02/07/2013
02:57:42
Index du forum Règles et inscription Inscriptions Inscriptions validées

[VALIDEE] État de Guadaires [TERMINE]

0

Création de pays : ÉTAT DE GUADAIRES


Généralités :



Nom officiel : Estado de Guadaires
Nom courant : Guadaires [ɡwaˈðajɾes]
Gentilé : un Guadamos / une Guadamos

Inspirations culturelles : Espagne & Portugal
Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : Guadamos (Espagnol)
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Dianois (depuis 1991), Français (depuis 1991)

Drapeau :
Briamar_Drapeau

Devise officielle : "El pueblo, la libertad y la paz"
Hymne officiel :
Monnaie nationale : Regal (Ꞧ)

Capitale : Guadaires

Population : 21 453 200 habitants


Aperçu du pays :



Présentation du pays :
Géographie et Climat :
L'État de Guadaires est située tout au sud du continent Eurysien sur les côtes de la mer Leucytalée. Il est séparé du reste de la masse continentale par un canal dont les deux embouchures se jettent à la mer, il s'agit du Canal de Guadaires. Sa petite superficie de 15 249 km², ainsi que l'importance de la seule métropole du pays, Guadaires, dont l'aire urbaine couvre tout le territoire, lui valent d'être reconnu comme une Cité-État. C'était d'ailleurs comme cela qu'il se fessait appeler jusqu'en 1801.
L'unique pays avec lequel Guadaires partage une frontière physique est l'Empire de Dian au nord.
Le pays bénéficie d'un climat tempéré chaud sur la totalité de son territoire, cependant celui-ci temps à se réchauffer, le centre du pays est parfois considéré comme semi-aride. Les hivers y sont doux avec des tempéraures moyennes autour de 13°C en janvier, en été, au mois d'aout la moyenne est autour de 30°C, avec des pics de chaleurs au-dessus de 40°C.
Les côtes du pays alternent entre de petites falaises et des criques avec des plages à l'est. À l'ouest, on retrouve surtout de grandes plages de sable. Les côtes du sud sont cependant très bétonnées.
Administrativement, le pays est divisé en communes dont la plus grande est celle de Guadaires au sud. De manière générale, le sud du territoire est bien plus peuplé que le nord. Les communes les plus importantes sont : Guadaires avec 12 245 300 habitants, Lluvia avec 2 435 000 habitants et Puerto-Laraze avec 1310000 habitants. Toutes font parties de l'agglomération de Guadaires
Le Découpage administratif
dadmi
Le découpage administratif du Guadaires depuis 1927

Histoire :

La ville de Guadaires a été fondée autour de -300. Selon la légende, c'est un simple éleveur de mouton qui vivait dans la région qui aurait reçu l'ordre du dieu Guad (Dieu du Soleil dans la religion Guadamos avant l'évangélisation du peuple) de fonder une ville en son nom. L'homme, nommé communément Audres, commencera à construire le Templo del Dios Sol, seul, à mains nues et avec une force surhumaine, sur la colline, aujourd'hui nommée Grandes Aires qui constitue le centre-ville. Ce temple existe réellement et a été converti en église au Vᵉ siècle. Cependant, les historiens démentent cette vision et préfèrent attribuer la fondation de la cité à un Royaume d'éleveur-pêcheur autour des années -400. Bien que ce peuple soit l'ancêtre des Guadamos, il en demeure peu de trace. On l'appelle les Guadaros en référence au Dieu Guad et au nom actuel des habitants de Guadaires.
Néanmoins, la ville a rapidement gagné en importance grâce à sa position privilégiée sur le détroit de Leucytalée qui lui a permis de devenir un point d'arrêt pour les navires en provenance d'autres pays. On estime que la cité aurait pu dépasser les 300000 habitants autour de -100 en plein durant son premier âge d'or. Grâce à sa réputation et son prestige, la plupart des habitants étaient étrangers, ce qui a donné au Guadamos contemporains un héritage génétique et culturel important et diversifié. La ville ayant vite été centrale dans les échanges de marchandises internationales, elle a pu ce develloper autour de la transformation des matières premières comme le métal ou le verre.

Cet "Âge d'or" va durer jusqu'en 13, à cette date, la Cité-État va subir une grave épidémie de peste. Cette crise va détruire la réputation de lville et sa puissance économique. En 98, l'état de la cité est au plus bas et les Guardias Supremos (la police de la ville) très influents dans la société, feront un coup d'État contre le Conseil des sept Sages qui gouvernait alors le pays. Après une période de transition de 10 ans pendant laquelle les trois Chefs Généraux de la Guardia dirigent le pays. Orio Ier (108-145), héritier du Sage Cristobal de Vanesca, sera mis à la tête de la cité. C'est le premier prince de Guadaires. Il sera bien accepté par la population qui voulait depuis longtemps déjà un changement profond de la société. La première mesure qu'il prendra sera la division de la population en Ordres : les producteurs, la noblesse et, sous le règne de Gonzalo III (430 - 466), le clergé.
L'évangélisation des Guadamos débutera en 398, date à laquelle un groupe d'étrangers chrétiens arrive dans la ville et créent l'Église de Guadaires. La population chrétienne ne cessera pas de croître avec l'immigration, mais également dans le peuple Guadamos. Cette situation qui évolue rapidement fait peur au prince Gonzalo II (401 - 430) qui interdira la religion et démantèlera l'organisation de l'Église de Guadaires ainsi que la grande cathédrale qu'ils avaient bâtie. Mais le processus était déjà lancé et atteindra même la famille royale. En 430, lorsque Gonzalo III prendra le pouvoir, il instaurera l'Ordre du clergé et fera du christianisme l'unique religion d'État de la cité alors même que l'on estime que moins de 40% des Guadamos étaient chrétiens. Son descendant, Gonzalo IV, aussi dit Gonzalo el Piadoso, (466 - 511) interdit la pratique de toutes les autres religions et force la conversion des derniers résistants au christianisme. Il transforme tous les temples en églises.

À partir de cette époque, Guadaires va connaître une longue période de stabilité favorable au développement économique, démographique et culturel. En effet, le Ve et VIe siècle sont connus pour leurs nombreux intellectuels et artistes comme le peintre Llorenco de Gudiel (509 - 557), le philosophe Martín de Argote (589 - 676) ou la poétesse Angela de Murio (636 - 701). Malgré l'arrivée d'une religion au mœurs plus stricte, cette époque va être une grande période de liberté. En même temps, de grands navigateurs comme Nadal Cabmillas (576 - 619) vont redécouvrir des terres relativement lointaines et redémarrer un commerce important avec les royaumes tout autour de la Leucytalée, sans atteindre pour autant le niveau de l'Age d'or. Cette période est appelée la Période d'argent.

En 705, le prince Salvador I (705 - 775), très croyant, va se mettre en tête de replacer la religion au centre de la vie des Guadamos. Il écrira entre 707 et 716, les édits de Bartolome (nom d'un quartier de la ville de Guadaires), des textes de loi très strictes qui punissent de mort le non-respect des règles religieuses. Un nombre considérables de penseurs vont être tués durant son règne. Ses textes seront appliqués jusqu'en 803, lorsque le prince Salvador III (800 - 857) les remplace par des édits bien moins strictes. Néanmoins, la religion deviendra, au moins jusqu'au XIIIe siècle, centrale dans la vie des Guadamos.
Les échanges commerciaux du Guadaires va commencer à décliner autour du IXe, les anciens marchands et navigateurs qui se retrouvent alors sans emplois vont se reconvertir en agriculteurs pour pallier au manque de nourriture grandissant. C'est à cette période que l'influence de la principauté va s'étendre en dehors de la cité de Guadaires. Dans des terres longtemps restées désertes. En 950, on estime la population Guadamos plus d'un millions d'habitants avec ses campagnes, ce qui en fait pour l'époque un territoire très peuplé.

Au cours du XIIe siècle, la famille princière va être remise en cause par la noblesse qui l'accuse de vouloir les affaiblir et les appauvrir. Un opposant, ancien ministre, Tomas de Pereda deviendra le chef des mouvement d'opposition. En 1178, le prince Salvador VII (1147 - 1178) est assassiné par un partisan Tomasien. Cet évènement démarre une guerre civile violente qui dure jusqu'en 1204, les Tomasiens vont remporter cette dernière et Henrrique de Carrel, considéré comme l'héritier de Tomas de Pereda est intronisé sous le nom de Henrrique I (1204 - 1256). Il fait regagner à la principauté sa réputation d’antan en redynamisant la culture et la production d'objets de luxe qui avait fait la notoriété de Guadaires.

Cette nouvelle période de croissance va brusquement être stoppé en 1444 avec l'arrivée des colons Diaen aux portes de la cité. La population résolument contre l'idée d'être annexée pousse le prince Henri II (1437 - 1448) à déclarer la guerre aux peuple étranger. Malheureusement, la principauté qui n'a alors jamais menée de grandes guerres est peu équipée, son armée est bien plus faible que celle des Diaen et Guadaires tombe entre les mains de Dian en 1447. Le prince est démis de ses fonctions un an plus tard. Malgré les efforts des Diaens pour assimiler les Guadamos ceux-ci résistent, ils conservent leur langue, leur religion, leur culture et leur spécialités. Cette période est assez instable et le les citadins se révoltent à plusieurs reprise contre l'occupant comme en 1456 ou en 1478. Ces différentes révoltes renforce le sentiment d'appartenance du peuple Guadamos et leur refus de se soumettre au Dian.

La scission du Royaume de Dian en 1596 est l'occasion parfaite pour les Guadamos pour se révolter. Les Diaens occupés à d'autres affaires et affaiblis par les tensions qui règnent dans leur pays peinent à se défendre et l'indépendance de Guadamos est effective en 1597. Le descendant de Henri II, Henri III (1597 - 1637) est aussitôt intronisé. ce dernier met rapidement en place une armée puissante chargée de protéger le pays. Néanmoins le territoire est affaibli et subit une importante famine.

Le Grand Royaume de Dian profite de cette situation pour attaquer une nouvelle fois la principauté en 1663, celle-ci fut contrainte de signer le Traité de Paix de Bartolome qui implique que le Guadaires devienne un protectorat Diaens. Ce dernier est vécu comme une humiliation par les Guadamos. Le prince Henri IV (1637 - 1678) demeure néanmoins au trône bien que soumis au Dian. Le territoire est une opportunité pour les Diaens qui contrôlent désormais, en partie, le détroit de Leucytalée et peuvent commercer avec d'autres pays plus facilement. Mais tout cela est fait en ignorant les habitants qui sont victimes de graves famines.

En 1726, Dian devient une République après une violente révolution. Le prince Juan II (1723 - 1726) est forcé à abdiquer et est finalement fusillé en 1727. Cet évènement ne asse absolument pas chez les Guadamos, qui se révolte et assassinent de nombreux Diaens habitant à Guadaires dans la nuit du 27 au 28 juin 1727. La répression du colonisateur est très violente : on estime le nombre de Diaens tués à 1300 et le nombre de Guadamos tués à 2430. Plus de 10 000 autres sont arrêtés et emprisonés dans la prison de la Paz, à Guadaires même. Les mouvements révolutionnaires ne cessent pas pour autant et deviennent même de plus en plus virulents.

En 1730, la seconde République est déclarée à Dian. Dans la foulée, les Guadamos prennent en otage plus de 100 Diaens et réclament des discussions. Sous la pression, la toute jeune République accepte. C'est ainsi que Juan de Masolvillas se déplace à Hondian, la capitale de Dian. Les discussions, très musclées, durent plusieurs jours. Sous la menace, les Diaens finissent par accepter l'indépendance de Guadaires sous les deux seules conditions que leurs ressortissants et les otages puissent regagner leur pays et que la Cité-Etat instaure un régime républicain. À son retour, Juan de Masovillas fonde l'Assemblée Générale, qui devient l'organe central de la république. Il se proclame Président. La première mesure prise sous ce régime est l'abolition de la noblesse et des privilèges.

Cependant, si De Masovillas est un fervent défenseur de la République, ce n'est pas le cas de beaucoup de Guadamos qui réclament le retour du prince. Les tensions entre monarchistes et républicains vont gagner en ampleur pour atteindre leur apogée en 1745. Les monarchistes vont pénétrer dans le Palais Présidentiel (qui n'est autre que l'ancien Palais des Princes) et s'attaquer à Sebastian Bucheras, alors Président. Ce dernier est sauvé in extremis par des Gardes de la Présidence, mais l'évènement laisse des traces dans la mémoire des citadins. Les élections législatives de 1750 sont remportées de peu par les monarchistes, qui réhabilite le descendant du dernier prince : Juan III (1750 - 1767). Cependant, les monarchistes se divisent au sujet du fonctionnement de la principauté. Certains souhaitent que la situation reste comme elle est, d'autres veulent le retour du pouvoir absolu et enfin certains s'accordent avec les républicains pour réclamer l'établissement d'une constitution. Les débats vont faire rage dans l'assemblée jusqu'en 1754 où le prince, par un édit, récupère l'ensemble des pouvoirs. Les Diaens, eux, voient ce retour de la monarchie comme une rupture de Traité et les tensions entre les deux pays, qui s'étaient estompées, sont ravivées. Les deux Etats ferment leurs ambassades et ne les rouvriront qu'en 1780. La situation reste stable jusqu'à la mort du prince en 1767, un vote est organisé dans l'Assemblée Générale — bien que cette dernière est perdu son pouvoir — pour savoir si le descendant du prince devrait être intronisé. La majorité désormais républicaine vote contre. Mais, le prince héritier refuse les résultats du vote et déclare la guerre aux républicains. Il est soutenu par les monarchistes plutôt minoritaires, mais plus riches, donc mieux armés. C'est le début de la Guerre Civile Guadamos qui dure jusqu'en juin 1780 avec la victoire des républicains qui réinstaurent le régime d'avant 1750 et y intègrent une constitution en 1782. En 1801, le nom officiel du pays passe de "Cité-Etat de Guadaires" à "Etat de Guadaires" pour mieux intégrer la campagne alors en pleine croissance.

Le XIXe siècle est une période de renaissance économique et culturel pour le pays. Ce siècle connaît aussi la naissance du nationalisme Guadamos qui mène à une profonde haine de Dian. En 1811, le Président, Luis Manuel, annonce la création d'une armée stable et puissante nommée la Gran Ejército Popular. Au fil des ans, elle devient de plus en plus importante et aujourd'hui, elle permet au Guadaires de bénéficier d'une vraie armée régulière malgré la modeste taille du pays et son statut de Cité-Etat. Le XIXe siècle est aussi le siècle de la Révolution Industrielle, cette dernière commence réellement autour de 1850/60 au Guadaires grâce à l'influence des nations lointaines avec lesquelles le pays commerce. Les nouvelles usines remplacent, petit à petit, les manufactures plus que centenaires dans les campagnes et des entreprises bientôt multinationales s'installent dans le tout nouveau quartier d'affaires du Sol Dorado. Bientôt, ce sont les entreprises étrangères qui arrivent dans la cité et y fondent un siège social ou une usine. La société Guadamos est totalement transformée.

L'apogée de ce "nouvel âge d'or" est atteint entre 1915 et 1940. Quelques années auparavant, les patrons d'entreprises développent les loisirs autour de leurs usines. C'est dernier sont destinés aux ouvriers, le patronat espère ainsi limiter les grèves, légalisées depuis 1880. Cependant, les populations bourgeoises qui découvrent ces plaisirs y prennent goût, si bien que des entrepreneurs, y voyant une bonne affaire, se mettent à construire des foires, des parcs d'attractions, des piscines, etc massivement cette fois destinées à la haute société. C'est le début de l'industrie du loisir. Les classes ouvrières ne bénéficieront finalement que très peu de ces infrastructures. Rapidement, ces nouveaux divertissements deviennent connus internationalement et le Guadaires devient un pays du tourisme et du loisir. En parallèle, le parti Social-Démocrate monte au pouvoir. Il démarre une refonte du système. L'assemblée générale n'élit plus le président, cette tâche revient au peuple et le Sénat, dont les membres sont élus au suffrage indirect, est créé. Le Président modifie, par ailleurs, totalement les divisions administratives du pays : les cantons disparaissent au profit de communes administratives. Cependant, en 1940, la BVG (Bolsa de Valores de Guadaires) chute violemment, créant un mouvement de panique chez les actionnaires. Les conséquences de cette chute sont catastrophiques, l'économie de Guadaires s'effondre, les entreprises font faillites et le chômage explose.

La situation durera jusque dans les années 1960. Néanmoins, la période qui suit reste assez instable par rapport à celle des années 1930. Le chômage reste haut et la pauvreté assez forte. On constate également, à l'instar des autres pays du monde, un changement du fonctionnement de la société. Petit à petit, les couches populaires accèdent à certains loisirs nouveaux comme les boîtes de nuit ou la plage, les minorités sont de plus en plus entendues dans l'espace publique comme les femmes, les homosexuels ou les personnes racisées et on assiste à l'apparition de la jeunesse contemporaine. Le pays devient important dans la contre-culture de ces années comme avec le mouvement Disco, Punk ou Grunge. Les boîtes de nuits et les évènements festifs "alternatifs" de la ville deviennent réputés à l'international. Comme dans beaucoup de pays, l'inflation est importante dans cette période.
Malheureusement, cette période est aussi le théâtre de nombreuses crises, on assiste notamment dans les années 70 et 80 à une "épidémie" des drogues comme les Benzodiazépines, l'héroïne ou encore la cocaïne. Ces dernières inondent le marché noir et les discothèques et sont boostées par la pauvreté et la jeunesse qui devient adepte de ces substances. L’État en sortie de crise peine à réguler le marché, on estime le nombre de morts de ces drogues à plus 100 000 entre 1975 et 1985.

Aujourd'hui, le Guadaires se relèvent rapidement économiquement et socialement. Il bénéficie à nouveau de sa position importante pour le commerce international et du tourisme. Bien que les inégalités persistent, particulièrement à cause des politiques ultralibérales des Présidents qui ne laissent que peu de place aux aides sociales, la crise semble loin derrière. La présidente actuelle, Laura Balaguer, est membre du Parti national-libéral de droite.

Économie et développement humain :

Le Guadaires est un pays riche. Son économie est essentiellement basée sur le tourisme, l'exporatation de produits de luxes (mobilier, verrerie, tissus...) et son port. La mode s'est aussi dévellopée au cours du XIXe et XX siècle, les bijoux, vêtements et parfums des maisons de modes Guadamos se vendent beaucoup à l'international.
Son agriculture est centrée sur la production d'agrumes de toutes sortes et d'huile d'olive, de colza et de tournesol. Elle est assez peu intensive, ce qui lui donne une réputation assez importante à l'internationale. On y fait aussi du vin. Au contraire, l'élevage porcin et de veau, assez développé dans le pays, est très intensif, en raison du manque d'espace, ils sont assez décriés. Enfin, on constate l'émergence de nouveaux secteurs comme celui de l'automobile, de l'aéronautique et du secteur banquier et des assurances depuis les années 2000.
Le développement humain est relativement haut sans pour autant que le pays ne se place en tête de liste. Guadaires est l'une des ville les plus riches au monde.

Mentalité de la population :
La population, exposée depuis toujours aux voyageurs et aux touristes, est très ouverte et apte à discuter avec des inconnus. Elle est vue comme particulièrement gentille et il ne faut pas avoir peur d'entrer en contact avec les Guadamos qui pourront facilement devenir des amis.
Les Guadamos sont aussi un peuple très patriote qui aime profondément son pays. Néanmoins, ils restent ouverts aux critiques et à la dérision.

Place de la religion dans l'État et la société :
L’État n'a officiellement plus de religion, cependant, la Constitution Guadamos reconnait l'héritage du christianisme (dans sa globalité) dans la culture du pays. La plupart des Guadamos sont croyants et catholiques . Les population applique une version plutôt libérale de leur croyances et chacun l'imagine comme il le souhaite. On ne peut pas dire que la religion a une place importante dans la société mais plutôt dans chaque individu.


Politique et institutions :



Institutions politiques :

Le Président : il est le chef de l’exécutif. Il est élu tous les 6 ans et peut former son gouvernement qui est constitué de secrétaires d’État. Il dirige surtout les affaires internationales et donne un ton aux politiques gouvernementales.
L'Assemblée Générale : c'est la principale instance législative, elle est formée tout les 5 ans au scrutin direct et universel. Elle est composée de 200 députés. Elle possède le pouvoir de dissolution du gouvernement, mais peut aussi être dissoute par le président.
Le Sénat est la seconde instance législative, son pouvoir est réduit par rapport à l'Assemblée Générale qui a dans tout les cas le dernier mot. Il peut proposer des lois et les modifier. Il a aussi le pouvoir de dissoudre le gouvernement. Il est reformé en même temps que les élections municipales, tout les 7 ans, car les sénateurs sont mandatés par les maires. On en compte autant que de communes.
Le Conseil constitutionnel protège la loi fondamentale guadamos. Il peut refuser les lois qui l'a viole et dissoudre n'importe qu'elle instance qui ne respecterait pas la constitution. Les 10 juges constitutionnels sont choisis par l'assemblée, le sénat et le président, à vie.
La Cour Suprême est la plus haute instance judiciaire du Guadaires. Elle est composée de 7 juges suprêmes élus par l'ordre des magistrats pour 10 ans. Elle a la capacité de diriger le système judiciaire Guadamos et de choisir le procureur général.

Principaux personnages :
Présidente Fédérale
La Présidente, Laura Balaguer (National-Libéralistes)
Le secrétaire d’État chargé des Affaires Étrangères
Le Secrétaire d’État chargé des Affaires Étrangères, Enrico Soares
Maire de Guadaires
Le Maire de Guadaires, Juliàn Assandi, l'un des personnage les plus important du pays

Politique internationale :
Le Guadaires est un pays ouvert au relations internationales. de part son histoire, il prefèrera toujours la diplomatie aux conflits.
0
Bonsoir !

Nous te remercions pour ton intérêt pour Géokratos. Ta fiche est assez complète. L'histoire est bien pensée, rendant le pays assez intéressant.

Cependant, tu joueras le Briamar en 2013. Bien que fournie, la description du pays s'arrête à 1853, ce qui est assez dommage ! Le passé est évidemment important pour comprendre bien des choses, mais il est nécessaire que tu décrives l'histoire récente de ta nation. Comment se sont déroulées les dernières années/décennies au Briamar ? Tu peux également évoquer les enjeux auxquelles le pays est actuellement confrontés.

Si tu as des questions, n'hésite pas à venir sur le discord de la communauté pour les poser !

Bon courage !
0
Bonjour, je pense avoir corrigé ce problème
0
J'ai totalement refait ma fiche, car j'avais pris le même territoire que l'empire de Dian.
0
Freezox a écrit :
J'ai totalement refait ma fiche, car j'avais pris le même territoire que l'empire de Dian.

Yo tu fera gaff mais là ta une surpopulation de ouf mdr
0
En soi, c'est une grosse cité état, le territoire fait 15000km² et il est grandement urbanisé
0
C'est validé, belle fiche !

Merci pour ta patience, la création de la nation va bientôt suivre.
0
Merci beaucoup !
Haut de page