30/06/2013
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[EN ATTENTE DE CORRECTION] Empire d'Arcturie

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Nom du pays:
Empire d'Arcturie

Nom courant:
Arcturie

Régime politique:
Empire

Gentilé:
Arcturien/Arcturienne

Inspirations culturelles:
Premier Empire Français, République Française, Second Empire, USA

Situation géographique:



Langue officielle:
Français

Autres langues reconnues:
Arcturien, Anglais

Drapeau:
Drapeau

Devise officielle:
Patrie, Honneur, Mérite

Hymne officiel:

Monnaie:
l'Arc

Capitale:
Arphapolis

Population:
50 000 000 d'habitants

Présentation du pays:
L'Empire d'Arcturie est un pays avec une soif de développement non négligeable. Le pays cherche à accroître sa production et a l'ambition de devenir une grande puissance financière. En interne, les partis se développent de plus en plus dans les régions frontalières, à cause de la proximité avec des nations aux idéologies différentes et au passé républicain d'Arcturie. Les Républicains et les Communistes sont les opposants les plus acharnés à l'Empereur mais ceux-ci n'ont jamais pu s'entendre et collaborer et sont également en conflit avec la Ligue Radicale (extrême-droite). Pour son projet de croissance économique et industrielle, l'Empereur souhaite intégrer une vision durable et plus écologique afin d'allier au mieux industrie et préservation des écosystèmes.

Mentalité de la population:
Le peuple d'Arcturie est un peuple doté d'un fort sentiment patriotisme. C'est un peuple qui globalement, aime les plaisirs de la vie et notamment la gastronomie, qui est considérée comme un joyau culturel du pays. Une minorité souhaite la chute de l'Empire, c'est dans cette minorités que Républicains et Communistes puisent leurs membres.

Place de la religion au sein de l'État:
La majorité du pays est de confession catholique (74%) dont l'Empereur, les Protestants représentent 22%, le Judaïsme 2%, l'Islam et autres croyances 2%. La religion n'a plus de rôle dans les affaires de l'État et hormis l'entretien des édifices religieux, l'État n'intervient pas dans les affaires religieuses.

Institutions politiques:
-Au sommet de l'État: l'Empereur, disposant d'un large pouvoir et commandant suprême de l'Armée.
-Les Ministres: nommés par l'Empereur, gèrent l'exécutif
-Le Conseil d'État: présidé par l'Empereur, dont les conseillers sont nommés par l'Empereur. Son rôle est d'échanger sur la gestion du pays, faire remonter les doléances les plus importantes de la Chambre.
-La Chambre (Sénat): un sénateur représente sa province, il est élu par les habitants de sa province et son mandat dure 4 ans. Le Sénat sert à faire remonter les doléances du peuple auprès du Gouvernement.
-Les Préfets: le préfet gère une province et il est élu par elle, son mandat dure 5 ans, occasionnellement, les préfets sont directement nommés par Sa Majesté.
-Le Bureau des Renseignements Extérieurs (BRE): gère les renseignements et sert les intérêt du pays à l'étranger, son homologue le Bureau des Renseignements Intérieurs (BRI), gère les renseignements intérieurs et le contre-espionnage. Les chefs de ces deux institutions sont nommés par l'Empereur.

Principaux personnages:
-Nathanléon III (Empereur d'Arcturie)
-Joachim Murey (Chef d'état-major de l'Armée)
-Vince Tapolloré (chef d'entreprise et personnalité la plus riche du pays)
-Manuel Matron (leader Républicain)
-Jacques Lenchon (leader Communiste)
-Phillipe Delaval (chef de la Ligue Radicale)

Politique internationale:
L'Empire se veut ouvert et en recherches de partenaires fiables pour assurer l'avenir. L'objectif principal étant le développement économique, le pays entend nouer des relations commerciales fortes et tient à entretenir de bonnes relations avec ses voisins.
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La présentation du pays est bien trop succincte pour que l'on puisse s'en faire une idée. On ne sait rien de l'histoire du pays, sa culture, et très peu de ses dynamiques internes.
Par ailleurs, il serait bon d'éviter les références trop « transparentes » à la politique IRL. Les noms comme « Nathanléon », « Manuel Matron » ou encore « Jacques Lachon » sonnent comme des parodies et nécessiteraient davantage d'originalité.
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