02/08/2013
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Exclave de Somagoumbé

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Nom officiel : Zones Autonomes Démocratiques du Somagoumbé
Nom courant : Exclave de Somagoumbé

Population (données Septembre 2013) : 3 210 154 hab
Densité : 37 hab./km²
Plus grandes villes : Alkunfidralia
Superficie : 85 788 km²




Introduction :

Les Zones Autonomes Démocratiques du Somagoumbé forment une région autonome suivant le cours du fleuve Somagoumbé. Elle se compose de sous-communes autonomes et de communes « immatérielles » représentant les différentes entités nomades utilisant la région comme point de chute.

En termes officiels, les Zones Autonomes forment une confédération laïque suivant des principes de démocratie directe basées sur le confédéralisme démocratique et libertaire kah-tanaise, promouvant la décentralisation, l’égalité des sexes et ethnies, le respect de l’environnement et des cultures locales ainsi que la protection et le respect de la pluralité religieuse et politique.

L’histoire des Zones Autonomes est relativement récente en ça qu’elle fut pendant des années une entité territoriale non-reconnue dont la création était revendiquée par plusieurs clans nomades, leaders d’opinions et membre de l’opposition politique au sein du Royaume de Moron, qui a conquis la région durant le XVIIème siècle et n’a eu de cesse que de la coloniser, cherchant notamment à sédentariser les populations nomades y habitant traditionnellement. Celles-là ont rejoint la confédération kah-tanaise en 1860, ce qui s’est matérialisé par la création es commune de Somagoumbé autour de la région lacustre d’El-Oued. L’engagement confédéral à obtenir la libération de l’ensemble des territoires traditionnellement nomades et le droit de passage des pèlerinages sur les territoires colonisés cimenta l’alliance d’origine pour en faire une adhésion totale des populations autochtones à l’Union. Les clans se socialisèrent progressivement durant le vingtième siècle et d’importantes négociations eurent lieu à l’échelle confédérale pour éviter qu’une guerre ou des actions de guérilla n’aient lieu contre le royaume de Moron. Cette politique créa cependant une certaine forme de frustration au sein des populations autochtones désireuses de retrouver le plein contrôle de leur "paradis vert", servant traditionnellement de zone agraire fournissant les clans en vivres.

Une partie des territoires revendiqués par les clans furent finalement intégrés à la Confédération en 2013, calment l’essentiel des tensions et ouvrant la voie à la création d’une nouvelle commune supérieure en Afarée.
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