14/07/2013
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Adaab, la république des faucons (Ouvrage historique) (EN CONSTRUCTION, PAS FINI)

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ADAAB
La République Des Faucons

Edition MAHWAZA

Ouvrage

Ouvrage historique
HAMZA KWHADA
Chapitre 1
Le chute du Califat


Le Califat d'Arha-ba.
L'empire fleurissant, gouverné par le Khalif Khalid Ibn Muhammad au 17ᵉ siècle, était l'une des dynasties les plus richissimes de la région. Toutefois, au 20e siècle, une guerre éclata contre la S.O.T.C., une compagnie de la fédération de Zélandia, qui a pour objectif d'exploiter les ressources Afarienne. Pour la dynastie d'Arha-ba, c'est le pétrole qui est à l'origine du conflit. Il s'agit de l'avènement occidental, d'une suprématie technologique et militaire absolue. La dynastie, en totale faiblesse, devancée par les prouesses des armées Zelandiennes, s'impose en défaite.
Les richesses du territoire entier sont pillées, des massacres sont perpétrés et les gisements de pétrole sont contrôlés. Dans ce paysage colonial, un jeune homme d'une vingtaine d'années lance un appel pour la libération du pays par la guérilla. Abdel El-Bouhreli, le chef d'une milice de résistants, la RAI (Résistance arabe et islamique). Une guerre civile est déclenchée par la population dans un climat de haine et de vengeance. Dans ce chaos, la fédération retire ses troupes, mais propose une offre à Abdel El-Bouhreli. Lui accorder une somme d’argent assez importante, le placer à la tête du gouvernement et, en contrepartie, laisser la S.O.T.C exploiter les ressources de la nation. C'est la naissance d'Adaab.




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Une fois à la tête du pays, Abdel El-Bouhreli et son gouvernement décident de placer la capitale à Zabuur. C'est la ville la plus peuplée, la plus importante dans l'économie du pays. Aussi, une province chargée d'histoire, avec des monuments emblématiques de la région.
La population, adoucie par la prise de pouvoir de celui-ci, le considère encore comme le chef des résistants, sans se douter de ce qu'il est advenu.
Son âme et son pays ont été vendus. Pourtant, au pouvoir, il ne dispose d'aucun droit. C'est juste une barrière permettant de cacher une réalité, celle d'une mystification.
Toutes les consignes sont données par les Zelandiens. Cependant, au fur et à mesure du temps, comme toute mascarade, on y voit des fissures de la supercherie.




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À Adaab, les gisements de pétrole, pouvant extraire plus de 550 milles barils par jour en 1920, étaient l'une des ressources les plus exploitées par la compagnie Zelandienne. Un coup en or pour les colons. Cela représente près de 12% de leur exploitation en Afarée, une partie importante de leur revenu. S'il advenait une perte d'emprise sur ce secteur-là, ça serait un désastre pour la compagnie de la fédération occidentale.
Alors, le gouvernement d'Abdel El-Bouhreli est chargé d'instaurer une politique pro-occidentale, valorisant une dédiabolisation de la fédération Zelandienne, ainsi que des normalisations avec le gouvernement diabolique d'Eurysie.





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Chapitre 2
L'arrivée du faucon


Mai 1920.
Dans l'université d'Islamawha, située à Zabuur.
Les sciences, la théologie, les mathématiques et la littérature sont ses matières préférées. Il pratique deux sports, le tennis et la natation en club. Il est récemment arrivé deuxième au championnat de Zabuur.
Ayman Al-Dahlawaz Baahl, l'avenir d'Adaab, le créateur de la république islamique. Il est père de sept enfants et marié à trois femmes. Il est aussi un élève surdoué, avec une moyenne de dix-neuf sur vingt. Admiré de ses camarades, le jeune homme, étudiant en théologie, voit plus loin que quiconque. Il voit les défaillances du système pro-occidental, la corruption qui se fait ressentir par l'inégalité qui s'installe. Pour lui, le climat de la colonisation est encore présent. Le 24 mai est une date importante, c'est la normalisation avec le Sheytan. Le gouvernement d'Abdel El-Bouhreli se rend à Zélandia pour officialiser le pacte enfumé. La normalisation est exposée au grand public, créant un sentiment de trahison. Ayman n'est pas surpris par ces évènements tragiques, il l'avait autrefois émis une mise en garde sur le gouvernement auprès de ses camarades. À la suite de ces évènements, les élèves de toute l'université se tournent vers le jeune homme. Il est entendu sur tous les fronts. À ce moment présent, il décide de faire une action importante dans l'histoire d'Adaab, diffuser à son tour des audios constituant son plan, une république islamique, la promotion auprès de la population d'un pays souverain. Il critique aussi ouvertement le gouvernement pro-occidental et la fédération de Zélandia.




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La population atteste l'idée même d'une république islamique. Le peuple en colère manifeste sa haine, la normalisation dévoile la traitrise d'Abdel El-Bouhreli et de son gouvernement. La compagnie de la fédération Zelandienne tente de sauver les meubles en subventionnant des aides aux populations démunies, qu'ils transmettent aux journaux et à la radio. Mais la propagande a échoué, le pacte reste dans les esprits enragé. Ayman décide, par la suite, de fonder un groupe de révolutionnaires avec certains camarades partageant sa vision, l'AIR, Arabia Islamic Républic.

Pour Ayman, le peuple doit aussi se réconcilier. Il pense aussi, qu'ils doivent reprendre confiance en un guide. Il décide donc de faire un emblème, le faucon. Ce symbole est fort, celui de la lumière, mais surtout d'une guidée.
Le groupe organise des évènements avec lesquels ils prennent la parole, des conférences qui, de plus en plus, se remplissent à ras bord.

Mais très vite, le gouvernement commence à interdire ces groupements.
Alors, Ayman décide d'établir des rassemblements chez lui ou chez les autres membres du groupe de révolutionnaires d'AIR.





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