01/07/2013
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Demande de création de pays - Monarchie parlementaire de Shajolkapoor Jee

Création de pays : MONARCHIE PARLEMENTAIRE DE SHAJOLKAPOOR JEE


Généralités :



Nom officiel : Monarchie parlementaire de Shajolkapoor Jee

Nom courant : Shajolkapoor Jee

Gentilé : Shajolkapooree Jee, Shajolkapoora Jee

Inspirations culturelles : Inde, Maroc, Ethiopie, Grèce

Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : Hindi, anglais, grec

Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Pendjabi, bengali

Drapeau :
Drapeau

Devise officielle : A travers des sourires ou des larmes

Hymne officiel :

Monnaie nationale : Kopar

Capitale : Ladjol

Population : 10 500 000 habitants


Aperçu du pays :



Présentation du pays :



La grande division : 629 à 1201
À la mort de Danesh, les quatre commandants militaires ayant menés l’opération menant à la chute de l’Empire se partagent le territoire en quatre empires. Si au début, tout se passe bien, des tension surviennent assez rapidement, tous les quatre ayant soif de pouvoir et de conquête et souhaitant conquérir les empires voisins. Ces six siècles sont donc marqués par des alternances entre périodes de conflit et période de pause. On peut imaginer l’effet néfaste que cela a pu avoir sur le développement de l’art, de la culture et des avancées sociales. La population a d’ailleurs stagné durant toute cette période, avec des phases de diminution, le climat n’étant propice à aucune poussée démographique et la pauvreté étant massive sur l’ensemble du territoire.
Cette période se conclut par la sanglante Grande Guerre qui opposa les quatre empires et a vu la victoire de l’empereur Vivush, qui donna donc son nom à l’Empire réunifié de Vivush et marque le début du règne de la dynastie Vivush.

La dynastie Vivush : 1201 à 1671
La dynastie Vivush est marquée par un retour de l’importance des arts et des sciences et des échanges avec les Etats voisins. De nombreux explorateurs partent voyager et reviennent en partageant leurs découvertes.
Certaines étapes marquantes de cette dynasties sont les suivantes :
  • L’assassinat de l’empereur Qasimu II par sa nièce en 1254.
Sa nièce, après son arrestation, sera violemment torturée jusqu’à sa mort. En effet, ligotée par les quatre membres, dénudés, elle a été exposée sur la place principale de la capitale. Les passantes faisaient alors la queue pour pouvoir chacun leur tour lui tenailler le corps avec un petit couteau et lui arracher un bout de peau.
  • La mort tragique de l’empereur Krishni, fils de Qasimu II, en 1255, à 5 ans, des suites d’une maladie terrible.
  • La première impératrice de Shajolkapoor Jee, Alia Vivi, en 1439.
À la suite de la mort de de son père, l’empereur Krishni III, Alia Vivi, seule héritière, alors âgée de 39 ans, érudite et très appréciée de la cour de son défunt père, obtient la tenue d’une conseil de crise sur la possibilité d’une femme impératrice. Après des semaines de débats intensives, d’altercations, de manifestations, il est décidé d’admettre cette possibilité.

La dynastie Khan : 1671 à nos jours
En 1671, en raison de l’absence totale d’héritier et d’hériter à la mort de l’Impératrice Indila II, alors âgée de 101 ans, fille unique et stérile, les conseilleurs du palais partent à la recherche du plus proche cousin éloigné. C’est alors en la personne de Bubal Khan que ce fameux cousin est trouvé. Il n’était toutefois pas destiné au pouvoir et ses débuts sont rudes. L’Etat traverse donc pendant quelques années une période d’instabilité politique et les choix de Bubal Khan sont pendant le début de son règne quelques douteux (comme le montre un édit qu’il prend pour interdire la vente de pomme dans le pays après s’être étouffé avec une pomme lors d’un repas et ayant eu peur pour sa vie). Fort heureusement, ses conseillers parviennent à le raisonner et à le rendre plus expérimenté.

Après son règne, l’évolution de l’empire suit son cours. Les évolutions et avancées sociales se succèdant jusqu’à la survenu d’un drame. En effet, un conflit armé fait sombrer l’Empire dans une sombre période entre 1899 et 1912, causant la mort de près de 380 000 citoyens. D’autant plus que, dans la phase de reconstruction suivant ce conflit, en 1918, le cyclone de Bephi touche la côte Sud du Shajolkapoor Jee, causant la mort tragique de plus de 79 000 personnes. À la suite de cette catastrophe, l’exécutif décide donc d’investir massivement dans la recherche environnementale et dans la protection du climat pour pouvoir au mieux répondre à d’éventuelles catastrophes futures.

Lors de son règne entre 1923 et 1943, l’Impératrice Chandail Khan multiplie les avancés sociales. Sont votés l’autorisation de l’IVG pour toutes les femmes jusqu’à la 15e semaine de grossesse, le droit de vote aux femmes, l’interdiction du travail des enfants de moins de 15 ans et l’instruction obligatoire pour tous les enfants de 6 à 15 ans. Une statue est érigée pour lui rendre hommage près de la place de Ladjol et un jour férié lui est dédié le 9 avril, date de sa naissance.

Il faut ensuite attendre 1969 pour un événement qui transformera le pays à jamais. En effet, en 1969, Achille Andreadis, étudiant missionnaire venu de région hellénique en quête de découverte du monde atterri à Ladjol. Il y découvre une culture riche et passionnante et décide donc de s’y installer définitivement. Ce choix est fortement favorisé par le coup de foudre qu’il a sur place pour une jeune femme ladjola. Dotée d’une spiritualité très prononcé et fervent croyant de la religion hellénique, lui et sa femme ont l’idée de vivre de manière autonome dans la nature et de créer une ferme participation aux abords de la capitale, dont l’objectif serait d’accueillir certaines personnes désoeuvrées et miséreuses. Peu à peu, plusieurs citoyens les rejoignant. Le groupe augmente et c’est ainsi qu’en 1972, ils sont près de 120 à vivre dans la ferme et dans ses alentours. Achille Andreadis ne tarde pas à se faire connaître dans la capitale et plus précisément dans le palais. L’empereur Bubir Khan II, voyant d’un mauvais œil l’arrivé de cet individu qui commence à se créer une place politique. C’est ainsi qu’en 1974, une tentative d’assassinat est organisée par à l’encontre d’Achille Andreadis. Bien qu’encore aujourd’hui, rien ne le démontre, nombreux sont ceux attribuant cet acte à l’empereur lui-même. Cet événement, contre toute attente, a marqué le début de virulentes manifestations. Des habitants de la ferme d’Andreadis sont venus devant le palais pour dénoncer un acte prémédité de l’empereur. Craignant des retombées de cette rumeur, l’empereur, à la suite d’une réunion de crise avec ses plus proches collaborateurs, a décidé d’accorder à Achille Andreadis une partie du nord de l’Etat, demeurée inoccupée, afin de lui permettre d’installer une ferme plus grande, mais loin du palais, pour éviter toute concurrence potentielle. Le temps s’est écoulé et Achille Andreadis est parvenu à construire le havre de paix dont il rêvait. Autour de la ferme s’est construit un village, Andreashahar. Achille est devenu une sorte de chef spirituel, guidant sa communauté. Au fil du temps, il est parvenu à introduire au sein de sa ferme la religion hellénique et à en faire la religion officielle d’Andreashahar, qui compte près de 1800 habitants en 1985. Entre 1985 et 2001, cette religion se diffuse au nord de l’Etat jusqu’à compter 300 000 croyants en 2001, année où Bubir Khan II reconnaît officiellement la religion helléniste comme religion autorisée.

A sa mort en 2006, c’est la fille de Bubir Khan II qui accède au trône. Kajol Khan, à la fin de son discours d'investiture, a émus de nombreux citoyens en énonçant, dans un ton sincère et touchant, devant près d'un milion de Shajolkapooree Jee ayant fait le déplacement :
"A travers des sourires et des larmes, nous continuerons, ensemble, mains dans la mains , à lutter contre la pauvreté qui a tant ravagé certaines de nos contrées et qui continuer à causer à nuire à la santé de nombreux de nos concitoyens !
A travers des sourires et des larmes, je le clame et le dis haut et fort, vive Sjajolkapoor Jet et vive ses citoyens, qui offrent à cet Etat son dynamiste, son histoire, et sa puissance !
Mais surtout, à travers des sourires et des larmes, je souhaite que les sourires perdurent et que les larmes sèchent et plus jamais ne durent !"

Mentalité de la population :
Les citoyens de Shajolkapoor Jee sont très attachés à la défense de leur culture, de leurs arts, de leur patrimoine. Ils sont assez proches de la nature. L’éducation à la littérature et à la philosophie en général a une place centrale.
Il faut savoir que le cinéma est un art majeur et national. Le cinéma est un mode d’expression patriotique, social et culture fondamentale à Shajolkapoor Jee. Il est à noter que l’Etat a une des industries cinématographiques les plus foisonnantes au monde avec près de 1000 films qui sortent chaque année. De grandes familles d’acteurs ou de producteurs ont d’ailleurs une place politique fondamentale.
Toutefois, il faut noter un retard quant aux nouvelles technologies. Les téléphones, les ordinateurs et Internet sont assez peu nombreux et leur utilisation reste très sommaire.

Place de la religion dans l'État et la société :
La religion a une place très importante au sein de la Monarchie parlementaire de Shajolkapoor Jee. La religion d’Etat est l’Hindouisme. Toutefois, la liberté de culte est garantie. Ainsi, en plus de l’Hindouisme, de nombreuses religions occupent une place importante. C’est le cas notamment de l’hellénisme ou du christianisme.
Le ministre des cultes est donc en charge de s’assurer du bon respect de la liberté de culte de tous les citoyens. Et, si la situation actuelle est relativement apaisée et stable sur ce point, cela n’a pas toujours été le cas. C’est pourquoi Achille Andreadis est prudent quant à toute manifestation de signes précurseurs d’une quelconque tension. En effet, il garde à l’esprit l’année 2010. Lors de sa nomination comme ministre des cultes, de violentes manifestations ont eu lieu devant le palais ministériel, des hindous rigoristes n’acceptant pas qu’un helléniste occupe ce poste. La nomination d’Achille Andreadis est en effet une première - c’est la première fois qu’un ministre des cultes n’est pas un hindou. Si ses premières semaines ont été agitées, la sévère répression qui s’en est suivi, avec notamment l’intervention de force armée, l’arrestation de 122 personnes et la condamnation de 13 d’entre elles, dont 2 à la prison à perpétuité, a assez vite ramené le calme. L’ambiance est restée pendant les premiers mois qui ont suivi. Puis, assez vite, sa politique menée lui a apporté les faveurs d’une grande partie de la population, de nombreux citoyens ayant été conquis par sa tolérance et par sa volonté de faire coexister les cultes et d’entreprendre des rénovations de monuments sacrés parfois délabrés.
Sur le plan géographique, la pointe nord du pays est principalement occupée par des citoyens de confession helléniste. La plus grande partie de l’Etat, de l’enclave de Jakario jusqu’à l’extrémité est, est, elle majoritairement occupée par des citoyens de confession hindoue. Enfin, le christianisme est la religion principale à l’ouest de l’enclave de Jakario. Sur l’ensemble du territoire, dans les zones les rurales les plus isolées, existent encore certaines communautés ayant des cultes propres. Le ministre des cultes veille également au respect des cultes de ces communautés, qui sont de plus souvent menacés par la réalisation de travaux à proximité de leurs terres, alors même que nombreux d’entre eux considèrent la terre comme sacré.


Politique et institutions :


Institutions politiques :
Shajolkappor Jee est composée d’un pouvoir exécutif composé de l’Impératrice et de ses douze ministres et d’un législatif composé d’un Parlement comportant 200 parlementaires.
Bien que l’Etat de Shajolkapoor Jee se présente aux yeux du monde comme une monarchie parlementaire, il s’agit en réalité bien plus d’un parlementarisme de façade. En effet, l’entièreté des décisions est en réalité exercée par l’impératrice Kajol Khan et ses ministres à qui elle délègue certaines prises de décisions. Cependant, il est à noter que malgré ces délégations, elle a dans les faits tous les pouvoirs et qu’elle peut à tout moment décider qu’un ministre revienne sur une de ces décisions.
Pour ce qui est du vote des lois, il est à noter qu’un projet de loi peut être déposé soit par l’impératrice elle-même, par un ministre ou encore par 50 députés. À la suite de l’examen du projet de loi et après de potentiels amendements, le projet est voté par l’ensemble des députés. Pour être adoptée, une loi doit être votés à la majorité qualifiée des 2/3 des suffrages valablement exprimés. À noter que le quorum des votants doit être de 66% des parlementaires. De plus, l’impératrice dispose d’un droit de véto lui permettent d’augmenter le nombre de voix nécessaire pour qu’une loi soit adoptée, le faisant ainsi passe à 5/6 des suffrages valablement exprimés.
Les parlementaires sont élus tous les 5 ans. Avant cette date, l’Impératrice a la possibilité à tout moment de dissoudre l’assemblée. Toutefois, au regard du risque pour la stabilité politique de l’Etat que représente ce pouvoir, il n’a encore jamais été utilisé sous la dynastie Khan, ce qui atteste d’une certaine stabilité des institutions.
Il est important de noter que malgré tout, le Parlement reste une institution fondamentale et conserve un rôle important en ce qu’il sert d’espace de dialogue. Il permet de discuter du contexte politique et social de l’Etat. Il permet de mettre en lumière des problématiques diverses et variées. L’impératrice a notamment très à cœur d’assister au plus grand nombre possible des séances journalière qui s’y déroulent, dans la limite bien sûr de ce que lui permet son emploi du temps bien chargé.


Principaux personnages :

Politique internationale :
Shajolkapoor Jee met un point d’honneur à soigner ses relations avec les puissances étrangères. Elle a la volonté de multiplier les échanges politiques, culturels et économiques afin de participer à la vie de sa région.
Bonsoir !

Nous te remercions pour ton intérêt pour Géokratos. On voit bien les directrices du pays à travers ta fiche. La personne du ministre des Cultes est un peu surprenante dans l'histoire du pays mais son actualité te permettra d'écrire des choses intéressantes.

Ton pays est installé. Bon jeu !
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