12/08/2013
10:00:42
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Présentation de : La République des Comités de Communaterra


Généralités :



Nom officiel : La République des Comités de Communaterra - La Respubliko de la Komitatoj de Komunaterra.
Nom courant : Communaterra - Komunaterra
Gentilé :
- Espéranto : Kommunterano
- Espagnol : Comunaterrana

Inspirations culturelles : Bien que Komunaterra ne revendique aucune culture régionale en particulier, mais plutôt l'appartenance au peuple humain dans son ensemble, il puise son inspiration dans les cultures latino-américaines, françaises (pour la seule région francophone) ainsi que diverses sources d'inspiration autochtones, notamment la culture Mapuche.

Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : Espéranto
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Espagnol, Portugais, Mapudungun

Drapeau :
Drapeau

Devise officielle : "La revolucio ne haltas" - "La révolution ne s'arrête pas"

Hymne officiel :
Monnaie nationale : Komunterro

Capitale : Nekompromisa

Population : 37.232.640 d'habitants


Aperçu du pays :



Présentation du pays :

Dans un passé lointain, il existait une communauté nomade connue sous le nom de Wiya, littéralement « celles qui marchent ». Ces nomades vivaient sur les vastes terres du continent de Paltoterra, adoptant un mode de vie nomade qui les emmenait vers des terres étrangères, d'où le surnom qui leur était donnée « Eksterajo ». Les Wiyān s'habituèrent à parcourir de longues distances, non seulement pour répondre à leurs propres besoins commerciaux [ce qui faisait d'elles de riches commerçantes], mais aussi pour tendre la main aux habitants souvent moins fortunés des vastes empires voisins.

Le caractère exceptionnel, qui d'ailleurs avait pour don d'amuser ou d'énerver les locaux qui recevaient la visite de ces commerçantes, était leur organisation matriarcale. Eh oui ! Des femmes armées d'épées qui criaient sur les comptoirs pour faire venir les clients pendant que les hommes semblaient faire la poussière, ça ne passe pas inaperçu ! Les femmes jouaient un rôle central dans la communauté Wiyā puisque comme dit ci-dessus elles étaient celles qui ramenait l'argent à la famille et en assurait la défense ! Pendant ce temps, les hommes occupaient les rôles traditionnellement attribués aux femmes : l'entretien des comptoirs, s'occuper des enfants. Enfin bref, la vie de foyer !

La réussite Wiyān dans le commerce d'or et de joaillerie avait attiré l'attention de nombreux envieux. Il n'est pas sans surprise que leurs richesses suscitaient la convoitise des pilleurs et des malfrats qui cherchaient par tous les moyens de s'accaparer les richesses que ramassaient et redistribuer la communauté Wiyā. Puis il n'est pas irraisonnable de dire que l'existence même d'une société nomade qui avait une organisation matriarcale était perçue comme une menace et une hérésie par une partie non-négligeable des populations conservatrices des empires voisins.

L'ensemble des pressions extérieures mènent à de graves attaques visant à déstabiliser et à éradiquer la communauté Wiyā. Iels furent immédiatement confrontés à une répression dans la volonté de les chasser de leurs terres ancestrales. C'est une tourne tragique qui pointe le bout de son nez. He oui ! Les attaques et les persécutions s'intensifièrent d'année en année. C'est une véritable tragédie qui va les touchers. Les Wiyān, qui avaient prospéré grâce à leur mode de vie équilibré et à leur ouverture au monde, furent victimes d'un génocide impitoyable dans toute la Paltoterra. En l'espace de 25 ans, la population Wiyā fut réduite de manière dramatique, perdant 27 % de ses membres.

Plus que jamais résistante, les Wiyān décidèrent de se réinstaller sur leurs terres natales. C'est trop d'injustice, trop de persécutions qu'elles avaient subies pour que quelqu'un d'autre décide de leur destin. C'est alors qu'elles se formeront en Armée de Libération des Femmes - composées de guerrières aguerries. Elles décidèrent unanimement d'attaquer les populations sédentaires qui les réprimaient pour pouvoir occuper leurs propres terres. Les combats sont violents, ils mènent à un véritable bain de sang. Mais cela n'est pas vain, elles vainquirent et réussirent à s'installer long des côtes qui longent la Mer des Burbujas Verdes. Elles proclament alors, par l'intermédiaire du Le Manifeste d'Indépendance de Ĝojiga", leur propre état. La légende raconte que cet état était infranchissable par les hommes étrangers, et que tout homme s'aventurait dans les forêts qui servaient de frontière au petit pays mourraient assassinées d'une flèche envoyée dans la jambe, par les archères, qui sectionnait parfaitement l'artère tibiale postérieure menant à une mort rapide et douloureuse.

Un siècle se passa, et en 1522, alors que les gardes côtières prenaient leurs postes, elles voient au bout de leurs longues-vues de gigantesques navires, arborant les drapeaux Eurysiens avec un équipage composé d'une multitude d'hommes blancs. La colonisation avait frappé à la porte de Ĝojiga. Les Wiyān, dépourvues des armes à feu des envahisseurs, firent dévaster. Durant [presque] trois siècles, le silence des femmes, pourtant si forte auparavant, se fit entendre à Ĝojiga. La culture Wiyān disparaît au même moment, par les maladies apportées par les colons et les chaînes du servage imposé. Seule une petite population survit au sein des forêts Agojiènes et par l'immigration Wiyān dans toute la Paltoterra.

Au XIXe siècle, lors de la décolonisation, l'Empereur Catholique Muzeaĵo 1er, fut choisi par les colons pour régner sur l'ensemble du territoire actuel de Communaterra. Cet empereur établit un régime capitaliste patriarcal, aliénant les femmes et les prolétaires. Les libertés fondamentales furent bafouées, et le pays tomba sous l'emprise du libéralisme. À la suite du premier empereur, trois autres portèrent le même nom et un numéro différent, perpétuant le règne du patriarcat. Cependant, en 1989 lorsque 'Empereur Lushañe prit le pouvoir puis initia une réforme constitutionnelle en 2009, visant à privatiser massivement toute l'économie et rendant toute chose marché et à libéraliser l'économie encore plus, provoquant au sein de l'Empire Catholique de Muzeaĵ une crise sociale dévastatrice et sans précédent. En Septembre 2011, une seconde réforme constitutionnelle secoua l'Empire, remettant en question le droit à l'IVG et inscrivant dans la constitution l'infériorité de la femme par rapport à l'homme. C'est la goutte de trop.

Le 21 Octobre 2011, lança le début des révoltes dans la région de Ĝojiga. Révoltées, les Wiyān, qui s'étaient cachées et avaient immigrées pendant les années de répression regagnèrent leurs terres ancestrales. Ils réussirent à convaincre les femmes de cjhosir les armes pour se libérer par elles-mêmesqr. La nuit tombée, les hommes des villages, qui avaient asservi les femmes en un mois à peine, grâce à la nouvelle Constituion, furent impitoyablement éliminés. Au même moment, les forces armées de l'Empire Catholique de Muzeaĵo tentèrent de réprimer la révolte en envoyant des forces armées dans la région. En réaction, le 22 Octobre 2011, l'Assemblée Révolutionnaire des Femmes, à l'unanimité, décida de prendre le contrôle des grandes villes. Des barricades furent montées, les canons furent volés dans les casernes et disposés stratégiquement pour défendre ces dites barricades. En déroute, l'armée fut contrainte de battre en retraite. Des bombardements sont lancés en représailles, mais les femmes des autres régions tentent d'empêcher les avions de décoller en s'introduisant sur les pistes, dans l'échec. Des villages entiers sont réduits en cendres sous les bombardements de l'Empire

Alors que l'Armée des Femmes de Ĝojiga faisait face à une pression constante des Armées Impériales et reculait, une réponse internationale à l'appel de formations de Brigades Internationales s'organisait. Des brigades internationales furent donc formées, composées de volontaires venus de divers horizons pour prêter main-forte à la Révolution. Les premiers volontaires francophones arrivèrent en nombre, créant sur place une forte communauté francophone. Suite à l'appel du Grand Kah, la mobilisation internationale s'intensifia. Des volontaires du Kah se joignirent aux Brigades Internationales pour soutenir la lutte des femmes et des prolétaires.

Le 23 Octobre 2011, des femmes venues de tout le pays décident de prendre les armes pour rejoindre leurs sœurs de la région de Ĝojiga. Pendant ce temps, les armées de l'Empire lancent pour la première fois une tentative pour envahir la ville de Nekompromisa, capitale de Ĝojiga où les femmes prirent le pouvoir un jour plus tôt, pensant écraser la révolte. Mais les femmes de Ĝojiga, préparées, ont piègées un pont sur lequel les armées impériales comptaient passer, informées par la mère d'un soldat de leur venus. Le moment tant attendue arrive, et les armées avancent sur le pont, ignorant le piège tendu par ces femmes rebelles. Soudain, l'horreur se déchaîne : les charges explosives placées sous le pont explosent dans un fracas assourdissant. Le pont s'effondre, emportant avec lui l'entièreté des forces venues. Les cris de victoire des femmes retentissent à travers la ville.

Le 29 Octobre 2011, une journée sinistre s'abat sur les autres régions alors que les armées impériales défilent en exhibant les corps sans vie de femmes décapitées. Cette macabre parade est destinée à servir d'avertissement, annonçant que toute nouvelle révolte sera réprimée dans le sang. Les troupes défilent dans une atmosphère de terreur, les femmes vomissant et pleurant face à l'horreur de ces scènes, tandis que certains maris applaudissent, pris entre la pression impériale et leur propre désir de domination patriarcale. Face à cet outrage insoutenable, les femmes se rassemblent en secret au cœur de la nuit dans plusieurs villes. Elles prennent les armes et engagent des attaques contre les troupes impériales qui patrouillent dans leurs quartiers. Au petit matin du 1er Novembre 2011 le pays se réveille sous le choc : l'Empereur apprend que les femmes se sont soulevées et ont commencé à occuper les usines, déclarant leur lutte comme étant à la fois féministe et communiste. En réponse à cette annonce que la lutte serait aussi sociale, les syndicats appellent à la prise des armes massives dans tout le pays pour prendre en main les moyens de productions.

Au même moment, l'Église Catholique lance un appel désespéré à ses fidèles, les exhortant à prendre les armes contre les prétendues "sorcières" qui menacent l'ordre établi. En réaction, les femmes de Ĝojiga annoncent la création de l'Église Protestante Révolutionnaire. Cette nouvelle Église déclare que l'une de ses prêtresses sera bientôt désignée comme Papesse, un acte symbolique destiné à défier ouvertement l'Église Catholique et son dogme patriarcal. L'objectif est clair : démanteler l'ancienne hiérarchie religieuse et bâtir une nouvelle spiritualité basée sur la libération des femmes et des prolétaires. Mais ce n'est pas pour plaire à tout le monde, notamment aux révolutionnaires de la région de Riĉaĵlando, surnommé l'Athéopôle, puisque au Théâtre des Faïence, une assemblée de travailleurs-euses font plusieurs serments, dont un spécial. Puisque, c'est là, dans cette enceinte solennelle, que le célèbre slogan est né, martelé comme un mantra : "Ni Dieun Ni Maître, Ni Tribun". Les églises, symboles du pouvoir ecclésiastique, furent ravagées et incendiées. Les prêtres qui avaient longtemps prêché l'asservissement et la soumission furent arrêtés et confrontés à la colère justifiée du peuple. Certains furent fusillés pour leurs crimes contre l'humanité, tandis que d'autres furent contraints de renoncer à leur autorité et de se rétracter publiquement.

Le 21 Novembre 2011, L'Empereur en exil, les régions sous le contrôle des révolutionnaires, l'économie paralysée par la main ferme des travailleurs-euses, tout laisser envisager une guerre civile longue et douloureuse pour le pays. Mais dans cette toile de chaos, un acte innatendu se joue. C'était la Femme, Maria, l'épouse de l'Empereur, qui se leva pour mettre fin à cette bataille perdue d'avance. Elle avait supporté suffisamment de sang versé et de souffrance, et elle savait que le seul moyen de mettre fin à cette tragédie était de mettre un terme au règne de son mari. D'un geste délibéré, elle délia le destin de l'Empire de la main de son époux, elle fit taire son existence. L'Empereur gisait mort, son règne de terreur éteint à jamais. Maria signa la défaite, délivrant les armées de l'Empire à la Révolution, les contraignant à se soumettre à la nouvelle autorité qui émergeait avant de se faire fusiller. Enfin, elle posa finalement un terme à sa propre existence, se laissant emporter dans la mort, dans les bras de son époux inerte.

Dès la nouvelle de la victoire répandue dans toute la nation, l'Armée des femmes de Ĝojiga et les prolétaires défilèrent dans tout le pays, scandant : "Les chaînes sont brisées, le monde s'éveille, capitalistes, tremblez !" Leurs drapeaux rouges vifs flottaient dans le vent, sauf pour l'Armée des Femmes qui arborait un drapeau rouge, jaune et violet. Immédiatement, ce drapeau fut adopté comme drapeau également pour les travailleurs et travailleuses. Dans chaque ville et village, des Comités Populaires se sont rapidement formés, chargés de rédiger des cahiers de doléances, exprimant les besoins et les aspirations du peuple. Ces comités élisaient des représentantes et des représentants au mandat impératif, chargés de rédiger une nouvelle constitution pour l'État à venir.

Le 1er janvier 2012, la République des Comités de Communaterra fut proclamée.

Mentalité de la population :

Le rapport aux animaux : En Communaterra la population se réclame du véganisme. La consommation de viande y est interdite, et l'antispécisme est une valeur fondamentale. Les habitants reconnaissent que tous les êtres vivants partagent cette planète et méritent respect et dignité.

Le rapport à la révolution : La Communaterra est née de la révolution, et son peuple porte la flamme de la lutte dans son cœur. La population entretient un profond respect pour les valeurs révolutionnaires qui ont façonné la nation. Elle se souvient des sacrifices et des luttes de ses combattant-e-s et l'idéal révolutionnaire est ancré dans la conscience collective

Le rapport au nouveau régime : La Communaterra est un État où la démocratie directe est au cœur de son fonctionnement. La population participe activement à la prise de décision, notamment à travers les Comités d'Autogestion. Elle se sent investie du pouvoir et de la responsabilité de contribuer au bon gouvernement du pays. Les élections, les référendums et les tirages au sort sont des processus démocratiques réguliers qui permettent à la population de choisir ses représentants et de participer à la vie politique. Cette implication dans la gestion de l'État est vécue comme un devoir civique.

Le rapport au travail : Le travail occupe une place centrale dans la vie de la population de la Communaterra. Les Comités d'Autogestion sont les organes responsables de la gestion des entreprises, des fermes et d'autres lieux de travail. Les travailleurs participent activement aux décisions liées à la production, à la sécurité, et aux conditions de travail. Le travail est considéré comme une contribution à la société et non simplement comme une obligation. Au vu de toute les protections sociales et l'assurance d'un réel repos, le travail n'est pas vu comme une charge.

Le rapport au social : La Communaterra est profondément ancrée dans un tissu social solide. La solidarité est une valeur fondamentale, et la population est unie par un fort sens de la communauté. La notion de "communauté" s'étend au-delà des liens familiaux pour englober l'ensemble de la société.


Place de la religion dans l'État et la société :

À l'arrivée des colons, ils découvrirent une terre habitée par une myriade de religions autochtones. Cependant, la colonisation imposa au fil des siècles le Christianisme comme religion dominante. Pourtant, avec l'avènement de la décolonisation, des mouvements antisémite & anti-catholique émergèrent parce qu'ils percevaient ces religions comme "les religion des colons".

Au fil du temps, ces mouvements décoloniaux et anti-catholiques ont transformé la composition religieuse de la Communaterra. Alors qu'initialement, près de 90 % de la population était catholique, l'influence du catholicisme a commencé à décliner. Ce changement s'est opéré malgré le fait que le catholicisme avait été imposé par l'Empereur, choisi par les colons pour succéder aux gouverneurs coloniaux. La montée de l'opposition au catholicisme, notamment en raison de son association avec la colonisation, a conduit au délaissement du catholicisme a, ce qui a finalement ramené [Avant la Révolution] le pourcentage de catholiques à environ 60 % de la population.

Au Sud-Est du pays, une montée en puissance des mouvements anarchistes s'est faite sentir. Une partie substantielle de ces anarchistes a choisi d'adopter la religion sataniste, tout en maintenant cette croyance dans l'ombre. Le satanisme est devenu pour eux un symbole de résistance face à l'autorité suprême, correspondant parfaitement à leurs valeurs et principes. Lorsque la Révolution a finalement éclaté, ces mouvements anarchistes ont décidé de ne plus dissimuler leur adhésion au satanisme, ce qui a considérablement accru le nombre d'adeptes de cette religion. Désormais, le satanisme est revendiqué ouvertement par ces anarchistes et touche environ 7 % de la population.

Au Nord-Ouest du pays, une région où de nombreux membres des brigades internationales, comprenant une forte présence d'Eurysiens et de Kah, se sont installés pendant la Révolution, est apparue une phénomène extraordinaire connu sous le nom de "syndrome de Melpomène", en référence à la Muse de la Tragédie. Ce syndrome a été caractérisé par l'émergence d'un culte dévoué aux neuf muses de l'Art, ainsi que par une divinisation de l'Art lui-même. Noombreux témoignages de révolutionnaires rapportent avoir été témoins de manifestations extraordinaires sur le champ de bataille. En effet, la légende raconte que les neuf Muses de l'Art, descendues des cieux, se réunirent au sommet d'une colline commençant à chacune user de leurs arts. De l'autre côté du champ de bataille, les troupes impériales ont été immédiatement captivées par la magie des Muses. Incapables de résister à la beauté de cette danse enchanteresse, ils se sont mis à danser malgré eux, leurs armes tombant à leurs côtés. La Grande Danse des Muses a continué jusqu'à ce que chacun des membres des Forces Impériales meure épuisé. Désormais, 11% de la population se revendique du Paganisme des Muses.

Au Sud-Est du pays, les Athées constituent une majorité écrasante et 38% de la population globale. Ils sont radicaux et prônent l'abolition totale des religions, ainsi que la destruction de tous les lieux de culte au sein de la Communaterra. La religion est perçue comme une aliénation de l'individu, un obstacle à la révolution. Ce radicalisme athée les place en conflit constant avec l'Eglise Protestante Révolutionnaire située au Nord-Est du pays. Cette église, à l'origine une simple provocation en réponse à l'appel de l'Eglise Catholique visant à lutter contre les révolutionnaires de la Communaterra, s'est développée pour devenir une institution religieuse autonome. Elle est dirigée par une Mère Supérieure qui exerce également le rôle de Papesse, actuellement incarnée par Maria 1ère. Tous les représentants religieux au sein de cette église, notamment les prêtresses, sont élus par suffrage direct des fidèles qui représente 42% de la population totale.

Aussi, il existe une petite communauté musulmane qui représente 1.5% de la population.

Les transformations religieuses décrites n'ont pas eu lieu dans un climat de paix. En effet, une forte pression sociale et coercitive s'est exercée sur les Catholiques de la part des révolutionnaires, qui les considéraient souvent comme des traîtres. Face à la répression et déçus par la position adoptée par l'Église Catholique, de nombreux Catholiques ont fait le choix de se convertir au Protestantisme, sauf dans l'Athéopolie où les révolutionnaires ont permis à de nombreuses personnes non croyantes d'assumer leur position, ce qui était moins accepté par ailleurs.





Politique et institutions :



Institutions politiques :

Carte Administrative de la Communaterra :

 Découpage administratif de la Communaterra
Carte réalisé par Narcisse.

Légende :

Violet : Zone de Ĝojiga et ses 3 Districts.
↪ Cercle 1 : Capitale Nationale, Nekompromisa
Jaune : Zone d'Artadozonejo et ses 3 Districts.
↪ Cercle 2 : Capitale de Zone, Muzeopoli.
Blanc : Zone de Riĉaĵlando et ses 3 Districts.
↪ Cercle 3 : Capitale de Zone, Klerigrezisto
Rouge : Zone Anarchiste de Ĵurnima et ses 3 Districts.
↪ Cercle 4 : Capitale de Zone, Neniampoten

Les Comités de la Communaterra :


Comité des Autogestions (CA) :

→ Les Comités d'Autogestion sont des structures obligatoires dans chaque usine, ferme, ou tout autre lieu de travail et de production au sein de la Communaterra. Ils réunissent l'ensemble des travailleur-euse-s des entreprises publiques sur un site ou des coopératives. Le travail au sein des Comités d'Autogestion est pris en compte dans le temps de travail des travailleur-euse-s, à hauteur de 2 heures par semaine, et est rémunéré en conséquence. Ces comités ont pour mission d'assurer la formation militaire obligatoire d'une durée de 3 mois pour toute personne nouvellement arrivée sur le marché du travail. De plus, ils sont responsables de la gestion de la caisse d'armes et du matériel de guérilla. Chaque usine et ferme dispose de son propre arsenal et de matériel de barricade pour défendre ses moyens de production.

Comité Sectoriel des Travailleur-euse-s Autogéré-e-s (CST) :
↪ Inclut le Comité Populaire à la Gestion des Grèves, des Mobilisations et de l'Armement prolétaire (CPGGMA)

→ Les Comités Sectoriels des Travailleur-euse-s Autogéré-e-s (CST) sont des organismes spécialisés dans la gestion des activités productives par secteur. Chaque CST est responsable d'un domaine particulier, comme l'agriculture, l'industrie, l'éducation, la santé, etc. Ils ont pour mission de mettre en œuvre les politiques définies par le CTA et de les adapter aux spécificités de chaque branche, tout en garantissant une gestion efficace et équitable de leur secteur. Les CST sont également chargés de veiller à l'approvisionnement en armes et en matériel de barricades/guérillas pour les sites de travail. Chaque CST est composé de 20 représentant-e-s par secteur, dont 10 sont élus au mandat impératif par les Comités d'Autogestion, et les 10 autres sont désignés par tirage au sort parmi l'ensemble des travailleur-euse-s.

Comité Social des Prolétaires Autogéré-é-s (CSPA) :
↪ Inclut le Groupe Thématique lié à la Sécurité Sociale (CPSS),
↪ Inclut le Groupe Thématique lié aux Minimum Sociaux,
↪ Inclut le Groupe Thématique lié aux Conditions de Travail,
↪ Inclut le Groupe Thématique lié au Repos,
↪ Inclut le Groupe Thématique lié à l'Economie Sociale.

→Le Comité Social des Prolétaires Autogéré-e-s s'occupe de la gestion des aspects sociaux de la Communaterra. Il veille à l'application des politiques de sécurité sociale, à la gestion de la Caisse de la Sécurité Sociale, aux conditions de travail, au repos, à l'économie sociale, et aux minimums sociaux. Toutes les personnes bénévoles peuvent y siéger dans les différentes thématiques et sous-thématiques qui les intéressent.

Comité des Travailleur-euse-s Autogéré-e-s (CTA) :

→ Le Comité des Travailleur-euse-s Autogéré-e-s est l'instance suprême de gestion démocratique du travail et de la production au sein de la Communaterra. Il est composé de 350 délégué-e-s élu-e-s [issu-e-s des CST/CSPA] par les travailleur-euse-s de toutes les Zones et de tous les secteurs. et 450 délégué-e-s tiré-e-s au sort. Il a pour mission de coordonner les activités productives, d'élaborer des politiques de travail et de garantir les droits des travailleur-euse-s.

Comité de Solidarité de Quartier (CSQ) :
↪ Inclut le Comité Populaire de Médiation à la vie de Quatier (CMQ)
↪ Inclut le Comité Populaire aux Asocciations Locales (CPAL)
↪ Inclut le Comité Prolétaire de Bonne Entente de Quartier (CP-BEQ).

→ Les Comités de Solidarité de Quartier sont responsables de la vie communautaire à l'échelle locale. Ils assurent la médiation dans les quartiers, soutiennent les associations locales et favorisent la bonne entente de quartier. Les CSQ sont les garants de la cohésion sociale et de la démocratie participative au niveau du Quartier. L'ensemble des habitant-e-s des dits Quartiers en sont membres.

Comité Populaire de Gestion de la Municipalité (CGM) :
↪ Inclut le Comité Prolétaire de Bonne Entente Municipal (CP-BEM).

→ Le Comité Populaire de Gestion de la Municipalité supervise la gestion au niveau municipal. Il inclut le Comité Prolétaire de Bonne Entente Municipal (CP-BEM), qui veille au bon fonctionnement des affaires municipales, à la satisfaction des citoyen-ne-s, et au lien avec les autres institutions. On désigne municipalité les villes de moins de 1000 habitant-e-s, l'ensemble des personnes y siègent.


Comité Populaire de Gestion de la Petite Communauté (CGPC) :
↪ Inclut le Comité Prolétaire de Bonne Entente Petite Communautaire (CP-BEPC).

→ Le Comité Populaire de Gestion de la Petite Communauté supervise la gestion au niveau petit-communautaire. Il inclut le CPGC, qui veille au bon fonctionnement des affaires petite-communautaire, à la satisfaction des citoyen-ne-s, et au lien avec les autres institutions. On désigne "petite communauté", les villes de 1000 habitant-e-s à 10.000 habitant-e-s, l'ensemble des personnes y siègent par roulement (participation à 1 session sur 10).

Comité Populaire de Gestion de la Communauté (CGC) :
↪ Inclut le Comité Prolétaire de Bonne Entente Communautaire (CP-BEC.)

→ Le Comité Populaire de Gestion de la Communauté supervise la gestion au niveau communautaire. Il inclut le CPGC, qui veille au bon fonctionnement des affaires communautaire, à la satisfaction des citoyen-ne-s, et au lien avec les autres institutions. On désigne "communauté"l, les villes de plus de 10.000 habitant-e-s, ce sont 1500 personnes tirées au sort et 1000 personnes élues qui siègent dans le même système de roulement.


Comité Populaire de Gestion du District (CPGD) :
↪ Inclut le Comité Prolétaire de Bonne Entente de District (CP-BED).

→ Le Comité Populaire de Gestion du District gère les affaires au niveau du district. Il intègre le Comité Prolétaire de Bonne Entente de District (CP-BED), garantissant une gestion optimale du district, la prise en compte des besoins locaux, et le lien avec les autres institutions. Il est composé de 150 membres tirés au sort des CST/CSPA et de 450 membres tirés au sort des CSQ/CPGM. Il a notamment pour mission la gestion des dynamiques du territoire et des politiques culturelles. Il est également compétent pour la gestion des écoles et des bibliothèques.


Comité Populaire de la Gestion de la Zone (CPGZ) :
↪ Inclut le Comité Prolétaire de Bonne Entente de Zone (CP-BEZ).
↪ Inclut le Comité Prolétaire à l'Autonomie Zonale (CPAZ).
↪ Inclut le Comité Prolétaire à la Gestion des élections locales. et des tirages au sort locaux (CPGELTGSL)

→ Le Comité Populaire de Gestion de la Zone est chargé de coordonner les actions à l'échelle régionale. Il comprend le Comité Prolétaire de Bonne Entente de Zone (CP-BEZ), qui favorise la cohésion régionale. De plus, le Comité Prolétaire à l'Autonomie Zonale (CPAZ) assure une gestion autonome des zones et des dérogations spécifiques aux Lois Fondamentales et Constitutionnelles de la Communaterra. Enfin, le Comité Prolétaire à la Gestion des élections locales et des tirages au sort locaux (CP-GEETSL) veille à l'organisation de ces processus démocratiques. Il est responsable de la nomination du ou de la Président-e du Comité Populaire de la Gestion de la Zone, au mandat impératif, qui sera chargé de la représentation de la Zone. Il est composé de 800 personnes tirées au sort.

Comité National Prolétaire (CPN) :
↪ Inclut le Comité Populaire au Maintien de la Paix (CPMP)
↪ Inclut le Comité Populaire aux Affaires Etrangères (CPAE)
↪ Inclut le Comité Prolétaire à la Gestion des élections, et des tirage au sort (CPGETS)
↪ Inclut le Comité Populaire Partagé de Planification (CPPP)
↪ Inclut le Comité Populaire aux Doléances et au Respect de la Constitution & des Autonomies et du Pouvoir Souverain du Peuple (CPDRCAPSP)

→ Le Comité National Prolétaire coordonne les affaires nationales et se compose du Comité Populaire au Maintien de la Paix (CPMP), chargé de veiller à la sécurité nationale, du Comité Populaire aux Affaires Étrangères (CPAE), en charge des relations extérieures, et du Comité Prolétaire à la Gestion des élections et des tirages au sort (CP-GEETSL), qui organise les élections
et tirage aux sort nationales.

Le Conseil National Prolétaire (CNP) est constitué de 650 parlementaires tirés au sort. Le CNP est équilibré comme suit :

25% de membres des CTA/CST/CSPA
25% de membres des CSQ/CPGM
25% de membres du CPGD
25% des Comités du CPGZ

Le CNP détient les compétences en matière de budgets, de relations entre les Comités, de lois fondamentales, ees Affaires Etrangère, de la Sécurité Extérieure et Intérieur, de la Justice de contrôle des activités de la Présidente du Conseil de Bon Gouvernement. Ces attributions permettent au CNP de jouer un rôle central dans la gestion et le bon fonctionnement de la Communaterra.

Comité de Bon Gouvernement :
↪ Inclut le Comité Prolétaire de Bonne Entente (CP-BE).
↪ Inclut le Comité Prolétaire de Gestion de Crise (CPGS)
↪ Inclut le Comité Prolétaire aux Opérations de Communications et Militaire(CPOC)
↪ Inclut le Comité Populaire Partagé de Planification (CPPP)

→ Il est le Comité rassemblant les 4 Président-e-s de Zone. Ensemble, ils sont chargés de la Gestion des Crises, de la Planification National, de la Gestion des Opérations de Communication et Militaire. C'est le/la Président-e du Comité de Bon Gouvernement qui représente la Communaterra à l'étranger.


Principaux personnages :

Présidente Xaiomara - Présidente du Conseil de Bon Gouvernement & Présidente du Comité Prolétaire de la Zone de Ĝojiga.

Camila Cáze

Alexandre Verlumino - Président du Comité Prolétaire de la Zone de Riĉaĵlando - Athéopolie

Alexandre Verlumino

Maria 1ère - Mère Supérieure & Papesse de l'Eglise Protestante Révolutionnaire

Maria 1ère

Anarka-Voĉo - Présidente du Comité Populaire de la Zone de Ĵurnima - Anarchopolie

Anarka-Voĉo

Fridà Kalò - Présidente du Comité Populaire de la Zone d'Artadozonejo - Artopolis

Fridà Kalò


Politique internationale :

Au sein de la scène internationale, la Communaterra tout comme elle le fait sur le plan national se positionnera pour la libération de la Femme et du Prolétaire. Dans cette optique, elle prévoit de créer la Ligue Internationale des Travailleur-euse-s, une Organisation Internationale destinée à rassembler des partis politiques, des syndicats, ainsi que des mouvements de résistance de divers pays. Cette Orga. Internationale vdevrait permettre la convergence des luttes à l'échelle mondiale, permettant de mieux lutter contres les perfides capitalites ;p !

De plus, la Communaterra adoptera une approche d'intérêt humain dans tous les domaines par exemple sur ce qui concerne les brevets. Elle ne reconnaîtra pas les droits de brevet sur les secteurs d'intérêt essentiel pour l'humanité. Par conséquent, elle partage outes les découvertes scientifiques majeures, en particulier dans les domaines médicaux et de l'assainissement de l'eau, avec tous les peuples désireux d'y avoir accès.

En vertu de sa Constitution, qui proclame que la Communaterra "donne asile à celleux qui sont bannis de leur patrie pour la cause de la liberté. - Il le refuse aux tyrans", le pays ne reconnaît pas les régimes monarchiques absolus, impériaux, ou dictatoriaux. Les relations de la Communaterra avec ces nations se limitent à des interactions avec des organisations de résistance prolétaires et féministes sur place pour lutter contre lesdites tyrannie en place
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Observatoire International des Droits de l'Homme.


Législation d'identité et âge

Majorité civile : 15 ans

❝ À l'âge de quinze (15) ans, tout individu de la Communaterra est reconnu en tant que citoyen majeur, ayant atteint la Majorité Civile. À ce stade, chaque citoyen acquiert l'ensemble des droits civiques, ainsi que les responsabilités afférentes, nécessaire à sa pleine participation à la vie de la communauté.❞

Majorité judiciaire : 17 ans

❝ À l'âge de dix-sept (17) ans, tout citoyen de la Communaterra atteint la Majorité Judiciaire, marquant son accès à la pleine capacité d'exercer et de participer aux fonctions judiciaires de la communauté.❞


Majorité sexuelle : 18 ans

❝ À l'âge de dix-huit (18) ans, tout citoyen de la Communaterra atteint la Majorité Sexuelle, affirmant son autonomie et sa capacité à prendre des décisions éclairées concernant sa vie sexuelle.

Chaque individu ayant atteint la Majorité Sexuelle a le droit de consentir librement à des relations intimes, en respectant les principes de respect mutuel, de communication transparente, de consentement et de compréhension des désirs et limites de chaque partenaire. ❞

Service militaire : Obligatoire

❝La Communaterra, guidée par l'idéal révolutionnaire, instaure le Service Militaire Révolutionnaire en tant que devoir civique et moyen de préparation à la défense active des valeurs de la Communauté.

Tout citoyen, inscrit à l'École Révolutionnaire, acquerra les compétences nécessaires à la guérilla urbaine, à la stratégie révolutionnaire et à la défense des propriétés collectives. À l'issue de l'école, chaque citoyen effectuera un stage de trois mois à l'entrée dans le monde du travail. Ce stage vise à appliquer les connaissances acquises, à s'entraîner à monter des barricades et défendre les moyens de productions collectifs. Chaque citoyen, une fois intégré dans le monde du travail, devra consacrer deux heures par semaine à un entraînement révolutionnaire intégré. Cela inclut des exercices pratiques de défense, de barricade et de coordination d'équipes révolutionnaires. Les séances d'entraînement se concentreront sur la défense des propriétés collectives, la protection des acquis révolutionnaires et la réponse aux menaces extérieures qui pourraient compromettre la liberté et l'égalité de la Communaterra.

Tout citoyen formé par le Service Militaire Révolutionnaire est investi du devoir de défendre la Révolution en tout temps et en toutes circonstances. Les compétences acquises lors du Service Militaire Révolutionnaire seront mises en œuvre dans le cadre de la participation active aux actions révolutionnaires, garantissant ainsi la pérennité de l'idéal révolutionnaire de la Communaterra. Chaque citoyen peut être tiré au sort pour donner trois (3) ans de sa vie au Comité Populaire au Maintien de la Paix. ❞

Droit de nationalité :

❝Toute personne née et domiciliée en Communaterra, âgée de quinze ans accomplis ; — Tout étranger âgé de quinze ans accomplis, qui, domicilié en Communaterra depuis une année, - Y vit de son travail - Ou adopte un enfant - Ou nourrit un vieillard ; — Tout étranger enfin, qui sera jugé par le Corps législatif avoir bien mérité de l'humanité - Est admis à l'exercice des Droits de citoyens. Aussi, il donne asile aux étrangers bannis de leur patrie pour la cause de la liberté. - Il le refuse aux tyrans. ❞


Laïcité : Garantie

❝La Communaterra, fondée sur les principes de liberté, d'égalité et de fraternité, garantit la liberté de culte à tous ses citoyens. Aucun individu ne peut être inquiété en raison de ses opinions religieuses.

Afin de préserver l'indépendance des institutions religieuses, aucun représentant religieux ni aucun lieu de culte ne peut recevoir de financement étranger ou public. Les représentants religieux sont élus au suffrage direct de leurs fidèles, renforçant ainsi la démocratie au sein des communautés de croyants.

La Communaterra affirme la liberté individuelle de porter des signes religieux en tous lieux, refusant toute interdiction de ces pratiques. Cependant, dans l'exercice de leurs fonctions, il est demandé aux personnes de s'abstenir de discussions religieuses afin de préserver un espace laïque et respectueux. ❞

Droits fondamentaux

Liberté d'expression : Garantie

❝La Communaterra, défendant les fondements inaliénables de la liberté, proclame la liberté d'expression comme un droit fondamental de tout citoyen.

La liberté d'expression est garantie à tous les citoyens de la Communaterra. Aucune censure, restriction ou répression ne peut entraver la libre expression des idées, des opinions et des convictions. Les médias et les artistes jouissent d'une protection particulière dans l'exercice de leur liberté d'expression. Aucune influence extérieure, qu'elle soit publique ou privée, ne peut entraver leur indépendance créative et informative et leurs sources sont protégées. : La liberté d'expression s'exerce dans le respect des droits et de la dignité d'autrui. Les discours incitant à la haine, à la violence ou à la discrimination sont rigoureusement interdites.

La Communaterra s'engage à garantir la transparence et à faciliter l'accès à l'information pour tous les citoyens. La liberté de la presse est protégée, favorisant ainsi un débat public éclairé. Tout citoyen a le droit de critiquer et de s'opposer aux politiques établies sans craindre de représailles. Les membres des Comités ne peuvent être recherchés, accusés ni jugés, en aucun temps, pour les opinions qu'ils ont énoncées dans le sein du Corps législatif.❞

Liberté de culte : Garantie

❝La Communaterra, forgée dans le creuset des idéaux révolutionnaires, proclame la liberté de culte comme un droit inaltérable et sacré de tout individu.

Chaque citoyen de la Communaterra est libre de suivre la voie spirituelle qui lui convient, sans craindre la persécution ou l'oppression. Les chaînes religieuses qui ont entravé la pensée individuelle sont rompues.Nul ne peut être contraint à l'obéissance aveugle envers des dogmes religieux. La liberté de culte équivaut à la libération de l'esprit humain de toute suprématie théologique.

Aucun culte, aucune église, aucune mosquée ne sera assujetti à des financements étrangers ou publics. La liberté spirituelle ne doit pas être subordonnée à des influences extérieures corruptrices. Les représentants religieux, sont élus par leurs fidèles, garantissant ainsi que leur voix émerge du cœur du peuple, plutôt que des coffres pleins de pièces d'or.
La Communaterra embrasse la diversité des croyances et encourage le débat d'idées sans contraintes. La tolérance est la clé d'une société où la foi s'épanouit librement. En dépit de cette liberté, il est demandé aux citoyens, dans l'exercice de leurs fonctions, de s'abstenir de discussions théologiques. La Révolution se bat pour la liberté, pas pour des querelles divines.❞

Liberté de rassemblement : Garantie

❝La Communaterra, éprise de l'esprit révolutionnaire, proclame la liberté de rassemblement comme un droit absolu, un cri de ralliement pour les âmes libres et insurgées.

Les places publiques, le cœur battant de la Révolution, sont sanctuaires de la libre expression. Aucune chaîne, aucune entrave ne doit étrangler la voix des assemblées de citoyens. Les rues, pavées du sang des luttes passées, sont le domaine sacré du peuple. La libre circulation des corps et des esprits révoltés doit rester inviolable. Les citoyens ont le droit de se rassembler pour discuter, débattre, et planifier l'insurrection. Les congrès de l'insurrection sont le souffle qui alimente les feux de la révolte. Les fêtes de la liberté sont sacrées, des moments de célébration où les citoyens s'unissent dans la joie, dansant au rythme des chaînes brisées.

Rassembler les esprits libres est un acte de résistance contre l'oppression. Les tyrans craignent les places pleines de citoyens conscients de leur pouvoir. Les rassemblements sont les armées de la rue, prêtes à défendre les droits de la Communaterra, prêtes à affronter les forces de l'injustice.❞


Liberté d'association : Garantie

❝La Communaterra, flamme vivace de la révolte, consacre la liberté d'association comme un droit sacré, une arme acérée dans la lutte contre l'ordre établi. Aucune chaîne, aucune main invisible ne peut entraver la formation d'associations. Les citoyens ont le droit inaliénable de se réunir, de s'unir contre l'injustice et de forger des alliances contre les oppresseurs.Les associations sont les forteresses où se tisse la camaraderie des opprimés. Chaque citoyen est libre de rejoindre les rangs d'une fraternité combative, une unité de résistance contre les forces de la tyrannie.

Chaque association est un étendard de défi, une déclaration ouverte aux tyrans. Elles sont les phalanges organisées de la résistance, prêtes à affronter les oppresseurs tête haute.❞

Droit de grève : Garantie


❝La Communaterra, consacre le droit de grève comme une arme puissante du peuple.

Aucun décret, aucun pouvoir ne peut entamer l'inaltérabilité du droit de grève. Les travailleurs, unis dans leur quête de justice, peuvent brandir la grève comme un étendard de résistance contre l'oppression. La grève est la liberté insoumise des travailleurs. Ils ont le droit de cesser le travail, de bloquer les rouages du système, de proclamer leur refus catégorique d'être assujettis. Les travailleurs ont le droit de s'unir, de former des syndicats comme des boucliers ouvriers contre les abus de pouvoir.❞

Droit d'entreprendre : Illégal.

❝La Communaterra, bastion du communisme émancipateur, proclame l'abolition totale du droit d'entreprendre dans le cadre du système capitaliste. Les entreprises privées à but lucratif sont déclarées illégales, leurs chaînes brisées par la volonté inébranlable du peuple.

L'État planifie l'économie, assurant une répartition équitable des ressources et une satisfaction des besoins collectifs plutôt que la poursuite de profits individuels. L'abolition de l'entrepreneuriat capitaliste vise à éliminer les inégalités économiques. Les fruits du travail collectif sont répartis équitablement, garantissant à chaque citoyen un accès égal aux ressources et aux opportunités. Les moyens de production sont orientés vers la satisfaction des besoins collectifs plutôt que vers la recherche du profit individuel. La production est planifiée pour répondre aux exigences de la communauté plutôt qu'aux appétits insatiables de quelques-uns.

La prohibition des entreprises privées vise à éradiquer l'exploitation de l'homme par l'homme, établissant ainsi une société où le travail est un acte de contribution au bien commun plutôt qu'un moyen d'enrichissement personnel.❞

Droits des femmes : Garantie.

❝La Communaterra, ardente défenseur de l'égalité, proclame que les termes "Hommes" et "Femmes" ne sont pas reconnus par la loi, et que toutes les lois s'appliquent de manière égale à chaque individu, indépendamment de son genre. Afin de refléter cette égalité, la terminologie inclusive sera privilégiée dans le cadre législatif, par exemple en se référant à "toutes les personnes" au lieu de catégoriser selon des genres spécifiques.

Chaque individu, quel que soit son genre, est égal devant la loi. Aucune discrimination basée sur le genre ne sera tolérée, et chaque personne jouit des mêmes droits, opportunités et protections légales. La loi favorise l'utilisation de termes inclusifs pour garantir une représentation équitable et respectueuse de toutes les personnes. Par exemple, la référence aux "personnes menstruées" au lieu de la catégorisation basée sur le genre.❞

Droits des enfants : Garantie

❝La Communaterra, protectrice inébranlable des droits fondamentaux, proclame la garantie absolue des droits des enfants, établissant un cadre où la responsabilité parentale prime sur toute notion d'autorité parentale.

La responsabilité parentale est la pierre angulaire du bien-être des enfants. Les parents sont investis du devoir sacré de veiller à la croissance, à l'éducation, et au bonheur de leurs enfants, sans exercer d'autorité oppressive. Chaque enfant a le droit à une éducation équitable et inclusive, où les opportunités ne sont pas entravées par des discriminations. La Communaterra veille à ce que chaque enfant puisse développer son potentiel sans limites imposées par des préjugés. La Communaterra s'engage à préserver l'innocence de l'enfance. Les enfants sont protégés contre toute forme d'exploitation, de travail forcé, ou d'abus, assurant ainsi leur droit à une enfance épanouissante.Les enfants bénéficient d'une protection juridique et sociale renforcée. La Communaterra garantit un système où les droits des enfants sont préservés, et où toute atteinte à leur bien-être est vigoureusement sanctionnée.❞

Droits des Nehomajbestoj (Animaux non-humain) : Garantie

❝La Communaterra, protectrice intrépide de tous les êtres vivants, proclame la garantie absolue des droits des Nehomajbestoj, établissant une société où ces êtres non humains sont reconnus comme égaux des Humains, avec des droits inaliénables et une protection contre toute forme de discrimination, y compris le spécisme.

Les Nehomajbestoj sont reconnus comme des êtres égaux des Humains, jouissant des mêmes droits inaliénables, y compris le droit à la vie, à la liberté et à la protection contre la souffrance. Faire mention d'une hiérarchie entre les Humains et les Nehomajbestoj, ou prétendre à la supériorité de l'un sur l'autre, est déclaré crime de spécisme. La Communaterra condamne fermement toute forme de discrimination basée sur l'espèce.

Les Nehomajbestoj ont le droit inaliénable à la vie et à la liberté. Aucune forme d'exploitation, y compris la zoophagie, n'est tolérée, assurant ainsi leur droit à vivre une vie exempte de souffrance inutile. Les Nehomajbestoj ont droit à des soins appropriés et au respect de leur intégrité. La Communaterra promeut des pratiques qui garantissent le bien-être des Nehomajbestoj et condamne toute forme de maltraitance.

Des représentants légaux sont désignés pour défendre les droits des Nehomajbestoj. Ils ont le droit de plaider en leur faveur dans toutes les instances juridiques, garantissant ainsi une représentation efficace. La Communaterra promeut une éducation anti-spéciste, éliminant les préjugés et les stéréotypes basés sur l'espèce. La société est encouragée à reconnaître la valeur intrinsèque de chaque être vivant.❞


Droit d'héritage : Illégal

❝La Communaterra, forge ardente de la révolution émancipatrice, proclame l'abolition totale du droit d'héritage, répudiant ainsi la notion ancestrale qui permettait aux privilèges de s'ancrer dans le sol des inégalités.

L'héritage, brevet d’oisiveté légué par le passé, est entièrement aboli. La Communaterra refuse que les morts enchaînent les vivants par le biais d'une transmission automatique de richesse et de pouvoir. Les vivants sont libérés de l'or des ancêtres, de la contrainte imposée par des fortunes héritées. Chaque individu est libre de forger son propre destin, délivré des liens du passé.❞

Double nationalité : Aucune information.

Esclavage : Illégal

❝La Communaterra, flamme ardente de la liberté et de l'égalité, proclame l'abolition totale de l'esclavage sous toutes ses formes, dénonçant avec véhémence les chaînes qui emprisonnent l'humanité.

L'esclavage est déclaré illégal sous toutes ses manifestations. Aucune forme d'asservissement humain ne sera tolérée, marquant ainsi la fin de cette abomination dans la Communaterra. La Communaterra s'engage à réparer les tortures du passé en abolissant l'esclavage sous toutes ses formes. Les cicatrices héritées de cette injustice sont reconnues, et la société avance résolument vers un avenir sans chaînes.

L'esclavage capitaliste, où les travailleurs étaient enchaînés par les liens invisibles de l'exploitation, est entièrement aboli. La Communaterra refuse que le labeur humain soit exploité au nom des profits, libérant ainsi les travailleurs des fers du capitalisme oppressant. Les producteurs sont émancipés des relations de travail oppressantes. L'exploitation économique est remplacée par des relations équitables, où chaque individu contribue au bien commun sans être assujetti à la tyrannie économique.❞

Législations morales et civils :

Mariage : Illégal

❝La Communaterra, forge enflammée de la révolution égalitaire, proclame l'illégalité absolue du mariage, dénonçant ce symbole du patriarcat et de l'hétéronormisme qui maintenait les individus sous l'ombre des chaînes conjugales.

Le mariage, symbole désuet des conventions patriarcales, est catégoriquement déclaré illégal. Aucun individu ne sera lié par les chaînes du mariage, rompant ainsi avec les structures oppressives qui ont maintenu les femmes dans l'ombre de l'hétéronormisme. La Communaterra libère les individus de l'institution matrimoniale, favorisant une émancipation totale des liens conjugaux. Chaque personne est libre de définir son parcours sans être assujettie aux contraintes du mariage.
L'abolition du mariage est le premier pas vers l'édification d'une nouvelle norme égalitaire, où chaque individu est libre de vivre et d'aimer selon ses propres choix, sans les entraves des conventions dépassées.❞

Relation sexuelle hors-majorité sexuelle : Illégal

❝La Communaterra proclame l'illégalité absolue des relations sexuelles hors-majorité sexuelle, dénonçant avec véhémence tout acte qui menace la pureté et l'innocence de sa jeunesse prometteuse.

Tout individu qui tentera d'entacher la candeur juvénile par des liaisons charnelles avec ceux qui n'ont pas encore atteint la majorité sexuelle tombera sous l'illégalité . En reconnaissant la vulnérabilité des jeunes âmes qui ne peuvent exprimer un consentement clair, la République proclame que de tels actes sont contraires aux principes sacrés qui guident notre société vers l'émancipation et la justice.

La Communaterra, gardienne inflexible de la vertu et de la moralité, veille à préserver l'innocence de sa jeunesse, condamnant toute tentative de corruption de manière intransigeante. Que ceci serve d'avertissement solennel à ceux qui osent compromettre la pureté des générations futures : la Communaterra ne tolérera aucune transgression contre la dignité sacrée de ses jeunes citoyens.❞

Relation consanguine : Aucun texte ne le réglemente.

❝La Communaterra demeure silencieuse quant à la question des relations consanguines, n'édifiant aucun édifice législatif pour encadrer ce fait complexe❞

Contraception : Garantie.

❝La Communaterra consacre solennellement la garantie incontestable de la contraception. Dans cette révolution sociale, tous les moyens contraceptifs sont octroyés par l'État, comme un acte sacré en faveur du libre arbitre individuel dans le domaine de la reproduction.

L'État, protecteur des droits fondamentaux, assure la distribution équitable et gratuite de toutes les formes de contraception, reconnaissant ainsi la nécessité cruciale de permettre à chaque citoyen de forger son propre destin reproductif. La Communaterra, héritière des principes émancipateurs, offre à ses enfants la possibilité de régir leur vie sans entraves indésirables de la procréation. Toute atteinte à l'accès à la contraception est illégale.❞

Adoption : Garantie.

❝La Communaterra, inscrit dans ses fondements la légalité incontestable de l'adoption. Dans cette société éclairée par les idéaux révolutionnaires, chaque enfant a le droit sacré de trouver refuge et amour au sein d'une famille, indépendamment des liens biologiques.

L'adoption, acte d'amour et de solidarité, est encouragée et facilitée par l'État. Chaque citoyen-ne, remplit de l'esprit égalitaire de la Révolution, peut entreprendre le noble devoir d'accueillir un enfant dans sa famille, lui offrant ainsi un foyer aimant et les chances d'un avenir prometteur.

La Communaterra, réciproque du concept familial, célèbre l'adoption comme une manifestation tangible de la fraternité révolutionnaire. Aucune discrimination ne saurait entraver la possibilité d'adopter. Chaque foyer, empreint de compassion et de responsabilité, est un pilier de la société égalitaire que la Communaterra érige avec ferveur.

En abolissant toute entrave discriminatoire, la Communaterra affirme que la véritable famille est forgée dans les liens du cœur et de l'engagement, plutôt que dans les liens du sang. L'adoption est ainsi consacrée comme un acte révolutionnaire, modelant l'avenir dans l'unité et l'amour, au-delà des frontières biologiques.❞

Avortement : Garantie.


❝La Communaterra, bastion de l'autodétermination et fervente gardienne des droits individuels, proclame la garantie incontestable du droit à l'avortement. Dans cette société éclairée par les principes révolutionnaires, chaque personne a le droit sacré de décider de son propre corps et de son destin reproductif.
L'avortement, acte médical protégé et respecté, est mis à la disposition de toutes les personnes sans discrimination. L'État, protecteur des droits fondamentaux, garantit l'accès équitable et sans entraves à des services d'avortement sûrs et légaux. Chaque individu a le pouvoir de prendre des décisions éclairées sur sa vie reproductive, libéré des contraintes et du jugement.
La Communaterra, dans son engagement envers l'égalité et la liberté individuelle, veille à ce que le droit à l'avortement soit préservé sans compromis. Aucune interférence extérieure ne peut entraver ce droit fondamental, car la Communaterra reconnaît que la liberté de choix en matière de reproduction est essentielle pour garantir l'autonomie et l'épanouissement de chaque individu.❞

Euthanasie : Garantie.

❝La Communaterra, protectrice des droits individuels et championne de la dignité humaine, proclame la garantie incontestable du droit à l'euthanasie. Dans cette société éclairée par les idéaux révolutionnaires, chaque individu a le droit sacré de décider du cours de sa propre existence, y compris la fin de sa vie.

L'euthanasie, acte médical encadré et respecté, est mis à la disposition de toutes les personnes sans discrimination. L'État, gardien des droits fondamentaux, assure l'accès équitable et digne à des procédures d'euthanasie pour ceux qui font le choix éclairé de mettre fin à leur vie dans des conditions médicales difficiles.

La Communaterra, dans son engagement envers la liberté individuelle et le respect de la vie, veille à ce que le droit à l'euthanasie soit préservé sans entraves. Aucune interférence extérieure ne peut entraver ce droit fondamental, car la Communaterra reconnaît que chaque personne a le pouvoir de décider de la qualité et de la dignité de sa propre existence, jusqu'à son dernier souffle.❞

Homosexualité : Légal et protégé.
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❝La Communaterra, déchaînement inextinguible de la colère révolutionnaire, proclame l'homosexualité comme une flamme sacrée, insoumise aux chaînes des préjugés passéistes. À tous les cœurs battant pour l'amour libéré, la Communaterra rugit l'égalité inaltérable des passions. Que la révolution éclate dans les rues, où les couleurs de l'arc-en-ciel sont les étendards de la liberté! Nous, les fils et les filles de la rébellion, foulons aux pieds les vestiges des discriminations! L'homosexualité, loin d'être une faiblesse, est la force irrésistible de l'amour libre, balayant les fers de l'intolérance.

Tremblez, tyrans des conventions dépassées! La Communaterra célèbre la diversité des amours, les embrassant comme des flammes indomptables qui illuminent la nuit des oppressions. Que la fureur de l'égalité déferle, éradiquant toute trace de discrimination! Dans la République des âmes insurgées, l'homosexualité est une bannière fière, hissée au sommet de la tour de l'égalité. Que les rues résonnent du cri de la révolte, où chaque individu, indépendamment de son orientation, marche avec dignité, protégé par les lois de la libération. La Communaterra, forteresse des amours sans entraves, brandit l'étendard de l'homosexualité avec la ferveur des insoumis!❞

Transgenrisme : Légal et protégé.

❝La Communaterra, avancée audacieuse vers l'égalité absolue, proclame la légalité et la protection inconditionnelles du transgenrisme. Dans cette révolution des identités, chaque individu a le droit inaliénable de définir et d'exprimer sa véritable identité, au-delà des limites arbitraires imposées par le passé.
Le transgenrisme, loin d'être une subversion, est une affirmation puissante de la liberté. Les barrières du genre sont écrasées par le rouleau de la reconnaissance et de la protection légale. Chaque personne a le droit de choisir son chemin, de forger son identité authentique, sans craindre la répression ou le rejet. La Communaterra, gardienne des aspirations émancipatrices, célèbre la diversité des genres, où chaque être peut s'épanouir dans la plénitude de sa vérité.

Que résonne dans les rues le cri de l'inclusivité! Le transgenrisme est une force dynamique, un élément essentiel de la mosaïque des identités qui compose notre communauté. Dans cette République des âmes éveillées, le transgenrisme est inscrit dans le code sacré de la légalité et de la protection, érigeant ainsi une forteresse impénétrable contre toute forme de discrimination ou d'oppression. La Communaterra, embrassant les cœurs libres, proclame que le transgenrisme est une réalité vivante, protégée par le flambeau éternel de la justice et de l'égalité.❞

Prostitution : Inexistant

❝La Communaterra, bannière flamboyante de l'émancipation, déclare l'inexistence totale de la prostitution. Dans cette société révolutionnaire, l'idée d'exploiter le corps humain à des fins commerciales est éradiquée, déclarée illégale et impensabl. La pratique ayant disparue à la suite de l'abolition de l'argent.
La prostitution, symbole des chaînes de la domination et de l'exploitation, n'a pas sa place dans la Communaterra. Chaque individu, libéré des fers de l'exploitation sexuelle, est encouragé à vivre sa sexualité avec respect, équité et consentement mutuel. La République refuse de considérer le corps humain comme une marchandise à vendre, rejetant ainsi toute forme de trafic sexuel et d'industrie de l'exploitation.

Dans cette communauté égalitaire, le respect de la dignité humaine prévaut sur les intérêts financiers. La prostitution, en tant qu'institution dégradante et oppressive, est éliminée, laissant place à une vision de la sexualité où chaque individu est libre de choisir ses partenaires, sans la coercition ni l'exploitation qui caractérisent la prostitution. La Communaterra proclame ainsi son engagement envers une société où l'amour, la liberté et la dignité humaine sont les piliers de la vie intime, érigeant ainsi un rempart contre toute forme d'exploitation sexuelle.❞

Pornographie : Illégal

❝La Communaterra, dans son élan pour émanciper chaque individu, proclame l'illégalité absolue de la pornographie. Cette décision est ancrée dans la volonté de préserver la dignité et le respect de chaque personne, en particulier des femmes, dans le contexte de la sexualité.

La Communaterra, fervente défenseure de l'égalité des sexes, considère que la pornographie, souvent marquée par des stéréotypes et des comportements dégradants envers les femmes, est incompatible avec les principes fondamentaux de respect et d'autonomie. Ainsi, toute production, distribution de pornographie est interdite, soulignant la ferme volonté de la Communaterra de créer un environnement où chacun peut s'épanouir sans être confronté à des représentations sexuelles dégradantes.❞

Sectarisme : Illégal

❝La Communaterra, forteresse des opprimés, bannit le sectarisme des terres de la révolution avec une fureur dévastatrice. Tout individu osant semer les graines venimeuses du sectarisme, que ce soit par la religion, l'idéologie ou toute autre affinité, sera écrasé sous le poids implacable de la répression révolutionnaire.

La flamme de l'unité brûle dans le cœur de chaque citoyen de la Communaterra, et le sectarisme est l'ombre démoniaque qu'il s'agit d'éradiquer. Pas de place pour les divisions artificielles, les préjugés sournois ou les querelles mesquines. La révolution s'érige comme un raz-de-marée, balayant les fondements mêmes du sectarisme pour laisser place à une fraternité inaltérable.

Que ceux qui s'aventurent sur le terrain glissant du sectarisme le fassent en connaissance de cause : la révolution est implacable dans sa quête de l'unité, de la justice et de la liberté. Les chaînes du sectarisme seront brisées, et ceux qui les portent seront anéantis par la force de la solidarité révolutionnaire.❞

Législations sur la sécurité :

Espionnage domestique : Non Renseigné

Torture : Illégal

❝La Communaterra, fléau impitoyable contre l'oppression, érige un mur d'acier contre la torture, la reléguant aux confins de l'abomination. Dans notre furie révolutionnaire, la torture est condamnée sans équivoque, ses praticiens sont déclarés ennemis du peuple, et toute tentative de torturer est accueillie par la colère déchaînée des masses éprises de liberté.

La torture est non seulement illégale, elle est maudite, rejetée comme une dépravation inexcusable. Ceux qui osent s'engager dans ces actes ignobles subiront le châtiment implacable de la rétribution révolutionnaire. La Communaterra proclame que la torture est un crime non négociable, une offense qui souille notre révolution. Aucune justification ne sera tolérée, car dans notre société émancipée, la cruauté est un vestige du passé que nous éradiquons sans pitié.

Nous jurons solennellement de défendre la dignité humaine contre les assauts sadiques de la torture. Les bourreaux trouveront en nous une force inébranlable, prête à tout pour protéger nos idéaux. Notre justice est implacable, condamnant sans appel ceux qui cherchent à briser l'esprit d'un individu. Dans la Communaterra, la torture est l'antithèse de notre vision révolutionnaire, et nous la bannissons avec une détermination intransigeante.❞

Peine capitale : Illégal

❝Dans la Communaterra, la peine capitale est balayée du tableau de l'histoire humaine, son ombre funeste rejetée dans les abysses de la tyrannie. Ici, l'idée de prendre délibérément la vie d'un individu est considérée comme une réminiscence grotesque d'une ère révolue. La Communaterra refuse de participer à ce rituel barbare de mort, proclamant avec audace que chaque vie a la potentialité de la rédemption, de la transformation et de la contribution à la société.

La peine capitale est non seulement illégale, mais est également condamnée comme une relique des temps sombres où la vengeance et la cruauté régnaient. La Communaterra préfère s'élever au-dessus de ces instincts primitifs, embrassant l'idée que la justice peut être atteinte par des moyens plus éclairés. C'est une société qui affirme la valeur intrinsèque de chaque individu, même dans les moments les plus sombres, et qui choisit la voie de l'empathie, de l'éducation et de la réhabilitation plutôt que celle de la vengeance brutale.❞

Législations supplémentaires :

Clonage : Légal dans la recherche.

❝La Communaterra, fervente défenseure de la liberté scientifique et de l'exploration des frontières du savoir, proclame la légalité du clonage dans le cadre de la recherche. Notre société reconnaît le potentiel du clonage comme un outil précieux pour la compréhension des processus biologiques, la recherche médicale et d'autres domaines scientifiques.

Le clonage, dans un contexte de recherche, est autorisé avec la condition impérative du respect des principes éthiques et de la protection des droits individuels. Tout clonage effectué à des fins autres que la recherche scientifique est strictement interdit, et la Communaterra s'engage à réguler étroitement cette technologie pour éviter tout abus.❞

Recherche génétique : Légal.

❝La Communaterra, fervente partisane de la quête du savoir et de l'amélioration de la condition humaine, proclame la légalité de la recherche génétique. Notre société encourage la recherche scientifique dans le domaine de la génétique, reconnaissant le potentiel de cette discipline à améliorer la vie de nos citoyens et à contribuer au progrès de l'humanité.

La recherche génétique est saluée en tant qu'outil puissant pour comprendre les mécanismes de la vie, prévenir et traiter les maladies, ainsi que pour promouvoir la santé et le bien-être de la communauté. Cependant, la Communaterra insiste sur l'importance d'une recherche génétique éthique, respectant les droits individuels, la dignité humaine et évitant tout usage discriminatoire ou préjudiciable.❞

Organismes génétiquement modifiés : Illégal dans les produits de consommations. Légal dans la recherche.

❝La Communaterra, défendant la pureté et la santé de ses citoyens, proclame l'illégalité totale des organismes génétiquement modifiés (OGM) dans les produits destinés à la consommation. Notre société rejette les manipulations génétiques sur les cultures et les aliments qui pourraient compromettre la santé et l'équilibre de notre communauté.

Cependant, dans le cadre de la recherche scientifique, la Communaterra reconnaît la nécessité d'explorer de nouvelles frontières du savoir. Ainsi, la recherche sur les organismes génétiquement modifiés est autorisée, sous réserve d'un strict contrôle et de l'évaluation de ses implications éthiques et environnementales. La Communaterra demeure vigilante, veillant à ce que toute manipulation génétique soit guidée par des principes éthiques et à ce que les résultats de la recherche soient mis au service du bien-être collectif.❞

Jeux de hasards : Inexistant puisque l'argent a été abolit.

Consommation d'alcool, de tabac et de Cannabis : Légal

❝La Communaterra reconnaît la liberté individuelle et le droit à l'autodétermination en matière de consommation d'alcool, de tabac et de cannabis. Nous croyons en la responsabilité personnelle et à la capacité des individus à prendre des décisions éclairées sur leur bien-être.
En éliminant les structures de profit liées à ces substances, nous cherchons à éradiquer les abus et les exploitations associés à l'industrie du tabac, de l'alcool et du cannabis, tout en préservant le droit fondamental des individus à faire des choix autonomes sur leur propre corps.❞

Consommation de stupéfiants : Illégal mais présence de salle shoot.

❝La Communaterra adopte une approche équilibrée envers la consommation de stupéfiants. Bien que la production, la vente et la distribution de stupéfiants demeurent illégales, la Communaterra reconnaît les défis liés à la dépendance et à la toxicomanie.

Afin de promouvoir la santé publique et d'offrir un soutien aux individus confrontés à des problèmes de dépendance, des salles de shoot sont établies dans l'ensemble du territoire. Ces espaces offrent un environnement sûr et supervisé où les individus peuvent consommer des stupéfiants tout en ayant accès à des services de conseil, de réduction des méfaits et de réhabilitation.

L'objectif de cette approche est de minimiser les risques pour la santé publique, de prévenir la propagation de maladies liées à l'injection de substances et d'offrir un soutien aux personnes touchées par la dépendance. La Communaterra s'engage à traiter la question de la consommation de stupéfiants de manière humaine, compréhensive et centrée sur la santé.❞

La théorie du Darwinisme à l'Ecole : Enseigné et mise en perspective.

❝Dans la quête incessante de la vérité scientifique et de l'éducation émancipatrice, la Communaterra intègre la théorie du Darwinisme comme un pilier fondamental de son programme éducatif. Cette théorie, qui éclaire la compréhension de l'évolution des espèces, est enseignée de manière complète et mise en perspective au sein de nos écoles.

La Communaterra croit en la nécessité d'armer ses citoyens du savoir, de les équiper des outils intellectuels qui leur permettent de comprendre le monde qui les entoure. La théorie de l'évolution, développée par Charles Darwin, occupe une place centrale dans notre enseignement, offrant aux étudiants une perspective scientifique sur l'origine et la diversité des formes de vie.

En mettant en perspective la théorie du Darwinisme, nous invitons nos étudiants à réfléchir de manière critique, à questionner et à explorer les multiples facettes de la connaissance. La Communaterra encourage ainsi le développement d'esprits libres, capables de naviguer dans les eaux tumultueuses de la pensée scientifique. Cette approche éducative favorise l'autonomie intellectuelle et prépare nos citoyens à devenir des agents du changement et de la progression scientifique dans notre société.❞

Engrais et pesticide dans l'agriculture : Illégal

❝Dans l'esprit révolutionnaire de la Communaterra, la terre nourricière est sanctuarisée contre toute atteinte chimique délétère. Ainsi, la Communaterra proclame l'illégalité absolue de l'utilisation d'engrais et de pesticides dans l'agriculture.

La nature, notre compagne de lutte, ne doit pas être assujettie aux chaînes toxiques des produits chimiques. Notre révolution vise à préserver la pureté des terres cultivées, à favoriser une agriculture respectueuse de l'écosystème et à garantir des récoltes saines pour tous nos concitoyens. Les pratiques agricoles qui empoisonnent la terre, l'eau et l'air sont éradiquées de notre société. L'utilisation d'engrais et de pesticides est considérée comme une trahison envers la terre qui nous nourrit.

La Communaterra promeut des méthodes agricoles durables, organiques et respectueuses de la biodiversité. Chaque citoyen, cultivateur ou consommateur, est invité à contribuer à l'édification d'une agriculture émancipée des chaines de la chimie, en faveur de la santé de la planète et de tous ses habitants.❞

Additifs alimentaires dans les aliments : Illégal

❝La Communaterra, protectrice vigilante de la santé de ses enfants, décrète l'illégalité absolue de l'usage d'additifs alimentaires dans toute production destinée à la consommation humaine. Dans notre quête pour bâtir une société où le bien-être de chaque citoyen est une priorité sacrée, nous rejetons catégoriquement toute forme d'empoisonnement alimentaire déguisé sous le masque trompeur des additifs.

Aucun produit destiné à la consommation humaine ne peut contenir des substances artificielles, chimiques, ou synthétiques qui compromettraient la santé de nos concitoyens. Notre révolution, guidée par le principe de l'égalité, assure à chaque individu l'accès à une alimentation pure, exempte de toute altération nuisible. Les industries alimentaires sont tenues de respecter cette directive incontestable sous peine de sanctions sévères.

La Communaterra célèbre la nourriture en tant que source de vie et de santé. Tout ajout d'éléments artificiels visant à prolonger la durée de vie des produits, à en augmenter l'apparence ou à altérer leur goût est considéré comme une attaque contre la santé publique.❞
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