[SCIENCES] Études nationales et internationales au Banairah

Le premier travail consistait à déterminer les terrains précis à investiguer, ce à quoi nous nous sommes attelés. Connaissant la géologie des lieux, nous avons repéré les endroits où la formation de fossiles était la plus probable : anciennes rivières, parcelles préservées des mouvements géologiques, ... L'accès aux archives des précédentes études, quoique très anciennes, nous permit de dresser une carte et de définir nos priorités : la zone d'El Kahbr semblant plus intéressante, nous nous y sommes installés pour le début des recherches.》

Expéditeur : association des Benbhè d'Al Kara
Objet de l'étude : utilisation de plantes pionnières afin de fertiliser les sols rocheux et sableux des provinces au sud d'Al Kara.
Points à aborder : quantification de l'effet fertiliseur sur différents domaines (rétention d'eau, de nutriments, granulométrie, adaptabilité aux cultures et à la mécanisation), évaluation de différentes espèces (une dizaine afin de posséder un certain éventail des possibles), dimension économique et pratique de la mise en œuvre, échelle de temps.
Organisme demandé : Demande générale, préférance : Institut Agronomique de Balaya.
Contrat : Entrer en contact avec le service de communication de la ville, demander le bureau de développement agricultural.
Échelle de temps : Nous faisons confiance aux équipes de recherche mais espérons si possible obtenir de premiers avis régulièrement afin d'orienter d'ors et déjà notre politique.

Objet de l'étude : dépollution de sols contaminés : ions métalliques, produits phytosanitaires, plastique.
Directeur d'étude : Maïr, Institut agronomique de Balaya
Étape théorique : passée avec succès
Étape pratique : prévue, recherche de terrains appropriés
Utilisation civile : encore non envisageable

Des équipes de recherche en sociologie, comportement humain, géologie, climatologie, faune et flore antarctique et physique appliquée se sont rendues auprès de l'entreprise de BTP Kamel Transports à Raxington, capitale des Églises Australes Unies, afin de l'aider dans la réalisation du projet de construction de l'autoroute ees Justes. Elles profiteront de ce projet inédit dans l'Histoire pour collecter diverses données dans le cadre de leurs recherches qu'elles enverront à leurs instituts respectifs dès que possible et analyseront après leur retour au Banairah. Les opérations comporteront en autres des prélèvements du sol, de carottes glaciaires, de relevés météorologiques, d'échantillonages de specimen végétaux, animaux et microbiens et de statistiques sociologiques et médicales.

Préambule. Le Lion des Mortels, ou Lion Karéen, est un mammifère carnivore de la famille des Félidés constituant une espèce de lion à part entière. Son aire de répartition est constituée de l'ensemble de la chaîne des Mortels, où s'érige la ville millénaire d'Al Kara, les deux donnant leur nom à cet animal endémique de la région. Cette aire de répartition, croisant des axes de transport et d'occupation humaine de plus en plus intenses, limite le développement des populations de lion karéen. Cette espèce ayant fait l'objet de chasse en antiquité et au moyen-âge, elle connut une période de déclin qui heureusement fut rattrapée après plusieurs siècles de protection plus ou moins efficace contre le braconnage et la marchandisation de sa fourrure. Récemment, le développement urbain et des infrastructures font craindre une nouvelle baisse des effectifs.
Dans le but de protéger le lion karéen emblématique du Banairah, une étude démographique et comportementale a été menée. L'équipe espère ainsi mieux protéger l'espèce grâce à une meilleure connaissance de celle-ci.