panique ou encore par un qualificatif plus dommageable avec le qualificatif désastreux. Ces qualificatifs ne décrivent pas les intérêts de la diplomatie et du gouvernement envers la rencontre d'aujourd'hui, mais décrivent l'ambiance mortifère de la capitale. C'était pire que tout, alors que la délégation étrangère était dans l'avion, une émeute avait éclaté dans la prison "Morris".
Cette prison en plein cœur de la banlieue nord de la capitale est la plus grande prison et la plus sécurisée du Royaume de Teyla. La dernière pierre fut posée il y a huit ans pour une mise en service il y a six ans. La prison fut conçue pour implanter la technologie en elle. "Ne faire qu'un avec la technologie pour notre sûreté" avec dit le ministre de l'Intérieur à l'époque. L'intérêt massif des élites pour la science et la technologie n'est pas nouvelle, mais atteint des sommets depuis les dix dernières années devenant absurde et caricatural. Les députés et les Nobles avaient voté, sept ans auparavant une réforme constitutionnelle pour introduire l'arrêt des subventions publiques pour toute association ne respectant pas le consensus scientifique. Alors l'absurdité a gagné la Cour Constitutionnelle Royale. Celle-ci devait définir le consensus scientifique sur des sujets précis, car les associations voyant les subventions supprimées allaient devant les tribunaux du pays. Les juges renvoyaient la procédure à la Cour Constitutionnelle Royale pour satisfaire leurs carrières et éviter de la bloquer par une décision qui ne plaira à personne. Cette prison était un assemblement des dernières technologies disponibles dans le Royaume de Teyla, celles-ci étaient maintenues à jour avec un budget spécial. Les résultats du projet avaient conquis le gouvernement d'Angel Rojas qui étudiait la possibilité de construire de nouvelle place de prison en prenant en compte la technologie.
La maison d'arrêt peut accueillir environ deux-mille sept cents prisonniers, en réalité, elle est en sur-utilisation et en accueil trois mille, ce qui fait de la maison d'arrêt de Morris la plus importante du Royaume de Teyla. Tout fut conforme à la loi, tout était parfait se disait les hauts dignitaires de la police royale qui agit -la police- sur tout le territoire teylais. Dans les prisons, la police royale n'intervenait pratiquement jamais. L'organisation des gardes pénitenciers était un corps complet et à part entière des forces de sécurité du Royaume de Teyla. Les hauts dignitaires disaient de celui-ci qu'ils pouvaient gérer une manifestation d'ultra-gauche à lui seul. Cela ne fut jamais testé ni autorisé par les gouvernements au grand dam des penseurs des doctrines de maintien de l'ordre. Les régiments de maintien de l'ordre du corps des gardes pénitenciers eux sont ravis de la situation actuelle. Ils ne veulent pas maintenir l'ordre dans la rue, mais dans les prisons. Réprimer des criminels, c'est une chose, réprimer le peuple en est une autre. La phrase préférée du corps.
Le corps avait une unité d'élite. L'unité d'élite fut conçue pour répondre à des situations de prise d'otage, et devant répondre au "code-120" et "code-222". Un code-120 est une situation où les prisonniers ont eu accès à des armes à feu de n'importe quelles natures. Le code-222 est un code pour résumer la situation en "Situation de guerre". Ce dernier code fut déclenché uniquement une fois en cinquante ans, les prisonniers avaient eu accès à l'armurerie avec la coopération bienveillante de trois gardes. Trois balles dans le dos, donnèrent trois gardiens morts une fois que les prisonniers avaient obtenus ce qu'ils voulaient. Cette unité d'élite s'entraine régulièrement avec les forces armées du pays.
Le désastre commença lorsqu'un garde patrouillant sur les "remparts" de la cour, dans laquelle s'amusaient des prisonniers de haute-sécurité, passa par-dessus la balustrade. Il s'accouda à la balustrade faite de métaux, mais celle-ci rompue par la masse exercée sur l'objet non maintenu aux normes. L'homme ne se releva jamais de sa chute, mais les autres gardes virent un troupeau de prisonniers courir vers l'homme. Ils n'ont pas couru vers lui pour exercer les premiers secours, mais pour voler, ou prendre l'homme étant mort dès le choc, son équipement, c'est-à-dire un taser, un fusil d'assaut et deux armes de poing avec les munitions qui vont avec. Pourquoi deux armes de poing au lieu d'une ? L'enquête allait devoir le découvrir si elle y parvenait. Les autres gardes avaient entendu le bruit, certains avaient vu la chute de l'homme, mais la chance n'était pas en leur faveur en ce jour de 11 janvier. L'homme qui tomba était le seul des gardes patrouillant à avoir des armes à feu, les gardes restant devait se contenter des matraques, gaz et de taser. De plus, le système de sécurité avait décidé que la porte amenant à l'intérieur était ouverte et non fermée. En réalité, le garde en faction avait appuyé deux fois et non une fois sur le bouton qui acte l'état de la porte, lorsque l'alarme s'enclencha. Il n'eut pas le temps de prendre conscience de son erreur qu'une masse de prisonniers déferlait vers les différents secteurs de la prison...
Deux minutes, c'est le temps qu'il fallut aux prisonniers pour avoir accès à la moitié des cartes d'accès de la prison et prendre un poste de contrôle après le premier échange de tir. Des armes supplémentaires venaient dans les mains des prisonniers à la suite de cette prise. Le malheureux qui se tenait là, avait eu le temps de décrocher son arme et tiré par pur réflexe, l'instinct de survie avait marché pour que la balle qu'il ait tirée atteigne le cœur d'un prisonnier, mais que pouvait faire l'instinct de survie face à trente prisonniers et une rafale de trois balles par la suite ? Le vitrage de sécurité qui devait être blindé avait cédé à la première balle, la deuxième toucha la main du garde et la troisième touche son poumon droit. Les prisonniers accédèrent à l'armurerie en trois minutes après avoir menacé des gardes. Un garde céda, il n'aurait pas du. Il donna l'accès aux prisonniers à des armes, à la prison entière et perdit la vie.
Alors que les prisonniers avaient décidé de concert de ne pas libérer les autres secteurs de la prison, le directeur fut évacué assez facilement et avait donné pour ordre de tenir la prison coûte que coûte. La décision des prisonniers avait sauvé la vie de nombreux gardes et permis de garder le contrôle de la majeur partie de la prison avec des effectifs très réduits. La majorité du personnel armé et/ou entraîné devait aider à l'évacuation du personnel non-essentielle, à la sécurisation des secteurs adjacents aux secteurs tenus par les prisonniers rebelles. Le manque d'information, la situation arrivant subitement brouilla les esprits. Toutefois, les gardes savaient qu'ils se battaient, non combattaient pour leurs vies. Ils furent mis au courant assez vite que les gardes furent abattu par les prisonniers. De fil en aiguille, les prisonniers arrivèrent à s'échapper dans les rues de la banlieue nord de Manticore, alors que la présidente d'Alguarena est dans les airs.
Cette prison en plein cœur de la banlieue nord de la capitale est la plus grande prison et la plus sécurisée du Royaume de Teyla. La dernière pierre fut posée il y a huit ans pour une mise en service il y a six ans. La prison fut conçue pour implanter la technologie en elle. "Ne faire qu'un avec la technologie pour notre sûreté" avec dit le ministre de l'Intérieur à l'époque. L'intérêt massif des élites pour la science et la technologie n'est pas nouvelle, mais atteint des sommets depuis les dix dernières années devenant absurde et caricatural. Les députés et les Nobles avaient voté, sept ans auparavant une réforme constitutionnelle pour introduire l'arrêt des subventions publiques pour toute association ne respectant pas le consensus scientifique. Alors l'absurdité a gagné la Cour Constitutionnelle Royale. Celle-ci devait définir le consensus scientifique sur des sujets précis, car les associations voyant les subventions supprimées allaient devant les tribunaux du pays. Les juges renvoyaient la procédure à la Cour Constitutionnelle Royale pour satisfaire leurs carrières et éviter de la bloquer par une décision qui ne plaira à personne. Cette prison était un assemblement des dernières technologies disponibles dans le Royaume de Teyla, celles-ci étaient maintenues à jour avec un budget spécial. Les résultats du projet avaient conquis le gouvernement d'Angel Rojas qui étudiait la possibilité de construire de nouvelle place de prison en prenant en compte la technologie.
La maison d'arrêt peut accueillir environ deux-mille sept cents prisonniers, en réalité, elle est en sur-utilisation et en accueil trois mille, ce qui fait de la maison d'arrêt de Morris la plus importante du Royaume de Teyla. Tout fut conforme à la loi, tout était parfait se disait les hauts dignitaires de la police royale qui agit -la police- sur tout le territoire teylais. Dans les prisons, la police royale n'intervenait pratiquement jamais. L'organisation des gardes pénitenciers était un corps complet et à part entière des forces de sécurité du Royaume de Teyla. Les hauts dignitaires disaient de celui-ci qu'ils pouvaient gérer une manifestation d'ultra-gauche à lui seul. Cela ne fut jamais testé ni autorisé par les gouvernements au grand dam des penseurs des doctrines de maintien de l'ordre. Les régiments de maintien de l'ordre du corps des gardes pénitenciers eux sont ravis de la situation actuelle. Ils ne veulent pas maintenir l'ordre dans la rue, mais dans les prisons. Réprimer des criminels, c'est une chose, réprimer le peuple en est une autre. La phrase préférée du corps.
Le corps avait une unité d'élite. L'unité d'élite fut conçue pour répondre à des situations de prise d'otage, et devant répondre au "code-120" et "code-222". Un code-120 est une situation où les prisonniers ont eu accès à des armes à feu de n'importe quelles natures. Le code-222 est un code pour résumer la situation en "Situation de guerre". Ce dernier code fut déclenché uniquement une fois en cinquante ans, les prisonniers avaient eu accès à l'armurerie avec la coopération bienveillante de trois gardes. Trois balles dans le dos, donnèrent trois gardiens morts une fois que les prisonniers avaient obtenus ce qu'ils voulaient. Cette unité d'élite s'entraine régulièrement avec les forces armées du pays.
Le désastre commença lorsqu'un garde patrouillant sur les "remparts" de la cour, dans laquelle s'amusaient des prisonniers de haute-sécurité, passa par-dessus la balustrade. Il s'accouda à la balustrade faite de métaux, mais celle-ci rompue par la masse exercée sur l'objet non maintenu aux normes. L'homme ne se releva jamais de sa chute, mais les autres gardes virent un troupeau de prisonniers courir vers l'homme. Ils n'ont pas couru vers lui pour exercer les premiers secours, mais pour voler, ou prendre l'homme étant mort dès le choc, son équipement, c'est-à-dire un taser, un fusil d'assaut et deux armes de poing avec les munitions qui vont avec. Pourquoi deux armes de poing au lieu d'une ? L'enquête allait devoir le découvrir si elle y parvenait. Les autres gardes avaient entendu le bruit, certains avaient vu la chute de l'homme, mais la chance n'était pas en leur faveur en ce jour de 11 janvier. L'homme qui tomba était le seul des gardes patrouillant à avoir des armes à feu, les gardes restant devait se contenter des matraques, gaz et de taser. De plus, le système de sécurité avait décidé que la porte amenant à l'intérieur était ouverte et non fermée. En réalité, le garde en faction avait appuyé deux fois et non une fois sur le bouton qui acte l'état de la porte, lorsque l'alarme s'enclencha. Il n'eut pas le temps de prendre conscience de son erreur qu'une masse de prisonniers déferlait vers les différents secteurs de la prison...
Deux minutes, c'est le temps qu'il fallut aux prisonniers pour avoir accès à la moitié des cartes d'accès de la prison et prendre un poste de contrôle après le premier échange de tir. Des armes supplémentaires venaient dans les mains des prisonniers à la suite de cette prise. Le malheureux qui se tenait là, avait eu le temps de décrocher son arme et tiré par pur réflexe, l'instinct de survie avait marché pour que la balle qu'il ait tirée atteigne le cœur d'un prisonnier, mais que pouvait faire l'instinct de survie face à trente prisonniers et une rafale de trois balles par la suite ? Le vitrage de sécurité qui devait être blindé avait cédé à la première balle, la deuxième toucha la main du garde et la troisième touche son poumon droit. Les prisonniers accédèrent à l'armurerie en trois minutes après avoir menacé des gardes. Un garde céda, il n'aurait pas du. Il donna l'accès aux prisonniers à des armes, à la prison entière et perdit la vie.
Alors que les prisonniers avaient décidé de concert de ne pas libérer les autres secteurs de la prison, le directeur fut évacué assez facilement et avait donné pour ordre de tenir la prison coûte que coûte. La décision des prisonniers avait sauvé la vie de nombreux gardes et permis de garder le contrôle de la majeur partie de la prison avec des effectifs très réduits. La majorité du personnel armé et/ou entraîné devait aider à l'évacuation du personnel non-essentielle, à la sécurisation des secteurs adjacents aux secteurs tenus par les prisonniers rebelles. Le manque d'information, la situation arrivant subitement brouilla les esprits. Toutefois, les gardes savaient qu'ils se battaient, non combattaient pour leurs vies. Ils furent mis au courant assez vite que les gardes furent abattu par les prisonniers. De fil en aiguille, les prisonniers arrivèrent à s'échapper dans les rues de la banlieue nord de Manticore, alors que la présidente d'Alguarena est dans les airs.
Au sein du pouvoir :
La directrice de la police Royale et son homologue, mais au niveau de la région du même nom furent prévenu au bout de dix minutes et de dix-huit minutes respectivement de la situation à la prison Morris. Certains prisonniers s'étaient déjà échappés durant ce lapse de temps. C'était le problème principal, la présidente de la première puissance mondiale était à vingt minutes de la capitale, en comptant l'atterrissage. Si, compétente qu'elle est, elle ne peut revoir un dispositif de sécurité dans son entièreté, mais le temps que le gouvernement prenne une décision dans cette histoire, la mort aura déjà frappé. Elle était la seule pouvant décider avec le Gouverneur militaire de Manticore. Plus l'homme lui décrivait la situation au téléphone, qui était d'évidence sous l'effet de la panique, plus les jurons lâchés par la directrice étaient virulents, cela n'arrangeait en rien l'état de l'homme au téléphone. Mauvaise journée pour réclamer des droits, pensa-t-elle à voix haute, laissant pantois l'homme au téléphone. Elle ordonna aussitôt, d'une voix tranchante, le déclenchement du code-222. On estima possible l'évasion de quinze prisonniers armés et déambulant dans les rues de la capitale. S'ils veulent transformer la journée en pire journée du Royaume, ils pourront le faire. Le corps d'élite était parfait pour reprendre le contrôle de la prison et aller aider les gardes, dont le nombre qui ont donné leurs vies est déjà trop élevé. Sa seconde priorité fut de sécuriser Sa Majesté qui ce jour-ci parade dans une école de la capitale, une école primaire. Elle souriait à l'idée des réactions que pouvaient avoir les enfants de voir une armée débouler sur une école et amener de force Sa Majesté dans un véhicule blindé.
Vingt-deux minutes après les événements, le ministère des affaires étrangères avait prévenu un diplomate et le plus haut-dignitaire des services de sécurité de la présidence qui voulait décrocher, de la situation actuelle en omettant le déclenchement du code-222. Si la présidente de la première puissance mondiale pensait Teyla en situation de guerre, l'image du Royaume de Teyla risquait d'être dégradée auprès de la présidente pendant de longues années. Une situation fâcheuse pour le ministère des Affaires Etrangères. En-dehors de cet aspect, la coopération furent total avec les services de l'Alguarena, et toute informations non-sensible était communiqué dans les plus brefs délais, avec en prime un rapport sur la situation à chaque quart d'heure. Au regard de la situation, on avait donné la possibilité à l'Alguarena d'annuler et de décaler la rencontre ultérieurement. Quand cette question fut posée avec les informations communiquées, l'avion de la présidente était seulement à douze minutes de Manticore.
Il fut seulement vingt-huit minutes pour que le Premier ministre soit dans la pièce sécurisée de la Résidence Faure, mais surtout en pleine cellule de crise avec tous les officiels du Royaume de Teyla et les ministres dont la présence était requise. Sa première question fut pour la Reine. Dans quelle situation se trouve-t-elle ? Il se rappela que Sa Majesté doit visiter une école, mais où, impossible de s'en rappeler. Il se maudit pour ne pas avoir l'information. Le gouverneur militaire de Manticore annonça qu'actuellement un convoi du Groupe d'Action de la Police Royale - GAPR se diriger en direction de Sa Majesté, et que la branche armée de la sécurité de Sa Majesté était déployé dans le Palais et au alentour et en direction de Sa Majesté. Un "AH" sorti de sa bouche de manière non-contrôlé suivit d'un "tant mieux" beaucoup plus contrôlé. Il se souvient que cette branche armée avait des chars d'assaut à disposition et son commandant avait tout autorité légale de réquisitionner les moyens militaires nécessaires à la protection de Sa Majesté. La Reine était en sûreté et le restera, mais il paniqua à l'idée de voir des chars d'assaut dans les rues de Manticore. Yasmine Laval, ministre de l'Intérieur, devinant les pensées du Premier ministre, ajouta qu'aucun char d'assaut ou léger, sera déployé dans la capitale.
Sa deuxième question fut posée pour demander un rapport détaillé de la situation actuelle dans chaque lieu de la capitale où c'était nécessaire et la liste des prisonniers dont on soupçonne l'évasion et leurs antécédents. Le bilan provisoire était funeste, mais au moins une unité du GAPR était arrivée à l'aéroport avant l'arrivé de la présidente de la nation invité. Il ordonna un renforcement du dispositif de sécurité de la présidente, quitte à envoyer des unités non prévues pour la protection de personnalité importante. Il déclara : "Ce ne sont pas les civils qui nous déclarons la guerre, mais bien l'Alguarena si leur présidente meurt sur nos sols d'une balle dans la tête ". La prison était bouclée depuis quelques minutes, mais la situation n'était pas vraiment meilleure à l'intérieur. La plupart des ailes de la prison sont sécurisées, mais on dénombre plusieurs otages parmi le personnel de la prison sans qu'on ne puisse avoir un chiffre précis. Pendant vingt minutes, plusieurs personnes se succédèrent pour expliquer au Premier ministre la situation à l'intérieur de la maison d'arrêt, les moyens d'actions et les conséquences de ceux-ci. Le plus long moment de la vie du Premier ministre, il vit l'enfer face à lui. Il voulait fuir, mais il ne pouvait pas, il ne pouvait même pas regarder la porte pour sortir de la pièce, sous peine de donner un message contraire à ce qui devait être donné. Il devait se concentrer pour réfléchir et prendre la bonne décision, ne pas paniquer, et ne pas donner le sentiment qu'il veut s'enfuir.
Sa décision la plus cruciale est sans aucun doute possible celle sur l'état d'urgence. L'état d'urgence donnait des pouvoirs inimaginables aux forces de sécurité du Royaume de Teyla, mais la décision du Premier ministre est dictée non pas par la "raison sécuritaire" mais par la raison diplomatique. Il estimait qu'enclencher un tel dispositif alors que la Présidente pouvait être d'une minute à l'autre à Teyla n'était pas un gage de sécurité. Cela donnait le sentiment que la situation n'était pas contrôlé. La coopération avec les services de l'Alguarena est totale pour éviter tout sentiment de non-maîtrise de la situation, pourtant la situation est celle-là. Comment la situation pouvait être contrôlé, alors que des criminelles armés se baladent dans les rues de la capitale ? Il ordonna la suspension du trafic aérien dans les aéroports pouvant être atteint en deux heures en train depuis la capitale et la mise en place de barrages routiers sur tous les accès routiers amenant à la capitale et à ses banlieues. D'autres décisions furent prises, dont la gestion de la prison à l'intérieur et le renforcement de la sécurité des lieux essentiels à la vie du Royaume, comprenez les lieux de pouvoirs.
Les conseillers en communication du Premier ministre préparaient le discours de ce soir. Le discours à vingt-heure du Premier ministre, un discours qui prendrait la place des Journaux Télévisés des deux plus grandes chaînes du pays, en plus des chaînes d'informations en continu. Angel Rojas voyait déjà les éditions spéciales avec des invités plus ou moins compétent et les chefs de file de l'opposition appelant à l'union de la nation et dénonçant la situation non-contrôlée par un gouvernement aux abois. Il ne pouvait ne pas parler. La capitale allait vivre un siège de plusieurs heures, il devait une explication aux teylais à ses compatriotes. Non ! Il devait une explication au monde, se dit-il avec désarroi et désespoir. Il ne voyait aucune bonne manière d'expliquer que la capitale était sous un siège tout en recevant le leader et la femme la plus puissante du monde.
Tant dit que dans ce marasme, Sa Majesté était conduite au Palais Royale pour sa sécurité, elle était mise au courant des derniers événements, la tristesse et la peine l'abattue en plein cœur. Sa peine fut encore plus grande quand une vidéo d'un prisonnier abattant un garde commença à émerger sur les réseaux sociaux. Une vidéo qu'elle n'aurait pas voulu voir, mais qu'on lui montra. Son conseiller pensait bien faire. La cheffe d'état et des armées du Royaume téléphona au chef de la branche armée de la sécurité royal, dont le nom reste inconnu pour le grand public. Celui-ci confirmera qu'en-dehors de la prison aucune mort civile n'est à confirmer. Il semblerait que les prisonniers ne veulent pas d'un massacre mais juste s'enfuir et se faire petit pour le moment. C'était mieux que rien, la sécurité allait pouvoir respirer et la rencontre se dérouler dans une ambiance moins morbide, si celle-ci avait lieu. Sa Majesté est bien mieux préparée pour ce genre d'événement, que le Premier ministre, un ex juge d'instruction. Son premier acte fut d'appeler chaque famille des victimes une fois arrivée au Palais, tout en laissant un message de bienvenu pour la Présidente.
Vingt-deux minutes après les événements, le ministère des affaires étrangères avait prévenu un diplomate et le plus haut-dignitaire des services de sécurité de la présidence qui voulait décrocher, de la situation actuelle en omettant le déclenchement du code-222. Si la présidente de la première puissance mondiale pensait Teyla en situation de guerre, l'image du Royaume de Teyla risquait d'être dégradée auprès de la présidente pendant de longues années. Une situation fâcheuse pour le ministère des Affaires Etrangères. En-dehors de cet aspect, la coopération furent total avec les services de l'Alguarena, et toute informations non-sensible était communiqué dans les plus brefs délais, avec en prime un rapport sur la situation à chaque quart d'heure. Au regard de la situation, on avait donné la possibilité à l'Alguarena d'annuler et de décaler la rencontre ultérieurement. Quand cette question fut posée avec les informations communiquées, l'avion de la présidente était seulement à douze minutes de Manticore.
Il fut seulement vingt-huit minutes pour que le Premier ministre soit dans la pièce sécurisée de la Résidence Faure, mais surtout en pleine cellule de crise avec tous les officiels du Royaume de Teyla et les ministres dont la présence était requise. Sa première question fut pour la Reine. Dans quelle situation se trouve-t-elle ? Il se rappela que Sa Majesté doit visiter une école, mais où, impossible de s'en rappeler. Il se maudit pour ne pas avoir l'information. Le gouverneur militaire de Manticore annonça qu'actuellement un convoi du Groupe d'Action de la Police Royale - GAPR se diriger en direction de Sa Majesté, et que la branche armée de la sécurité de Sa Majesté était déployé dans le Palais et au alentour et en direction de Sa Majesté. Un "AH" sorti de sa bouche de manière non-contrôlé suivit d'un "tant mieux" beaucoup plus contrôlé. Il se souvient que cette branche armée avait des chars d'assaut à disposition et son commandant avait tout autorité légale de réquisitionner les moyens militaires nécessaires à la protection de Sa Majesté. La Reine était en sûreté et le restera, mais il paniqua à l'idée de voir des chars d'assaut dans les rues de Manticore. Yasmine Laval, ministre de l'Intérieur, devinant les pensées du Premier ministre, ajouta qu'aucun char d'assaut ou léger, sera déployé dans la capitale.
Sa deuxième question fut posée pour demander un rapport détaillé de la situation actuelle dans chaque lieu de la capitale où c'était nécessaire et la liste des prisonniers dont on soupçonne l'évasion et leurs antécédents. Le bilan provisoire était funeste, mais au moins une unité du GAPR était arrivée à l'aéroport avant l'arrivé de la présidente de la nation invité. Il ordonna un renforcement du dispositif de sécurité de la présidente, quitte à envoyer des unités non prévues pour la protection de personnalité importante. Il déclara : "Ce ne sont pas les civils qui nous déclarons la guerre, mais bien l'Alguarena si leur présidente meurt sur nos sols d'une balle dans la tête ". La prison était bouclée depuis quelques minutes, mais la situation n'était pas vraiment meilleure à l'intérieur. La plupart des ailes de la prison sont sécurisées, mais on dénombre plusieurs otages parmi le personnel de la prison sans qu'on ne puisse avoir un chiffre précis. Pendant vingt minutes, plusieurs personnes se succédèrent pour expliquer au Premier ministre la situation à l'intérieur de la maison d'arrêt, les moyens d'actions et les conséquences de ceux-ci. Le plus long moment de la vie du Premier ministre, il vit l'enfer face à lui. Il voulait fuir, mais il ne pouvait pas, il ne pouvait même pas regarder la porte pour sortir de la pièce, sous peine de donner un message contraire à ce qui devait être donné. Il devait se concentrer pour réfléchir et prendre la bonne décision, ne pas paniquer, et ne pas donner le sentiment qu'il veut s'enfuir.
Sa décision la plus cruciale est sans aucun doute possible celle sur l'état d'urgence. L'état d'urgence donnait des pouvoirs inimaginables aux forces de sécurité du Royaume de Teyla, mais la décision du Premier ministre est dictée non pas par la "raison sécuritaire" mais par la raison diplomatique. Il estimait qu'enclencher un tel dispositif alors que la Présidente pouvait être d'une minute à l'autre à Teyla n'était pas un gage de sécurité. Cela donnait le sentiment que la situation n'était pas contrôlé. La coopération avec les services de l'Alguarena est totale pour éviter tout sentiment de non-maîtrise de la situation, pourtant la situation est celle-là. Comment la situation pouvait être contrôlé, alors que des criminelles armés se baladent dans les rues de la capitale ? Il ordonna la suspension du trafic aérien dans les aéroports pouvant être atteint en deux heures en train depuis la capitale et la mise en place de barrages routiers sur tous les accès routiers amenant à la capitale et à ses banlieues. D'autres décisions furent prises, dont la gestion de la prison à l'intérieur et le renforcement de la sécurité des lieux essentiels à la vie du Royaume, comprenez les lieux de pouvoirs.
Les conseillers en communication du Premier ministre préparaient le discours de ce soir. Le discours à vingt-heure du Premier ministre, un discours qui prendrait la place des Journaux Télévisés des deux plus grandes chaînes du pays, en plus des chaînes d'informations en continu. Angel Rojas voyait déjà les éditions spéciales avec des invités plus ou moins compétent et les chefs de file de l'opposition appelant à l'union de la nation et dénonçant la situation non-contrôlée par un gouvernement aux abois. Il ne pouvait ne pas parler. La capitale allait vivre un siège de plusieurs heures, il devait une explication aux teylais à ses compatriotes. Non ! Il devait une explication au monde, se dit-il avec désarroi et désespoir. Il ne voyait aucune bonne manière d'expliquer que la capitale était sous un siège tout en recevant le leader et la femme la plus puissante du monde.
Tant dit que dans ce marasme, Sa Majesté était conduite au Palais Royale pour sa sécurité, elle était mise au courant des derniers événements, la tristesse et la peine l'abattue en plein cœur. Sa peine fut encore plus grande quand une vidéo d'un prisonnier abattant un garde commença à émerger sur les réseaux sociaux. Une vidéo qu'elle n'aurait pas voulu voir, mais qu'on lui montra. Son conseiller pensait bien faire. La cheffe d'état et des armées du Royaume téléphona au chef de la branche armée de la sécurité royal, dont le nom reste inconnu pour le grand public. Celui-ci confirmera qu'en-dehors de la prison aucune mort civile n'est à confirmer. Il semblerait que les prisonniers ne veulent pas d'un massacre mais juste s'enfuir et se faire petit pour le moment. C'était mieux que rien, la sécurité allait pouvoir respirer et la rencontre se dérouler dans une ambiance moins morbide, si celle-ci avait lieu. Sa Majesté est bien mieux préparée pour ce genre d'événement, que le Premier ministre, un ex juge d'instruction. Son premier acte fut d'appeler chaque famille des victimes une fois arrivée au Palais, tout en laissant un message de bienvenu pour la Présidente.
De la rencontre :
De l'hublot de l'avion, Mazeri Abrogara pouvait voir un "putain" de dispositif de sécurité, sûrement le plus important qu'elle pu observer de sa vie. Les avions de chasse qui escortaient l'avion comme le veut le protocole ne sont plus visibles. Ils sont déjà dans la base aérienne la plus proche. Un des pilotes, avait par contact radio, demandé si la Présidente avait bien reçu les rapports sur la situation au sol, on informa la présidente qu'aucun changement de programme n'est prévue, et que le Prince Consort sera présent à la descente de l'avion pour accueillir Son Excellence Mazeri Abrogara. La Reine voulait une présence royale pour rassurer la délégation alguarenos. Le Prince Consort ou le Prince de Gèvres Taylor Courvoisier, proposera d'aller sur place. Il était destiné à régner, il devait affronter ce genre de situation et rassurer les citoyens de Manticore et du Royaume. La vie au sein de la capitale est normale si on omet la présence policière en nombre, ce qui est inhabituel et les barrages routiers qui commençaient à être installés. Il était possible de sortir de la région et d'y entrer, mais le contrôle était obligatoire. Rendant les anciens records de bouchon jaloux du moment présent.
À la sortie de l'avion, la délégation pouvait voir un tapis rouge au sol long de soixante mètres au minimum. Des deux côtés du tapis deux lignes de soldats royaux en tenue de cérémonie. Une tenue de cérémonie traditionnelle, qui change du choix habituel pour la tenue de cérémonie moderne. La tenue traditionnelle à un bleu beaucoup plus foncé comparé à la tenue moderne de cérémonie. Les soldats formant un mur de chaque côté, tenaient en leurs mains gantées, un sabre. Quand la présidente finit de descendre des marches, un homme en tenue s'avançant d'un pas et déclare en hurlant, pendant que la présidente continuée de marcher, en tout cas, c'est ce qui disait le protocole :
« Gardes royaux brandissaient armes ! Les soldats suivants l'ordre, brandissent leurs sabres devant leurs visages, seul le soldat qui parle ne le fait pas, il continue. Votre Altesse Royale, Prince Consort, sur l'étendue glorieuse de notre Royaume, je vous introduis avec honneur Son Excellence et très estimée présidente des Iles fédérées de l'Alguarena Mazeri Abrogara. Par votre présence sur l'étendue glorieuse du Royaume, Votre Excellence Mazeri Abrogara honore le Royaume de Teyla et vous place au champ de l'honneur du Royaume de Teyla. En étant ici, vous pouvez compter sur mon soutien et ma loyauté. Je me battrai à vos côtés et je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour vous aider à vaincre vos ennemis.
Si tout fut bien calculé, la Présidente devait avoir terminé sa marche pour arriver pile devant le Prince Consort, seule personne d'importante de la délégation teylaise présente au bout du tapis, à la fin de la prise de parole du soldat qui est retourné sur la ligne. La prince, stressé, tendu la main et déclare :
Votre Excellence, c'est un honneur de vous rencontrer et de pouvoir accueillir ici. J'espère au nom du Royaume que le voyage fut agréable. Je tiens à m'excuser au nom du gouvernement de Sa Majesté et Sa Majesté Catherine III. Je suis la seule personne, avec vous et votre délégation à être mis à l'honneur. Mais au regard des derniers événements certains ministres ont du changer leurs agendas. Ne vous en faites pas, nous avons des cérémonies diplomatiques beaucoup moins exotique Tenta le Prince sur le ton de la blague.
Teylor Courvoisier avait reçu pour consigne d'emmener la présidente dans une voiture du convoi le plus vite possible, alors dès la fin de sa phrase, il proposa à la présidente d'aller vers le convoi, tout en continuant la conversation. Alors que les sirènes des véhicules de secours hurlaient trop souvent en ce jour, le convoi se dirige vers le centre de la ville où sont visibles plusieurs gratte-ciel, dont plusieurs en rénovation si on en croit les échafaudages. Il prit la parole, voyant un sujet de conversation potentiellement intéressant :
Voyez-vous, on a toujours aimé les gratte-ciel, nous les manticoriens. Les teylais tout dépendent de leurs goûts, mais la majorité des manticoriens sont fiers de leur centre-ville. Les rénovations interviennent dans un plan d'urbanisation global de la capitale et de sa région. Le plan prévoit une ville entièrement connectée dans vingt ans et invente plusieurs projets innovants. Par exemple, des lieux de location de robot, d'automate. N'y voyait pas des robots des films ou séries. Qu'importe le design qu'ils auront, le lieu aura pour but de louer, d'échanger des automates pour les insérer petit à petit dans la vie des personnes et de les habituer à une présence humanoïde. Un projet très ambitieux qui prendra vie tout le long du siècle. Il a fallu plus de dix ans pour que l'état, la région et les mairies concernées s'entendent pour le financement, les projets à réaliser. Ils se sont tous mit d'accord pour construire plus de gratte-ciel dans le centre-ville, mais garder le style européen partout ailleurs dans la capitale. En parlant de projet dans le projet il y aussi l'idée d'un lieu qui contient les services utiles à la population. Tout ça en un endroit, aidé par l'intelligence artificielle bien entendu. Cela ne plaît pas à tout le monde au sein de la société et je le comprends. Je suis réticent vis à vis de certains points du projet, mais il est à admettre que c'est un projet ambitieux.
À la sortie de l'avion, la délégation pouvait voir un tapis rouge au sol long de soixante mètres au minimum. Des deux côtés du tapis deux lignes de soldats royaux en tenue de cérémonie. Une tenue de cérémonie traditionnelle, qui change du choix habituel pour la tenue de cérémonie moderne. La tenue traditionnelle à un bleu beaucoup plus foncé comparé à la tenue moderne de cérémonie. Les soldats formant un mur de chaque côté, tenaient en leurs mains gantées, un sabre. Quand la présidente finit de descendre des marches, un homme en tenue s'avançant d'un pas et déclare en hurlant, pendant que la présidente continuée de marcher, en tout cas, c'est ce qui disait le protocole :
« Gardes royaux brandissaient armes ! Les soldats suivants l'ordre, brandissent leurs sabres devant leurs visages, seul le soldat qui parle ne le fait pas, il continue. Votre Altesse Royale, Prince Consort, sur l'étendue glorieuse de notre Royaume, je vous introduis avec honneur Son Excellence et très estimée présidente des Iles fédérées de l'Alguarena Mazeri Abrogara. Par votre présence sur l'étendue glorieuse du Royaume, Votre Excellence Mazeri Abrogara honore le Royaume de Teyla et vous place au champ de l'honneur du Royaume de Teyla. En étant ici, vous pouvez compter sur mon soutien et ma loyauté. Je me battrai à vos côtés et je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour vous aider à vaincre vos ennemis.
Si tout fut bien calculé, la Présidente devait avoir terminé sa marche pour arriver pile devant le Prince Consort, seule personne d'importante de la délégation teylaise présente au bout du tapis, à la fin de la prise de parole du soldat qui est retourné sur la ligne. La prince, stressé, tendu la main et déclare :
Votre Excellence, c'est un honneur de vous rencontrer et de pouvoir accueillir ici. J'espère au nom du Royaume que le voyage fut agréable. Je tiens à m'excuser au nom du gouvernement de Sa Majesté et Sa Majesté Catherine III. Je suis la seule personne, avec vous et votre délégation à être mis à l'honneur. Mais au regard des derniers événements certains ministres ont du changer leurs agendas. Ne vous en faites pas, nous avons des cérémonies diplomatiques beaucoup moins exotique Tenta le Prince sur le ton de la blague.
Teylor Courvoisier avait reçu pour consigne d'emmener la présidente dans une voiture du convoi le plus vite possible, alors dès la fin de sa phrase, il proposa à la présidente d'aller vers le convoi, tout en continuant la conversation. Alors que les sirènes des véhicules de secours hurlaient trop souvent en ce jour, le convoi se dirige vers le centre de la ville où sont visibles plusieurs gratte-ciel, dont plusieurs en rénovation si on en croit les échafaudages. Il prit la parole, voyant un sujet de conversation potentiellement intéressant :
Voyez-vous, on a toujours aimé les gratte-ciel, nous les manticoriens. Les teylais tout dépendent de leurs goûts, mais la majorité des manticoriens sont fiers de leur centre-ville. Les rénovations interviennent dans un plan d'urbanisation global de la capitale et de sa région. Le plan prévoit une ville entièrement connectée dans vingt ans et invente plusieurs projets innovants. Par exemple, des lieux de location de robot, d'automate. N'y voyait pas des robots des films ou séries. Qu'importe le design qu'ils auront, le lieu aura pour but de louer, d'échanger des automates pour les insérer petit à petit dans la vie des personnes et de les habituer à une présence humanoïde. Un projet très ambitieux qui prendra vie tout le long du siècle. Il a fallu plus de dix ans pour que l'état, la région et les mairies concernées s'entendent pour le financement, les projets à réaliser. Ils se sont tous mit d'accord pour construire plus de gratte-ciel dans le centre-ville, mais garder le style européen partout ailleurs dans la capitale. En parlant de projet dans le projet il y aussi l'idée d'un lieu qui contient les services utiles à la population. Tout ça en un endroit, aidé par l'intelligence artificielle bien entendu. Cela ne plaît pas à tout le monde au sein de la société et je le comprends. Je suis réticent vis à vis de certains points du projet, mais il est à admettre que c'est un projet ambitieux.
N.B : Tes personnages ne risquent aucunement la mort ni d'être blessés. Malgré tout si tu décides de faire demi-tours, un second post sera fait pour faire la rencontre une autre fois, avec ton accord.