[Diplomatie] Contactez la République Démocratique du Zijian

Contactez la République Démocratique du Zijian
Drapeau de la République Démocratique du Zijian
Camarade, entrez donc. Le salut de l'âme se trouve peut être au table des négociations. Entrez donc, et découvrez les somptueux trésors de la République Démocratique du Zijian.

Lettre à l'intention du Camarade Kam Ada, Grande Leader de la République Démocratique du Zijian.


Camarade Kam Ada, salutations à vous.
Nos deux pays, malgré leur éloignement géographique important, malgré nos différences culturelles, malgré tout ce qui nous sépare, partagent une chose en commun : l'idéologie communiste, meneuse des forces prolétaires du monde entier. Au nom de cette idéologie, nous nous devons de faire tout ce qui en notre pouvoir pour la faire triompher des forces capitalistes, impérialistes et fascistes du monde entier, sinon, nous tomberons et finirons dans la poussière, relégués au livre d'histoire. Ainsi, pour en arriver là, nous nous devons de nous unir, de collaborer. Car nous avons une chose en commun.

Je vous propose, par cette missive, de procéder à un échange d'ambassadeurs, qui aura pour but de solidifier nos relations bilatérales, mais également mener à de plus amples coopérations par la suite. Par exemple, la mise en place d'une coopération économique. Par exemple, nous avons appris que votre pays subissait de plein fouet une phase économique inflationniste, ce dû à la prise d'indépendance de votre pays. La Loduarie aurait les moyens de mettre fin à cette situation et de redonner un souffle de vie à votre économie, si il le fallait. Tout comme nous avons les moyens d'aider votre pays à tous les niveaux, que ce soit économique, militaire, diplomatique ou encore politique.
Pensez-y, la Loduarie est prête à vous aider.
Veuillez accepter l'expression de mes sentiments les plus distingués,

Lettre à l'intention du Camarade Kam Ada, Grande Leader de la République Démocratique du Zijian.


Camarade Kam Ada, le monde communiste est chaque jour de plus en plus en danger. Il est de notre devoir de l'unir et de le rendre plus fort, et les plus petites nations, comme la votre, ont un rôle important à jouer dans cet objectif de renforcement des relations entre pays communistes, à égalité avec les pays plus gros et plus puissants défendant notre idéologie commune. Après tout, ne défendons nous pas l'égalité de tous ? Alors qu'il en soit de même dans le relations internationales.
Votre ambassadrice sera donc bien accueillie en Loduarie, et j'ose espérer qu'il en sera de même pour l'ambassadeur que nous allons dépêcher en votre capitale.

Concernant votre réponse à ma proposition d'aide, j'insiste. Comment pourrez vous défendre notre idéologie commune sans les moyens qui vont avec ? Il s'agit là d'être clairvoyant et lucide sur la situation, car seules de telles choses pourront aider votre pays à renaître, comme vous l'indiquez. Loin de moi l'idée de vous donner des leçons sur la manière de gérer votre pays, mais accepter notre aide sera un moindre mal. Contrairement à de nombreux pays dans le monde qui tendent la main hypocritement au pays plus faibles et moins développés qu'eux, nous ne demandons aucune chose en retour. La puissance qui se dégagera de votre pays grâce à notre aide sera une assez belle récompense, car elle contribura au renforcement du bloc communiste dans le monde. Nous n'interviendrons point sur votre sol si vous le désirez, mais sans notre aide, votre pays sera soit condamné à rester dans la pauvreté, soit condamné à surexploiter votre propre peuple, soit condamné à recevoir de l'aide d'autres nations moins regardantes sur votre souveraineté. La stabilité économique est également gage de contrôle sur votre propre pays : regardez donc le Mokhai. L'économie là-bas est corrompue, et ce pays peine à contrôler son propre peuple.
Réfléchissez bien. Nous ne cherchons pas à vous asservir, mais bien à vous aider.
Veuillez accepter l'expression de mes sentiments les plus distingués,

Par Geraert-Wojtkowiak Lorenzo, secrétaire général de la Loduarie communiste,

À qui de droit,

Camarades, salutations.
Depuis des centaines d'années déjà, nous communistes, nous socialistes, nous nous battons.
Nous nous battons pour un idéal.
Nous nous battons pour une nouvelle voie.
Nous nous battons pour les autres, par grandeur d'âme.

Mais, mais mais, nous ne sommes pas unis. Depuis beaucoup trop longtemps, nous employons nos forces d'une mauvaise manière et préfèrant la désunion de notre mouvement.
Pourtant nous avons les mêmes idées, les mêmes valeurs, les mêmes objectifs.
Il est temps de remédier à tout cela.
J'ai l'honneur de vous inviter à un sommet regroupant les pays communistes et socialistes du monde entier, ainsi que les mouvances et partis communistes et socialistes du monde entier.
J'ai l'honneur de vous inviter à un sommet qui décidera de l'avenir de nos idéologies.

Un homme a dit un jour, et l'a écrit : "Prolétaires de tous les pays, unissez vous !"

Il est temps de le faire.

Veuillez accepter l'expression de mes sentiments les plus distingués,

Geraert-Wojtkowiak Lorenzo, secrétaire général de la Loduarie communiste