"Die königlichen Märsche" | Les marches royales
Création d'une frontière fortifiée proche de la Kresetchnie ? Frontière nord de l'état de Kenintie suite aux nombreux pillages et contrebandes entre la Tcharnovie et les Jakaïevs Suite aux agressions répétées des forces de la Rache sur la République de Kaulthie des Altars, nommée également Altarie, sa majesté le Roi Albert Ier de Bennesbourg-Kenesbourg a décrété la formation d'une frontière fortifiée sur toute la frontière Keninto-Kresetchnienne afin d'éviter toute incursion des forces des Raches sur le sol Tcharnove. Soutenue par la République de Kaulthie de l'est, un autre état Tcharnove, la frontière dispose, depuis ce 1er juin 2013, d'une barrière en fer de 2 mètre de haut suivie de barbelés et autres systèmes de défenses ( l'état Kenin a aussi proposé l'idée de miner le terrain frontalier mais le gouvernement Tcharnove a refusé ). Ce mur est surveillé par le premier corps d'armée de Kenintie soutenu par le Ier Régiment d'Infanterie de Kaulthie de l'Est.
Cette recrudescence de fortifications, autant en Tcharnovie qu'en Altarie pour choisir un exmple Kresetchnien, est dû aux actions de pillages qu'entretiens les Raches dirigées par la famille hautement recherché et traqué des Jakaïevs. Aussi, de nombreux trafics de drogues ou d'armes ont été repéré entre des infiltrés en Tcharnovie et des dirigeants de groupes en provenance de l'Organisation terroriste. Ces manœuvres ont donc forcé le roi a tranché fermement pour une position défensive et en soutenant le gouvernement d'Altarie et d'Hotsaline qui souhaitent reprendre leurs anciens territoires sous occupation de la Rache. Par ailleurs, le gouvernement Tcharnove, grâce à la demande Kenin, a envoyé du matériel en direction de la Kaulthie des Altars afin de la préparer et de l'armer face aux Jakaïevs.
Toute l'opération a permis à sa majesté de se glorifier en voulant défendre son peuple plus que tout autre et ses actions afin de soutenir les factions anti-Rache démontre de son envie de pacifier les Belkariem ensanglantés.