Secteur de l'automobile et de l'aéronautiqueActivitéL'entreprise
Lever l'Encre est une industrie du domaine naval. Elle s'occupe de la production de navires, qu'ils soient de pêche, de commerce, de transports de marchandises ou de personnes ainsi que des engins de la marine nationale.
Plus récemment, la société a commencé à se diversifier en construisant des hydravions et des canadaires.
ProcédéL'industrie, basée à Rome, reçoit les matériaux nécessaires depuis toute la Poëtoscovie voire de l'étranger. Elle les y assemble sur d'immenses bassins près de la côte. Pour les vider, les techniciens attendent que la marée soit basse, puis ferme les portes du bassin. Ainsi, l'équipe de l'industrie peut travailler. Lorsqu'elle a finie son chantier, les techniciens attendent que la marée soit basse et ouvrent les portes, afin que l'eau entre petit à petit et que la bâteau puisse regagner la mer au millieu de la nuit.
ClientèleLe premier client de
Lever l'Encre est l'armée, qui y a déjà commandé neuf patrouilleurs. Cependant, il est à noter que d'autres entreprises font aussi appel aux services de la société pour leur commerce international ou des transports, notamment vers la Poëtoscovie Insulaire.
En revanche, l'achat d'un navire par des milliardaires est extrènement rare.
ActivitéPoëtoscovie Aviation est une entreprise privée de construction dans le domaine de l'aviation. Elle est aussi apte à diriger des projets de d'avions de tourisme, avions de ligne, mongolfières, dirigeables, parapentes et avions militaire, en coopération avec l'industrie
Mars Ultor.
ProcédésL'entreprise s'occupe de l'ensemble de la transfortmation de la matière première jusqu'à la création finale de l'avion. Bien que ceux-ci s'avèrent d'une extrème fiabilité,
Poëtoscovie Aviation est très critiqué pour sa gestion du personnel, les conditions de travail qu'elle impose à ses employés ou encore son histoire.
HistoireDurant la guerre d'indépendance de Poëtoscovie, tandis que la Résistance se mettait en place, la société a continué à commercer avec l'ennemi colonnialiste, lui fournissant notamment de quoi transporter des troupes et des avions de guerre.
Jugée en 2012, l'entreprise a du payer plus d'un million d'æuros d'ammende et s'est faite nationalisée, l'État devenant son principal actionnaire. Pour pallier à la mauvaise presse de l'entreprise et pour affirmer la puissance de l'État sur elle, le Conseil d'Administration a donc décidé de la renommer, d'où le nom de
Poëtoscovie Aviation.
Aujourd'hui encore
Poëtoscovie Aviation reste une entreprise à l'image noirice par la guerre pour de nombreux Poëtoscoviens, ce qui ne les empêche tout de même pas de prendre l'avion.
ClientèleLes vols avec de passagers n'étant possible que par l'État, celui-ci est le seul acheteur de l'entreprise, du moins au niveau national.