22/06/2013
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MORT de Kavak Kotchev - "Homme penseur, Homme venant, et Homme passant."

Déclaration du Peuple
Translavique et Révolutionnaire

République Sociale Fédérative de Translavya
09/04/2013

Aujourd'hui, le 9 avril 2013, Kavak Kotchek, grande figure de la Révolution Socialiste au côté d'Illian Podgorov, s'est éteint à l'âge de 103 ans, en sa résidence d'Etat d'Anslav, à 18 heures, 42 minutes et 23 secondes.
Les cloches de tous les palais se mirent à retentir, se passant le message les unes aux autres, jusqu'aux portes de la République. Sur leurs télés, à leur radio, sur internet, sur leurs regards, les Translaviques savaient : le second est mort, trente-huit années après l'autre.
Là débutait l'Histoire : la première génération était en terre, la seconde la foulait. La Révolution avait, dans leur esprit, vaincu le temps, comme s'ils euent attendu encore une preuve, un signal, un accord.
Les gens sortent dans les rues en famille, marchent comme instinctivement, vers le centre de leur cité : ils répondent à l'appel du temps et des idées. Aucune larme, aucune grimace : la révolution est réussie, oui, enfin ! Elle a passé le cap de l'idée : elle est.
Les volontaires de l'APDR se munissent de drapeaux rouges et bleus, comme si l'Humanité avait des couleurs.
Trois-cent-mille ans ont passés, et trois-cent-mille viennent.

L'Humanité


Par ses dernières volontés, Kavak Kotchev invite tous les Hommes à contempler et à se contempler, à penser et à se penser, à reconnaître et à se reconnaître.

Merci d'adresser vos messages de fraternité universelle ci-dessous.
Camarades Translaviques,

J'ai appris il y a peu la mort de votre camarade Kavak Kotchek, grande figure de votre révolution socialiste, artisan du communisme et du socialisme, vainqueur des forces anti-sociales. Camarades Translaviques, je tiens à adresser mes condoléances, ainsi que celles du peuple Loduarien, par cette lettre.
Dans notre monde, chaque chose a une fin. Tout ce qui existe, aussi puissant, aussi grand et aussi robuste qu'il paraît, a une fin. Il en va de même pour nous, simples humains. Mais cela ne doit pas signer l'arrêt de nos idées, de nos valeurs. Un homme est mort, mais cela be doit pas signifier l'arrêt de sa pensé, de son accomplissement. Il est de notre devoir de continuer, de penser, de réfléchir, d'élaborer, et de construire le paradis des travailleurs sur terre et non au ciel.

Un homme est mort, mais notre idée, nos valeurs, elles, continuent.

Geraert-Wojtkowiak Lorenzo, secrétaire général de la Loduarie communiste
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