Le tribunal nordique - 11/06/2013 Etude scientifique - Le calvaire des habitants vivant en bordure des jungles.. Bientôt 30 ans de calvaireBienvenue dans le village de Marabara, composé de 2000 habitants, il y a 30 ans, ce village tranquille en bordure de la jungle, au Sud-Est de Salguero, ne se doutait pas que le calme plat du village serait remis en cause. Mais pour expliquer cette évènement, nous devons remonter dans son passé.
En 1872, ce petit village qui ne comptait que 200 habitants, faisait parti des descendants de tribus aborigènes dont certaines coutumes s'étaient pérennisés à travers les générations. Ses tribus avaient pour spécificités d'être très religieux, et d'associer leurs divinités à des éléments naturelles de la jungle, on pouvait trouver des divinités tel que celui du serpent, des lianes etc... Et toutes ses divinités appelaient à un rituel d'adoration particulier, par exemple, la divinité associé à la fourmi voulait que ses disciples, en signe d'adoration, tiennent dans leur mains une poignée de fourmis rouges, tout en dansant et chantant des récits de ladite divinité.
Rien d'anormal jusque-là, puisqu'ils n'étaient pas communautaire et qu'ils évoluaient en même temps que la société qui les entourait. Toutefois, en 1940, alors que la population du village avait été multiplié par dix, des fouilles archéologiques près du village de Marabara ont abouti à la découverte d'une place en pierre, où des écrits y étaient conservés dans des urnes scellés et remontant à plusieurs siècles en arrière. Ses écrits ont été conservés pendant 5 ans, pour être traduites puis, sur décision de l'ancien ministre de la culture de l'époque, restitué aux habitants du village de Marabara.
L'un des écrits traduits détaille le récit d'une divinité spécifique, qu'est celle de la fertilité agricole. Et l'un des écrits détaillait le rite associé en guise d'adoration à cette divinité. Les habitants de Marabara connaissaient déjà la divinité de la fertilité agricole, pratiquait déjà un rite qui lui était associé, mais les nouveaux écrits en leur possession rajoutait certaines étapes au rite. Le rite consistait en des chants religieux, des danses et également, le fait pour le plus jeune de la tribu de récupérer de l'eau dans un fleuve afin de le verser sur des figuiers étrangleurs. Le rite avait alors été adopté par les habitants, et donc de 1945 à 1983, le rite était effectué par les prêtres et les habitants.
Depuis 1983, un phénomène étrange augmente de plus en plus, il semblerait qu'à cette époque, la multiplication et la croissance de la flore local tend à régresser. On se retrouvait avec une population floral de moins en moins nutritif pour la faune, et de plus en plus rare. Mais le problème n'était pas la, c'est les conséquences de ce phénomène qui sont devenu de plus en plus préjudiciable, car en effet, et cela continue aujourd'hui, la faune local qui peine à trouver de la nourriture dans les abords de la jungle, quitte celle-ci pour se balader, souvent la nuit, dans le village pour trouver de la nourriture. Pour les plus petits animaux, aucun problème, mais pour les plus gros, ça devient de plus en plus dangereux.
Une équipe d'expert a été dépêché sur le terrain par des associations de défense de l'environnement, et cela a abouti à une concentration de polluants dans le fleuve, qui est à l'origine de l'eau versé dans la jungle, dû à des industries placés un peu plus en aval du fleuve. Depuis, la source d'eau utilisé pour le rite à été modifié, un plan de nettoyage du fleuve à été envisagé par les autorités publiques et des solutions sont envisagés avec les industries à l'origine de la pollution du fleuve.