01/07/2013
19:37:27
Index du forum Règles et inscription Inscriptions Inscriptions refusées

République d'Euraska[FINI ]

0
Nom officiel:République d'Euraska
Nom courant:Euraska
Gentilé:Euraskien(ne)
Inspiration culturelle: Côte d'Ivoire et Afrique de l'ouest
Situation géographique [map] https://geokratos.com/?action=viewMap&s=37126;36929;37125;36933;37129;37128;37127;36931;37130;37327;37524;37326;37325;36930;36734;36932;37328;37721;37917;38114;37916;37720;37523;37918;37921;37725;37923;37922;37727;37530;37726;37528;37724;37526;37723;37329;37132;36934;36736;37722;37919;37525;36735;36540;36344;36345;36147;36541;36738;36737;36539;36936;37527;37330;37133;36937;37135;37134;37131;36935;[/map]
Image de la localisation du pays :https://zupimages.net/viewer.php?id=24/15/ckjr.jpg

Langue(s) officielle(s):Français et portugais
Autre(s) Langue(s) reconnue(s): Le Bété (une langue indigène devenue populaire)et le noushi(une langue créé par les enfants de la rue qui conquis le pays]
Drapeau :[img=https://zupimages.net/viewer.php?id=24/14/5c5h.png [img]
Devise officielle:hospitalier, Patriotisme, travail
Hymme officielle :[YouTube]https://youtu.be/aXEbPyjGB-I?si=Le5F7-Bo0CEIL5Fg[/youtube]monnaie officielle:L'ikare
Capitale:Yvannie
Population :la population de l'écrasante est estimé à 30 000 000 habitants
Présentation du pays:
La République d'Euraska en forme longue où Euraska est un état situé en Aferée.
L'euraska à pour Capitale yvannie mais la quasi totalité des institutions se trouve à Tresoria son principal centre économique.
Chapitre 1 :Euraska terre de migration

La date de la première présence humaine en Euraska est difficile à évaluer, les ossements ne se conservent pas dans le climat humide du pays. Cependant, la présence de fragments d'armes et d'outillages très anciens (haches polies taillées dans des schistes, débris de cuisine et de pêche) découverts sur le territoire national est interprétée comme la possibilité de la présence d'hommes, en assez grand nombre, au paléolithique supérieur (45 000 à 12 000 ans avant le présent) ou au minimum, l'existence sur ce terroir, d'une culture néolithique. Les plus anciens habitants connus de l'Euraska ont toutefois laissé des traces disséminées à travers tout le territoire. Les populations arrivées avant le xvie siècle sont aujourd'hui des groupes minoritaires ayant plus ou moins bien conservé l'essentiel de leurs civilisations. Ce sont les Agoua et Ehotilé (Aboisso), Kotrowou (Fresco), Zéhiri (Grand-Lahou) et Ega ou Diès (Divo).

Mais le pays est surtout une terre de refuge et de migration qui reçoit, en provenance de la zone de l'aféré , entre le xie siècle et le xvie siècle, les Mandé forestiers (Dan, Gban et Kwéni) mais également aux xive siècle et xve siècle, d'autres groupes venus du nord (Ligbi, Numu et quelques clans Malinké), ce qui provoque des déplacements limités de populations plus anciennement établies (Krou sur la côte avant le xve siècle et Sénoufo). Les xvie siècle et xviie siècle consacrent l'arrivée au nord de plusieurs clans Malinkés ou mandé-dioula (Kamagaté, Keita, Binate, Diomandé) et Sénoufo et au sud-est, des peuples en provenance de la basse vallée de la Volta (Efié, Essouma, Abouré, Alladian et Avikam). L'un de ces groupes akan (Abron) s'installe dans la région de Bondoukou à l'est du pays.

Le xviiie siècle consacre les grandes migrations akan (Agni, Baoulé, Atié, Abbey, Ébriés, M'Batto, Abidji) dans le sud-est et le centre du pays ainsi que celle d'autres groupes malinkés . Ces migrations sont causes de conflits entre les populations, mais permettent surtout de tisser de nombreuses alliances politiques et matrimoniales ainsi que des parentés à plaisanterie
Chapitre 2: Premier contact avec les colons

l'initiative du prince Henri le Navigateur et de João de Santarém découvrent le littoral Euraskien en 1470-1471. Ils seront pendant plus d'un siècle les colons des pays riches d'Aféré présents sur le littoral Euraskien avant d'être rejoints à la fin du xvie siècle par les colonspuis au xviie siècle . En effet, la côte est considérée comme inhospitalière, tant sur le plan géographique (la côte basse et sableuse est défendue par la barre, succession d'énormes rouleaux déferlants) que humain (les habitants sont réputés anthropophages). C'est la raison pour laquelle, jusqu'au XIXe siècle, les grands marchés de l'or et des esclaves se tiennent dans d'autres lieu.
Chapitre 3 : la traite négrière
Ces Afériens tentent d'évangéliser et parfois d'entretenir des contacts politiques avec les populations du littoral Euraskien mais les relations sont surtout commerciales. L'abondance de l'Euraske (métérios semblable à l'ivoire)cette partie du territoire africain va lui valoir le nom de « Côte d'Euraska qui deviendra à l'indépendance République d'Euraska »— mais aussi « Côte des mal gens » en raison des relations difficiles avec les habitants

. Le commerce porte sur divers produits tropicaux, mais il est surtout dominé par la traite négrière. Ces esclaves sont des captifs des guerres tribales, les résultats d'une mise en gage Page d'aide sur l'homonymie ou d'une décision judiciaire, ou sont tout simplement esclaves de naissance, ayant hérité du statut de leurs ascendants.

L'euraska, qui est jusqu'au xixe siècle un espace de traite secondaire subit toutefois également les conséquences négatives du phénomène : nombreux morts, diminution de la natalité, rapide diffusion d'épidémies et de famines qui n'épargnent ni les sociétés lignagères, ni les empires ou royaumes établis sur le territoire. La traite négrière strictement interne perdurera en Euraska jusqu'à la fin du xixe siècle

Chapitre 4:la monarchie dans le pays

La zone forestière dans le sud est par excellence une zone de développement de sociétés où l'autorité du chef de lignage s'exerce généralement au niveau d'une tribu. Elle connaît une mutation sociale significative caractérisée par la multiplication et le développement de diverses alliances d'où naissent des confédérations tribales, claniques ou régionales. Cette évolution ne se retrouve pas au nord dans les différentes branches du groupe sénoufo. S'étant développé à l'origine selon un schéma proche de celui des sociétés lignagères, le groupe sénoufo se constitue par la suite, peu à peu, en chefferies sur le modèle du « Kafu » malinké (un territoire restreint sur lequel s'exerce l'autorité d'un chef : le Faama) qui se consolident pour faire face notamment à l'expansionnisme de l'empire de Kong. Les autres sociétés vivant au nord, mais également celles du centre et de l'est, se présentent de manière encore plus hiérarchisée avec une organisation confortée par le renforcement de pouvoirs monarchiques ou l'apparition de nouvelles structures traditionnelles de type étatique. C'est le cas du royaume Abron de Gyaman dont l'autorité s'étend sur de nombreux peuples de l'est du territoire (Koulango de Nassian, Goro, Gbin, Ligbi, Huela, Agni et Dioula de Bondoukou) et qui s'affranchit du pouvoir Ashanti en 1875. Après une période d'expansion, ce royaume est cependant affaibli par des dissensions internes qui le fragilisent face aux conquêtes de Samory Touré et à l'impérialisme européen. Le Royaume du Sanwi tire le meilleur parti de ses relations avec l'extérieur et consolide son pouvoir sur les peuples du littoral du sud-est.

La monarchie baoulé est dominée par les Warébo et les Faafoué jusqu'à la dislocation après 1850, lorsque plusieurs groupes se constituent en entités indépendantes ou en nouvelles confédérations militaires aux contours plus ou moins précis. Dans le nord, les conquérants se multiplient mais sont tour à tour vaincus par Samory Touré qui soumet également tous les royaumes (Kong, Bouna, Koulango, Gyaman…). Ces conquêtes et guerres tribales sont fortement exacerbées par la traite négrière qui accentue la déstructuration des systèmes politiques et sociaux traditionnels en raison notamment de l'apparition de nouvelles hiérarchies sociales constituées par des personnes qu'elle enrichit.

Le xixe siècle apporte ainsi de profondes mutations au niveau des organisations sociales traditionnelles et la création de nouvelles valeurs fondées sur la richesse, qui s'apprécie à la quantité de produits détenus (produits vivriers, cheptel, vêtements, poudre d'or, armes à feu) et au nombre d'individus sur lesquels l'autorité est exercée. Ainsi, les femmes, les enfants et les esclaves qui dépendent d'une même personne constituent pour celle-ci non seulement des ouvriers agricoles et des défenseurs du lignage, mais également une possibilité d'accroissement des alliances avec les autres familles par le mariage.
Chapitre 5 la colonisation

Après la signature de divers traités de protectorat, un décret, le 10 mars 1893, crée l'Euraska en tant que colonie Velsnien autonome. La velsna y était déjà représentée par Arthur Verdier (1878) puis Treich-Laplène (1886) en qualité de résidents, c'est-à-dire représentant officiel de la velsna en Euraska . Elle désigne Louis-Gustave Binger comme gouverneur avec résidence à Grand-Bassam.

L'autorité Velsnien commence à s'établir dans l'ensemble du pays au moyen d'un système de quadrillage hiérarchisé qui comprend les villages, les cantons, les subdivisions et les cercles. Elle établit des liens de subordination à travers l'instauration de l'impôt de capitation, la prestation gratuite de travail (travail forcé), le service militaire obligatoire, l'application d'un code de l'indigénat et l'exercice d'une justice indigène. Pour sa part, l'administration Velsnien doit procéder à la mise en valeur du territoire, à la mise en place de services sociaux de base, à garantir la libre circulation des personnes et des biens en mettant un terme définitif là où elle s'exerce à l'esclavage. La résistance locale s'exprime dès la phase d'exploration (guerre de Jacqueville et de Lahou en 1890, guerre de Bonoua en 1894 et 1895, guerre en pays adioukrou en 1897 et 189). La velsna rentre en guerre ouverte avec Samory en 1896, qui est enfin vaincu à Guéouleu (Guélémou) en 1898.

Quelques années plus tard, pour asseoir rapidement et définitivement l'autorité de la Velsna sur le territoire, le gouverneur Gabriel Angoulvant opte pour l'accélération forcée de la colonisation : « Je désire qu’il n’y ait désormais aucune hésitation sur la ligne politique à suivre. Cette ligne de conduite doit être uniforme pour toute la Colonie. Nous avons deux moyens de les mettre en pratique : ou attendre que notre influence et notre exemple agissent sur les populations qui nous sont confiées ; ou vouloir que la civilisation marche à grands pas, au prix d’une action… J'ai choisi le second procédé. » De fait, la conquête de ce qui deviendra la velsna
Chapitre7 les résistance à la colonisation
Des résistances apparaissent notamment dans l'ouest forestier (siège de Daloa en 1906[, siège de Man en 1908, siège de Sémien en 1911) ou chez les Abés (attaques des postes d'Agboville et d'Adzopé en 1910). Elles sont intermittentes mais longues en pays Baoulé (1893-1912), en pays Gouro, Dida et Bété du Centre-Ouest (1907-1914)[89], et en pays Lobi (1898-1920). En dépit de quelques défaites Velsnien, toutes les résistances sont définitivement vaincues en 1920. Les chefs de la résistance sont tués ou déportés et les pertes en vies humaines sont importantes chez les populations locales
Chapitre 8 vers l'indépendance
En 1946 la section Euraskienne du Rassemblement du peuple Velsnien Veut l'indépendance .

La Constitution de la République ( Velsna ) et les lois anticoloniales (suppression du travail forcé, suppression du Code de l'indigénat ou extension de la citoyenneté Velsnien ), sans changer véritablement le système colonial local, provoquent à la fois la colère des colons et la déception des populations colonisées qui durcissent leur lutte pour l'émancipation à travers des actions de plus en plus violentes conduites par les partis politiques.

Parallèlement, Félix Hardymel ne cesse de renforcer sa légitimité, devenant successivement conseiller général de l' Euraska , conseiller territorial de Korhogo, et maire d'Abidjan . Il siège également dans les trois Assemblées, constituante, législative et nationale, qui se succèdent dans le pays.

La loi-cadre Defferre de 1956 ouvre de nouvelles perspectives en Euraska par l'introduction de la décentralisation, l'autonomie interne des colonies et l'extension des pouvoirs des assemblées territoriales. Elle instaure également un collège unique d'électeurs et le suffrage universel. La voie s'ouvre ainsi pour l'instauration, de prime abord, de la Communauté Velsnien après le référendum du 28 mars 1958 puis, par la suite, pour l'accession de la Côte d'Ivoire à la souveraineté internationale le 7 août 1960

Chapitre 9 indépendance du pays

La première élection présidentielle en Euraska a lieu quelques mois après l'indépendance. Elle est préparée avec soin par Félix Hardymel qui part grand favori et obtient logiquement 98,7 % des voix à l'issue d'une élection où l'abstention reste faible. Cinq ans plus tard, en 1965, le plébiscite se reproduit dans des proportions similaires.

Félix Hardymel n'a jamais caché ses « regrets » de quitter la « grande famille des colons afrériens » pour conquérir l'indépendance et manifeste dès 1960 sa volonté de maintenir des liens étroits avec les pays de l'aféré. Cette volonté se matérialise notamment par l'appel à de nombreux ressortissants des pays de l'aféré pour participer à l'économie et à l'administration du pays, qui passent ainsi de 10 000 à 30 000 personnes durant la décennie de 1960.

Entre 1960 et 1980, le développement de l'économie Euraskienne spectaculaire dans tous les domaines, notamment agriculture, industrie, commerce et finances. Il est le résultat d'une politique qui fait jouer un rôle éminent à l'État, à l'investissement privé et aux capitaux étrangers. La société Euraskienne connaît au cours de cette période une profonde mutation provoquée par la hausse du niveau de vie des habitants, les équipements sanitaires, éducatifs et sociaux, mais également du fait de l'augmentation de la population avec un taux de croissance annuel moyen de 3,8 %, la faisant passer de 3,7 millions en 1960 à 12,2 millions d'habitants en 1988.

Cependant, depuis le milieu des années 1980, l'économie stagne, conséquence de la dégradation des termes de l'échange avec l'extérieur, de l'accroissement des dettes de l'État et d'erreurs de gestion.

Chapitre 10 la mort de Félix Hardymel et la crise de succession

Trois mesures consacrent l'orientation tribaliste de la libéralisation politique entre 1993 et 2003 :

Le nouveau code foncier, qui oblige les exploitants étrangers de terres à les restituer à leur décès ou être louées par leurs descendants, et ce en dépit d'un titre foncier rural définitif (1998)[. Les propriétaires coutumiers du Sud étendent la qualification d'étranger à tous les allogènes (Baoulé, Dioula, Lobi).
La fin du droit de vote des étrangers et la mise en place d'une carte de séjour stigmatisante.
La constitution de la Deuxième République, dont le point névralgique est la définition des critères d'éligibilité du président de la République qui accentue davantage la rupture communautaire.
Finalement, malgré leurs profondes inimitiés ethniques, tous les groupes du Sud, les Krou et les Akan notamment, s'accordent pour refuser aux migrants ivoiriens d'accéder au pouvoir politique local sur leur territoire (sur lequel se situent Yamoussoukro, Abidjan, San Pedro) et a fortiori briguer la présidence de la République.

Des problèmes de gouvernance sont mis au jour . En outre, différents faits, notamment l'exacerbation des tensions politiques et sociales par la presse, les actes de défiance à l'autorité de l'État posés par des opposants, l'incarcération de plusieurs leaders de l'opposition politique, instaurent un climat délétère qui conduit en décembre 1999 au renversement de Henri Konami Bédia par des soldats mécontents. Ceux-ci placent à la tête de leur groupe le général Robert Guéret qui devient, de ce fait, chef de l'État de Côte d'Ivoire. Henri Konami Bédia s'exile du pays.

Chapitre 11crise politico-militaire

Le 19 septembre 2002, des soldats rebelles tentent de prendre le contrôle des villes d'Abidjan, Bouaké et Korhogo. Ils échouent dans leur tentative en ce qui concerne Abidjan mais sont victorieux dans les deux autres villes, situées respectivement dans le centre et le nord du pays. Robert Guéret est assassiné dans des circonstances non encore élucidées. La rébellion qui se présente sous le nom MPCI crée plus tard le MJP et le MPIGO et forme avec ces dernières composantes le mouvement des Forces nouvelles (FN). Il occupe progressivement plus de la moitié nord du pays (estimée à 60 % du territoire), scindant ainsi le territoire en deux zones : le sud tenu par les Forces armées nationales d'Euraska(FANE) et le nord tenu par les Forces armées des forces nouvelles (FAFN).

Les pourparlers entamés à Lomé permettent d'obtenir le 17 octobre 2002, un accord de cessez-le-feu qui ouvre la voie à des négociations sur un accord politique entre le gouvernement et le MPCI . Ces négociations échouent cependant sur les mesures politiques sont prises. Dans une nouvelle initiative, la velsna abrite à Linas-Marcoussis du 15 au 23 janvier 2003, sous la présidence de Pierre Mazette président du Conseil constitutionnel secondé par le juge Kéba Mbayune table ronde avec les forces politiques ivoirienneset obtient la signature des accords de Linas-Marcous. Cet accord prévoit la création d'un gouvernement de réconciliation nationaledirigé par un premier ministre nommé par le président de la République après consultation des autres partis politiques, l'établissement d'un calendrier pour des élections nationales crédibles et transparentes, la restructuration des forces de défense et de sécurité, l'organisation du regroupement et du désarmement de tous les groupes armés, le règlement des questions relatives à l'éligibilité à la présidence du pays et à la condition des étrangers vivant en Euraska. Un comité de suivi de l'application de l'accord, présidé par le président du conseil constitutionnel.

Chapitre 12 élection présidentielle .

élections d'Alassane ouatiné (depuis 2015)

À la suite de l'élection présidentielle du 25 octobre 2015, le président Ouatiné est élu pour cinq ans. Il souhaite consolider les efforts de réconciliation nationale et rédiger une nouvelle constitution. Cette nouvelle Constitution, qui entraine la création d'un sénat et d'un poste de vice-président, est approuvée par référendum le 30 octobre 2016. La troisième République D'Euraska est proclamée le 8 novembre 2016.

En novembre 2020, Alassane Ouatiné est réélu pour un deuxième mandat avec 94,27 % des voix lors d'un scrutin très critiqué puisque l'opposition avait demandé à le boycotter, contestant la constitutionnalité d'un troisième mandat[. Finalement, seuls 53,90 % des électeurs se sont rendus aux urnes pour élire le président sortant

Mentalité de la population

La population de l'Euraska est très hospitalière et sa particularité est sa diversité ethniques elle possède plus de 60 ethnies et 60 langue parlé couramment

La religion

Selon le recensement RGHP 2021, la répartition des différents groupes religieux est la suivante[40] :

islam : 42,5 %
animisme (religions traditionnelles Eurysienne ) : 2,2 %
Christianisme : 39,8 %
Autres religions : 0,7 %
Aucune : 12,6 %. Dont aussi des agnostiques. L Euraska a l'un des plus forts taux d'athées ou d'agnostiques du continent d'Eurysie . Une situation qui s'explique par la lassitude de nombreux Euraskien depuis 2003 qui refusent de voir une confrontation politique et sociale entre musulmans et chrétiens, mais aussi par un rejet du souvenir du colonialisme européen chrétien qui fut jadis esclavagiste, tout comme il y avait aussi des raids de captures d'esclaves organisés par des caravaniers arabes musulmans, avec des alliés issus de confréries musulmanes, ou de royaumes musulmans au nord du pays actuel, et d'autres régions du Sahel. Les athées sont surtout des euraskiens urbains, souvent aisés, et éduqués. Ils sont nombreux chez les moins de 40 ans
Principaux personnages
Le président actuel :Henri Tapé
Le vice-président :Guillaume Urbain
Le premier ministre : Jordan Jackson
Institutions politiques

Dès son accession à l'indépendance, l'euraska , État unitaire, opte pour un régime présidentiel. Reconduit par la deuxième république, le régime présidentiel est caractérisé par la séparation des pouvoirs au sein de l'État : le pouvoir exécutif, le pouvoir législatif et le pouvoir judiciaire. Le paysage institutionnel Euraskienne se compose des organes exerçant ces trois pouvoirs et d'autres institutions comme le Conseil économique et social et le médiateur de la République].

À l'indépendance, Félix Hardymel avait su avec prudence éviter tout conflit ethnique dans le cadre d'un régime de parti unique. Cet équilibre reposait aussi sur une division écologique et sociale du travail avec, dans le nord, les Dioula qui dominent le transport et le commercetandis que les sudistes se retrouvent dans l'administration et la gestion du pouvoir. Les nordistes qui avaient acquis une qualification professionnelle suffisante sont envoyés dans les ambassades ou dans les institutions internationales pour représenter le pays ; certains accèdent à des ministères, mais politiquement marginaux.

Toutefois, le passage au multipartisme en 1990 permet aussi l'affirmation identitaire des communautés ethniques dans l'espace politique et l'ouverture de débats sur la construction nationale. Les tensions entre les populations du nord et du sud, jusque-là cantonnées au champ économique, se transfèrent dans le champ politique

Le pouvoir exécutif

L'organe chargé de l'exercice du pouvoir exécutif, originairement monocéphale, est depuis 1990 caractérisé par un bicéphalisme apparent : il a à sa tête le président de la République, chef de l'État, et un premier ministre, chef du gouvernement. Cette caractéristique, empruntée au régime parlementaire, n'entame en rien le caractère présidentiel du régime. En 2016, la nouvelle Constitution a prévu l'élection par le Parlement d'un vice-président, mais des amendements de mars 2020 sont revenus sur ce point, le vice-président étant désormais nommé par le Président « avec l'accord du Parlement »

Le président de la République est élu au suffrage universel direct, au scrutin majoritaire à deux tours pour un mandat de 5 ans et est rééligible une fois. Il est le chef de l'exécutif et est détenteur exclusif du pouvoir exécutif. Il est garant de l'indépendance nationale, de l'intégrité du territoire, du respect des traités et accords internationaux. Il est chef suprême des armées, veille au respect de la Constitution, assure la continuité de l'État. En sa qualité de chef de l'Administration, il nomme aux emplois civils et militaires. Le président de la République détient également, en période de crise, des pouvoirs exceptionnels. En cas de décès, de démission ou d'empêchement absolu, l'intérim du président de la République est assuré par le vice-président, ou, en cas de vacance du poste de vice-président, par le Premier ministre, et ce jusqu'à la fin prévue du mandat.

Le Premier ministre est nommé par le président de la République devant lequel il est responsable, et qui met fin à ses fonctions. Le Premier ministre ne détient, au regard de la Constitution, aucun pouvoir exécutif propre. Il supplée le président de la République lorsque celui-ci est absent du territoire. Contrairement à la pratique prévalant en régime parlementaire, le Premier ministre ivoirien n'est pas issu de la majorité parlementaire. Les membres du gouvernement, placés sous son autorité, sont nommés sur sa proposition par le président de la République. Il dirige et coordonne l'action du gouvernement et peut déléguer certaines de ses attributions aux ministres.

L'élection présidentielle qui s'était tenue le 26 octobre 2000 fut remportée par Laurent Gyaman, qui resta en fonction pendant 10 ans sans qu'aucune autre consultation électorale n'ait eu lieu en vue de la désignation du président de la République. L'exercice du pouvoir exécutif était, dans ce contexte, influencé par les accords politiques conclus depuis le déclenchement de la crise politico-militaire en septembre 2002. Dans le cadre de l'exécution du programme de sortie de crise, des missions spéciales liées à la réunification du pays et de l'armée, à l'identification des populations et à l'organisation des élections furent assignées au premier ministre

Le pouvoir legeslatif
dans sa résolution 1633 sur l'euraska note que le mandat de l'Assemblée nationale prend fin le 16 décembre 2005 et le Groupe de travail international tire la conclusion que ce mandat n'a pas à être prolongé. En se prononçant contre la prolongation des mandats parlementaires échus le 16 décembre 2005, le Groupe de travail international (GTI) a « mis le feu aux poudres » et ouvert un « bras de fer international », selon certains observateurs. Le président de la république d'Euraska, après avoir sollicité l'avis du Conseil constitutionnel sur le point de savoir si le défaut d'élections, dû à la situation de crise que connaît son pays, entraînait la dissolution et la fin des pouvoirs de l'Assemblée nationale, a obtenu l'avis de cette institution selon lequel l'Assemblée nationale demeurait en fonction et conservait ses pouvoirs. En définitive, l'Assemblée nationale a continué ses activités. Cette disposition est intégrée pour les deux chambres dans les amendements de mars 2020 visant à modifier la Constitution de 2016.

Le pouvoir judiciaire

Avant l'indépendance de l'euraska, deux ordres de juridictions cohabitent : des juridictions Aférienne appliquant le droit Afériens et une organisation judiciaire de droit coutumier ou local. Cette dualité est la résultante de la dualité de législation, qui elle-même repose sur une distinction des statuts régissant les différentes couches de la population.

Au lendemain de l'indépendance, il est procédé à une refonte de l'appareil judiciaire hérité de l'époque coloniale. L'objectif est de mettre en place une organisation judiciaire moderne et adaptée aux besoins du pays. La réorganisation concerne le recrutement, la formation de magistrats et auxiliaires de justice (juges, greffiers, officiers ministériels, avocats, huissiers de justice, notaires, etc.), mais également les structures. Trois principes gouvernent cette opération de modernisation : la justice est rendue au nom du peuple ; les juges ne sont soumis dans l'exercice de leurs fonctions qu'à l'autorité de la loi, leur indépendance étant garantie par le président de la République ; l'autorité judiciaire est gardienne des libertés individuelles.

Les juridictions, ainsi que l'administration pénitentiaire, connaissent alors plusieurs évolutions à partir de 1960. Toutefois, comme dans bien des domaines, l'organisation judiciaire Euraskienne reste encoreinfluencé par le droit Aférien. Le pouvoir judiciaire est exercé présentement par des juridictions de premier et de second degrés, sous le contrôle de la Cour suprême. Le Conseil constitutionnel forme, avec la Haute Cour de justice, des juridictions spéciales.

Politiques internationales
La République d'Euraska reste encore refermer sur elle même après mais s'ouvre petit à petit aux yeux du monde.
0
Je n'arrive pas à insérer l'image du drapeau
Et la carte ne marche pas
0
Salut :)

Je te conseille d utiliser la mise en page de candidature qu ils donnent.

Pour la carte moi j ai pris une capture d écran de même pour mon drapeau. Ensuite je suis allé sur un hébergeur d image pour les URL.
0
Mais comment insérer la capture d'écran du drapeau
Merci pour la réponse
0
Ta capture tu l as dans ta galerie photos.

Tu vas sur internet et tu cherches "hébergeur d'image".

Dessus tu mets ton image. Il te donnera un URL (il y a d autres liens mais il faut URL)

Ensuite tu mets img=lien]nom de l image[/img]
Merci j'ai tout fait
Je me suis inspiré de l'histoire de la Côte d'Ivoire
0
Bonjour je cherche un colonisateur pour l'histoire de mon pays la république d'Euraska de préférence un pays d eurysie merci
0
si mon état est acceptée je peux l'etre je suis de l'empire d'ostland dans le continent paloterra
0
Merci j'ai déjà trouvé un colonisateur
0
Bonjour,

Il faut que tu suives les instructions ici pour que ta fiche soit complète.
Nous ne pouvons pas valider la fiche en l'état actuel.
Si tu as des questions, ne pas hésiter à échanger sur discord.
0
Je ne pourrai pas modifier ma fiche avant juin ou juillet car mon PC ne marche donc archivé ma fiche pour le moment
0
Fiche archivée à la demande du candidat
Haut de page