23/06/2013
15:35:27
Index du forum Scène Internationale Diplomatie internationale

Guerre des frontières en Afarée ( rencontre Antegrad , Ouliciby , Moron et Finejouri )

Réunion d'urgence entre la Fédération Centrale D'Antegrad , Le Royaume de Moron , Le Royaume de Finejouri et L'Empire Démocratique Ouliciby


Dans le contexte de l'éventuelle fermeture des frontières entre le Royaume de Moron et de Finejouri, une réunion d'urgence est convoquée. L'Empire dépend essentiellement du passage par Finejouri pour accéder aux gisements de pétrole de Moron, ce qui signifie que toute interruption de la circulation maritime aurait des répercussions importantes sur la productivité et l'économie. De plus, cette décision de Finejouri pourrait compromettre l'alliance entre l'Empire et Moron, semblant être une réaction à l'enrichissement de l'Empire grâce aux ressources pétrolières de Moron. Dans cette atmosphère tendue, la réunion vise à discuter des mesures à prendre pour préserver la stabilité régionale et maintenir des relations harmonieuses entre les nations impliquées. Les dirigeants de l'Empire, du Royaume de Finejouri, du Royaume de Moron et de la Fédération Centrale D’Antegrad se réuniront pour évaluer les risques potentiels et rechercher des solutions pacifiques et mutuellement bénéfiques. L'objectif principal de cette réunion est de parvenir à un accord qui préserve les intérêts de toutes les parties tout en évitant toute forme de confrontation armée. Les enjeux sont considérables, car une escalade des tensions pourrait avoir des conséquences désastreuses pour la stabilité de L’Affarée et l'économie des nations impliquées.

Pour représenter l’Empire Démocratique Ouliciby, le Grand Général Shihir Moubu accompagné du Ciby, Salarin Othman seront donc présent à cette réunion .

rencontre
Shihir Moubu : Je vous rejoins donc, une guerre est la dernière chose que nous souhaitons tous. C'est dans cette optique que je propose un accord avec Finejouri. Vous pourrez durcir vos frontières, mais laissez passer tous les navires Oulicibyens et nos avions également. Bien sûr, si vous ne souhaitez pas intervenir à Moron, nous ne dirons rien. Nos forces pourrons aussi être placer entre votre frontières avec le Royaume de Moron pour aider Finejouri à contrôler .
Personne représentant le Royaume de Finejouri:

- Sa Majesté Louis II
- Le conseillé en charge de la sécurité intérieure
- Un représentant du Bureau des Affaires étrangères.


Sa Majesté Louis II: Nous sommes déjà d'accord sur un point une guerre ne servirai à rien face à la situation présente. Cependant les menaces que vous avez proliféré sont inacceptable et nous demandons des excuses de votre part. Concernant les frontières je vous pris d'écouter le conseillé en charge de la sécurité intérieure.

Conseillé en charge de la sécurité intérieure: Le Royaume de Finejouri ne baissera pas son niveau de vigilance au frontière, de plus pour l'instant seul des retards sont constaté donc rien de grave. Comme dis, si viendrait un moment ou les attaques révolutionnaires s'approcherai trop de nos frontières nous déciderions donc de fermer nos frontières. Nous sommes d'accord que la fermeture de nos frontières pourrai causer des gros soucis mais le Royaume de Finejouri refuse catégoriquement d'engager des Hommes car se n'ai pas notre combat c'est pour cela que si nous décidons de fermer nos frontière nous lancerions dans un premier temps un plan de défense avec nos différents alliés militaire mais aussi un autre plant concernant les conséquences pour les autres pays c'est pour cela que si nous devions mettre en place la fermeture total de toutes nos frontières nous laisserions quand même des échanges commerciaux se faire via plusieurs dérogation que chaque état pourra nous demander et pour finir un plan d'aide financier et humanitaire pour le royaume de Moron .
Shihir Moubu : Nous sommes d'accord avec votre conseiller, mais nous vous proposerons encore un autre accord : vous devrez séparer nos navires en deux. Les navires qui vous fourniront un papier de dérogation signé et tamponné par notre blason passeront d'urgence. Quant à ceux qui ne sont pas tamponnés, les navires attendront donc votre accord avant de passer. Pour les avions, vous n'avez spécifié aucun accord, donc nos avions continueront de survoler votre pays. Les terroristes n'auront jamais accès à des avions. Si vos frontières ferment, nous n'appliquerons cette règle que pour les navires avec ma dérogation. Grâce à cet accord, vous pourrez donc vous protéger mais aussi nous protéger économiquement. Voici, pour nous, la meilleure proposition que nous pouvons vous faire. Par contre, vous dites que cela "n'est pas votre combat". Avez-vous idée de vos paroles ? Vous osez dire devant le Royaume de Moron, qui est à côté de nous, que cela ne les concerne qu'eux ? À quoi jouez-vous ? La lutte contre le terrorisme est le combat de l'Affarée toute entière. Vous savez quelle est l'une des raisons pour lesquelles nous venons au Royaume de Moron ? Il y a quelques mois, des Oulicibyens sont morts à Antegrad. C'est donc dans cette lutte contre le terrorisme que nous allons nous battre ! Pour ne plus voir des Oulicibyens et Affaréens mourir à cause des terroristes. Vous faites la même erreur que nous il y a quelques mois, en laissant le terrorisme traîner comme une poudre. Vous n'avez pas idée de ce que vous venez de dire, mais nous vous excusons. D'autant plus que vous êtes le pays le plus proche du Royaume de Moron. J'espère que vous comprenez ce que vous venez de dire, car cela montre encore que nous avions raison de vous montrer notre colère. Éliminer le terrorisme à sa racine, voilà ce qu'il faut faire. Nous savons que notre armée et faibles voir inexistante, mais nous allons quand même nous battre .
Louis II: En effet se n'ai pas notre combat c'est pour cela que nous n'intervenons pas militairement et se sont des actes révolutionnaires contre le pouvoir et non revendiqué par une organisation terrorisme même si leurs actes sans rapproche. Ensuite concernant le droit de passage aérien aucun changement se sera du libre accès . Concernant vos navire cella est acceptable par contre nous nous laissons le droit en cas de niveau critique de tout arrêté. Concernant le faite que les actes terrorisms concerne tout le monde en Afarée laissé moi en douter car pour l'instant nous sommes peux à se soucier des dangers grandissants de se mouvement dans le royaume de Moron.
Shihir Moubu : D'accord, cela nous convient. Cependant, dire que vous arrêtez tout d'un moment à un autre nous met aussi en difficulté. Pouvons-nous réfléchir à cela ? Vous dites encore que ce n'est pas votre "combat". Mais c'est vous le plus concerné, vous partagez vos frontières avec le Royaume de Moron. Dire que certains pays en Affarée ne s'en mêlent pas, c'est être un mouton. Vous êtes des moutons ? Je ne crois pas. Vous devez non seulement agir si la majorité ne le fait pas, mais surtout considérer les enjeux économiques. Là, votre enjeu économique est de protéger vos citoyens tout en fournissant des aides au Royaume de Moron. Ma foi, nous ne dirons plus rien si vous êtes têtu. Nous vous proposons donc une charte de Navigation et de Sécurité Maritime entre l'Empire Démocratique Ouliciby et le Royaume de Finejouri.

Accord Maritime


Charte de Navigation et de Sécurité Maritime entre l'Empire Démocratique Ouliciby et le Royaume de Finejouri.

Fais à : Roinuj , Palais Pax-Gueria , Empire Démocratique Ouliciby
Le : 24/02/2013


Préambule:
Considérant la nécessité impérieuse de renforcer la sécurité maritime de Finejouri tout en préservant les intérêts économiques de notre nation, la présente charte établit les règles et procédures pour la navigation des navires en transit dans vos eaux territoriales.

Article 1 - Dérogation Obligatoire : Tout navire en transit vers Finejouri doit être muni d'une dérogation officielle signée et tamponnée par les autorités compétentes de Finejouri.

Article 2 - Contrôle des Navires : Les navires fournissant une dérogation valide seront autorisés à passer immédiatement. Ceux sans dérogation devront attendre l'approbation des autorités avant de traverser les frontières maritimes de Finejouri.

Article 3 - Accord de Surveillance Aérienne : Les avions en vol au-dessus de Finejouri continueront à opérer selon les accords en vigueur. Aucun accord spécifique n'est nécessaire pour ces opérations.

Article 4 - Application des Règles : En cas de fermeture des frontières maritimes, seuls les navires munis d'une dérogation officielle seront soumis aux nouvelles règles énoncées dans la présente charte.

Article 5 - Coordination Internationale : Finejouri coopérera avec les autres nations de L'Affarée pour renforcer la sécurité maritime dans L'Ouest de L'Affarée et au-delà.

Article 6 - Révision de la Charte:
La présente charte pourra être révisée et modifiée en fonction de l'évolution des besoins de sécurité et des conditions régionales.

Personnes qui représentent le Royaume de Moron durant cette réunion:
-Conseiller général des affaires étrangères: Hamid EL WADADI
-Roi: Amine MOUJOUD

Amine MOUJOUD: Je voulais juste parler pour vous dire pourquoi vous devrai nous aider: Nous aider permettrais une stabilité économique en Afarée. Nous aider permettrais une meilleur liberté pour tout nos citoyens. La dernière raison est que nous aider va permettre de faire un exemple pour tout les autres groupes terroriste du monde entier. Merci de m'avoir écouté je laisse la parole à mon conseiller des affaires étrangères: Hamid EL WADADI.

Hamid EL WADADI: Bonjour, il n'y a pas longtemps j'ai fait un rêve: J'ai rêvé d'avoir une Afarée unie et soudée contre les moujiks. Voyant la tournure des évènements je me rends compte que c'était bien un rêve. Je pensais à une réaction et à une plus grande aide face aux tensions dans mon pays et entendre de votre bouche que ce n'est pas votre combat me peine énormément. *pars sans dire au revoir en étant en colère*
Salarin Othman, Ciby : Je comprends votre frustration, mais partir ne changera rien. Nous sommes ici, tous réunis pour exterminer le terrorisme à la racine. Nous ne sortirons pas de cette salle tant que tous les accords ne seront pas faits. Alors, Monsieur Hamid EL WADADI, Conseiller général des affaires étrangères du Royaume de Moron, je vous prie de vous asseoir. Nous devons réfléchir. Sachez que ce débat concerne l'avenir de l'Affarée. Si nous n'arrivons pas à nous mettre d'accord, nous n'apporterons que ruine même à nos peuples, car "Dans les mains d'un incompétent, le pouvoir n'apporte que ruine", comme le dit un vieux proverbe de Hunterix Meruem, l'un de nos sujets les plus proches.
Ministre en charge de la sécurité intérieure(répondant à MR Shihir Moubu: Concernant la possibilité que l'accord sois suspendu en cas de force majeur vous serrez bien évidemment prévenu avant l'officialisation de la suspension de l'accord et Finejouri s'engagera à vous aider concernant la logistique, le transport... Ensuite je reprends vos mot ''Mais c'est vous le plus concerné, vous partagez vos frontières avec le Royaume de Moron.'' Il est effectivement vrai que d'un point de vue extérieure nous sommes les plus concerné mais si nous agissons en plus de mettre de l'huile sur le feu cela pourrait s'avérer tragique pour la sécurité du Royaume de Moron et de Finejouri car c'est facile de dénoncer le faite que pour vous nous agissons pas mais tous les pays loin de se chaos ne risque pas grand chose alors que nous oui c'est pour cela que nous restons sur la défensive car à tout moment nous pouvons en subir les conséquences. Ensuite en répondant à votre question "Vous êtes des moutons" je peux vous assurez que non car sinon nous ne serions pas la. Ensuite permettez moi de re bondir sur vos propos qui sont ''considérer les enjeux économiques.'' Nous considérons les enjeux économique or les enjeux économique de Finejouri ne risque pour le moment rien et c'est ce que en plus de la sécurité des civils de Finejouri nous voulons. Pour finir pour vous, n'autre aide est minime mais pour un état sortant de moment sombre et qui viens de sortir de l'ombre et qui essai de s'imposer dans le monde pour nous c'est une grande aide pacifique. Mais nous acceptons bien évidemment l'accord que vous nous avez proposer car notre but n'ai pas rester sans rien faire mais agir pour essayer de baisser les tensions et de trouver un terrain d'entente concernant les aides pour Moron. C'est pour cela que nous restons ouvert sur une éventuelle aide militaire mais qui au vu des circonstances ne le n'nécessite pas encore de notre point de vue. Mais après c'est sur que si les représentants de Moron parte comme bon leur semble nous n'y arriverons pas

Le conseillé après cette échange regarda le siège vide laissé par Mr Hamid EL WADADI en secouant la tête
1820
François-Adolphe Rizet - Hem... Messieurs. Nous sommes réunis ici afin de trouver une solution pacifique à une crise profonde. L'Empire n'a beau qu'être observateur, la tournure des évènements nous impose de prendre la casquette de médiateur. En tant qu'allié de la plupart des parties et une puissance régionale concernée par cela, car proche géographiquement de l'Antergrad, nous ne pouvons nous rester silencieux devant une telle situation et je pense que nos homologues banairais approuverons.

Le terrorisme est une mauvaise herbe profondément enracinée. Lutter contre elle est nécessaire, mais risquée. Le Finjouri s'est ouvert récemment au monde, comme toutes vos quatre nations. Appréhender cela peut être dur et je peux concevoir aisément la réticence à risquer la vie de ses citoyens pour un problème qui peut leur paraitre loin. Et même avec toute la bonne volonté, parfois la politique intérieure d'un pays ne le permet pas. Peut-être que l'opinion publique oulicibyenne est favorable à cette lutte, celle du Finjouri peut ne pas l'être. Le but n'est pas de régler ici d'un claquement de doigts ce problème, mais de résoudre la crise diplomatique qui est : les frontières du Finjouri seront-elles fermées ? Fermer ses frontières pour le Finjouri est un gage de sécurité. Cependant, à la base, avait-il parlé de l'espace maritime ? Les politiques nationales de sécurité sont à mon sens important et ne doivent pas faire l'objet de pressions extérieures. Je suis convaincu que l'Ouliciby ne pensait pas à mal, cependant les menaces proférées, reconnaissons-le, sont inquiétantes pour le royaume du Finjouri. Une issue comme celle-ci serait désastreuse, car les deux armées ne sont encore qu'embryonnaires et donc ne pourrait que difficilement se relever d'un coup aussi dur qu'un affrontement. Est-il également utile de risquer l'escalade avec un pays pouvant devenir un partenaire pour des raisons aussi obscures. Les considérations économiques sont importantes dans cette affaire, c'est un fait, alors parlons commerce et sans se mettre des bâtons entre les roues. Concentrons-nous sur le sujet principal sans s'éparpiller.
Conseillé en charge de la sécurité intérieure souriant devant les propos de MR François-Adolphe Rizet : Enfin une prise de parole claire et précise, comme dit précédemment les frontières de Finejouri seront pour le moment ouvertes avec le même dispositif de sécurité qu'actuellement, mais nous envisageons si besoin la fermeture complète des frontières et cela ne sera pas négociable car nous le ferons que pour un but, protéger les citoyens de Finejouri.
Salarin Othman , Ciby : Cher Observateur, Nous vous remercions pour votre prise de parole et votre perspective éclairée sur la situation actuelle. En effet, les événements récents ont mis en lumière la nécessité d'une médiation et d'un dialogue constructif pour résoudre les tensions croissantes entre nos nations. En tant qu'allié et future puissance régionale engagée, nous reconnaissons pleinement notre responsabilité de jouer un rôle de médiateur impartial dans cette crise. La lutte contre le terrorisme est une priorité commune pour tous, mais nous comprenons également les préoccupations légitimes de chaque nation concernant sa sécurité et sa souveraineté. Nous partageons votre préoccupation quant aux menaces proférées et à l'escalade potentielle des tensions. Alors, chers représentants de chacun de vos pays, je vous prie de bien vouloir rester calmes et froids. Nous ne sommes pas des barbares mais des diplomates. Continuons donc la séance...
A la vue de la situation stupéfiante dans laquelle s'était fourré l'Empire d'Oulibicy, Rayyaan el-Rashid n'avait pas les mots pour qualifier l'attitude du récent voisin déclaré du Banairah. Alors que le magnifique soleil d'Afarée rayonnait comme à son habitude sur le Ministère des Affaires Extérieures, les diplomates qui profitaient d'une journée certes remplie, mais relativement calme, furent rapidement sortis de leur torpeur : de but en blanc, l'Oulibicy menaçait par l'intermédiaire d'un de ses généraux un autre nouveau venu de la scène continentale, à savoir le Finejouri, d'intervenir militairement sur son sol s'il continuait à réguler les passages à ses frontières. De toute évidence, tout le monde dans la salle des Affaires Afaréennes avait plissé des yeux, puis les avait frottés avant de se demander que diable ils avaient mangé le matin pour avoir de telles hallucinations textuelles, puis revenant à l'évidence, que diable avait piqué le gouvernement d'Oulibicy. Dans la forme la plus impérialiste et arbitraire qui soit, le pays avait décidé qu'un pays souverain n'avait pas le droit d'user de sa liberté nationale, alors même qu'il s'agissait d'une mesure de contenance des groupuscules terroristes du Moron. On était perplexe, indubitablement, et quand bien même on comprenait les inquiétudes économiques du voisin, on trouvait ça fort de thé, très fort même.
Alors lorsqu'on avait appris par canaux diplomatiques que le Jashuria et l'Empire du Nord s'étaient joints aux tentatives d'accalmie de l'Oulibicy avec succès, l'équipe avait pu reconnaître que comme prévu, certaines nations étaient toujours de meilleurs partenaires que d'autres. Pour continuer le travail d'apaisement, il fallait désormais se rendre à la rencontre multilatérale des principaux concernés. Rayyaan, en temps que membre du Bureau des Affaires Afaréennes, était tout désigné. Après tout, il avait travaillé sur plusieurs des sujets préparatoires à la question du Bajusid et sur le plan stratégique de la région ouest-afaréenne.
Toute cette affaire pourrait faire le pain béni du FCAN, se dit-il. Après tout, quelle bonne occasion de montrer son utilité, et par la même occasion faire du Banairah une réelle puissance diplomatique afaréenne globale.
Louis II:En regardant MR Shihir Moubu , Bon, outre maintenant la question de nos frontières qui, j'espère est réglé, allons-nous nous mettre d'accord sur comment aider Moron, car, comme vous l'avez si bien dit il faut éradiquer toute menace pouvant causer de nombreuses pertes. Car sinon nous ne sommes pas prêt à remettre nos frontières comme avant.
Shihir Moubu : Personnellement, notre Empire prévoit un débarquement militaire dans les terres moronaises. Il faut donc que vous décidiez si vous souhaitez intervenir dans le Royaume de Moron ou vous retirer dans vos frontières. C'est votre choix.
Haut de page